Une Toyota Supra Turbo a été délaissée par son propriétaire par manque de moyens pour l'entretenir. Celle-ci est restée 15 ans sans bouger, au fond d'un grand jardin. Elle a reçu une rénovation extérieure et intérieure complète grâce à une équipe de detailing professionnelle. Posséder une supercar est le rêve de beaucoup de passionnés à travers le globe. Mais quand les frais d'entretien deviennent beaucoup trop onéreux, cela devient vite un enfer pour le porte-monnaie. En ajoutant à cela l'arrivée d'un enfant dans la famille, et vous obtenez le cocktail parfait pour un changement radical de véhicule. C'est ce qui est arrivé au possesseur de cette Toyota Supra Turbo de 1995.  Lire aussi : Est-ce la Toyota Supra Mk4 la plus kilométrée au monde ?

EA Sports vient de dévoiler la bande-annonce officielle à l'occasion de l'arrivée de son dernier titre, F1 24. Sa sortie est prévue pour le 31 mai prochain sur toutes les consoles du marché et sur PC. Non content d'avoir récupéré la licence officielle du WRC, EA Sports poursuit son travail de sape, avec son dernier titre : F1 24. Alors qu'il est toujours développé par Codemasters, EA Sports édite désormais le jeu officiel de la discipline reine. La société américaine cherche à appliquer le même niveau de réalisme que sur le titre de rallye, à en croire le contenu du dernier trailer. Lire aussi : FORMULE 1 – SAISON 2024 : actualités, moments forts, résultats

On parle beaucoup de la remplaçante de la Lamborghini Aventador, la Revuelto. L'hypercar italienne, récemment passée à l'hybridation, revendique plus de 1.000 chevaux. Face à elle, la Ferrari SF90 se place comme une rivale parfaite, avec son V8 électrifié dépassant, lui aussi, les 1.000 chevaux. Mais que valent ces deux missiles face à la Porsche 918 Spyder, l'une des hypercars les plus connues des années 2010 ? C'est l'occasion de le découvrir, grâce à une dragrace organisée entre ces trois voitures d'exception. La Lamborghini Revuelto et la Ferrari SF90 sont deux des hypercars les plus récentes de la production automobile. Elles font également partie des plus performantes, grâce à leurs motorisations hybrides dernier cri. De son côté, la Lamborghini embarque un V12 6.5 atmosphérique, associé à une hybridation, pour une puissance cumulée de 1.015 chevaux et 1.062 Nm de couple. D'autre part, la Ferrari est équipée par un V8 4.0 biturbo de 1.000 chevaux, contre 800 Nm de couple. Un petit déficit de puissance pour la SF90 donc, mais ne vous fiez pas aux données techniques. Face à ces deux monstres diaboliques, l'équipe de la chaîne Youtube Carwow a décidé d'aligner une Porsche 918 Spyder. Une hypercar qui a appartenu à la fameuse Sainte-Trinité, au début des années 2010, mais qui n'est aujourd'hui plus de la toute première fraicheur. Surtout face à deux engins à la pointe de la technologie. Sous son capot se cache un V8 4.6 atmosphérique couplé à 2 moteurs électriques, produisant un total de 887 chevaux pour 1.280 Nm de couple. Finalement, l'ancêtre n'est pas tant à la traîne…{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Lamborghini Revuelto : un exemplaire unique créé pour le festival Arena !

Alors que la gamme du Cayenne est en plein renouvellement, Porsche vient de dévoiler la nouvelle version GTS de son SUV. Ce dernier profite de l'occasion pour gonfler sa puissance et emprunter quelques éléments techniques à son grand frère encore plus énervé, le Cayenne Turbo GT. Il est déjà disponible à la commande, aussi bien en coupé qu'en version standard, à partir de 141.400 euros. Gran Turismo Sport, voici ce que signifient les 3 lettres GTS chez Porsche. La promesse de sensations fortes sur la 911, un anachronisme sur un SUV de plus de 2 tonnes. Et pourtant, connaissant Porsche, il n'y a vraiment pas de quoi afficher un sourire moqueur ! Pour rappel, la marque allemande a tout de même accouché d'une version Turbo GT qui a battu le record du temps au tour sur le Nurburgring, rien que ça. Ça tombe bien, le Cayenne GTS a hérité de quelques éléments techniques de cette version survitaminée. Visuellement, le Cayenne GTS se démarque des autres versions grâce à son bouclier avant plus ajouré, à ses blocs optiques teintés ainsi qu'à ses inscriptions latérales. Porsche offre désormais la possibilité d'opter pour certains éléments de carrosserie finis en noir. L'ensemble repose sur des jantes RS Spyder grises de 21 pouces.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Porsche Cayenne : toujours aussi vendu en France malgré ses prix prohibitifs !

