Pour fêter le 70ème anniversaire de la Giulietta, son modèle phare, Alfa Romeo prépare un évènement sur mesure. Le constructeur prévoit une exposition dédiée et un défilé de 70 voitures à Arese. L'occasion de faire un retour sur les différentes versions de la Giulietta à avoir vu le jour. Depuis sa présentation en 1954 au Salon de l'Automobile de Turin, l'Alfa Romeo Giulietta a connu un tel succès qu'elle restera longtemps la vitrine du constructeur milanais. Mais une récente baisse des ventes a eu raison de cette compacte de luxe, entraînant l'arrêt de sa production en 2022. Diverses versions ont vu le jour durant sa longue carrière, certaines plus sportives que d'autres, faisant de la Giulietta le premier modèle du constructeur à avoir dépassé le million de voitures produites.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Évènement adoré de tous les passionnés de voitures à travers la France, le Tour Auto 2024 a été officiellement lancé ce matin, alors que le départ était donné depuis la capitale. Au préalable, les visiteurs pouvaient déambuler entre les voitures engagées pendant une soirée spéciale, organisée le 22 avril. Les pilotes ont maintenant plus de 2.000 kilomètres et 5 jours pour se départager au volant de leurs bolides d'exception. L'arrivée est prévue à Biarritz le 27 avril. À l'instar de tous les événements mettant à l'honneur les voitures anciennes, le Tour Auto prend de plus en plus d'ampleur au fil des éditions. Si à l'origine il était considéré comme une course élitiste réservée aux gentlemen drivers aisés, les mœurs ont évolué et on voit maintenant de plus en plus de monde au bord de la route pour assister aux spéciales, tandis que les pilotes se bousculent au portillon pour être certain d'avoir une place sur la grille de départ. Hier soir, la grande soirée traditionnelle qui précède le départ avait lieu, l'occasion pour les passionnés d'approcher les voitures engagées sur l'épreuve. Des bolides que l'on ne voit, pour certains, qu'une ou deux fois dans une vie, à l'image d'une sublime Ferrari 250 GTO bleue, dans son état d'origine !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Le meilleur restomod de Ferrari Testarossa est signé Officine Fioravanti !

Alors que Dacia vient d'introduire la troisième génération au catalogue, le Duster est toujours autant apprécié auprès des consommateurs qui veulent une voiture pratique et accessible. Mais malgré ce succès, qui dure depuis plus de 10 ans, de nombreuses personnes connaissent assez mal ce modèle, qui possède pourtant quelques particularités intéressantes. En 2010, Dacia révolutionne le marché des SUV en présentant le Duster de première génération. Ce nouveau venu s'affiche à un tarif ultra agressif, pour ne pas dire imbattable. Certes, la dotation en équipements n'est pas à la hauteur d'un Volkswagen Tiguan ou un Peugeot 3008, mais le Duster embarque quand même le nécessaire, parfois en option, sans se préoccuper du superflu, tout en offrant de réelles capacités en tout-terrain. Entendons-nous, on ne parle pas ici de partir à l'assaut du Sahara, mais le Duster pouvait sortir des sentiers battus sans aucune arrière-pensée, tout en s'en sortant aussi bien que d'autres modèles facturés plus cher. Mais êtes-vous incollable à son sujet ? Vérifions ça. Lire aussi : Nouveau Dacia Duster : minimum syndical pour la finition d'entrée de gamme Le Duster était et est toujours le moins cher des SUV

MG Motor a laissé ses designers s'amuser sur un projet futuriste : l'EXE181. Inspiré d'un ancien prototype de course des années 60, l'EXE181 sera exposé au prochain salon automobile de Pékin. Le MG EXE181 cache un hommage à son passé. En 1959, l'EX181 réussissait l'exploit d'atteindre les 400 km/h grâce à un fuselage monocoque ultra-profilé.  L'EXE181 ajoute une lettre et une foule de technologies embarquées pour reproduire cet exploit, sous les traits d'un prototype aux lignes futuristes. L'engin s'approche d'un Cx de 0,181, ce qui en ferait l'automobile la plus profilée au monde. L'aileron arrière est fonctionnel et sert d'aérofrein. Les deux parachutes se déploient automatiquement sur les phases de décélération.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : MG EXE181 : Hommage futuriste à ses records de vitesse Le cockpit ne présente qu'une seule place pour son pilote, mise en évidence sous une bulle en forme de goutte d'eau. Les informations principales sont livrées par l'écran central, disposé sur le moyeu central du volant. 

