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Aujourd’hui — 28 mars 2024Turbo.fr - L'info en continu

CONFIG – Devenez le roi des stations de ski avec notre Ranger Rover SV !

27 mars 2024 à 19:00
Alors que l'actuelle génération a déjà plus ou moins deux ans, le Range Rover continue son petit bonhomme de chemin dans son coin, sans faire de bruit. Ce qui ne signifie pas que l'on ne s'intéresse pas à lui, loin de là même. Pour preuve, voici notre propre configuration du Range Rover, ici en version SV, parfaite pour partir aux sports d'hiver à Courchevel ! Bien qu'il soit moins médiatisé, le Range Rover fait partie de ces SUV d'ultra luxe, au même titre que les Bentley Bentayga et Rolls-Royce Cullinan. La triplette anglaise, donc. Et ne vous méprenez pas, le Range n'est pas beaucoup plus accessible que les deux autres, contrairement à ce qu'on pourrait penser. Dans sa version de base, ce SUV s'affiche à partir de 142.900 euros, mais la version SV que nous avons configuré monte à 231.700 euros hors options. Pas de chance pour votre banquier, on a eu la main lourde sur les équipements optionnels. Nous avons choisi la motorisation la plus puissance, tant qu'à faire, la version P650 MHEV. Celle-ci embarque un V8 4.4 de 615 chevaux pour 750 Nm de couple. Avec un tel monstre sous le capot, le Range peut abattre le 0 à 100 km/h en 4,5 secondes et atteindre une vitesse de pointe de 261 km/h. Pas mal, pour un mastodonte d'un peu moins de 2,8 tonnes.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : CONFIG – Voici l'Audi RS4 parfaite pour battre des records entre Marbella et Amsterdam

Citroën Basalt : le SUV coupé que l’on ne verra jamais en France

27 mars 2024 à 18:00
Citroën vient de présenter un tout nouveau modèle, le Basalt. Ce SUV coupé, qui reprend les derniers codes stylistiques de la marque aux chevrons, ne sera hélas jamais vendu chez nous. Il sera réservé aux marchés sud-américain et indien. Citroën continue de se renouveler, et pas uniquement en Europe. Si la gamme française de la marque n'a presque eu droit à aucune nouveauté ces derniers mois, d'autres marchés vont bientôt accueillir un modèle inédit. Citroën le présente d'ailleurs pour la première fois, sous la forme d'un concept, tout en précisant que la version de série sera extrêmement proche de ce que l'on peut voir aujourd'hui. Baptisé Basalt Vision, ce concept de SUV coupé est dans la veine de ce que Citroën propose depuis l'arrivée de la nouvelle C3. On retrouve un design plus anguleux qu'auparavant, avec des ailes marquées et une signature lumineuse en forme de chevrons, répartie sur 2 blocs optiques à l'avant. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Clap de fin pour la Renault Zoé : retour sur sa carrière !

Un Toyota Hilux électrique en Europe ? Pas pour tout de suite

Par : Juan Salazar
27 mars 2024 à 17:00
Bien que le Toyota Hilux électrique se prépare pour une commercialisation en 2025, le constructeur japonais va d'abord le tester sur son continent. Toyota envisage de le déployer sur le marché européen mais ce ne serait pas pour tout de suite. Après avoir montré le concept d'une version 100 % électrique de son Hilux en 2022, Toyota annonce qu'il sera dévoilé d'ici la fin de l'année 2025. Le responsable du marché thaïlandais affirme même qu'une version de production arriverait très prochainement. C'est pourquoi le constructeur japonais va d'abord tester son pick-up en Thaïlande, là où le concept avait été présenté pour célébrer les 60 ans de la marque. Ainsi, la ville de Pattaya, située dans l'est du pays, recevra une douzaine de Hilux électriques, qui seront utilisés comme moyen de transport public. L'objectif est de tester le véhicule, sur les terres où le concept avait été développé en grande partie. Cette décision intervient quelques jours après l'annonce par le gouvernement Thaï que son rival Isuzu se prépare à sortir une version électrique de son pickup, le D-Max, en 2025.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : CONCEPT OUBLIÉ – Renault Zoé e-Sport : L'ex-future GTI 100% électrique

Des animations dans toute la France pour la Journée Nationale des Véhicules d’Époque le 28 avril !

