Au cours des années 90, Opel fait partie de ces nombreux constructeurs à vouloir se faire un nom dans la compétition automobile. Pour y arriver, la marque allemande inscrit plusieurs modèles, dont un qui fait parler par son imposant gabarit : l'Omega Evolution 500.  Les années 90 sont une décennie bénie pour le sport automobile. Tous les constructeurs cherchaient à se bagarrer en piste. Les retombées économiques et médiatiques pour les marques victorieuses étaient très importantes. Cela les a conduit à réaliser des modèles parfois improbables, à l'image d'Opel.  Tout le monde se souvient de la Vectra (ou Vauxhall Cavalier en Grande-Bretagne) et de la Calibra. Mais un troisième modèle plus original a fait son apparition sur les plus beaux tracés du monde : l'Opel Omega Evolution 500.  Lire aussi : Lotus Carlton Tourer : La soute à bagages la plus rapide du monde dans les années 90

Partant de zéro sur la scène de la limousine premium, Audi lance en 1988 la V8, un véhicule qui cherche à provoquer frontalement les Mercedes 500 W126 et BMW Série 7. Une première tentative qui sera imitée quelques années plus tard par l'A8. Design vieillot, comportement routier imparfait, équipement chiche … l'image d'Audi ne reflétait pas vraiment la modernité. La transmission « quattro » et les résultats sportifs en rallye ont amené une manne financière bienvenue à Audi pour le développement de sa gamme routière. Mieux équipées, mieux finies, et mieux motorisées, les voitures frappées des Anneaux vendaient aussi plus chères leurs prestations que le reste de la concurrence. Une stratégie payante qui a permis de rassembler l'argent nécessaire pour taquiner ses concurrentes directes, Mercedes et BMW. Pourtant, il manquait un segment sur lequel Audi n'avait pas encore tenté sa chance : celui des limousines premiums, incarnées par les Mercedes 500 W126 et BMW Série 7 E32. La firme d'Ingolstadt tente sa chance en 1989 avec la V8.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : ESSAI – Audi SQ8 restylé (2024) : le V8 joue du Black Metal

Après sept ans de carrière le Skoda Kodiaq revient sur le devant de scène plus haut de gamme que jamais. Plus raffiné, il profite de nouveaux équipements et de motorisations inédites, dont un hybride essence 1.5 TSI de 150 ch se révélant parfaitement à l'aise avec la gabarit de cet engin 7 places. Toujours une référence en termes d'habitabilité, le nouveau Kodiaq offre également une meilleure expérience de conduite grâce à son amortissement piloté à double soupape. Tout cela se paye côté tarifs avec une petite inflation, même s'il profite toujours d'un rapport prestations / prix imbattable. La gamme démarre désormais à partir de 43.970 euros. De quoi en faire la meilleure offre du moment chez les SUV familiaux ? Réponse dans notre essai. A lire : ESSAI – Skoda Kodiaq (2024) : le meilleur SUV familial ?

Lancé en 2017, le Skoda Kodiaq s'est immédiatement imposé comme l'une des références dans la catégorie des SUV sept places grâce à son rapport prestations/prix imbattable. La deuxième génération à l'essai aujourd'hui consolide ses acquis en améliorant le niveau de raffinement et d'équipements. Elle en profite aussi pour accueillir de nouvelles motorisations, dans l'air du temps. Une véritable montée en gamme, tout en discrétion. Vendu à plus de 840.000 exemplaires en sept ans de carrière, le Kodiaq poursuit sa route au travers d'une seconde génération revue de fond en comble. Cela ne saute pas aux yeux puisque l'on retrouve clairement l'ADN du grand SUV Skoda. Pourtant, pas un panneau de carrosserie n'a été conservé de la précédente génération. Le nouveau Kodiaq repose d'ailleurs désormais sur la plateforme MQB Evolution. Et ses proportions évoluent : +61mm de long et -23mm en largeur (4,758 x 1,864 m).  En fait en détail, le nouveau Kodiaq conserve son regard sur deux étages, mais les nouveaux blocs optiques intégrant désormais la technologie Matrix LED sont situés un peu plus bas. La signature lumineuse évolue également avec un « bandeau éclairé » traversant l'imposante calandre (en finitions hautes). Tandis que de nouvelles écopes de refroidissement lacèrent le bouclier afin d'apporter davantage de caractère à la face avant.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Pas grand-chose de neuf côté profil à première vue, si ce n'est l'adoption de nouvelles jantes de 17 à 20 pouces selon la finition. Mais un œil averti remarquera que le montant arrière est désormais en alu brossé. La ligne apparait ainsi plus élancée et moderne. A l'arrière on note surtout l'adoption de nouveaux feux affutés, reliés par un bandeau (non lumineux). Une mise à jour tout en subtilité qui inspire le monde du premium. Et qui profite aussi à l'aérodynamisme de l'engin, annonçant un Cx de 0,28 (contre 0,32 auparavant).

