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CONFIG – Soyez le plus cool des papas pressés avec notre Audi RS6 Avant Performance

17 avril 2024 à 18:00
Alors que ce n'est plus qu'une question de mois avant que l'Audi RS6 Avant Performance ne soit retirée du configurateur en ligne de la marque, on a absolument voulu créer notre propre exemplaire. On n'a pas fait les choses à moitié et, grâce à nous, vos enfants n'auront plus jamais honte quand vous viendrez les chercher à la sortie de l'école ! L'Audi RS6 est peut-être la voiture le plus emblématique de la branche RS. La marque allemande a apposé son badge sportif sur une bonne partie de sa gamme, mais celle-ci est définitivement la plus énervée du lot. Et pour cause, un grand break spacieux de plus de 2 tonnes, embarquant un V8 4.0 biturbo de 630 chevaux, ça ne court pas les rues ! Avec une telle armada sous le capot, la RS6 Avant Performance revendique un 0 à 100 km/h en seulement 3,4 secondes et une vitesse maximale de 280 km/h ! De quoi faire tomber des chronos entre l'école des enfants et la maison. Un privilège qui se paie au prix fort, à partir de 149.250 euros. Pour l'extérieur, on s'est senti obligé de choisir le Gris Nardo qui, cerise sur le gâteau, est gratuit ! Pour rendre l'ensemble encore plus agressif, on a opté pour des jantes noires de 22 pouces. On a rehaussé le tout avec le Pack Esthétique noir mat et carbone, qui inclut une lame avant, des barres de toit, des bas de caisse, un diffuseur et divers autres éléments, contre 5.700 euros. On a complété tout ça avec les coques de rétroviseurs en fibre de carbone.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : L'Audi RS6 va s'en aller, mais ne pleurez pas : elle a droit à une ultime version GT !

Bonus écologique : deux nouveaux modèles vont bientôt y avoir droit !

17 avril 2024 à 17:00
Le gouvernement vient de mettre à jour la liste des voitures éligibles au bonus écologique. Si jusqu'à maintenant 56 modèles y avaient droit, 2 nouveautés vont également pouvoir bénéficier de cette aide à l'achat de 4.000 euros : la Lancia Ypsilon et le nouveau Peugeot E-5008. On s'y attendait pour ce qui est de l'Italienne, c'est en revanche une petite surprise pour le SUV français. La liste des voitures éligibles au bonus écologique est régulièrement actualisée. On le sait, les constructeurs font le maximum pour adapter les tarifs de leurs modèles afin de pouvoir en bénéficier, ce coup de pouce financier pesant lourd dans la balance pour prendre l'avantage sur les concurrents. Aujourd'hui, on apprend que 2 nouvelles voitures, récemment présentées, vont pouvoir bénéficier du bonus de 4.000 euros, voire 7.000 euros pour les ménages les moins aisés. Parmi ces 2 nouveautés, on trouve d'abord la Lancia Ypsilon. La petite citadine, cousine technique de la Peugeot 208, n'a pas encore dévoilé ses tarifs officiels pour la France. Cela dit, au vu des prix annoncés pour l'Italie, on peut s'attendre à la voir s'afficher aux alentours des 40.000 euros, bien en dessous du seuil de 47.000 euros fixé par l'État, au-delà duquel il n'est plus possible de prétendre au bonus écologique. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Lancia Ypsilon (2024) : très chic renaissance franco-italienne

Nissan Qashqai restylé : se moderniser pour mieux régner

17 avril 2024 à 13:00
Nissan vient d'offrir un restylage de mi-parcours à son SUV phare, le Qashqai. Un restylage profond, puisqu'en plus des traditionnelles mises à jour technologiques, le modèle revoit sa copie avec de nouvelles lignes et gagne au passage deux nouvelles finitions. La marque n'a pas encore communiqué les tarifs. Même s'il a cédé du terrain à certains concurrents ces dernières années, le Nissan Qashqai reste le tôlier sur le segment des SUV. C'est lui qui a initié cette déferlante de modèles hauts sur roues, qui a inspiré entre autres les Volkswagen Tiguan et Peugeot 3008. Ça tombe bien, c'est justement ces deux modèles qu'il a aujourd'hui en ligne de mire. Car l'objectif est simple : reconquérir son territoire et résister autant que possible à ses rivaux.  Pour ce faire, rien de tel qu'un bon restylage en profondeur. Visuellement déjà, le Qashqai fait quasiment peau neuve, avec des lignes largement revues. La face avant reçoit une nouvelle calandre, intégrant en partie les optiques. Le bouclier gagne également quelques éléments décoratifs qui reprennent la couleur de la carrosserie. Les évolutions sont plus discrètes à l'arrière, mais on peut tout de même citer des feux redessinés qui adoptent une nouvelle signature lumineuse. Le bouclier arrière a été légèrement remodelé et reçoit désormais des inserts noir brillant pour les finitions supérieures, que l'on retrouve également sur les bas de caisse.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Qu'est ce qui est jaune et qui attend ? Le Nissan Juke restylé !