27 mars 2024 à 16:00
Le dimanche 28 avril prochain, la Fédération Française des Véhicules d'Époque organise une journée spéciale durant laquelle les passionnés de France pourront assister à des animations, des parades, ou encore des concours d'élégance. Des activités sont prévues un peu partout dans l'Hexagone, de nombreux clubs ayant déjà organisé des petits road-trips. La Fédération Française des Véhicules d'Époque (FFVE) va célébrer la Journée Nationale des Véhicules d'Époque en grande pompe, grâce à de nombreuses activités organisées à travers le territoire. Il s'agit de la huitième édition, qui se tiendra le dimanche 28 avril. À cette occasion, les passionnés de la France entière pourront assister à différentes animations et voir rouler de belles voitures anciennes. L'ensemble de l'Hexagone est quadrillé, personne ne sera mis à l'écart, toutes les régions auront droit à des animations. La FFVE propose aux clubs de passionnés qui le souhaitent de s'inscrire, directement sur son site, pour organiser des rassemblements et autres road-trips.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Fiat Dino Coupé : la Fiat oubliée au cœur de Ferrari

Mercedes Classe G : à presque 170.000 euros, à quoi a-t-on droit ?

27 mars 2024 à 14:00
Alors que le Mercedes Classe G vient tout juste d'avoir droit à un petit restylage, on peut maintenant avoir un aperçu de sa dotation de série. Avec un tarif de base de presque 170.000 euros, on peut s'attendre à une liste d'équipements longue comme le bras. Mais est-ce vraiment le cas ? Cette semaine, Mercedes a procédé à un restylage de son Classe G. Le 4x4 iconique de la marque à l'étoile n'évolue que légèrement à l'extérieur, mais affiche toujours des prix très élevés. Deux versions sont proposées : le G63 AMG, et le G500 et son 6 cylindres en ligne 3.0 turbo mild-hybrid de 449 chevaux. Celui-ci est disponible à partir de 169.154 euros, une somme rondelette à la hauteur du gabarit de l'engin. Mais qu'offre le Mercedes Classe G pour ce prix ? À l'extérieur, vous vous en doutez, pas de plastique noir, le G affiche une présentation impeccable. Il repose sur des jantes AMG en alliage de 20 pouces et peut être habillé de plusieurs teintes de série, parmi lesquelles différents bleus, des gris et des blancs. Il est également doté du Pack AMG Line qui comprend divers éléments décoratifs comme la calandre chromée. Les phares LED Multibeam complètent la dotation extérieure.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Mercedes Classe G : un restylage plus profond qu'il n'y paraît !

Toyota Century : Le seul moteur V12 japonais de série

Toyota commercialise un véhicule de luxe réservé aux gros portefeuilles et aux hommes d'Etat depuis 1967 : le Century. Véritable limousine de luxe à la japonaise, le Century possède la particularité d'avoir proposé le seul moteur V12 de l'histoire de l'automobile japonaise.  Toyota fait partie des constructeurs les plus connus au monde. La marque nippone fait partie des groupes automobiles les plus vendeurs à l'international depuis plusieurs années. Son marché domestique n'est pas oublié pour autant. Toyota y exerce une emprise tentaculaire : Kei cars, hybrides, SUV, 4x4, premium … impossible de ne pas trouver la trace du géant nippon dans l'un de ces marchés qui font son succès.  Mais ici, le véhicule est tellement atypique que seuls les initiés connaissent le véhicule qui fait l'objet de cet article. Oubliez Lexus et son orientation Premium, c'est le niveau au-dessus qui est évoqué ici : voici le Toyota Century.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi :  VIDEO - Au Japon, le sommet du luxe roulant ressemble à ça