Porsche continue de renouveler la gamme de son SUV fétiche, le Cayenne. Aujourd'hui, une nouvelle version GTS arrive au catalogue, avec certains éléments repris de la très énervée variante Turbo GT ! GTS, un sigle que l'on adore voir apposé sur la carrosserie de la Porsche 911. Mais la sportive n'est pas le seul modèle de la gamme à avoir droit à une telle variante. Cette fois, c'est au tour du Cayenne de se sportifier, en affûtant son caractère et en empruntant certains éléments techniques à la version Turbo GT. Visuellement, pas de surprise, les lignes du Cayenne sont conservées. Cette déclinaison GTS se distingue par un bouclier avant plus ajouré, des étriers de freins rouges, des inscriptions sur les bas de caisse et à l'arrière ainsi que des phares et des feux teintés. L'habitacle fait la part belle à la sportivité, avec notamment un volant en microfibre et une sellerie spécifique.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Sous le capot, ce Cayenne GTS reprend le V8 4.0 biturbo, dont la puissance grimpe de 40 unités pour atteindre 500 chevaux, pour 660 Nm de couple. Le moteur est associé à une boîte Tiptronic S à 8 rapports, retravaillée pour être encore plus réactive. Dans la pratique, ce Porsche Cayenne GTS revendique un 0 à 100 km/h en 4,4 secondes ! Les carnets de commandes sont d'ores et déjà ouverts pour cette nouvelle version du Cayenne. Il faut compter 141.400 euros pour la version standard, contre 144.428 euros pour le coupé. Porsche annonce les premières livraisons durant l'été.

De plus en plus extrait dans le monde entier, le lithium est devenu l'élément indispensable à la fabrication de batteries pour véhicules électriques. La France aimerait elle aussi s'approprier ses propres ressources mais le chemin reste long avec, pour l'heure, un seul projet en Auvergne. La souveraineté en approvisionnement semble impossible à atteindre à l'avenir. Vous le savez, la voiture thermique est de moins en moins la bienvenue au profit de l'électrique qui prend de plus en plus de part dans le marché français, avec près d'un quart des ventes en mars 2024. Pour assurer la transition du parc roulant vers un avenir plus vert, ces véhicules sont équipés de batteries, la plupart contenant un élément incontournable : le lithium. 

Aston Martin vient de présenter son DBX707 restylé. Pour l'occasion, le SUV supersonique se met donc à la page, notamment en revoyant son habitacle en profondeur. La marque annonce également de nouvelles teintes pour la carrosserie et les jantes. Les prix sont encore inconnus à l'heure actuelle. Les premières livraisons doivent avoir lieu dans le courant du deuxième trimestre 2024. Aston Martin est actuellement en plein renouveau. Bien loin des Valhalla et Valkyrie, ce sont les Vantage et DB12 qui sont récemment arrivées au catalogue. La première pour un renouvellement, la seconde pour prendre la relève d'une DB11 vieillissante. Maintenant que ces deux modèles sont sur les rails, la marque s'attaque à un gros morceau : le DBX. Mais pas n'importe quelle version, puisque l'on parle ici du DBX707, le plus puissant donc. Vu de l'extérieur, il va falloir croire la marque anglaise sur parole tant les changements sont mineurs. On peut tout de même citer les nouvelles poignées de portes, désormais rétractables. Le nuancier s'enrichit de 5 nouvelles teintes de carrosserie, parmi lesquelles le Helios Yellow ou encore différents verts. De nouvelles possibilités de personnalisation des jantes s'ajoutent au catalogue d'options.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Aston Martin Vantage : un design époustouflant et un cœur de 665 chevaux !