Tesla Model Y : la nouvelle version Propulsion Grande Autonomie est moins chère que prévue !

17 avril 2024 à 11:00
La semaine dernière, nous évoquions une trouvaille intéressante sur les configurateurs en ligne de Tesla, chez nos voisins européens : le Model Y Propulsion Grande Autonomie. Eh bien il débarque officiellement en France ! Cerise sur le gâteau, il s'affiche moins cher que sur les autres marchés d'Europe, avec un tarif de base fixé à 46.990 euros chez nous. Son arrivée en France ne faisait presque plus aucun doute. Après avoir été déployée en Belgique, en Italie, en Espagne ou encore en Suisse, la version Propulsion Grande Autonomie du Tesla Model Y a finalement intégré le configurateur en ligne français de la marque.  Les spécifications de cette nouvelle déclinaison étaient déjà connues. Pour rappel, celle-ci offre une autonomie WLTP de 600 kilomètres, soit environ 160 de plus que la version Propulsion standard. C'est même une grosse soixantaine de kilomètres de plus que la version Grande Autonomie à transmission intégrale ! Côté performances, le Model Y Propulsion Grande Autonomie revendique un 0 à 100 km/h abattu en 5,9 secondes et une vitesse de pointe de 217 km/h.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : ESSAI – Tesla Model 3 (2024) : le diable est dans les détails
À partir d’avant-hierFlux principal

Ford Focus : la compacte à l’ancienne, à partir de 30.550 euros

16 avril 2024 à 19:00
Alors que la plupart des compactes du marché a récemment eu droit à un rafraîchissement, au cours de ces dernières années, la Ford Focus joue la carte de la sécurité en ne changeant presque rien. L'Américaine reste donc fidèle à ce qu'elle a toujours été, à savoir une compacte propre sur elle, avec une gamme de motorisations réduite. La bonne solution pour résister aux assauts des rivales plus modernes ? La Ford Focus est l'une des berlines compactes les plus anciennes sur le marché européen, à l'heure actuelle. On pourrait presque dire qu'elle fait partie des meubles ! La quatrième génération reste dans la parfaite continuité des précédentes, à deux ou trois détails près, notamment le retrait de la fameuse version RS tant adorée sur la mouture précédente. Mais cette fois, il n'est pas question de sportivité, mais bien du produit en lui-même, à savoir une compacte propre sur elle qui ne fait rien comme ses concurrentes. Visuellement, le dessin est plus simple, moins torturé qu'une Peugeot 308 (très jolie cependant), plus conventionnel. Elle intègre tout de même les gimmicks de la marque, comme la calandre inversée. La gamme s'articule autour de 4 niveaux de finition : Titanium X Business, ST-Line X, Active X et ST. La Focus se pare d'éléments plus sportifs sur certaines finitions, plus baroudeurs sur d'autres, tout en faisant évoluer sa dotation de série.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Ford Focus ST : une dernière édition avant de lui dire adieu

