Quelques années auparavant, Skoda faisait partie de ces constructeurs qui créaient des modèles uniques pour des rassemblements automobiles. La marque tchèque s'est servie du plus connu d'entre eux pour exposer la Fabia RS2000, un roadster 2+2 qui dévoile les formes de la version Rallye de sa citadine. Durant les années 2000, le tuning était une mode qui touchait la planète entière, du Japon aux Etats-Unis, en passant par l'Europe. Peintures criardes, kits larges, jantes chromées, système hi-fi embarqué, suspension réglable … impossible de passer à côté d'un véhicule tuné. La mode était telle que des rassemblements automobiles se tenaient chaque week-end, dans le but d'évoquer sa passion entre « tuners ». L'un d'entre eux a même atteint une cote de popularité exceptionnelle : le Wörthersee Tour, en Autriche. Cet immense rendez-vous regroupait tous les fans de véhicules du groupe VAG, à commencer par Volkswagen. Le rendez-vous était devenu si incontournable qu'il était impossible pour la marque allemande de ne pas y tenir un stand officiel sur place. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Si les plus grands adeptes se souviennent notamment de la Volkswagen Golf W12, Skoda n'était pas en reste, et y avait dévoilé la Fabia RS2000 en 2011. Lire aussi : Skoda Epiq : le futur cauchemar du Mini Aceman

Alors que ce n'est plus qu'une question de mois avant que l'Audi RS6 Avant Performance ne soit retirée du configurateur en ligne de la marque, on a absolument voulu créer notre propre exemplaire. On n'a pas fait les choses à moitié et, grâce à nous, vos enfants n'auront plus jamais honte quand vous viendrez les chercher à la sortie de l'école ! L'Audi RS6 est peut-être la voiture le plus emblématique de la branche RS. La marque allemande a apposé son badge sportif sur une bonne partie de sa gamme, mais celle-ci est définitivement la plus énervée du lot. Et pour cause, un grand break spacieux de plus de 2 tonnes, embarquant un V8 4.0 biturbo de 630 chevaux, ça ne court pas les rues ! Avec une telle armada sous le capot, la RS6 Avant Performance revendique un 0 à 100 km/h en seulement 3,4 secondes et une vitesse maximale de 280 km/h ! De quoi faire tomber des chronos entre l'école des enfants et la maison. Un privilège qui se paie au prix fort, à partir de 149.250 euros. Pour l'extérieur, on s'est senti obligé de choisir le Gris Nardo qui, cerise sur le gâteau, est gratuit ! Pour rendre l'ensemble encore plus agressif, on a opté pour des jantes noires de 22 pouces. On a rehaussé le tout avec le Pack Esthétique noir mat et carbone, qui inclut une lame avant, des barres de toit, des bas de caisse, un diffuseur et divers autres éléments, contre 5.700 euros. On a complété tout ça avec les coques de rétroviseurs en fibre de carbone.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : L'Audi RS6 va s'en aller, mais ne pleurez pas : elle a droit à une ultime version GT !

Lancée l'an dernier, la seconde génération du Toyota C-HR s'est rapidement déclinée en une version hybride rechargeable de 225 ch, en complément des motorisations hybrides conventionnelles. Une première pour le SUV japonais, qui reçoit ainsi une batterie de 13,6 kWh permettant de parcourir théoriquement plus de 60 km en électrique. Le C-HR ainsi doté devient ainsi le seul du créneau proposé en PHEV, depuis la disparition du Renault Captur E-Tech plug-in. Comme toujours, l'hybride rechargeable peut séduire ceux dont l'usage s'y prête. Mais à quel prix ? Autant du point de vue des aspects pratiques que des tarifs, l'impact n'est pas toujours indolore avec les hybrides plug-in. Reste à définir le bénéfice apporté par rapport aux versions hybrides classiques, en espérant que les qualités du C-HR (dynamisme, agrément et sobriété) restent intactes... Notre essai en images.