À l'occasion de son restylage de mi-parcours, l'Aston Martin DBX707 s'offre une refonte profonde de son habitacle. Le super SUV se met donc à jour et fait tout pour qu'on le voit, avec une couleur orange pétante qui dénote avec le traditionnel vert anglais, plus raffiné. D'habitude, lorsqu'un constructeur procède au restylage d'un de ses modèles, il répartit les nouveautés et les évolutions un peu partout, entre l'extérieur et l'intérieur. Une fois n'est pas coutume, Aston Martin a décidé de concentrer tous les changements dans l'habitacle de son DBX707 restylé, à tel point que l'on pourrait presque parler de révolution. L'agencement de la planche de bord évolue et s'inspire désormais de ce que l'on peut trouver dans les nouvelles DB12 et Vantage, avec une console centrale très inclinée et un écran central plus grand, de 10,25 pouces. Le conducteur a également en face de lui une instrumentation numérique de 12,3 pouces.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Bien évidemment, le niveau de finition et de raffinement reste de haute volée, avec du cuir à profusion ainsi que des inserts en piano black et en fibre de carbone. Clou du spectacle, cette version du DBX se pare d'une sellerie orange, qui fait écho à la peinture de la carrosserie. Sous son capot, on retrouve toujours le V8 4.0 biturbo de 707 chevaux, qui le permet de pulvériser le 0 à 100 km/h en seulement 3,1 secondes. Les prix n'ont pas été communiqués par Aston Martin. Les premiers exemplaires doivent être livrés à leurs heureux propriétaires au cours du deuxième trimestre.

Au cours des années 2000, Skoda a travaillé sur la création d'un ludospace pour concurrencer les Renault Modus, Opel Meriva et autres Citroën C3 Picasso, le Roomster. Il adopte un style plus consensuel, tout en regorgeant de bonnes idées pour les petites familles. S'il fallait symboliser le coup de pied dans la fourmilière dans le secteur automobile, le duo Roomster/Yeti en serait une excellente illustration dans la gamme Skoda des années 2000. L'idée nait d'abord en 2002, avec le concept "Ahoj!". Le volume général a déjà été défini, il ne manquait plus qu'à lui donner un style mis à jour. En 2003, Skoda présente au salon de Francfort un véhicule à la silhouette compacte et au hayon vertical : le Roomster. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Sa face avant adopte de grandes optiques et une calandre plus grande et plus arrondie. Le travail des surfaces vitrées rend le Roomster dynamique, à l'image de la virgule qui sépare les portes avant et arrière, ou encore de la descente du toit. Le hayon et les feux verticaux la ferait presque passer pour une sorte de Renault Kangoo slave. Lire aussi : ESSAI – Skoda Kamiq restylé (2024) : toujours dans le coup, le champion tchèque ?

Il y a quelques jours, DS Automobiles annonçait le lancement de deux nouvelles finitions pour une partie de sa gamme. L'occasion de se repencher sur le cas de la DS3, disponible aussi bien en thermique qu'en version 100 % électrique. Cette dernière est logiquement la plus chère, mais on ne peut pas dire que les versions thermiques soient abordables pour autant, avec un ticket d'accès fixé à 30.700 euros ! Pour une citadine surélevée, ça commence à faire cher… On le sait, DS Automobiles affiche fièrement son statut de marque premium au sein du groupe Stellantis. Les tarifs sont logiquement supérieurs aux autres modèles équivalents, issus des catalogues de Peugeot ou Citroën. Un statut que semble parfaitement assumer le constructeur tricolore, peut-être même un peu trop au regard du prix affiché pour la petite DS3. Ce modèle, autrefois citadine 3 portes devenue crossover 5 portes, fait office de porte d'entrée dans l'univers DS. Une porte d'accès qui se mérite, puisqu'elle s'affiche à partir de 30.700 euros. Un design affirmé et original peut-il à lui seul justifier cette douloureuse ?{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Les DS 3 et DS 4 reçoivent une nouvelle motorisation hybride

Saleen se met à la page en dévoilant la dernière version de sa 302, basée sur la version restylée de la Ford Mustang.  Saleen et Ford, c'est une histoire d'amour qui dure depuis 1983. De toute évidence, la Ford Mustang est la base de travail préférée de la société californienne. Les plus fervents admirateurs de Saleen connaissent les noms de code « SR », « S281 » ou encore « S302 », toutes basées sur le coupé fastback de la marque à l'Ovale bleu. Ford ayant déjà dévoilé la nouvelle version de la Mustang quelques semaines auparavant, Saleen se met de suite à niveau et sort la dernière itération de la S302 « Black Label ». {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Nouvelle Saleen Mustang : toujours irrésistible, mais encore plus puissante