Prix des carburants : le litre se rapproche dangereusement du cap des 2 euros

16 avril 2024 à 17:00
Ça n'aura échappé à personne, les prix des carburants à la pompe sont repartis à la hausse ces dernières semaines. Une situation déjà vue, qui provoque malheureusement autant de lassitude que d'agacement auprès des automobilistes. Le dernier relevé publié par le ministère de la Transition Écologique révèle des tarifs qui s'approchent dangereusement des 2 euros du litre pour le sans-plomb 98. Des tarifs de carburants en hausse, une grogne qui commence à se faire entendre parmi les automobilistes… C'est malheureusement une routine à laquelle on s'est habitué depuis plusieurs années. Mais chaque hausse est suivie, quelque temps plus tard, par une baisse, quelquefois due à des aides gouvernementales. Cette fois, cependant, l'État n'a pas encore évoqué de coup de pouce, malgré des tarifs qui ne cessent de grimper depuis quelques semaines. En consultant le relevé hebdomadaire des prix des carburants, publié par le ministère de la Transition Écologique, on se rend bien compte que les tarifs à la pompe sont en hausse. Actuellement, le prix du litre de sans-plomb 95-E10 s'affiche en moyenne à 1,9004 euro, contre 1,7715 euro en janvier dernier, ce qui équivaut à une hausse de 12,9 centimes. De son côté, le sans-plomb 98 a augmenté de 11 centimes pour dépasser 1,97 euro du litre.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Sécurité routière : un mauvais mois de mars sur les routes de France

Audi Q2 : le petit SUV qui aurait bien besoin de se renouveler

16 avril 2024 à 14:00
Alors qu'Audi présentait son nouveau Q6 e-Tron, il y a quelques semaines, certains autres modèles commencent à s'essouffler. C'est notamment le cas du petit Q2, dont les ventes ne progressent plus depuis quelques mois et qui se retrouve complètement décroché par ses principaux concurrents. Il faut dire que l'Audi Q2 n'est plus tout jeune ! La marque ne lui a offert qu'un seul restylage minime depuis 2016, ce qui n'a pas suffi pour raviver la flamme. Depuis plusieurs mois, l'Audi Q2 se fait si discret sur le marché qu'on en oublierait presque qu'il est toujours présent au catalogue. Le petit SUV parvient difficilement à se hisser parmi les 100 modèles les plus vendus en France, derrière le Porsche Cayenne et même le Renault Trafic ! Le Q2 est pourtant relativement accessible, avec un tarif de base fixé à 33.300 euros. Mais alors, comment expliquer ces ventes si faiblardes ? Pas besoin de chercher bien loin, le Q2 paie en réalité son design daté. Le modèle avait été lancé en 2016 et, depuis cette année-là, Audi ne lui a offert qu'un restylage plus que léger. Pas de quoi le remettre au goût du jour donc, d'autant qu'il ne propose que des motorisations essence et Diesel, faisant l'impasse totale sur des versions électrifiées.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : ESSAI – Audi SQ8 restylé (2024) : le V8 joue du Black Metal

Maserati GranCabrio Folgore : le nouveau sèche-cheveux 100% électrique italien

16 avril 2024 à 11:00
Maserati vient de dévoiler une nouvelle version de sa GranCabrio, la Folgore. Celle-ci est 100% électrique et permet donc d'arpenter les routes de la côte Amalfitaine cheveux au vent, sans un bruit. Elle reprend sans surprise le design de la déclinaison équipée du V6, mais affiche une puissance de 761 chevaux, voire 830 chevaux avec le boost temporaire. Les prix n'ont pas encore été communiqués. Cela faisait plusieurs jours que Maserati annonçait l'arrivée d'un nouveau modèle électrique, sans préciser de quoi il était question. Les rumeurs allaient donc bon train, certains évoquant une possible MC20 Folgore. Hier, la marque au trident a mis fin au suspense et a dévoilé la GranCabrio Folgore, la version à piles du cabriolet déjà existant. On en a également appris davantage sur la supercar MC20, dont la déclinaison 100% électrique est prévue pour l'année prochaine. Sans surprise, la GranCabrio Folgore reprend les mêmes traits que son homologue thermique, équipée du V6 Nettuno. On a toujours affaire à une GT découvrable aux lignes élégantes, qui se différencie simplement par l'absence d'échappements et par des badges Folgore sur les ailes.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Maserati GranCabrio : enlever le toit pour plus de plaisir ?

Porsche Cayenne : toujours aussi vendu en France malgré ses prix prohibitifs !