Tuthill Porsche 911 Carrera RSK : La Porsche 911 (993) retrouve enfin ses lettres de noblesse

Tuthill Porsche, un préparateur britannique spécialisé dans la Porsche 911, s'est penché sur le cas de la 911 type 993. Considérée comme la génération de 911 la plus boudée (à tort) par les autres garages, l'atelier de Wardington (UK) a tenté de redorer le blason de la dernière des 911 refroidies par air, avec la sublime 911 RSK. Tuthill Porsche a fait sa réputation dans le monde du rallye. L'atelier britannique se charge de transformer les véhicules de route en monstres de rallye. Dans ses principales réalisations, une collaboration avec l'équipe de Ken Block sur une Porsche 911 SC "Safari Rally Car". Mieux, les anglais se sont rapprochés des californiens de Singer pour créer une 911 « off-road » ultime : la Singer 911 ACS. Habituellement, les ateliers de restomods jettent leur dévolu sur les Porsche 911 type 930 ou 964. La 993 est encore trop proche des tuners pour être vue comme une espèce en voie de disparition. Dans ce cas, comment attirer l'attention lorsque l'image du vilain petit canard colle à la peau dans une longue lignée familiale ? Il suffit de laisser le temps faire son action, car tôt ou tard, la roue finit par tourner. C'est l'adage que Tuthill a voulu appliquer sur son dernier projet : la Tuthill Porsche 911 « Carrera RSK ».{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Porsche 911 RSR (964) by Everrati : Rétrofit de course

PHOTOS - Tuthill Porsche a réalisé la 911 Carrera RSK, un superbe restomod sur la base d'une Porsche 911 (993)

Tuthill Porsche a dévoilé sa dernière création, basée sur la Porsche 911 (993) : la 911 Carrera RSK. Le préparateur britannique a tenu à conserver une partie du mystère sur ses secrets de fabrication.  Cette Porsche 911 Carrera restaurée arbore une peinture complète Verde Francesca, empruntée au nuancier Ferrari. L'engin pique ses jantes à la Turbo, chaussées de pneus Michelin Pilot Sport 5. Le nom gagne une lettre sur la malle arrière : « Carrera RSK ». Ce dernier est peint à la main sur la carrosserie par le dessinateur professionnel Neil Melliard. Un curieux badge en forme de cochon fait son apparition sur l'aile avant. Celui-ci fait référence à la célèbre Porsche 917/20 « Pink Pig » de 1971. Le prototype d'Endurance est inscrit dans les livres d'histoire de la marque de Stuttgart grâce à sa déco extérieure semblable aux coupes d'un cochon. Le cockpit accueille ses deux passagers dans une atmosphère tendue de cuir vert et de moquette. Le combiné d'instrumentation est inédit, avec une zone rouge graduée jusqu'à 10.000 tr/min. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Tuthill Porsche 911 RSK : La Porsche 911 (993) retrouve enfin ses lettres de noblesse Côté châssis, la RSK reçoit des amortisseurs réglables maison, une barre antiroulis sur-mesure, et des disques de freins en carbone-céramique. Peu de détails techniques ont filtré sur la version qui a prêté sa base mécanique. Si ce n'est que son rapport poids/puissance serait supérieur à celui de l'actuelle GT3 RS (992). Seule une indication évocatrice de Tuthill laisse penser que le moteur serait le Flat 6 4.0 fait maison.

Devenez le meilleur SimRacer du monde avec le simulateur de Pagani !