Le championnat de Formule 1 ne serait pas le même sans l'invention de la Safety car, qui a parfois sauvé des vies, et d'autres fois complètement renversé une course. Voici donc les Safety car les plus dingues à avoir roulé en Formule 1. Ils sont seulement 20 pilotes au monde, à participer au championnat du monde de Formule 1. A bord de leurs voitures, ils sont soumis à des forces exceptionnelles et à un niveau de danger extrême. Fort heureusement, les Safety car sont là pour interrompre ou ralentir les autres monoplaces en cas d'accident. La première intervention de Safety car a eu lieu en 1973, et elle est encore utilisée de nos jours.  Si c'est Mercedes qui fournira les Safety car de 1997 à 2022, Aston Martin reprendra en partie le flambeau par la suite, en partageant le calendrier avec la marque allemande. Mais quand il s'agit de donner le rythme à des véhicules au rapport poids/puissance de plus d'un cheval par kilo, il faut choisir la bonne voiture…{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Mansory est à la préparation automobile ce que Michelin est aux pneus. Ce préparateur est connu pour ses réinterprétations pimpantes de supercars en tous genres. Intéressons-nous dans cette sélection, à dix des transformations les plus dingues, badgées du M de Mansory. Contrairement à Brabus ou d'autres, Mansory ne se limite pas dans son choix de voitures à transformer. La plupart du temps, les véhicules concernés reçoivent une peinture extravagante, tandis que de nombreuses, très nombreuses parties de la carrosserie arborent de la fibre de carbone. Si certains modèles sont produits en petite série, il en existe qui sont faits sur mesure, à la demande du client. Dans tous les cas, l'objectif est rempli : donner plus de puissance et de caractère, à des voitures qui n'en ont pas forcément besoin... Si certaines sont étonnamment sobres, il faut bien reconnaître que la plupart des créations signées Mansory est tout de même très discutable !{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Les chiffres du 1er trimestre concernant le marché français des véhicules particuliers par type d'énergie, révèlent une nouvelle hiérarchie entre les différentes solutions proposées par les constructeurs. Si le mauvais élève, le Diesel plonge encore plus pour ne représenter que 7, 5 % des ventes, l'électrique lui poursuit sa croissance encore assez loin des motorisations essence et Hybride… mais voilà, le plus surprenant et c'est une première, l'hybride détrône l'historique moteur essence… Cette technologie avant-gardiste désormais mature est née en 1997, et c'est bien le  constructeur japonais Toyota qui en revendique la paternité avec l'iconique Prius… Mais devant une telle succès story, les autres constructeurs ne pouvaient plus laisser Toyota et Lexus seuls aux manettes de la technologie Hybride… {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Particuliers et entreprises prennent donc le train de l'hybridation.  et l'offre est complète puisque dans cette catégorie on y retrouve, le pionnier Full Hybride, l'hybride rechargeable et enfin le Mid Hybride, plus léger que l'on retrouve par exemple dans la petite citadine allemande, La Corsa.  On peut désormais affirmer que la bascule vers l'hybride est avérée puisque les chiffres de ventes sont catégoriques,  mais reste à savoir si cette solution se prolongera dans un avenir proche.   Les moteurs hybrides ont encore au moins dix belles années devant eux, le temps de démocratiser de manière sensible les technologies qui nous amèneront au Zero émission tant espéré. Mais ce qui est sur c'est que l'hybride incarne le meilleur des 2 mondes pour un usage polyvalent, le thermique et l'électrique.    {{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Vous le savez, la voiture thermique est de moins en moins la bienvenue au profit de l'électrique qui prend de plus en plus de part comme cette Opel Corsa électrique. Elle est équipée d'une batterie, fabriquée grâce à un matériau devenu incontournable : le lithium. Mais à quoi cela ressemble-t-il et pourquoi le lithium est-il devenu le nouvel or blanc de la transition du parc automobile français ? En route pour quelques explications. Le lithium est le métal le plus léger que l'on trouve sur Terre. Il a été découvert au début du XIXe siècle, et vous l'avez très certainement juste à côté de vous, dans la batterie de votre téléphone. En 2008, le Roadster de Tesla est le tout premier véhicule à être propulsé à l'énergie électrique par lithium. Pour bien comprendre son rôle, nous avons rendez-vous dans ce centre de recherche du Pas-de-Calais. Ici, on teste la sécurité des cellules qui contiennent ce lithium, comme ce pack batterie de Renault Mégane e-tech. Ce métal stratégique, recyclable, présente de bonnes performances en durée de vie et s'adapte à tous les modes de charge. Un engouement tel que sa cote a fortement grimpé sur le marché ces trois dernières années. Cependant, il ne se trouve pas partout dans le monde.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Et dénicher du lithium en Europe n'est pas un vaste rêve, puisque la France possède dans ses sous-sol des réserves très importantes. Juste ici, derrière moi, dans cette mine à ciel ouvert, situé en Auvergne à Échassières, on extrait depuis de nombreuses années du kaolin, utilisé dans la fabrication de la porcelaine de Limoges. Et bientôt on pourra y prélever du lithium, en masse Chaque année, 34 000 tonnes d'hydroxyde de lithium pourraient être extraites, soit une capacité de production d'environ 700 000 batteries. Ce gisement pourrait couvrir ainsi jusqu'à la moitié des besoins des gigafactories françaises. Le projet nécessite encore des études d'impact et des autorisations. Mais il devrait démarrer en 2028. Cette nouvelle exploitation minière portée par Imerys, leader mondial des spécialités minérales pour l'industrie, est chiffré à plus d'un milliard d'euros. En attendant que des partenaires s'associent au projet, des équipes s'affairent sur site et extrait ces carottes de sondage en profondeur.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Du jamais vu qui suscite des inquiétudes du côté des défenseurs de la forêt des Colettes. Cet espace de 2000 hectares, reconnu pour sa richesse en hêtres, situé juste à côté de la mine, est selon eux menacé. L'association compte 300 opposants. Ils pointent du doigt les éventuelles nuisances sismiques et environnementales engendrées par l'exploitation souterraine. Un débat public a été lancé depuis mars lors duquel chacun exprime ses interrogations. L'entreprise réfute en bloc et se défend derrière un cahier des charges complexe et éloigné des mines du XXe siècle. Les sous-sol français devraient être davantage exploités à l'avenir car la France souhaite faciliter l'instruction des permis de recherche. D'autres gisements ont déjà été repérées dans le Finistère ou dans les eaux géothermales du Massif Central et de l'Alsace. Mais depuis quelques mois, le lithium est en perte de vitesse, la demande est moindre en véhicules électriques et l'offre en matière première augmente rapidement. Au mieux, la France pourrait à terme assurer 2% de la production mondiale et devrait avoir bien du mal à se défaire de sa dépendance à l'international.  {{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Une Ford GT de 2022 a été vendue 1,1 million d'euros aux enchères sur la plateforme Bring a Trailer. Cette édition spéciale limitée à 27 exemplaires affiche moins de 200 kilomètres au compteur.  Avec une histoire riche en compétition automobile et seulement 197 kilomètres au compteur, cette Ford GT '64 Heritage Edition est une pièce de collection rare. Cette édition spéciale de la Ford GT de 2022, limitée à 27 exemplaires, célèbre les prototypes de course des années 1964 (Ford GT40) avec une finition en blanc Wimbledon, des accents en fibre de carbone et un puissant V6 EcoBoost biturbo de 3,5 litres.  Cette génération lancée en 2015 offre un design bien plus démonstratif que la précédente de 2005 et des fonctionnalités tirées de la compétition, telles qu'une suspension hydraulique réglable. À l'intérieur, des sièges Sparco recouverts d'Alcantara bleu Lightspeed et un volant multifonction laissent véritablement penser à une voiture de course. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Certains seront peut-être scandalisés par le prix d'achat de cette Ford GT spéciale, qui rappelons-le, s'est échangée contre la bagatelle de 1,1 million d'euros. Mais il y a fort à parier que sa cote continue de monter dans les années à venir...