16 avril 2024 à 09:00
Depuis le début de l'année, Porsche a vendu quasiment 1.500 exemplaires de son Cayenne en France. Le SUV allemand assume donc encore son statut de poule aux œufs d'or, puisqu'il se vend mieux que n'importe quel autre modèle de la marque. Un succès phénoménal, qui dure depuis des années alors même que le Cayenne s'affiche à plus de 95.000 euros aujourd'hui. Se pourrait-il que ce SUV premium ne connaisse pas la crise ? Ces derniers temps, les constructeurs généralistes se livrent une guerre des prix sans merci, afin de rester plus attractifs que leurs concurrents et ainsi grapiller de précieuses parts de marché. Une tendance initiée par Tesla, qui touche aujourd'hui de nombreuses marques, y compris françaises. C'est pour cette raison que l'on retrouve certains modèles proposés dans des fourchettes de prix très serrées, comme le Peugeot E-3008, le Tesla Model Y et le Volkswagen ID.4, tous affichés autour des 45.000 euros. Mais un modèle en particulier remet en question l'utilité de cette fameuse bataille acharnée. Il s'agit du Porsche Cayenne, un modèle que l'on n'aurait jamais cru voir apparaître parmi les 100 voitures les plus vendues dans l'Hexagone. Pourtant, il se classe actuellement à la 79ème position, devant le Volvo XC40, le Jeep Avenger, le BMW X3 ou encore la Peugeot 508, entre autres. Il se vend donc mieux que des modèles moins chers, dont certains ne s'affichent même pas au tiers de son prix ! En effet, le Porsche Cayenne est proposé à partir de 95.407 euros.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Porsche Macan Electric : sans options, ça donne quoi ?

Tour de magie : l’Alfa Romeo Milano s’appelle maintenant « Junior » !

15 avril 2024 à 19:00
Face aux polémiques dans lesquelles s'est empêtré le Milano, Alfa Romeo a décidé de renommer son petit SUV. Il faudra maintenant l'appeler junior, du moins jusqu'à ce que quelqu'un trouve quelque chose d'autre à redire sur cette appellation. Quoiqu'il en soit, on n'est pas sûr que ce changement d'identité soit bénéfique pour ce SUV, sur lequel la marque italienne plaçait de gros espoirs… C'est une situation pour le moins inhabituelle à laquelle était confrontée Alfa Romeo. À peine quelques jours après avoir présenté officiellement son nouveau modèle, le Milano (retenez bien ce nom), la marque s'est attiré les foudres de certains membres éminents du gouvernement italien. Mais pourquoi, au fait ? Eh bien tout simplement parce que ce petit SUV, estampillé du nom de l'une des villes les plus connues d'Italie, est produit à plus de 1.500 kilomètres, en Pologne. S'en est alors suivie une polémique, dont Alfa se serait bien passé. Un ministre a même évoqué l'illégalité de l'utilisation du nom Milano pour un modèle fabriqué en dehors de l'Italie. Carlos Tavares lui-même avait tenté d'apaiser cette situation de crise, en rappelant notamment que le modèle avait bel et bien été imaginé, conçu et dessiné à Milan. Ce qui n'a visiblement pas suffi pour convaincre, puisque le constructeur vient d'annoncer le changement de nom de son nouveau SUV.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Alfa Romeo Milano : véritable Alfa, ou énième clone made in Stellantis ?

Sécurité routière : un mauvais mois de mars sur les routes de France

15 avril 2024 à 17:00
L'Observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR) vient de publier son bilan pour le mois de mars. Si on pouvait globalement se féliciter de la diminution de la mortalité routière en 2023, les chiffres du mois de mars 2024 sont bien moins satisfaisants. Le mois dernier, on a recensé plus de 250 décès sur les routes de l'Hexagone, ainsi que plus de 1.100 blessés graves. Si 2023 était plutôt bonne dans l'ensemble, la mortalité routière toutefois repart à la hausse depuis début janvier. Sur le premier mois de l'année, on recensait 240 décès, soit 6% de plus qu'en janvier 2023. Même chose en février, avec une hausse de 3%, avec 224 décès. Cette tendance s'est poursuivie en mars, puisque l'on vient d'apprendre que 254 personnes tuées sur les routes, contre 194 en mars 2023. Une augmentation énorme de 31% donc, qui clôture un trimestre décidément très mauvais. Il faut remonter en 2019 pour trouver des chiffres semblables. En plus de ces décès, l'ONISR nous apprend que le nombre de blessés graves a également augmenté de 10% par rapport à mars 2023, pour un total de 1.164. Une hausse logique, puisque les accidents corporels ont eux aussi subi une hausse de 9%, soit 4.021 accidents en tout.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Sécurité routière : un bilan positif en 2023 avec une mortalité en baisse

BMW Série 2 Active Tourer : l’alternative oubliée des familles, pour moins de 40.000 euros

