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Stellantis s’embourbe avec ses problèmes d’airbags Takata

Il y a quelques semaines, Stellantis annonçait un défaut de fabrication d'airbags impliquant une vaste campagne de rappel. Celle-ci concernait initialement les Citroën C3 et DS3 produites entre 2009 et 2019, soit environ 530.000 voitures rien qu'en Europe. La situation, déjà critique pour le groupe, pourrait en réalité être bien pire puisque 8 millions de voitures seraient en réalités concernées par ses problèmes d'airbags fournis par Takata. C'est un véritable coup de massue qui vient de s'abattre sur le géant Stellantis. Début mai, le groupe lançait une grande campagne de rappel, demandant aux propriétaires de Citroën C3 et DS3 produites entre 2009 et 2019 d'arrêter de conduire. La raison : les airbags qui équipaient ces voitures étaient défectueux. Ils provenaient de l'équipementier japonais Takata, qui a depuis fait faillite. Environ 530.000 voitures (pour l'Europe) étaient concernées par ce souci et sont actuellement en train d'être remises en conformité. Cependant, le problème semble toucher bien plus de voitures… En effet, en plus des Citroën C3 et DS3, ce défaut de fabrication des airbags toucherait de nombreux autres modèles de l'ancien groupe PSA (Peugeot, Citroën, DS et Opel). Ainsi, les Citroën C4, DS4 et DS5, ainsi que certaines voitures provenant de chez Opel, seraient impactées par ce problème. Au total, ce sont donc pas moins de 8 millions de véhicules qui pourraient être rappelés en Europe dans les mois qui viennent !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Ventes de voitures neuves : coup de frein sur le marché de l'automobile en mai

Gemballa MIG : la Ferrari Enzo la plus démoniaque jamais produite !

Gemballa est à l'origine de certaines des préparations les plus spectaculaires basées sur des Porsche. Mais le préparateur n'est pas fermé d'esprit et a déjà planché sur d'autres modèles en provenance d'autres constructeurs. Et notamment une Ferrari Enzo, largement modifiée, aussi bien esthétiquement que techniquement. Gemballa est à part, dans la galaxie des préparateurs automobiles. Comme certains autres grands noms du milieu, cette officine ne se concentre pas sur une seule et unique marque. Ses préparations sont majoritairement basées sur des Porsche, mais le préparateur s'autorise tout de même quelques écarts, sur des McLaren par exemple. Mais l'une de ses réalisations les plus extravagantes n'est basée ni sur une voiture de la marque de Stuttgart, ni sur une supercar Woking. La Gemballa MIG est basée sur une Ferrari Enzo. Il faut avouer qu'on fait pire, comme base de travail. À première vue, l'Italienne est difficilement reconnaissable. Rien d'étonnant, la voiture de base étant dépourvue d'appendices aérodynamiques disgracieux. À côté de la MIG, la Enzo passerait presque pour un modèle de discrétion ! Car une fois sortie des ateliers de Gemballa, la supercar arbore un kit carrosserie pour le moins démonstratif, intégralement fabriqué en fibre de carbone.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : MP Gemballa Marsien : la Porsche 911 qui mange du bitume et du sable

PHOTOS - Le dacia Sandrider se salit les roues pour ses tests de préparation au Dakar !

Comme pour un sportif de haut niveau, Dacia impose un programme d'entrainement strict à son Sandrider, pour le préparer au mieux pour l'édition 2025 du Dakar. Des sessions de tests intensives ont été menées au Pays de Galles et dans le sud de la France. Pour être préparé au mieux pour le Dakar 2025, dont le départ sera donné dans un peu plus de 6 mois, Dacia a envoyé son Sandrider, une équipe de mécaniciens ainsi que ses 3 pilotes de l'autre côté de la Manche, au Pays de Galles. Là-bas, le 4x4 a pu affronter un terrain accidenté pour évaluer ses capacités en off-road ainsi que sa fiabilité mécanique. Par la suite, tout ce petit monde est rentré en France et a poursuivi les tests au château de Lastours, sur un terrain particulièrement rocailleux. À l'issue de ces essais, le trio de pilotes (Sébastien Loeb, Cristina Gutiérrez et Nasser Al-Attiyah) et la directrice de l'équipe se sont dits très satisfaits de la voiture. Seuls quelques soucis mécaniques mineurs ont été rencontrés, selon leur compte-rendu, tandis que le Sandrider semble performant et facile à prendre en main. Voilà qui est plutôt de bon augure pour le Dakar !{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Le Dacia Sandrider est en plein entraînement en vue du Dakar 2025 !