MG Motor a révélé les images d'un showcar au design futuriste, l'EXE181. Celui-ci rend hommage à l'EX181 de 1959, chassant les records de vitesse sur le lac salé de Bonneville. Avant de passer sous pavillon chinois, MG était réputé pour être une marque performante et désirable, tout en étant typiquement baroque au possible. Les MG A et MG B ont d'ailleurs toujours la côte auprès des collectionneurs.  Aujourd'hui, la donne a changé. MG Motor se spécialise désormais sur la production de modèles 100 % électriques produits en Chine. La marque sino-britannique n'oublie pas pour autant ses racines outre-Manche. Son bureau de style « SAIC Advanced Designed », basé à Londres, est là pour le rappeler. Illustration, avec leur dernier projet : l'EXE181.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : CONCEPT-CAR - MG EX4 : La descendante zéro émission de la Metro 6R4

Plusieurs constructeurs ont fait un pas en avant ces derniers jours, avec pour objectif l'élargissement de leurs gammes respectives. D'un côté, Lamborghini s'apprête à présenter la version hybride rechargeable de son Urus, tandis que Land Rover est actuellement en train de tester son Range Rover 100 % électrique. Dans un registre plus sympathique, Alpine est encore en train de plancher sur une version encore plus puissante de son A110. Même si on savait que ça finirait par arriver, on ne peut s'empêcher d'avoir un pincement au cœur en apprenant que l'électricité s'invite sous le capot du futur Lamborghini Urus. Le SUV de Sant'Agata va donc recevoir une motorisation hybride rechargeable pour sa deuxième génération, le prix à payer pour pouvoir le faire perdurer. Plus au nord, en Angleterre, C'est Land Rover qui électrifie complètement son modèle phare, le Range Rover, dont la version 100 % électrique est actuellement en phase de tests dans le cercle polaire arctique. Enfin, Alpine est actuellement en train de finaliser le développement d'une mystérieuse nouvelle version de son A110, plus puissante, que certains appellent déjà A110 RS. Lire aussi : EN BREF - Un SUV 7 places chez Porsche, une Toyota Supra plus puissante, la Lamborghini Temerario pour remplacer la Huracan {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lamborghini Urus : le taureau prend un coup de jus

Le préparateur allemand JE Design, spécialiste des modifications de modèles issus du groupe Volkswagen, vient de récidiver. Cette fois, c'est le Cupra Formentor qui vient de ressortir de ses ateliers. Une fois n'est pas coutume, cette préparation ne sert pas la performance pure, mais les capacités de franchissement grâce à une suspension relevée, des voies élargies et un kit carrosserie digne des meilleurs baroudeurs du marché ! Personne n'aurait pu penser à transformer le sportif Cupra Formentor en un engin de franchissement paré pour la survie en milieu hostile. Il faut dire que ce SUV est bien plus à l'aise sur l'asphalte que dans 20 centimètres de boue. Enfin, on le pense en tout cas, puisque personne n'a jamais été s'essayer au off-road à son volant. Presque personne, à vrai dire. En effet, le préparateur allemand JE Design vient de présenter sa propre vision du Cupra Formentor, qui semble sortir tout droit d'un stage de survivaliste. Comme toute bonne transformation, le programme inclut un kit carrosserie spécifique comprenant des extensions d'ailes, des boucliers redessinés, un aileron arrière légèrement plus grand et des bas de caisse. L'ensemble repose sur des jantes de 18 pouces chaussées de pneus tout-terrain. Une galerie de toit avec sa barre de LED complète le tout et renforce l'aspect baroudeur de ce Formentor 2.0. Aucune information n'a été donnée concernant l'habitacle.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Ford Mustang STL-1 : plus Américain, tu meurs !

Fiche Technique - Toutes les informations, caractéristiques techniques, finitions, motorisations et prix de la Renault Clio dCi, (Diesel, 100 chevaux, à partir de 22.300 euros).   Renault Clio : sur le même thème ESSAI - Renault Clio dCi : l'unique citadine Diesel du marché ! PHOTOS - Notre essai de la Renault Clio 1.5 Blue dCi 100 ch (2024) en images Pour aller plus loin : Peugeot 208, Renault Clio : quelle alternative choisir à ces citadines stars ? Renault Clio : et si vous optiez pour la finition Esprit Alpine ?