15 avril 2024 à 14:00
Les familles ont eu droit à pas mal de nouveautés depuis le début de l'année. Rien qu'en France, on peut citer le nouveau Renault Scénic E-Tech et le Peugeot 5008 de nouvelle génération. Ce segment se porte donc bien et permet toujours aux clients de choisir parmi plusieurs modèles selon leur budget. Mais loin du feu des projecteurs, une autre voiture spacieuse continue son petit bonhomme de chemin sans faire de vagues : le BMW Série 2 Active Tourer. Celui-ci s'affiche à partir de 39.360 euros et offre même le choix entre l'essence, le Diesel et l'hybride rechargeable ! Il faut reconnaître que depuis le début de l'année, tous les regards sont braqués vers le nouveau Renault Scénic E-Tech, que tout le monde considère comme la nouvelle référence sur le marché des véhicules familiaux. Depuis peu, il partage la vedette avec le nouveau Peugeot 5008, lui-aussi décliné en version 100% électrique. Un peu de chauvinisme ne fait jamais de mal, mais il faut parfois savoir élargir son champ de vision. Ça permet par exemple d'étudier le cas du BMW Série 2 Active Tourer, un modèle spacieux qui n'aime pas être sous le feu des projecteurs. Il est vrai que BMW n'a pas énormément communiqué sur la deuxième génération de sa Série 2 familiale. Alors que la première était déclinée en versions 5 et 7 places, celle-ci se contente d'une seule rangée de sièges à l'arrière. Mais, après tout, rares sont les modèles à proposer davantage actuellement, hormis quelques exceptions. Mais, à moins de 40.000 euros pour la version d'entrée de gamme, l'allemand a toutes les cartes en main pour titiller nos fameuses références françaises.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : ESSAI – BMW Série 2 Active Tourer, le monospace qui préférait le dynamisme au confort

Privée de bonus, la MG4 peut-elle encore inquiéter les modèles français ?

15 avril 2024 à 13:00
Alors que le barème du bonus écologique 2024 exclut d'office les modèles fabriqués en dehors de l'Europe, MG Motor continue d'afficher de bons niveaux de ventes sur le premier trimestre. Sans surprise, la MG4 reste le modèle le plus diffusé par la marque en France, même si l'on a constaté une baisse de régime. Les voitures françaises accessibles sont-elles définitivement hors de danger ? L'année dernière, la MG4 était la bête noire des constructeurs français. La compacte chinoise profitait d'un tarif déjà accessible, en plus du bonus écologique, qui lui permettait de venir marcher sur les plates-bandes de certains modèles du segment inférieur, notamment la Dacia Spring. Un sacré exploit pour une voiture plus spacieuse et mieux équipée ! Mais face à cette situation, le gouvernement a mis le holà en revoyant le barème d'attribution du bonus écologique, excluant les modèles produits hors Europe. Mais MG n'a pas dit son dernier mot. Faute de bonus écologique, la marque chinoise a rapidement trouvé une solution pour contourner le problème : offrir une remise équivalente à ses clients. Plus encore, MG a temporairement offert une réduction de 10.000 euros pour l'achat d'une MG4 ! Actuellement, cette remise n'est plus « que » de 5.000 euros, de quoi abaisser le tarif de la version d'entrée de gamme à 24.990 euros, soit environ 1.700 euros de plus qu'une Citroën ë-C3.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Nouvelle Dacia Spring : pourra-t-elle s'en sortir face à la Citroën ë-C3 ?

Dodge a vendu une Viper neuve au premier trimestre ! On aurait manqué quelque chose ?

15 avril 2024 à 11:00
Alors que le premier trimestre 2024 est déjà derrière nous, l'heure est venue pour les différents groupes et constructeurs de présenter leurs résultats pour les 3 premiers mois de l'année. Ceux de Stellantis n'ont pas manqué de nous interpeler, en particulier ceux de Dodge. La marque américaine a en effet vendu une Viper neuve ! Vendre un seul et unique exemplaire d'un modèle n'est guère reluisant, sauf lorsque celui-ci est censé ne plus être produit depuis 2017. La production de cet engin satanique aurait-elle été relancée ? La carrière de la Dodge Viper n'a pas été un long fleuve tranquille. Non pas que la voiture était mauvaise, loin de là même ! Mais il faut bien reconnaître que niveau praticité, on a vu mieux. La Viper était en effet assez difficile à utiliser au quotidien, du fait de sa consommation de carburant aberrante, mais aussi en partie parce que cet engin démoniaque n'avait de cesse de vouloir faire la peau à son conducteur. D'abord lancée en 1992, elle aura eu droit à 4 générations successives jusqu'en 2010. Cette année-là, Dodge décide de mettre fin au modèle, avant de finalement relancer la production en 2013 avec une cinquième et dernière génération, qui s'est éteinte en 2017. À l'heure actuelle, une sixième génération n'est pas au programme. Mais alors, comment expliquer que Dodge ait vendu un exemplaire neuf au premier trimestre 2024, 7 ans après le retrait du modèle du catalogue ?{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : VIDÉO - Cette Dodge Viper peut-elle concurrencer la Porsche 911 Dakar ?