Dacia vient d'annoncer la fin de la première session de tests de son Sandrider. Ce 4x4 doit en effet participer à l'édition 2025 du Dakar, la plus mythique des épreuves du championnat de rallye-raid. L'équipe s'est donc rendue au Pays de Galles pour mettre à l'épreuve son Sandrider en conditions réelles. Dans un peu plus de six mois, Dacia sera lâché dans le grand bain de la compétition automobile. Et pas n'importe laquelle ! Au lieu de commencer petit, la marque a décidé de viser les sommets d'entrée de jeu, en s'attaquant à un sacré morceau : le championnat du monde de rallye-raid. Avec en manche d'ouverture, le redoutable Dakar. Pour se mettre dans les meilleures dispositions possibles, Dacia a donc emmené toute une troupe de mécaniciens ainsi que ses 3 pilotes et un Sandrider au Pays de Galles, au cœur de la base d'essais de Sweet Lamb. Là-bas, l'équipe a procédé à toute une batterie de tests grandeur nature, afin d'évaluer d'une part le comportement du véhicule en tout-terrain, mais également sa fiabilité en utilisation intensive.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Dacia Duster (2024) : de l'hybride, toujours du 4x4, mais plus de Diesel

AC Schnitzer S3 Sport CLS II : un nom compliqué pour une BMW M3 en jogging ?

En 1995, AC Schnitzer était déjà reconnu pour ses réalisations sur base de BMW. Cette année-là, le préparateur allemand a dévoilé une version revisitée de la M3 E36. Celle-ci était dotée d'un kit carrosserie spécifique et voyait sa puissance passer de 286 à 350 chevaux ! Les années 80 et 90 étaient une époque bénie pour les préparateurs automobiles en tous genres. Aucun modèle n'était à l'abri, il n'était pas rare de voir des petites officines s'attaquer à des mythes roulants comme des Ferrari Testarossa ou des Lamborghini Countach. La voiture dont il est question ici est un peu moins « noble » que nos deux Italiennes, cela dit elle appartient à une lignée adulée par les préparateurs : la BMW M3.  La M3 E36, pour être plus précis, est certainement la génération la moins tunée de toutes. Mais en cherchant bien, on peut tout de même tomber sur quelques pépites, parmi lesquelles cette S3 Sport CLS II, née dans les ateliers du préparateur allemand AC Schnitzer. Une appellation à rallonge qui, au premier coup d'œil, ne semble désigner qu'une banale E36 en survêtement de mauvais goût. Et pourtant…{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : MH3 CSL V10 Clubsport : ce que BMW n'a jamais osé faire !

Cupra Tavascan : quel prix pour ce SUV Coupé 100 % électrique ?

La gamme de Cupra s'enrichit d'un nouveau modèle. Celui-ci vient se positionner au-dessus du Formentor déjà existant et prend lui aussi la forme d'un SUV, coupé cette fois, mais surtout 100 % électrique. Deux versions sont disponibles, l'une de 286 chevaux et l'autre de 340 chevaux. Les commandes ouvrent justement aujourd'hui, pour des tarifs débutant à 46.990 euros. Et si Seat commençait à être jaloux ? Pour l'heure, ça n'est pas le cas, mais cela pourrait bien arriver à l'avenir si Cupra continue de s'émanciper de la maison mère et d'avoir droit à des exclusivités. Aujourd'hui, la gamme s'étoffe avec un tout nouveau modèle, 100 % électrique : le Tavascan. Celui-ci est basé sur la même plateforme que ses cousins Volkswagen ID.4, ID.5 ou encore Skoda Enyaq iV.  Le Tavascan prend la forme d'un SUV coupé qui adopte tous les derniers codes stylistiques de la marque. On retrouve donc le fameux Shark Nose, ou nez de requin en bon Français, à l'avant, ainsi que les phares affinés qui intègrent la nouvelle signature lumineuse en forme de triangle. Le code couleur est toujours le même : une peinture sombre et satinée pour la carrosserie et des touches de cuivre sur les jantes, les logos et quelques inserts décoratifs.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : ESSAI – Volkswagen ID.5 Pro 286 (2024) : c'est désormais un bon compagnon de route !