Comme à son habitude, Mansory nous présente une de ses réinterprétations survitaminées. Cette fois, le préparateur a jeté son dévolu sur une Porsche 911 Turbo S, la faisant passer à plus de 900 chevaux et la rendant bien plus intimidante que son homologue de série. Baptisée Mansory P9LM EVO 900, cette Porsche 911 Turbo S revisitée intimide déjà par son look. Elle reçoit ainsi un capot intégralement en carbone ainsi que de nombreux appendices aérodynamiques, comme son bouclier avant bardé de prises d'air. Les aérations au niveau des passages de roues et les extensions de carrosserie participent aussi à renforcer son aspect intimidant. Si on peut entrevoir les lignes originelles de la 911 à l'extérieur, on ne peut pas en dire autant de l'habitacle. Mansory a opté pour une discrète sellerie bleue, rehaussée par de nombreux éléments en carbone.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Sous son capot, le Flat-6 3,8 litres biturbo a été poussé à plus de 900 chevaux et 1.050 Nm de couple, soit une augmentation de 250 chevaux et 250 Nm comparé au modèle de série. Ce qui lui permet d'expédier le 0 à 100 km/h en 2,5 secondes seulement, et d'atteindre une vitesse maximale de 340 km/h. Cette P9LM EVO 900 est disponible en coupé, mais aussi en version cabriolet depuis peu. Les prix n'ont pas été communiqué, mais connaissant Mansory, il faut s'attendre à du très lourd.

Le gouvernement vient de mettre à jour la liste des voitures éligibles au bonus écologique. Si jusqu'à maintenant 56 modèles y avaient droit, 2 nouveautés vont également pouvoir bénéficier de cette aide à l'achat de 4.000 euros : la Lancia Ypsilon et le nouveau Peugeot E-5008. On s'y attendait pour ce qui est de l'Italienne, c'est en revanche une petite surprise pour le SUV français. La liste des voitures éligibles au bonus écologique est régulièrement actualisée. On le sait, les constructeurs font le maximum pour adapter les tarifs de leurs modèles afin de pouvoir en bénéficier, ce coup de pouce financier pesant lourd dans la balance pour prendre l'avantage sur les concurrents. Aujourd'hui, on apprend que 2 nouvelles voitures, récemment présentées, vont pouvoir bénéficier du bonus de 4.000 euros, voire 7.000 euros pour les ménages les moins aisés. Parmi ces 2 nouveautés, on trouve d'abord la Lancia Ypsilon. La petite citadine, cousine technique de la Peugeot 208, n'a pas encore dévoilé ses tarifs officiels pour la France. Cela dit, au vu des prix annoncés pour l'Italie, on peut s'attendre à la voir s'afficher aux alentours des 40.000 euros, bien en dessous du seuil de 47.000 euros fixé par l'État, au-delà duquel il n'est plus possible de prétendre au bonus écologique. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Lancia Ypsilon (2024) : très chic renaissance franco-italienne

En proposant la seule citadine Diesel du marché, Renault a le champ libre pour satisfaire les gros rouleurs qui recherchent une mécanique à la fois efficace et économique. Une niche stratégique bien étudiée, puisque désormais la Clio dCi n'est plus proposée qu'en finition d'entrée de gamme. La situation est étonnante au regard de l'historique du modèle qui avait abandonné le dCi en fin d'année 2020, avant de le réintégrer au catalogue quelques mois plus tard suite à une importante baisse des ventes. Avec l'arrivée de la nouvelle Citroën C3, Renault devient le seul constructeur à proposer du Diesel sous le capot de sa citadine. Et la Clio est revenue sur la première marche du podium, devant sa plus grande rivale la Peugeot 208. Restylée début 2023, la citadine au Losange conserve donc un bel avantage stratégique face à ses concurrentes, grâce à sa gamme de motorisations étendue : essence, Hybride, GPL et Diesel. Renault a de quoi satisfaire tout le monde, dont les professionnels de la route grâce à ce quatre cylindres 1.5 Blue dCI 100 ch démarrant à partir de 22.300 euros.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Pas la moins chère du catalogue, face à la version GPL 100 ch affichée dès 20.100 euros et à l'essence TCe 90 réclamant 19.700 euros. Ni la plus moderne, avec l'hybride E-Tech 145 positionné à 23.900 euros. Mais clairement la plus économique en termes de consommation, surtout lorsque le véhicule est bien chargé. Nous y reviendrons. De plus, ce bloc répondant aux normes Euro 6D est épargné de malus.