Abarth Classiche 1300 OT : mi-Abarth, mi-Alfa Romeo, 100% Italienne !

15 avril 2024 à 09:00
Abarth vient de dévoiler un nouveau modèle, qui sera produit en série très limitée. Baptisée Classiche 1300 OT, cette voiture ne sera fabriquée qu'à 5 exemplaires pour célébrer les 75 ans du petit constructeur italien. Si, pour l'heure, la fiche technique est encore un peu floue, on sait déjà que le modèle sera basé sur l'Alfa Romeo 4C et, en termes de style, ça se voit ! La division Heritage de Stellantis prend tout le monde de court et lève le voile sur un modèle inattendu : l'Abarth Classiche 1300 OT. Ce petit coupé sportif renvoie directement à la Fiat-Abarth OT 1300 produite dans les années 60, mais permet surtout à Abarth de célébrer ses 75 ans ! Il se présente également comme une évolution de l'Abarth Classiche 1000 SP de 2021. Stellantis Heritage n'en est donc pas à son coup d'essai avec cette nouvelle série spéciale. Visuellement, cette Abarth Classiche 1300 OT n'est pas sans rappeler une certaine Alfa Romeo 4C. Une sacrée coïncidence, puisqu'elle reprend sa base technique. Un gage de qualité donc, quand on sait que la petite Alfa a été longtemps considérée comme l'une des références du segment des petits coupés légers et agiles. L'Abarth Classiche 1300 OT devrait donc bénéficier des gènes de la Turinoise.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Le meilleur restomod de Ferrari Testarossa est signé Officine Fioravanti !

Projet Rekall : quand Maserati voulait faire renaître la Shamal

14 avril 2024 à 15:00
Voilà un projet de restomod qui a été complètement oublié. En 2020, Maserati communique sur un éventuel retour de la Shamal, remise au goût du jour avec un design néo-rétro. La marque publie même des visuels et met donc l'eau à la bouche de tous ses fans. Puis, silence radio, plus aucune nouvelle. Aujourd'hui, on ne sait même pas où en est le projet… D'habitude, lorsqu'un constructeur planche sur une nouveauté, il n'y va pas par 4 chemins : il publie une petite image floue, ou un nom, quelques semaines avant de lever le voile définitivement sur le rendu. Mais en 2020, Maserati a fait les choses différemment. La marque italienne a publié sur ses réseaux des visuels en 3D d'une Shamal néo-rétro, à la sauce cyberpunk ou Retour Vers le Futur. Il n'en fallait pas moins pour attiser la curiosité des passionnés. Il faut dire que cet étrange véhicule avait de quoi séduire ! Un style très rectiligne, des phares rectangulaires particulièrement oldschool, de grandes jantes, des épaules bien marquées... À une époque où Maserati évoque l'arrêt de certains modèles et se lance les deux pieds en avant dans la mode du SUV, ce projet Rekall était une véritable bouffée d'oxygène.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : CONFIG – Flambez sur la Côte d'Azur avec cette Maserati GranCabrio Trofeo parfaitement configurée

CONFIG – Aller simple pour le Japon avec notre Mazda MX-5 !