Jeep Willys : l’héroïne du 6 juin 1944

Le 6 juin 1944, les troupes alliées débarquaient en Normandie pour libérer la France de l'occupation allemande. Et si les soldats sont arrivés par la mer, ils ont ensuite poursuivi leur croisade dans les terres, notamment à l'aide d'un véhicule devenu mythique et que tous les passionnés de la seconde guerre mondiale s'arrachent : la Jeep Willys. Cette semaine, la Normandie commémore l'un des événements les plus importants de son histoire : le débarquement. Il y a 80 ans, le 6 juin 1944, les alliés envoyaient leurs troupes depuis l'autre côté de la Manche pour venir libérer la France occupée par les nazis. Une opération d'une ampleur sans précédent, au cours de laquelle des milliers de barges se sont échouées sur les plages normandes pour débarquer soldats, chars d'assaut, camions et, bien sûr, des centaines de Willys, alors appelées Willys MB (le Jeep viendra après). La Willys est devenue une véritable légende roulante, sans doute même l'une des voitures les plus connues depuis l'invention de l'automobile. Remontons dans le temps pour découvrir son histoire. Dans les années 30, face à la hausse des tensions à travers le monde, les États-Unis lancent un appel d'offres auprès de quelques constructeurs pour produire un nouveau véhicule qui servira aux troupes américaines. Les prérequis sont relativement simples : ce modèle doit être léger pour pouvoir passer à peu près partout, mais il doit surtout être facile à entretenir et à réparer sur le champ de bataille. Ford et Willys-Overland remportent le contrat et lancent officiellement la production de la Willys MB en 1941, alors que la seconde guerre mondiale a déjà débuté outre-Atlantique.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Jeep Avenger 4xe : une version parée pour l'aventure ?

CONFIG – Audi S3 Sportback : en attendant la version RS…

Il y a quelques semaines, Audi présentait sa S3 restylée. La version RS étant encore dans les tuyaux, on a commencé par celle-ci. Mais n'allez pas croire qu'elle fait office de bouche-trou, puisqu'avec plus de 300 chevaux, elle a déjà de solides arguments. Chez Audi, la gamme de la compacte A3 est en plein chantier. Les versions standards ainsi que la S3 viennent d'être restylées. Il ne manque plus que la RS3 et le catalogue sera à nouveau au grand complet. En l'attendant, on a décidé d'aller passer le temps dans le configurateur en ligne de la version la plus sportive actuellement disponible. Cette S3 liftée reprend son classique 4 cylindres 2.0 turbo de 333 chevaux et 420 Nm de couple. Une puissance qui devrait être similaire sur l'imminente Volkswagen Golf R, qui tarde à pointer le bout de son nez. Dans la pratique, cette Audi S3 peut abattre le 0 à 100 km/h en seulement 4,7 secondes et atteindre une vitesse de pointe bridée électroniquement à 250 km/h. Une fiche technique appétissante, qui donne encore plus envie de découvrir la future RS3, qui devrait être un sacré cran au-dessus. Côté tarifs, il faut compter 63.000 euros pour cette version Sportback.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Audi S3 : un restylage aux délicieuses saveurs de RS3 !

PHOTOS - BMW M3 : voilà pourquoi c'est la meilleure sportive du marché !