Renault a bien fait de réintégrer dans sa gamme la motorisation Diesel qui avait disparu du catalogue Clio en fin d'année 2020. Celle-ci s'impose aujourd'hui comme la seule citadine Diesel du marché avec son quatre cylindres 1.5 Blue dCi de 100 ch. Uniquement proposée en finition d'entrée de gamme "Evolution", la Clio dCi représente une offre intéressante démarrant à partir de 22.300 euros. De quoi séduire les gros rouleurs recherchant un coût au kilomètre totalement imbattable. En outre, ce moteur révèle un bel agrément avec son couple disponible dès les plus bas régimes. Alors, c'est un sans-faute ? A lire : ESSAI - Renault Clio dCi : l'unique citadine Diesel du marché !

Le bureau de style Italdesign a dévoilé un prototype au style neo-rétro nommé « Asso di Picche in Movimento ». Ce coupé au nez plongeant s'inspire d'un showcar Audi présenté dans les années 70.  L'avantage des bureaux de style face aux marques réside dans leur grande liberté d'expression. Leurs designers sont capables de faire des propositions de style aux constructeurs automobiles, à tel point qu'ils peuvent supplanter leurs propres bureaux de style internes. Italdesign fait partie de ces maisons de haute couture automobile, à l'instar de Pininfarina. Entre automobile et création de mode, zoom sur leur dernier né : l'Asso di Picche in Movimento, pour « As de Pique en Mouvement » en italien.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : ESSAI - Nissan GT-R50 by Italdesign : 720 chevaux pour Super Godzilla

La troisième génération de Nissan Qashqai vient tout juste de recevoir un facelift de mi-carrière. Au menu, un design extérieur modernisé, afin de vibrer au rythme de l'unique motorisation dans laquelle il est proposé, le e-Power de Nissan. L'intérieur aussi reçoit quelques ajustements, et autant dire que d'un point de vue finitions, ce crossover place la barre assez haut. Véritable succès commercial pour le constructeur nippon depuis son arrivée sur le marché il y a trois ans, le Nissan Qashqai de troisième génération vient de subir un restylage de mi-carrière, plus profond qu'il n'y paraît. Le design extérieur a été complètement revu afin d'être mis au goût du jour. Cela passe par des contours plus tranchés, et la présence de divers éléments en relief, peints en noir brillant. Les phares avant et arrière ont également été retravaillés, afin d'apporter un éclairage plus précis, notamment dans des conditions de faible luminosité, par temps de brouillard par exemple.  La marque a également ajouté deux nouveaux niveaux de finition : N-Design et N-Design+. Ceux-ci bénéficient d'une dotation en équipements plus riche, ainsi que d'éléments décoratifs distinctifs pour la carrosserie.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} À l'intérieur, une seule nouveauté fait son apparition. La partie multimédia repose maintenant sur l'interface Google, que ce soit pour l'infodivertissement ou pour la navigation. Rien ne change sous le capot, on retrouve la motorisation mild-hybrid de 140 chevaux et la version E-Power hybride de 190 chevaux. Nissan n'a pas encore communiqué les tarifs, ni même la date d'ouverture des carnets de commandes.