27 mars 2024 à 11:00
Pagani vient de dévoiler un simulateur de conduite extrêmement perfectionné, dont la conception a nécessité autant de soin que les hypercars habituelles. La machine est habillée d'une coque en fibre de carbone et intègre une bonne partie du poste de conduite de la Huayra R. De quoi permettre aux heureux possesseurs de modèles Pagani de se perfectionner avant d'en prendre le volant ! On connaissait Pagani pour ses hypercars fabuleuses, voici maintenant que la marque se lance dans l'univers du jeu vidéo. À son échelle en tout cas. Il y a quelques semaines, le constructeur italien dévoilait la Huayra R Evo, une version de la voiture du même nom, destinée à la piste et réservée à des clients triés sur le volet. Celle-ci n'est utilisable que sur circuit et nécessite d'être accompagné par une équipe technique lors de chaque trackday. Pagani enrichit encore l'expérience, grâce à un nouveau simulateur de conduite. Le Huayra R Simulator, c'est le nom de cette machine, permet aux propriétaires des pistardes signées Pagani de se familiariser avec les circuits les plus célèbres du globe, avant de prendre le volant de leur hypercar. Le simulateur est impressionnant, ne serait-ce que visuellement. Il est habillé d'une coque en fibre de carbone peinte en vert avec des liserés rouges, tandis que l'habitacle intègre des éléments issus des modèles de production, comme les sièges, le pédalier ou encore le volant.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : VIDÉO - Pagani dévoile la sublime Huayra R Evo, destinée à faire tomber les chronos !

PHOTOS – Maserati MCXtrema : un Trident acéré réservé à la piste !

Par : Juan Salazar
27 mars 2024 à 10:00
Afin de préparer sa sortie à la fin de l'été 2024, le prochain modèle de Maserati, la MCXtrema, entame une série de tests sur circuit. Et cette voiture réservée à la piste entend bien repousser les limites de la performance. Le nouveau monstre au trident devrait voir le jour d'ici quelques mois, et afin de s'assurer qu'il soit bel et bien un monstre sur circuit, Maserati l'a envoyé sur piste pour faire ses derniers tests. Pour ce faire, la Maserati MCXtrema a été emmenée à l'autodrome Varano de' Melegari, à Parme en Italie. Et son volant a été confié à Andrea Bertolini, pilote test en chef de Maserati ayant remporté quatre championnats du monde avec la MC12, et qui participe au développement de la voiture depuis le début. L'objectif est de s'assurer que ce monstre, équipé d'un V6 biturbo 3,0 L de 730 chevaux (le Nettuno entièrement retravaillé), soit prêt pour partir à l'assaut de l'asphalte.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Maserati MCXtrema : comme un requin dans l’eau

Par : Juan Salazar
27 mars 2024 à 10:00
En attendant la première livraison de ce modèle réservé pour le circuit, Maserati l'emmène dans son milieu naturel, la piste. L'objectif, s'assurer que ce modèle soit bel et bien taillé pour la piste. La marque au trident se prépare à livrer sa première MCXtrema d'ici la fin de l'été. Et pour s'assurer qu'elle soit bien au point, le constructeur italien a décidé de l'emmener sur circuit, à l'autodrome Varano de' Melegari, en Italie. Un choix assez logique étant donné que ce modèle non homologué pour la route est exclusivement réservé à la piste. Pour effectuer cette ultime phase de tests, ce n'est ni plus ni moins que le pilote d'essai en chef Andrea Bertolini qui va se glisser dans le siège baquet. Et la réputation de l'italien n'est plus à faire, lui qui a remporté quatre titres de champion du monde dans la catégorie GT, au volant de la Maserati MC12. Il a ainsi participé activement à toutes les phases de développement de cette voiture.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : VIDEO – Nouveau record du 400 mètres départ arrêté pour une Ford Mustang électrique