Peu de voitures sportives peuvent se vanter d'avoir une histoire aussi longue et riche que la BMW M3. La sportive bavaroise, née en 1986, s'est forgée une réputation solide et a su rester la référence sur le marché des berlines énervées, depuis bientôt 40 ans. Si BMW n'avait pas voulu s'engager en championnat DTM, on n'aurait peut-être jamais eu droit à la M3. Car c'est pour les besoins de l'homologation en compétition que ce modèle a vu le jour ! Une poignée d'exemplaires a été produite et, face à l'engouement de la clientèle, la voiture est ensuite entrée en production. Depuis 1986, six générations se sont succédées, avec chacune leurs particularités et leurs versions spécifiques, mais avec à chaque fois la même philosophie : limer de l'asphalte et coller la banane à celui qui tient le volant ! De la légendaire M3 E30 à l'actuelle M3 G80, de la mythique M3 CSL E46 à la première Touring sortie il y a 2 ans, en coupé, berline et même cabriolet ou encore break, découvrez ou redécouvrez l'histoire incroyable de la plus sportive des berlines sportives au travers de cette série de photos. {{_DYNINFEED_BLOCK_}}

24 Heures du Mans 2024 : programme, nouveautés, animations, tout savoir !

Les 15 et 16 juin prochains se tiendront les mythiques 24 Heures du Mans, sur le circuit de la Sarthe. Cet événement, l'un des plus importants de l'année à l'échelle mondiale, rassemblera passionnés, pilotes et constructeurs pour rythmer le week-end. Une grosse nouveauté doit d'ailleurs y être dévoilée. On vous dit tout. Voilà déjà 101 ans que la première édition des 24 Heures du Mans a eu lieu. La dernière édition nous avait offert du grand spectacle, avec en point d'orgue la victoire triomphale de Ferrari, l'année du retour de l'écurie dans la catégorie reine. Le cru 2024 s'annonce lui aussi palpitant, avec de nombreuses écuries qui reviennent après plusieurs longues années d'absence. On peut notamment citer Lamborghini, Alpine et BMW, qui vont avoir à cœur de se battre aux avant-postes contre Ferrari, Porsche, Peugeot ou encore Cadillac. Mais les habitués de l'événement Sarthois le savent bien, les 24 Heures du Mans ne se résument pas à la course. Le week-end est rythmé par des animations en tous genres, des parades et des expositions de voitures anciennes. Le traditionnel village sera ouvert aux spectateurs, avec ses boutiques de souvenirs et ses stands de restauration. Le mythique musée qui retrace l'histoire de l'épreuve sera également accessible et, d'ailleurs, quel meilleur moment pour le visiter ?{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Alpine Alpenglow Hy4 : le concept est toujours en vie et il roule !

Cette Bugatti Veyron Grand Sport Vitesse est l’une des plus spectaculaires jamais produites !

L'une des rares Bugatti Veyron Grand Sport Vitesse va être proposé aux enchères la semaine prochaine. L'exemplaire en question est habillé d'une carrosserie en fibre de carbone apparente finie en bleu et en noir, qui contraste avec l'habitacle tendu de cuir orange. La voiture est estimée entre 2 et 2,5 millions de livres. Le tapage occasionné par l'arrivée de la remplaçante de la Bugatti Chiron pourrait presque faire oublier la première hypercar produite sous l'ère Volkswagen : la Veyron. Heureusement, certains riches passionnés s'assurent qu'elle ne tombe pas dans l'oubli, en dépensant des sommes astronomiques pour mettre la main sur des exemplaires rares et ultra spectaculaires. C'est le cas de cette Bugatti Veyron Grand Sport Vitesse, qui pourrait changer de propriétaire la semaine prochaine. La Grand Sport Vitesse a été l'une des dernières évolutions de la Veyron. Basée sur la version Grand Sport, celle-ci se dote en plus d'un toit amovible permettant au conducteur d'entretenir son brushing à plus de 400 km/h. Elle n'a été produite qu'à 92 unités. Par ailleurs, la configuration de cet exemplaire est à la hauteur de sa fiche technique délirante.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : On connaît la date de présentation de la remplaçante de la Bugatti Chiron !