Nissan vient d'offrir un restylage de mi-parcours à son SUV phare, le Qashqai. Un restylage profond, puisqu'en plus des traditionnelles mises à jour technologiques, le modèle revoit sa copie avec de nouvelles lignes et gagne au passage deux nouvelles finitions. La marque n'a pas encore communiqué les tarifs. Même s'il a cédé du terrain à certains concurrents ces dernières années, le Nissan Qashqai reste le tôlier sur le segment des SUV. C'est lui qui a initié cette déferlante de modèles hauts sur roues, qui a inspiré entre autres les Volkswagen Tiguan et Peugeot 3008. Ça tombe bien, c'est justement ces deux modèles qu'il a aujourd'hui en ligne de mire. Car l'objectif est simple : reconquérir son territoire et résister autant que possible à ses rivaux.  Pour ce faire, rien de tel qu'un bon restylage en profondeur. Visuellement déjà, le Qashqai fait quasiment peau neuve, avec des lignes largement revues. La face avant reçoit une nouvelle calandre, intégrant en partie les optiques. Le bouclier gagne également quelques éléments décoratifs qui reprennent la couleur de la carrosserie. Les évolutions sont plus discrètes à l'arrière, mais on peut tout de même citer des feux redessinés qui adoptent une nouvelle signature lumineuse. Le bouclier arrière a été légèrement remodelé et reçoit désormais des inserts noir brillant pour les finitions supérieures, que l'on retrouve également sur les bas de caisse.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Qu'est ce qui est jaune et qui attend ? Le Nissan Juke restylé !

Une rare Bugatti Veyron Grand Sport Vitesse a été surprise dans une vente aux enchères en Espagne. Fait particulier, cet exemplaire a été grimé par son propriétaire à l'effigie de « Transformers ».  Que faire, quand la grande richesse vous atteint, alors que vous avez encore des rêves d'enfant à réaliser ? Vous les symbolisez avec une belle voiture ! C'est le mantra qu'a suivi le propriétaire de cette Bugatti Veyron Grand Sport Vitesse, la version découvrable de la Grand Sport éditée à 92 exemplaires. Initialement présentée sous une robe bicolore, avec de nombreuses pièces en fibre de carbone teintée, cet exemplaire revêt une peinture qui sent bon la bataille entre Autobots et Decepticons. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Bugatti dévoile une très belle Chiron Pur Sport habillée de carbone bleu !

Cette Bugatti Veyron Grand Sport Vitesse est à vendre en Espagne via la maison de ventes aux enchères britannique RM Sotheby's. Sa grand particularité réside dans sa présentation inédite, inspirée du film "Transformers". Cet exemplaire est doté d'une peinture bicolore bleue, agrémentée d'un motif en mosaïque. Celui-ci forme notamment l'emblème des Autobots sur le capot. Ce même logo se retrouve à bord, entre les deux sièges.  Lire aussi : Bugatti Veyron Grand Sport Vitesse « Transformers » : de nouveau à vendre Cet exemplaire est connu des maisons de ventes aux enchères depuis sa sortie d'usine, en 2014. Il a connu plusieurs propriétaires, avec une vente remarquée en 2016, et une autre en 2018. Aujourd'hui, le véhicule affiche 3.231 miles au compteur, soit environ 5.200 km.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

La semaine dernière, nous évoquions une trouvaille intéressante sur les configurateurs en ligne de Tesla, chez nos voisins européens : le Model Y Propulsion Grande Autonomie. Eh bien il débarque officiellement en France ! Cerise sur le gâteau, il s'affiche moins cher que sur les autres marchés d'Europe, avec un tarif de base fixé à 46.990 euros chez nous. Son arrivée en France ne faisait presque plus aucun doute. Après avoir été déployée en Belgique, en Italie, en Espagne ou encore en Suisse, la version Propulsion Grande Autonomie du Tesla Model Y a finalement intégré le configurateur en ligne français de la marque.  Les spécifications de cette nouvelle déclinaison étaient déjà connues. Pour rappel, celle-ci offre une autonomie WLTP de 600 kilomètres, soit environ 160 de plus que la version Propulsion standard. C'est même une grosse soixantaine de kilomètres de plus que la version Grande Autonomie à transmission intégrale ! Côté performances, le Model Y Propulsion Grande Autonomie revendique un 0 à 100 km/h abattu en 5,9 secondes et une vitesse de pointe de 217 km/h.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : ESSAI – Tesla Model 3 (2024) : le diable est dans les détails