Fiat Dino Coupé : la Fiat oubliée au cœur de Ferrari

27 mars 2024 à 09:00
À une époque, Fiat et Ferrari étaient deux entités très proches l'une de l'autre. Si proches que l'un des modèles de la gamme de Fiat était équipé d'un V6 provenant des usines de Maranello. Mesdames, messieurs, voici la Fiat Dino Coupé de 1967. Si actuellement on connaît essentiellement Fiat pour sa petite 500 et sa Tipo, la marque italienne a en revanche proposé de sacrés modèles par le passé. Et notamment dans les années 60 et 70, époque où les constructeurs s'accordaient à dire qu'ils se moquaient complètement des questions d'écologie et de pénurie de pétrole. Comme quoi, il peut s'en passer des choses, en 50 ans. En 1966, Ferrari a besoin de faire homologuer un V6 pour concourir en Formule 2. Pour pouvoir s'engager dans ce championnat, la marque au cheval cabré doit produire un certain nombre de moteurs. Problème : le V6 n'équipe alors que la Dino 206 GT, qui ne se vend pas assez pour permettre l'homologation du moteur en compétition. Maranello se rapproche alors de Fiat pour produire deux modèles équipés de ce fameux V6 Dino.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Project M : le restomod ultime de Ferrari 308 conçu par Maggiore Automobili

VIDÉO - Cette Dodge Viper peut-elle concurrencer la Porsche 911 Dakar ?

Par : Hugo Quintal
27 mars 2024 à 08:00
Matt Brown a décidé de transformer une Dodge Viper en un véritable tout-terrain. Le processus de modification a même été détaillé dans une vidéo. La transformation de la Dodge Viper en une voiture tout-terrain est un projet audacieux. Mais Matt Brown, connu pour sa chaîne YouTube SuperFastMatt, a relevé ce défi en un rien de temps. Dans sa dernière vidéo, il partage en détail le processus complexe nécessaire pour rendre cette Viper apte à affronter les terrains les plus difficiles en toute sécurité. Le projet de Viper tout-terrain a débuté en début d'année 2023. Depuis, Brown a travaillé sans relâche pour atteindre ses objectifs. Contrairement à une simple modification de carrosserie, il voulait créer une véritable Viper capable d'offrir de sérieuses capacités tout-terrain. En bref, de quoi aller chasser sur le territoire des 911 Dakar et Huracan Sterrato. En bien moins moderne et bien moins technologique… évidemment. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : VIDÉO – Course à la mort entre une Ford GT et une Dodge Viper Une Viper qui ne ressemble à aucune autre
Hier — 27 mars 2024Turbo.fr - L'info en continu

PHOTOS - Miura, Countach, Diablo : La longue (et bruyante) carrière du V12 Bizzarrini

Par : Juan Salazar
26 mars 2024 à 19:00
Comment parler de moteur de légende sans parler de celui qui a fait la renommée de Lamborghini, le V12 Bizzarrini. C'est sous le capot de la 350 GTV qu'il apparaît pour la première fois en 1963. S'ensuivra une longue et passionnante histoire d'amour entre le moteur et le constructeur italien, donnant naissance aux modèles les plus mythiques de la marque. Quand Ferruccio Lamborghini décide de lâcher les tracteurs pour se lancer dans le marché des automobiles sportives, il se rend compte qu'il lui faut un moteur. Tout le monde sait que c'est à la suite d'une altercation avec Enzo Ferrari lui-même que l'homme d'affaires italien décide de franchir le pas. Et il décide d'attaquer son ennemi sur son propre terrain, puisqu'il fait appel à ni plus ni moins que  Giotto Bizzarrini, qui avait participé à l'élaboration des V12 des formule 1 Ferrari. Il lui demande même de faire un moteur plus puissant que ceux de Maranello.  S'il ne parvient pas à se démarquer lors du le salon de Turin de 1963, il décide néanmoins de commercialiser la 350 GT, première à embarquer le légendaire V12. La révolution viendra quelques années plus tard avec la Lamborghini Miura, première supercar de l'histoire, dont le moteur situé en position centrale arrière est une véritable révolution. La suite est écrite dans les livres d'histoire, le V12 va se retrouver sous les capots des modèles les plus incroyables de la marque : Lamborghini Countach, Lamborghini Diablo, Lamborghini Murcielago… {{_DYNINFEED_BLOCK_}}