PHOTOS - Nouvelle BMW Série 1 : on prend les mêmes et on recommence ! Vraiment ?

L'heure est venue pour la BMW Série 1 de passer le flambeau. La marque vient justement de dévoiler la nouvelle génération, qui se met à jour esthétiquement, mais aussi techniquement. Visuellement, cette nouvelle Série 1 s'inscrit dans la continuité de la précédente génération. Le gabarit est à peu de choses près identique, même si les lignes évoluent. La face avant gagne en finesse, tandis que l'arrière est plus agressive. Les optiques avant étirées adoptent une nouvelle signature lumineuse. À l'intérieur, BMW remet sa compacte à niveau avec une planche de bord inspirée de celles des modèles supérieurs. La Série 1 a droit au double écran regroupant l'instrumentation et le multimédia. Au lancement, la gamme s'articulera autour de 3 motorisations. Les clients pourront choisir parmi les 120 (désormais privée du "i" synonyme d'électrique), 120d ainsi que la sportive M135 xDrive. Cette dernière embarque un 4 cylindres 2.0 de 300 chevaux et revendique le 0 à 100 km/h en seulement 4,9 secondes.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Les commandes doivent ouvrir en octobre 2024. Les prix débutent à partir de 38.900 euros pour la BMW 120 et grimpent à 57.200 euros pour la 135 xDrive.

BMW Série 1 : voici la nouvelle génération, 20 ans après la première !

BMW présente aujourd'hui la toute nouvelle génération de sa Série 1. La compacte allemande rempile, avec un design plus affirmé et un habitacle plus technologique pour répondre à la concurrence. Cette nouvelle Série 1 doit arriver en concessions au mois d'octobre. Les tarifs débutent à 38.900 euros. BMW dévoile sa nouvelle Série 1. La génération sortante ne sera pas restée bien longtemps au catalogue (5 ans seulement), en comparaison des 2 précédentes. La première a tenu 7 ans, contre 8 ans pour la deuxième. Elle ne se vendait pourtant pas si mal, au contraire : elle tenait tête à ses rivales de toujours, les Audi A3 et Mercedes Classe A, en France en tout cas. Une chose est sûre, la marque compte bien conserver cet avantage avec cette nouvelle génération. C'est peut-être ce qui explique la prise de risque modérée au niveau du design. Vue de loin, on peine presque à distinguer les changements par rapport à l'ancienne Série 1. Pourtant, en y regardant de plus près, on constate que les traits se sont affinés. La face avant intègre de nouvelles optiques plus étirées, qui adoptent une nouvelle signature à LED. La calandre évolue également. Pas dans la forme de ses contours, mais plutôt au niveau du centre. Les barres verticales qui remplissent le double haricot sont maintenant encadrées par d'autres barres obliques. La poupe affiche de nouveaux feux, un peu plus anguleux. Enfin, le numéro 1 est inscrit discrètement dans les custodes, comme sur l'actuelle Série 5.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : BMW peaufine sa surpuissante M3 Competition avec 20 ch de plus

On connaît la date de présentation de la remplaçante de la Bugatti Chiron !

On sait déjà depuis un moment que ce n'était que l'affaire de quelques semaines avant que Bugatti ne dévoile officiellement la remplaçante de sa Chiron. La marque alsacienne vient de donner une date définitive et donne donc rendez-vous aux passionnés. Ne prévoyez rien le 20 juin prochain ! Le 20 juin prochain promet d'être historique ! Car non seulement c'est ce jour qu'a choisi Bugatti pour dévoiler sa nouvelle hypercar, mais c'est aussi et surtout une date que l'on retiendra comme celle où la première Bugatti hybride a été présentée. Le chapitre de la Chiron s'apprête donc à se refermer, laissant la place à une nouvelle ère, faite à la fois de sans-plomb et de watts. Bugatti a publié une courte vidéo sur ses réseaux sociaux pour annoncer l'arrivée de son nouveau modèle. Il ne reste donc plus que 2 grosses semaines d'attente avant de découvrir le nouveau fleuron de l'automobile française. L'heure de la présentation officielle n'est pas encore connue, elle sera annoncée dans les jours qui viennent.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : La remplaçante de la Bugatti Chiron s'offre déjà une sortie !