Renault a gâté certains marchés émergents avec des modèles spécifiques. Avec du recul, la question de leur importation aurait pu se poser, à l'image de la Sandero R.S., avec sa présentation extérieure sportive et son gros moteur. Les constructeurs français et étrangers adaptent la constitution de leur gamme en fonction des marchés. Ils disposent même de bureaux d'études dans plusieurs endroits autour du globe. Certains pays réclament des véhicules bien différents en fonction de leurs besoins, à l'image des marchés émergents, qui disposent de modèles low-cost spécifiques. C'est le cas de Renault, qui a réalisé un double tour de passe hors de notre territoire. Non content d'avoir rebadgé l'intégralité de la gamme Dacia pour les marchés émergents, Renault dote son éventail de modèles d'une intrigante version sportive de la Sandero pour le marché brésilien : la Renault Sandero R.S.!{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Dacia Sandero Stepway : prenez de la hauteur, à partir de 15.100 euros !

Vous connaissez sûrement par cœur les 0 à 100 km/h de vos voitures préférées, mais connaissez-vous le temps qu'elles mettent à atteindre les 200 km/h ? Vous allez le voir, les véhicules les plus rapides sur cet exercice ne sont pas nécessairement ceux auxquels on peut penser. La plupart du temps, afin de se faire une idée des performances d'une voiture, on demande des données qui se comptent sur les doigts d'une main. Il s'agit de la puissance, du couple de la voiture, ainsi que sa vitesse de pointe et son accélération de 0 à 100 km/h. Mais certaines voitures préparées, taillées pour abattre les chronos, s'essoufflent sur la longueur.  C'est pourquoi on peut entendre certains fans dire que telle voiture ancienne (et préparée jusqu'à la moelle) va plus vite qu'une autre (plus récente et d'origine), ce qui en pratique peut s'avérer véridique mais qui dans les faits, n'est valable que sur les 200 premiers mètres. Alors un bon moyen de vérifier si une voiture va réellement vite est de mesurer le temps qu'elle met à atteindre les 200 km/h. Et vous allez le voir, les électriques, hybrides et thermiques sont de la partie.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Un unique exemplaire de Ferrari F12 Berlinetta de 2014, ayant servi de cobaye au développement de la F12 Tour de France, a été mis aux enchères sur le site de Bring a Trailer. Malheureusement, cette voiture n'a pas trouvé preneur, malgré des enchères ayant dépassé les 450.000 euros. Peut-être que sa vitesse bridée à 25 km/h y a été pour quelque chose…  A priori, difficile de se rendre compte des modifications faites sur cette voiture. Pourtant, cet exemplaire de Ferrari F12 Berlinetta a bel et bien servi au développement de sa version encore plus radicale, la F12 TDF. Le seul problème, c'est qu'à la suite de ses nombreux tests, Ferrari a décidé de limiter la vitesse maximale de cette voiture à 25 km/h seulement. Ce qui pourrait expliquer que cet exemplaire n'a toujours pas trouvé de nouveau propriétaire sur le site de ventes aux enchères, malgré des prix qui ont grimpé jusqu'à 475.000 euros. Chose étrange, le compteur de cette F12 Berlinetta de test affiche un peu plus de 32.000 kilomètres, sachant que cet exemplaire n'est pas homologué pour la route. Il y a donc fort à parier qu'une majeure partie de sa vie a été dédiée au développement de la F12 Tour de France. Mais pour se différencier des autres F12 Berlinetta, cette voiture peinte en noir a été décorée de cercles blancs, ainsi que d'un logo Pirelli. Seuls quelques éléments, comme les différents boutons installés sur la console centrale dans le cadre des tests, trahissent le passé de cet exemplaire.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Maserati GranCabrio Folgore : le nouveau sèche-cheveux 100% électrique italien

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