Evasive Motorsport, un garage américain, a révélé un projet d'excellente qualité, basé sur la Honda S2000 : une interprétation de la Honda S2000 Type R, remise au goût du jour. Au programme : une apparence parfaitement conforme à une Type R sortie d'usine et un nouveau moteur plus moderne, emprunté à la Civic Type R FK8.   La Honda S2000R se fait déjà remarquer par sa teinte blanche Championship White, chère à la gamme Type R de Honda. Son bouclier avant emprunte celui de la version « Honda 20th Anniversary ». Celui-ci est souligné d'une lame en fibre de carbone. De profil, il est impossible de rater les jantes EVS Tuning de 18 pouces, les doubles bossages en fibre de carbone, ou encore l'imposant aileron arrière. A bord, la moquette rouge fait son apparition, comme pour toute Honda Type R qui se respecte. L'Alcantara recouvre le tableau de bord et les panneaux de portes. Les sièges d'origine ont été remplacés par des sièges baquets Recaro Podium en fibre de carbone et recouverts d'Alcantara rouge. Un volant Momo plus sportif remplace le volant d'origine. L'instrumentation d'origine a été remplacée par un écran reprenant l'affichage de la Honda Civic Type R FK8.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : A quoi ressemblerait la Honda S2000 Type R, si Honda l'avait produite ? Sous le capot, le bloc F20C d'origine a été remplacé par le moteur K20C1 de la Honda Civic Type R FK8. Dans ses spécifications américaines, le 4 cylindres 2.0 turbo développe 306 ch et est associé à une boîte manuelle à 6 rapports. Côté trains roulants, la S2000R reçoit des combinés filetés KW Clubsport, une barre stabilisatrice Eibach, et des disques de freins Brembo pincés par des étriers à 6 pistons à l'avant, et 4 pistons à l'arrière.

Evasive Motorsport, un préparateur américain, a réalisé un superbe projet mettant en avant une hypothétique version Type R de la S2000. Nommé sobrement « S2000R », ce projet prend son inspiration dans l'histoire du célèbre label au R rouge de Honda pour donner un résultat de très haute qualité. Pendant des années au sein de la communauté Honda, la S2000, motorisée par le célèbre K20 et son régime moteur fixé autour des 9.000 trs/min, a traîné avec elle le fantasme d'une hypothétique version Type R. Tout était réuni : un excellent châssis, une mécanique VTEC atmosphérique hurlante au possible, une commande boîte parfaite, de bons trains roulants et une banque de pièces illimitée grâce à ses préparateurs locaux. Malheureusement, Honda n'a jamais sauté le pas, malgré une carrière riche de 10 ans sur le marché, entre 1999 et 2009.  Evasive Motorsport a choisi de laver cet affront. Les mécaniciens de la société américaine ont pris le parti de proposer leur propre déclinaison Type R de la S2000 : voici la Honda S2000R. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Honda Civic Type R S : moins de kilos, plus d'euros !

Opel vient de dévoiler les premières images de la toute nouvelle génération de son Grandland. Le grand SUV se modernise, notamment en reprenant les derniers codes stylistiques de la marque, mais aussi en enrichissant sa gamme avec une inédite version 100 % électrique, qui revendique tout de même jusqu'à 700 kilomètres d'autonomie. Les tarifs n'ont pas encore été détaillés. On savait que ce n'était plus qu'une question de semaines pour qu'Opel ne donne une descendance à son Grandland. C'est désormais chose faite, puisque quelques jours après avoir présenté son tout nouveau Frontera, la marque allemande dévoile maintenant les premières images de son Grandland de deuxième génération. Encore une fois, on reste en terrain connu. Le style reprend celui des dernières productions du Blitz, tandis que les motorisations sont reprises au cousin Peugeot 3008. Visuellement, le Grandland gagne en prestance, en partie grâce à sa nouvelle calandre Vizor, un élément de design commun à tous les nouveaux modèles d'Opel. La face avant se compose donc d'un large bandeau noir qui intègre les phares à LED ainsi que le logo illuminé. Les parties basses de la carrosserie ainsi que le toit sont finis en noir et contrastent avec le reste de la voiture. La face arrière affiche un bandeau de LED qui court sur toute la largeur du hayon, avec en son centre le monogramme Opel lumineux.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Opel Frontera : le SUV est de retour 20 ans après sa disparition !