Renault Twingo : elle fait de la résistance, à partir de 17.000 euros !

On l'oublie trop souvent, mais la Renault Twingo est encore proposée au catalogue de la marque. La petite citadine est disponible aussi bien en version thermique qu'en 100% électrique. La Twingo équipée du 3 cylindres de 65 chevaux s'affiche à partir de 17.000 euros. Saviez-vous que Renault proposait toujours sa Twingo ? On parie que non. Il faut dire que ces derniers temps, l'actualité de la marque était davantage centrée sur les grosses nouveautés, que sont le Rafale ou, encore mieux, la R5 E-Tech. La pauvre petite Twingo n'a donc pas eu des masses de place au milieu de tout ce remue-ménage ! Ce qui ne l'empêche pas de survivre, puisqu'elle s'est vendue à plus de 11.000 exemplaires en France depuis le début de l'année, aussi bien avec son petit moteur à combustion qu'avec son bloc électrique et sa batterie. En version thermique, une seule motorisation subsiste au catalogue : la SCe 65. Ce modeste 3 cylindres 1.0 de 65 chevaux peut faire sourire, mais rappelons que la Twingo est un véritable poids-plume dont la principale vocation est de slalomer entre les trottoirs des centres-villes. Elle n'est proposée qu'avec une boîte manuelle à 5 vitesses. Comme les supercars les plus exclusives de la planète, son moteur est situé à l'arrière, sous le plancher du coffre !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Renault 5 E-Tech : l'entrée de gamme passée à la loupe

Singer 911 DLS Cherry Red Metallic : la plus belle œuvre d’art germano-américaine !

Une magnifique Singer 911 DLS a été aperçue récemment, dans les rues de Londres. Si toutes les Singer sont généralement agréables à regarder, celle-ci bénéficie d'une configuration absolument hors-normes, avec sa carrosserie peinte en Cherry Red Metallic et son habitacle somptueux. Pour rappel, une Singer 911 DLS coûte plus de 1,5 million d'euros… Croiser une Porsche 911 n'est pas si exceptionnel. Après tout, le coupé allemand est l'un des modèles sportifs les plus vendus à travers le monde, depuis des années. Croiser un exemplaire restauré et revu par Singer, en revanche, ça n'arrive pas tous les 4 matins. Globalement, tous les exemplaires qui sortent des ateliers du préparateur californien sont sublimes. Mais celle-ci, aperçue dans les rues londoniennes, est clairement au-dessus du lot, avec sa configuration exceptionnelle. La DLS est basée sur la 911 Type 964. Celle-ci dispose d'une carrosserie légèrement revue, notamment avec des ailes élargies et des boucliers spécifiques. Les phares avant et arrière sont remplacés par des blocs à LED, fidèles au design d'origine. Un badge DLS est apposé sous le becquet façon queue de canard. Mais la principale caractéristique de cet exemplaire, c'est bel et bien sa teinte Cherry Red Metallic, qui contraste avec les liserés blancs latéraux et le lettrage Porsche. La voiture repose sur des jantes Fuchs.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Et si cette Porsche 911 par Singer était la moins chère du marché ?