CONCEPT OUBLIÉ – Renault Zoé e-Sport : L’ex-future GTI 100% électrique

Revigoré par le succès de sa citadine 100 % électrique, Renault imagine une potentielle version musclée de sa Zoe, appelée « e-Sport Concept ». Conçue en collaboration avec la division Renault Sport, cette Zoe ultra-sportive n'a pas franchi le cap de la petite série, malgré un prototype abouti.  En partant d'une feuille blanche -et d'un échec cuisant de sa gamme Z.E.-, Renault imagine en 2012 une citadine conçue dès le départ comme une voiture 100 % électrique : la Zoe. Cohérente, bien finie et disposant d'une autonomie au-dessus de la concurrence, la Renault Zoe connait le succès dès sa sortie, à tel point qu'elle bataille longtemps avec la Nissan Leaf pour le titre de meilleure voiture électrique du marché.  Quelques années plus tard, en 2017, Renault tente sa chance dans la Formule E, en tant que motoriste principal pour l'écurie « Renault e.dams ». Chez les constructeurs, il faut savoir qu'il existe toujours un ou deux ingénieurs internes un peu plus barrés que leurs collègues. Ces derniers ont sauté sur l'occasion pour poser une simple question à leurs supérieurs : « Et si on créait une version sportive de la Zoe, inspirée de la Formule E ? ».{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Banco pour l'alter ego électrifié de la Clio R.S. : voici la Renault Zoe e-Sport Concept.  Lire aussi : Clap de fin pour la Renault Zoé : retour sur sa carrière !

Clap de fin pour la Renault Zoé : retour sur sa carrière !

26 mars 2024 à 17:00
Une page s'apprête à être tournée chez Renault. Vendredi 29 mars 2024, la dernière Zoé sortira des chaînes d'assemblage de l'usine de Flins, dans les Yvelines. La citadine électrique du losange, va donc tirer sa révérence après 11 ans de carrière. On se souviendra d'elle comme de l'une des pionnières des voitures branchées en Europe. Cela fait déjà 11 ans que Renault commercialise sa Zoé. Une carrière relativement longue, ponctuée par un seul et unique restylage opéré en 2019. Et si, pour beaucoup, la Zoé n'était qu'une petite citadine au design un peu rondouillard, elle est en réalité l'un des modèles les plus importants de la marque au losange de ces dernières années. En effet, c'est la première voiture électrique produite en grande série en Europe, bien avant les Volkswagen ID.3 et Peugeot E-208.  La Zoé a mis un certain temps avant de connaître le succès. Depuis son lancement en 2013, jusqu'en 2018, Renault proposait un système d'achat légèrement contraignant, original dirons-nous. Les clients pouvaient acheter la voiture, mais les batteries faisaient obligatoirement l'objet d'une location. Si la voiture en elle-même revenait effectivement moins chère, les loyers des batteries faisaient rapidement gonfler les coûts d'utilisation.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Renault Megane E-Tech : peut-on se contenter de la version d'entrée de gamme ?

PHOTOS - Mercedes Classe G (2024), qu'est-ce qui change vraiment ?