Vector a lancé la M12 en 1995, une supercar américaine motorisée par un V12 d'origine Lamborghini. L'un des 14 exemplaires fabriqués entre 1995 et 1999 a été acheté par son nouveau propriétaire contre un chèque de plus de 240.000 dollars. Le volume général est difforme à cause de son moteur, plus grand que prévu. Le profil est marqué par des porte-à-faux excessivement longs et des prises d'air latérales au dessin discutable. La poupe verticale tranche largement avec le reste du véhicule. Les optiques arrière et les sorties d'échappement trahissent cette hésitation à passer des années 80 aux années 90.  A bord, le cockpit utilise de nombreuses pièces communes à la Lamborghini Diablo : volant, commandes de chauffage/clim, levier de vitesses, aérateurs, etc. Le niveau de finition est beaucoup élevé que sur la supercar italienne. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Vector M12 : La Lamborghini Diablo de l'Oncle Sam Sous le capot, le V8 suralimenté de la W8 Twin Turbo laisse sa place au V12 5.7 de la Lamborghini Diablo. Celui-ci développe 499 ch et est associé à une boite manuelle à cinq rapports. Le 0 à 100 km/h est expédié en 4,8 s et la vitesse maximale est de 304 km/h.  Cet exemplaire a été mis en vente sur un site de vente aux enchères américain (Bring a Trailer). Son heureux propriétaire a dû se soulager de la somme de 295.000 dollars, soit environ 277.000 euros. 

Durant les années 80-90, un constructeur américain s'est fait remarquer par l'excentricité de ses supercars : Vector. Non content d'avoir proposé la W8 Twin Turbo et son physique de vaisseau spatial, Vector remet le couvert en 1996 avec la M12, une version réactualisée et encore plus puissante. Le spectre de l'automobile est extrêmement large. Les plus gros constructeurs sont les plus connus du public, les préparateurs se font une place grâce à leur science mécanique, et les artisans cherchent à tout prix à exister grâce à leurs simples deux mains et leurs outils. Vector fait partie de la dernière catégorie.  Né en 1971 de l'imaginaire de Gerald Wiegert, Vector est un petit constructeur américain qui rêve de se confronter à Lamborghini et Ferrari. Ses véhicules se devaient d'être « inspirés de l'aviation de chasse ». Son premier modèle sort en 1989, avec la W8 Twin Turbo, une surpuissante supercar inspirée de la Lamborghini Countach. Mais Vector va encore plus loin en 1995, avec la M12, plus aboutie et tout droit sortie d'un sitcom américain à Miami Beach.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Lamborghini Diablo SV Roadster : l'une des deux licornes est à vendre

Peut-on faire plus Américain qu'une Ford Mustang de 1964 ? À priori, non. Enfin, sauf si on trouvait le moyen de la transformer en 4x4, auquel cas... Eh bien, c'est exactement ce que le préparateur italien Borromeodesilva a récemment eu l'idée de faire. Le résultat est pour le moins déroutant. Ce restomod de Ford Mustang adopte une livrée bicolore orange et noire. À l'avant, on retrouve le logo incrusté dans la calandre, tandis que le bouclier gagne deux nouveaux phares, installés plus bas. Toute la partie haute de l'habitacle est complètement dépouillée, l'armature est mise à nu de sorte que l'extérieur et l'intérieur ne soient plus séparés que par des tiges métalliques. Une capote en tissu peut être rabattue au besoin.  La principale nouveauté sur cette Mustang, c'est sa garde au sol rehaussée et son jeu de pneumatiques tout-terrain impressionnants. L'habitacle joue la carte du néo-rétro, avec une planche de bord dépouillée arborant quelques boutons poussoirs. On retrouve également un volant en Alcantara, ainsi que des inscriptions du nom de cette réalisation : STL-1.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Borromeodesilva a repris un V8 5.0 Road Runner, délivrant une puissance de 335 chevaux et 515 Nm de couple. Le tout est couplé à un échappement spécifique, de quoi chanter haut et fort avec une zone rouge fixée à 7.400 tours/min ! Le préparateur a d'ores et déjà prévenu qu'il n'y aura qu'une petite quantité d'exemplaires produits, sans pour autant évoquer de tarifs.

Borromeodesilva vient de dévoiler sa nouvelle création, basée sur une Ford Mustang des années 60. Ce restomod, baptisé STL-1, reprend les lignes de la plus célèbre des muscle-cars américaines, tout en affichant une garde au sol à faire pâlir d'envie n'importe quel SUV actuel. Le prix n'a pas été révélé, mais on sait que la production sera ultra limitée. Comment rendre la Ford Mustang originelle encore plus Américaine ? Ranger un .44 Magnum dans la boîte à gants ? Peindre une bannière étoilée sur le capot ? Tout ça a déjà dû être fait, il faut plus d'imagination… Un préparateur italien a trouvé l'idée parfaite : faire fusionner une Mustang et un 4x4 taillé pour le off-road. Le résultat s'appelle STL-1, et il est signé Borromeodesilva, un préparateur italien. Vous en conviendrez, la Mustang n'est pas la première voiture à laquelle on pense lorsque l'on souhaite créer de toutes pièces un engin tout-terrain. Visiblement, ça n'a pas freiné les ardeurs de la petite officine italienne, qui a même plutôt bien réussi son coup ! La STL-1 vient d'être dévoilée, mais il y a fort à parier qu'elle fasse beaucoup parler d'elle, avec son style de voiture de rallye rétro-futuriste, parée à affronter l'apocalypse. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Maggiore GranturismO : le restomod qui redonne ses lettres de noblesse à la Ferrari 288 GTO