Ferrari 456 GT Venice Estate : déménagement à l’Italienne

Sortie dans les années 90, la Ferrari 456 GT a eu droit à différentes déclinaisons. Certaines sont nées à Maranello, tandis que d'autres résultent de commandes passées par des clients richissimes. C'est notamment le cas de la lignée des 456 GT Venice, qui n'est rien de plus qu'un caprice du Sultan du Brunei. Dans cette famille de 14 modèles, on trouve une version break baptisée Estate. Pour le commun des mortels, le simple fait de rouler en Ferrari, peu importe le modèle, est déjà un rêve difficilement accessible. À l'autre bout de la pyramide sociale, on trouve une catégorie de gens qui n'ont définitivement pas les mêmes problèmes que tout le monde. Parmi leurs préoccupations, celle qui arrive en tout premier consiste tout simplement à se démarquer des « simples » millionnaires. Bien souvent, cela passe par des voitures uniques, créées spécialement pour eux. Certains cas sont devenus très célèbres, notamment celui du Sultan du Brunei. On ignore combien de voitures possède cet homme (le sait-il lui-même ?), mais il se murmure qu'il y en a assez pour remplir quelques grands hangars, à tel point que certains modèles pourrissent faute d'être utilisés et entretenus. Pour rappel, on parle ici de voitures dont le prix dépasse bien souvent le million d'euros… Dans les années 90, notre petit Sultan a passé une commande bien spécifique à Ferrari, sur la base de la 456 GT. Pininfarina s'est occupé du design et a accouché d'une poignée de 456 GT Venice : 7 breaks, 5 berlines et 2 Spyder. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Lotec TT1000 : la Ferrari Testarossa qui se prenait pour une F40

Ventes de voitures neuves : coup de frein sur le marché de l'automobile en mai

Pour le deuxième mois consécutif cette année, on note une baisse de régime sur le marché de l'automobile en France. Les ventes de voitures neuves sont en recul de 2,9 % par rapport au mois de mai 2023, une diminution particulièrement marquée au sein du groupe Stellantis, notamment chez DS Automobiles. De son côté, l'électrique peine à s'imposer, une fois de plus. Au mois d'avril, on avait déjà pu constater une légère perte de vitesse sur le marché de l'automobile, en France. Cependant, cet essoufflement pouvait facilement s'expliquer par le nombre de jours ouvrés ce mois-ci, moins nombreux qu'en avril 2023. Rien de particulièrement alarmant, donc. Néanmoins, le mois de mai s'est révélé être, lui aussi, moins bon que l'an dernier, alors que l'on comptait le même nombre de jours travaillés. Cette fois, c'est plus problématique… En mai, 141.298 voitures neuves ont été immatriculées, contre 145.536 en mai 2023. Cela représente une baisse de 2,9 %, qui se répercute malheureusement chez de nombreux constructeurs. Au sein du groupe Stellantis, certaines marques affichent des diminutions assez spectaculaires. Fiat, par exemple, a vu ses ventes chuter de 27,7 % par rapport à mai 2023. DS Automobiles est en recul de 39,6 %, Citroën de 9,5 % et Peugeot de 11,8 %. Du côté du groupe Renault, Dacia voit ses ventes baisser de 15,3 %.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Après le bide de l'édition 2024, le Salon de Genève dit adieu à la Suisse !

Unimog TenereX : un tank aussi discret que raffiné !

Il y a quelques jours, Mercedes a dévoilé un véhicule plutôt particulier : l'Unimog TenereX. Ce monstre de plus de 9 tonnes a été conçu en grande partie par Hellgeth, spécialiste dans la fabrication de camping-cars extrêmes. Cet Unimog TenereX est fidèle au cahier des charges de l'entreprise, avec son bon vieux moteur Diesel et ses mensurations tout simplement titanesques. L'été approche et avec lui les derniers préparatifs pour les vacances. Certains préfèrent le confort des hôtels, d'autres la convivialité des campings. Certains optent également pour la simplicité des voyages en camping-cars. Problème : leur utilisation est bien souvent limitée au réseau routier traditionnel. Mercedes et Hellgeth viennent de résoudre cela, avec l'Unimog TenereX. Pour présenter rapidement cet engin, disons qu'il pourrait s'agir de l'ennemi juré des écologistes. Le Dark Vador ou le Sauron de l'univers de Greta Thunberg. Les présentations étant faites, faisons un tout du propriétaire. Le TenereX est basé sur le Mercedes Unimog. Toute la partie arrière, normalement réservée à l'espace de chargement, a été transformée en appartement. À l'intérieur, on trouve une cuisine aménagée et équipée, une salle de bain avec douche, un coin salon, un couchage ainsi que des toilettes séparées. Le tout est alimenté en électricité grâce à des panneaux solaires.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Rhino XL : la maison sur roues signée Krug Expedition
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