Contre toute attente la deuxième voiture la plus vendue de l'histoire de Volkswagen c'est la Passat ! Avec 34 millions d'exemplaires écoulés sur 8 générations elle est derrière la Golf mais devant la Coccinelle, sans jamais avoir été sur les devants de la scène ! Sortie en 1973 sous forme d'un coupé relativement classique, puis en berline consensuelle à partir de 1980, son seul moment de gloire ? Janvier 2011, les téléspectateurs américains du SuperBowl sont attendrit par  un petit garçon déguisé en Dark Vador qui utilise la Force pour allumer la toute nouvelle Passat de son père… Avec un petit coup de pouce de ce dernier… Carton planétaire pour cette pub à l'image de la carrière de cette berline familliale discrète mais efficace. Mais 8 ans que l'actuelle n'avais pas été renouvelée, c'est chose faite : J'avoue je suis choqué, mais comment la marque Allemande à t'elle pu prendre une telle décision pour sa berline historique ? Pour le comprendre nous avons posé la question à l'une des personnes qui en connaisse le plus la raison : Dorothée Bonnassie, et pour cause Dorothée est la directrice de Volkswagen France !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Et si le break est aussi privilégié, c'est que les clients de la Passat sont un peu particuliers, ce n'est plus madame et monsieur tout-le-monde… Autre preuve que la Passat s'adresse désormais en majorité aux flottes d'entreprise, c'est le choix des motorisations : ainsi la nouvelle Passat est un des derniers modèles à conserver des moteurs diesels, dont raffolent les VRP et commerciaux itinérants, de 150 et 193 ch, et deux essences avec hybridation légère de 130 ch accompagné de notre version d'essai : le e-TSI de 150 ch… Mais sans maitrise la puissance n'est rien, alors elle vaut quoi sur la route cette 9eme génération ?Malheureusement elle n'échappe pas à l'inflation généralisée, et à près de 43 000 € en entrée de gamme elle n'est plus aussi accessible que par le passé, dommage car cela reste une très bonne routière et une alternative aux SUV pour les famille.