Pour Mercedes, en France, la poule aux œufs d'or s'appelle GLA ! La petit SUV est en effet le modèle le plus diffusé par la marque chez nous, bien loin devant la Classe A et le GLC. En plus de prouver une nouvelle fois que les SUV sont définitivement à la mode, ce GLA montre bien que Mercedes a eu raison de lui offrir une deuxième génération. Pourtant, ce modèle s'affiche à plus de 44.000 euros. Le succès n'est donc pas réservé aux voitures accessibles… Demandez à n'importe qui quel est le modèle le plus vendu en France par Mercedes. Il y a fort à parier que de nombreuses personnes vous répondront la Classe A, ce qui serait logique. Il s'agit en effet du plus petit modèle de la gamme, mais aussi du plus accessible avec un tarif fixé juste sous la barre des 40.000 euros. Pourtant, le véritable best-seller de Mercedes, en France, n'est pas la Classe A. Ce titre honorifique revient au GLA, qui n'est autre qu'une version surélevée que la compacte, qui s'affiche à partir de 44.549 euros tout de même ! En bonne voiture allemande, le Mercedes GLA se décline aussi bien en motorisations essence que Diesel, ainsi qu'en hybride. Sans oublier sa dernière variante 100% électrique, l'EQA. Une large palette de motorisations donc, qui permet aux clients de choisir en fonction de leurs besoins. Mais cet argument ne fonctionne pas étant donné que la plupart des autres modèles de la marque à l'étoile est également disponible avec cette même diversité de moteurs.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : ESSAI – Mercedes GLA 35 AMG : l'offre insolente de Mercedes ?

Hyundai vient d'annoncer les tarifs officiels de son Tucson restylé. Le SUV coréen se met donc à la page et arrivera dans le réseau de concessions de la marque d'ici cet été, à partir de 36.900 euros pour la version hybride, contre 47.000 euros pour l'hybride rechargeable. On savait déjà depuis plusieurs mois que le Hyundai Tucson avait eu droit à un restylage. Des photos avaient déjà été publiées par la marque, mais il manquait toutefois une information essentielle : les tarifs. Il aura donc fallu attendre un peu, mais ils viennent d'être confirmés. Il faudra débourser au minimum 36.900 euros pour la finition Initia dotée de la motorisation hybride.  La gamme de ce Tucson restylé s'articule autour de six niveaux de finitions : Initia, Intuitive, Creative, N Line Creative, Executive et N Line Executive. Deux motorisations sont proposées, à savoir une version hybride simple de 215 chevaux, disponible en deux roues motrices, voire en transmission intégrale sur les deux finitions les plus hautes. Une version hybride rechargeable de 253 chevaux est également présente au catalogue.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Hyundai Tucson : et si c'était le meilleur rival du Volkswagen Tiguan ?