Il y a quelques jours, une BMW M3 E30 s'est échangée aux enchères contre la bagatelle de 200.000 dollars, soit plus de 180.000 euros ! Une somme bien rondelette, qui n'a pas été dépensée pour s'offrir une M3 classique. L'exemplaire dont il est question ici est en réalité une version spéciale de la berline allemande, baptisée Sport Evolution. 188.000 euros, voici précisément la somme que l'heureux nouveau propriétaire de cette BMW M3 E30 a dû dépenser pour se l'offrir. Une coquette somme, qui s'explique plus facilement une fois que l'on sait de quelle version de la M3 il s'agit : une M3 Sport Evolution de 1990.  Cette déclinaison de la M3 n'a été produite qu'à 600 exemplaires et bénéficiait d'un traitement spécifique, avec notamment un aileron arrière, des garde-boue plus larges ainsi qu'un moteur légèrement plus puissant. Sous le capot, on retrouve le 4 cylindres en ligne 2.5 de 240 chevaux, associé à une boîte de vitesses manuelle. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} La voiture n'affiche que 144.000 kilomètres au compteur, tandis que son historique d'entretien est entièrement connu. L'occasion de voir que cette M3 E30 est passée entre les mains de l'un des journalistes automobiles les plus célèbres, un certain Chris Harris...

Certaines voitures de collection voient leur cote stagner, tandis que d'autres explosent et atteignent des sommets. La BMW M3 E30 appartient un peu aux deux catégories. Les exemplaires classiques sont plutôt épargnés par la spéculation, mais certains modèles à l'histoire particulière, ou appartenant à une série spéciale, peuvent s'échanger à des prix indécents. C'est notamment le cas de cette BMW M3 E30 qui, en plus d'être une M3 Sport Evolution, a appartenu à Chris Harris. La BMW M3 est la berline sportive la plus célèbre de l'histoire automobile, le modèle allemand iconique par excellence. Chacune des générations voit donc forcément sa cote monter, plus ou moins rapidement. Mais certains exemplaires en particulier battent des records, grâce à leur historique, mais aussi grâce à leur état de conservation et leur kilométrage. Alors, quand une BMW M3 cumule tous ces critères et a en plus appartenu à une personne célèbre, tout est réuni pour que le prix explose. C'est justement le cas de cette M3 E30 Sport Evolution de 1990. Si la voiture peut sembler classique pour les yeux non-avertis, sachez qu'il s'agit en réalité d'une série spéciale de la M3, équipée d'un aileron arrière, d'une calandre spécifique ainsi que d'une puissance revue à la hausse, atteignant 240 chevaux. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : A quoi ressemblerait la BMW M3 E30 Touring, si BMW l'avait vraiment produite ?

Une Toyota Supra Turbo a été délaissée par son propriétaire par manque de moyens pour l'entretenir. Celle-ci est restée 15 ans sans bouger, au fond d'un grand jardin. Elle a reçu une rénovation extérieure et intérieure complète grâce à une équipe de detailing professionnelle. Posséder une supercar est le rêve de beaucoup de passionnés à travers le globe. Mais quand les frais d'entretien deviennent beaucoup trop onéreux, cela devient vite un enfer pour le porte-monnaie. En ajoutant à cela l'arrivée d'un enfant dans la famille, et vous obtenez le cocktail parfait pour un changement radical de véhicule. C'est ce qui est arrivé au possesseur de cette Toyota Supra Turbo de 1995.  Lire aussi : Est-ce la Toyota Supra Mk4 la plus kilométrée au monde ?

EA Sports vient de dévoiler la bande-annonce officielle à l'occasion de l'arrivée de son dernier titre, F1 24. Sa sortie est prévue pour le 31 mai prochain sur toutes les consoles du marché et sur PC. Non content d'avoir récupéré la licence officielle du WRC, EA Sports poursuit son travail de sape, avec son dernier titre : F1 24. Alors qu'il est toujours développé par Codemasters, EA Sports édite désormais le jeu officiel de la discipline reine. La société américaine cherche à appliquer le même niveau de réalisme que sur le titre de rallye, à en croire le contenu du dernier trailer. Lire aussi : FORMULE 1 – SAISON 2024 : actualités, moments forts, résultats