Rappelez-vous, c'était en 2004, Suzuki présentait sa Swift : une petite citadine au look branché, aux prestations routières très fun et au prix contenu. Trois générations et 9 millions d'exemplaires plus tard, on peut dire que la petite Japonaise s'est fait un nom et une réputation. Un peu comme la Fiat 500 et la Mini. A l'aube de la disparition progressive des petites citadines, une question se pose : la Suzuki Swift peut-elle toujours séduire autant les automobilistes ? Réponse entre le port de Saint Jean Cap Ferrat et l'arrière-pays cannois ! Depuis ses débuts, la Swift a toujours su cultiver sa différence. Notamment en matière de gabarit, à mi-chemin entre les toutes petites citadines du marché et les polyvalentes. Cette nouvelle version ne déroge pas à la règle, 3 mètres 87 de long, à peine plus qu'auparavant. Et comme avant, le choix a été fait de privilégier l'habitabilité et les places avant au détriment du volume de coffre. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Autre satisfaction pour les amateurs de simplicité automobile, les moteurs. Et pour cause, la Swift n'est équipée que d'un seul et unique bloc. Un trois cylindres 1 litre 2 atmosphérique, tout nouveau, dotée d'une micro-hybridation 12 Volts et développant 82 chevaux pour 112 Nm de couple.  Pas de quoi arracher le bitume c'est sûr, mais avec moins d'une tonne sur la balance, la Swift fait le job ! Il faut dire que par rapport à la précédente génération, la plateforme est la même ! Seule la suspension a été complètement revue. Tout comme l'offre d'aides à la conduite, nettement plus riche qu'auparavant.  Autre bonne nouvelle pour le portefeuille, son tarif. Entre 18 900 et 22 000 € suivant les versions. Un rapport prix-équipements imbattable à moins de s'appeler Dacia Sandero, sachant que la petite japonaise possède un dernier atout unique sur le marché, une transmission intégrale. Autant d'arguments qui devraient permettre à la Suzuki Swift de continuer à se vendre aussi bien !{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Dans le monde des circuits automobiles, le Nürburgring est considéré comme l'un des plus mythiques et l'un des plus exigeants au monde. Qu'il s'agisse de ses nombreux virages, de son dénivelé spectaculaire ou son passé chargé en compétition, il fait rêver les passionnés depuis plusieurs décennies.  Avant de commencer, il est important de reprendre depuis le début. Tout commence dans les années 20, l'Europe est alors bien garnie en circuits tels que SPA Francorchamps en Belgique ou Le Mans en France, pour citer les plus connus. Mais un pays reste derrière les autres, il s'agit de l'Allemagne. La décision est donc prise de construire un circuit permanent à proximité de la ville de Nürburg, d'où son nom « l'anneau de Nürburg ». Pour faire simple, le circuit va être divisé en deux parties : la Nordschleife, d'une longueur de 21 kilomètres, appelée « L'enfer Vert » par ceux qui l'ont empruntée ; et la Südschleife, moins connue, aux alentours des 8 km. Les deux parties pouvant être reliées afin de faire un tracé encore plus long. Il est inauguré en 1927 et très vite, de nombreuses compétitions vont y prendre place, comme le championnat du monde de Formule 1 ou d'endurance. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Mercedes E60 AMG : L'Allemand sait jouer au Lièvre Quand des Formule 1 courraient sur la Nordschleife