Au cours des années 90, Mercedes a cherché à dynamiser ses routières. Si la 500E W124 était déjà une première approche convaincante grâce à Porsche, le préparateur AMG fera encore mieux avec la E60 AMG.  Mercedes et les années 90, une paire indissociable et couronnée de succès à tous les étages. La petite 190E attend son remplacement par la Classe C, la W124 est la voiture préférée des taxis, et la Classe S W140 possède le titre de meilleure voiture du monde depuis 1991. Il ne manque plus qu'un modèle performant en porte-drapeau, afin de montrer au reste du monde que la marque à l'Etoile ne sait pas faire uniquement des canapés roulants.  Une première tentative a été réalisée en 1990 avec la 190E 2.3-16, conçue en collaboration avec Cosworth. S'en est suivi un passage à la vitesse supérieure grâce à Porsche, avec la 500E en 1993. Mais il manquait LE partenariat. Celui qui allait faire basculer l'image de la marque de voiture pantouflarde à monstre de la route.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} C'est ainsi qu'AMG devient l'élu en 1993, avec la C36. Après avoir transformé la E36, la 560 AMG « The Hammer », c'est au tour de la 500E de passer entre les mains du préparateur d'Affalterbach : voici la rare Mercedes E60 AMG. Lire aussi : Mercedes 560 SEC AMG 6.0 « The Hammer » : Le Marteau de l'Autobahn

Shelby vient de présenter sa toute première réalisation basée sur la dernière génération de Ford Mustang. Le résultat est sans appel, la Super Snake développe jusqu'à 840 chevaux et adopte un look pour intimidant que jamais. On peut dire que Shelby n'y a pas été avec le dos de la cuillère. Cette Mustang Super Snake est plus puissante et elle le fait savoir, avec un kit carrosserie plus agressif que jamais. Le programme inclut une lame avant, des extracteurs d'air sur le capot en fibre de carbone, des bas de caisse et un aileron fixe. Sous le capot, cette Super Snake conserve le V8 5.0 de la Mustang, mais propose deux niveaux de puissance : 487 chevaux pour le commun des mortels, contre 840 pour les plus téméraires. La plus puissante des deux gagne un compresseur et tout un tas d'ajustements techniques. L'une et l'autre sont disponibles aussi bien en boîte manuelle qu'en automatique.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} On ne connait pas encore les prix de cette Super Snake, mais on sait déjà qu'il n'y en aura pas pour tout le monde. Shelby n'en produira que 250 pour les États-Unis, mais précise tout de même qu'une petite quantité d'exemplaires supplémentaires pourra être produite pour les clients des autres pays. 

Shelby vient de dévoiler sa nouvelle Super Snake, sa toute première réalisation basée sur la nouvelle génération de Ford Mustang. L'Américaine adopte un look encore plus agressif, tandis que le V8 voit sa puissance grimper à 840 chevaux ! Shelby a annoncé une production limitée à 250 unités pour les États-Unis, mais précise que quelques exemplaires supplémentaires seront disponibles pour les autres clients du monde entier. On s'attendait à ce que Shelby présente une nouveauté cette semaine. La firme américaine avait en effet publié une image sur ses réseaux sociaux, pour annoncer une nouvelle version de la Ford Mustang. C'est officiel, elle est bien là et ça valait la peine d'attendre ! Voici donc la Shelby Super Snake, une variante plus venimeuse que jamais de la plus célèbre des muscle-cars américaines.  Donner dans la demi-mesure ne fait pas partie des habitudes de Shelby, on en a une nouvelle fois la preuve avec cette Super Snake. La Mustang reçoit un capot bardé de sorties d'air, une lame avant, des bas de caisse, un diffuseur ainsi qu'un aileron arrière fixe en fibre de carbone. Fidèle à la tradition, elle adopte les fameuses bandes racing qui courent sur toute la longueur de la voiture, ainsi que des stickers Shelby sur le bas des portières. L'ensemble repose sur des jantes en magnésium.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Ford Mustang California Special : une série spéciale pour les 60 ans de la muscle-car !

Cette semaine a été plutôt animée en termes de nouveautés, ou du moins de quasi-nouveautés. Audi finalise le restylage de son e-Tron GT, tandis que BMW réalise les derniers tests routiers de son X3. Dans un registre moins sympathique, Maserati a annoncé le report de la sortie de la future génération de sa limousine, la Quattroporte. On fait le point. Le monde automobile est en constante évolution, d'autant plus à l'époque actuelle, en raison de la marche forcée vers le tout électrique. Pour certains constructeurs, qui ont déjà amorcé cette transition, l'heure est au restylage, comme c'est le cas avec Audi pour son e-Tron GT qui s'offre un lifting de mi-carrière. D'autres font le choix de continuer sur le thermique, comme BMW, qui finalise actuellement les tests routiers de la future génération de son X3. Enfin, certains rencontrent des difficultés. C'est notamment le cas de Maserati, qui retarde la sortie de sa future Quattroporte en raisons de problèmes de développement. 