26 mars 2024 à 16:00
Mercedes vient de présenter la version restylée de son icône, le Classe G. Pour ce millésime 2024, le 4x4 conserve son style inimitable, mais embarque encore plus de technologies. Extérieurement, le Mercedes Classe G n'a pas changé depuis 2018. Il y a bien eu quelques micro-changements par-ci par-là, mais globalement il garde le même style très carré. Idem dans l'habitacle, où la présentation et le mobilier ne changent que très légèrement. On peut toutefois noter l'apparition du système d'infodivertissement MBUX de dernière génération, réunissant l'instrumentation et le multimédia dans un seul grand écran. Intrinsèquement, par contre, il y a du nouveau pour cette version 2024. En plus du traditionnel blocage de différentiel, le nouveau Classe G intègre désormais la technologie dite du "capot transparent", permettant de retranscrire sur l'écran ce qui se passe sous la voiture lors des phases de franchissement. Plutôt utile pour savoir où on met les roues.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Sous le capot, le G500 abandonne le V8 au profit d'un 6 cylindres en ligne 3.0 électrifié, grâce à une hybridation légère 48 V. Celui-ci développe 449 chevaux pour 560 Nm de couple. On ignore encore si une version Diesel arrivera chez nous. En revanche, on a encore droit au G63, toujours équipé du V8 4.0 biturbo de 585 chevaux, lui aussi mild-hybrid. Sans oublier une version 100 % électrique, qui viendra compléter la gamme ultérieurement. Côté tarifs, il va falloir avoir les reins solides. Le Classe G restylé sera affiché à partir de 169.154 euros.

Mercedes Classe G : un restylage plus profond qu’il n’y paraît !

26 mars 2024 à 16:00
Mercedes vient de procéder à un restylage de son iconique Classe G. Le gros 4x4 conserve, sans surprise, son look de brique, mais il se met à jour en embarquant de nouvelles technologies. Quelques nouveautés sous le capot également, puisque les versions thermiques s'électrifient légèrement. Le Mercedes Classe G fait partie des icones de l'industrie automobile. C'est même l'un des modèles les plus anciens de la production, puisqu'il est fabriqué sans interruption depuis 1990 et, en 34 ans de carrière, il n'en est encore qu'à sa deuxième génération. Celle-ci a d'ailleurs droit à un restylage, très discret du point de vue esthétique, mais assez conséquent pour la partie technique. Visuellement pas de doute, on a bien affaire à un Classe G. L'imposant 4x4 conserve son design de parpaing, extrêmement aérodynamique comme on peut s'en douter. Pour l'équipe « 1er degré », c'était de l'ironie. Reste que ce style est indémodable, avec ses lignes très droites, ses optiques rondes à l'avant et sa sempiternelle roue de secours fixée sur le coffre. À l'occasion de ce restylage, le Classe G inaugure une calandre légèrement redessinée ainsi que des pare-chocs adoucis à l'avant et à l'arrière.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Ineos Fusilier : des airs de Mercedes Classe G pour le petit frère du Grenadier !

Le Diesel de retour chez Stellantis par la petite porte

Par : Juan Salazar
26 mars 2024 à 14:00
A l'heure ou de plus en plus de constructeurs passent à l'électrique, et ou les émissions de carbone sont lourdement sanctionnées en France, le groupe Stellantis fait le pari d'investir sur un retour du thermique. Ce sont ainsi plusieurs modèles qui vont être de nouveau proposés en motorisations Diesel ou essence : les Citroën Berlingo, Peugeot Rifter et Opel Combo. Stellantis avait fait le choix en 2022 de ne proposer que des versions électriques de ses fourgonnettes, à l'exception de leurs dérivés utilitaires. Son objectif, commun à tous les constructeurs sur le marché français, était de limiter ses émissions de CO2, afin d'éviter de lourdes sanctions. Mais récemment, le groupe a choisi de faire marche arrière et d'investir dans le moteur thermique. La raison ? Les ventes ont considérablement chuté sur l'année 2022, de l'ordre de 35 % pour le Peugeot Rifter et plus de 50 % pour le Citroën Berlingo, par rapport à l'année précédente. Un constat qui est resté le même sur l'année 2023 et dont l'explication est plutôt simple. Le prix, en version 100 % électrique, pouvait parfois doubler sur certains modèles, ce qui explique en partie que la demande ne suive pas.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : EN BREF – La fin de l'Audi R8, Vettel en endurance et du nouveau chez Seat et Cupra

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