13 avril 2024 à 18:00
La Mazda MX-5 est un véritable mythe de l'industrie automobile. Elle n'embarque ni V12, ni V10, mais elle compense avec une personnalité bien à elle et un tempérament joueur mondialement reconnu. On vient d'ailleurs d'en configurer un exemplaire, pour partir à l'attaque des petites routes sinueuses du mont Fuji ! Enfin, presque… Ah, la Mazda MX-5. La petite décapotable japonaise, l'icône de tout un pays ! Cette voiture sportive a su conquérir le cœur des passionnés au point de fédérer toute une communauté d'adeptes, au fil des 4 générations qu'elle a connu. Aujourd'hui, ne vous avisez jamais de dire du mal de la MX-5 en public, les puristes se cachent partout et ont l'ouïe fine. Mais comment leur en vouloir, après tout, tant cette petite voiture est attachante. À l'heure où tous les constructeurs font la course à celui qui fera rentrer le plus de chevaux sous le capot de sa sportive, Mazda campe sur ses positions et conserve un petit 4 cylindres en ligne 2.0 essence, développant 184 chevaux. Une fiche technique qui peut faire sourire, on vous l'accorde, jusqu'à ce que l'on découvre le poids total de la voiture : un tout petit peu plus de 1 tonne ! Le tout équipé d'une boîte de vitesses manuelle à 6 rapports, qui envoie la puissance aux seules roues arrière. La recette parfaite pour convertir un sourire moqueur en un sourire extatique, une fois au volant !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : La Mazda MX-5 fête cette année ses 35 ans !

BMW M8 E31 : le grand 8 qu’on aurait aimé essayer

13 avril 2024 à 12:00
À la fin des années 80, BMW présente le coupé Série 8. Cette voiture, qui coiffe alors la gamme de la marque, a même failli avoir droit à une version survitaminée, puisqu'une M8 avait été étudiée. Un concept avait été produit, malheureusement BMW n'a pas donné suite, faisant de la 850 CSi la version la plus puissante à laquelle la Série 8 a eu droit. L'actuelle Série 8 n'est pas la première de l'histoire de BMW, même si une grosse vingtaine d'années sépare cette génération de la première. En revanche, la M8 est bel et bien la première, puisque la première mouture devait se contenter d'une déclinaison 850 CSi. Cela dit, cette dernière n'avait pas à rougir de sa fiche technique, puisqu'elle embarquait un V12 de 380 chevaux, de quoi répondre dignement à une concurrence solide, composée notamment de la Mercedes SL600, également dotée d'un V12. Seulement, dans les années 90, la 850 CSi se retrouve légèrement en retrait par rapport à ses rivales, ce qui pousse BMW à envisager une version plus puissante. C'est ainsi que naît le projet M8, qui consiste tout simplement à rendre la Série 8 encore plus performante qu'elle ne l'est déjà. Le 12 cylindres en V garde sa place sous le capot, toujours sans turbo, et voit sa cylindrée passer à un peu plus de 6 litres. La puissance ? 640 chevaux, à en croire BMW, avec un couple de 650 Nm. Ah, et la boîte de vitesse manuelle était toujours de la partie !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : BMW 767 iL Goldfish : non, le V16 n'a pas été inventé par Bugatti !

Alfa Romeo Milano : déjà dans la tourmente !

12 avril 2024 à 17:00
Alors qu'il a été présenté mercredi, l'Alfa Romeo Milano est déjà au cœur de plusieurs polémiques. Une partie des passionnés de la marque se demandent, comme on pouvait s'y attendre, s'il s'agit bien d'un vrai Alfa, tandis que d'autres pointent du doigt son appellation, qui dénote avec son lieu de production, la Pologne. Une mauvaise pub dont le nouveau SUV se serait bien passé et qui pourrait avoir des répercussions sur le bon déroulé de son lancement sur le marché. C'est ce qu'on appelle un départ mouvementé ! L'excitation qui régnait le jour de la présentation est retombée et a depuis laissé place à quelques questions, mais surtout à des polémiques. Ce n'est pas idéal, mais Alfa Romeo va maintenant devoir calmer tout ce petit monde pour permettre à son nouveau Milano de prendre son envol. D'autant que le vol s'annonce long, depuis la Pologne… Un peu d'humour ne nuit pas, c'est en effet là-bas que sera produit le Milano.  Vous en conviendrez, c'est une polémique qui aurait pu être facilement évitée. Baptiser un modèle Milano, puis balancer la production à 1.500 kilomètres de Milan, dans un cadre à l'esprit un poil moins « Dolce Vita », on a déjà vu mieux en termes de marketing. Mais cette polémique ne s'arrête pas à quelques critiques de passionnés, puisque certains membres du gouvernement italien sont carrément montés au créneau. Un ministre a même soulevé la question de la légalité de l'appellation « Milano » compte-tenu de son lieu de production.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Alfa Romeo Milano : véritable Alfa, ou énième clone made in Stellantis ?
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