Cette semaine, de nombreuses rumeurs ont circulé sur internet. Entre bruits de couloir et déclarations presque officielles, il n'est pas toujours simple de démêler le vrai du faux. Profitons-en pour revenir sur le cas de Tesla, qui aurait vraisemblablement annulé son projet de proposer un modèle abordable, Aston Martin qui serait en train de développer un SUV de 1.000 chevaux ou encore Audi qui sortirait prochainement un Q9 avec 7 places. Comme toujours, certaines rumeurs éveillent notre curiosité, certaines étant si insistantes qu'elles en deviennent crédibles. C'est notamment le cas de Tesla, qui selon les bruits de couloirs de plus en plus récurrents, aurait abandonné l'idée de produire une voiture abordable, au profit d'un modèle autonome. Dans un registre un peu plus excitant, il se murmure qu'Aston Martin serait actuellement en train de plancher sur un nouveau SUV, dont la puissance pourrait tutoyer les 1.000 chevaux. Enfin, Audi envisagerait de lancer un nouveau SUV à 7 places sur le marché, le Q9. Lire aussi : Audi Q6 e-tron (2024) : la famille Q est au complet Pas de Tesla abordable mais une voiture autonome à la place

Seat a proposé une étude de style sportive basée sur sa micro-citadine, l'Arosa. L'idée était d'avoir une micro-GTI accessible à tous et bien motorisée, avec l'Arosa Racer. Une récréation de courte durée : la Volkswagen Lupo GTI ne connaîtra finalement jamais sa jumelle espagnole. Pour Seat, les années 2000 ont été une période faste, en matière d'études de style. Sous la coupe de Walter De' Silva, la marque ibérique change d'orientation et multiplie les showcars au style frais et aguicheur. Dans sa gamme, il était impossible de ne pas observer la filiation évidente avec Volkswagen. L'Ibiza, conçue sur la base de la Polo, le duo Leon/Toledo repose sur la Golf, et l'Alhambra est un Sharan maquillé. Il fallait absolument trouver un moyen de se démarquer de cette image de "Volkswagen rebadgée" qui collait à la peau de Seat.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} La plus petite d'entre elles, l'Arosa, manquait cruellement d'image, face à la Volkswagen Lupo plus répandue. Pour remédier à ça, Seat s'énerve et pioche le moteur de la Lupo GTI pour créer l'Arosa Racer. Lire aussi : Seat de retour avec une voiture électrique à petit prix

Si la marque Clarion n’est plus très présente sur le marché français, elle continue de proposer quelques produits car audio aux USA. Pour les voitures ou pour les véhicules de loisirs type ATV, Clarion présente un mini ampli 5 canaux à prix attractif.

Détendez-vous. Sortez les casquettes. Prenez place à bord du nouveau cabriolet Mercedes, appelé CLE, pour un voyage luxueux et aéré.

Suivez la course sprint, première des deux courses du week-end et les qualifications du Grand Prix de Chine pour en direct commenté. Il s'agit de la cinquième manche de la saison 2024 de Formule 1 disputée sur le circuit de Shanghaï.

Découvrez le classement final de la course sprint, première des deux courses du Grand Prix de Chine de Formule 1.

Max Verstappen a pris la tête de la course sprint ce matin. Le Néerlandais a dépassé Fernando Alonso, puis Lewis Hamilton. Ce dernier était premier depuis le départ mais avait du mal à tourner avec sa W15.

Découvrez le départ de la course sprint, première des deux courses du Grand Prix de Chine 2024.

Le pilote Ferrari évoque son apprentissage au volant de la Ferrari 499P et comment un équipage de trois pilotes crée des automatismes.