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On connaît la date de présentation de la remplaçante de la Bugatti Chiron !

On sait déjà depuis un moment que ce n'était que l'affaire de quelques semaines avant que Bugatti ne dévoile officiellement la remplaçante de sa Chiron. La marque alsacienne vient de donner une date définitive et donne donc rendez-vous aux passionnés. Ne prévoyez rien le 20 juin prochain ! Le 20 juin prochain promet d'être historique ! Car non seulement c'est ce jour qu'a choisi Bugatti pour dévoiler sa nouvelle hypercar, mais c'est aussi et surtout une date que l'on retiendra comme celle où la première Bugatti hybride a été présentée. Le chapitre de la Chiron s'apprête donc à se refermer, laissant la place à une nouvelle ère, faite à la fois de sans-plomb et de watts. Bugatti a publié une courte vidéo sur ses réseaux sociaux pour annoncer l'arrivée de son nouveau modèle. Il ne reste donc plus que 2 grosses semaines d'attente avant de découvrir le nouveau fleuron de l'automobile française. L'heure de la présentation officielle n'est pas encore connue, elle sera annoncée dans les jours qui viennent.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : La remplaçante de la Bugatti Chiron s'offre déjà une sortie !

Renault Twingo : elle fait de la résistance, à partir de 17.000 euros !

On l'oublie trop souvent, mais la Renault Twingo est encore proposée au catalogue de la marque. La petite citadine est disponible aussi bien en version thermique qu'en 100% électrique. La Twingo équipée du 3 cylindres de 65 chevaux s'affiche à partir de 17.000 euros. Saviez-vous que Renault proposait toujours sa Twingo ? On parie que non. Il faut dire que ces derniers temps, l'actualité de la marque était davantage centrée sur les grosses nouveautés, que sont le Rafale ou, encore mieux, la R5 E-Tech. La pauvre petite Twingo n'a donc pas eu des masses de place au milieu de tout ce remue-ménage ! Ce qui ne l'empêche pas de survivre, puisqu'elle s'est vendue à plus de 11.000 exemplaires en France depuis le début de l'année, aussi bien avec son petit moteur à combustion qu'avec son bloc électrique et sa batterie. En version thermique, une seule motorisation subsiste au catalogue : la SCe 65. Ce modeste 3 cylindres 1.0 de 65 chevaux peut faire sourire, mais rappelons que la Twingo est un véritable poids-plume dont la principale vocation est de slalomer entre les trottoirs des centres-villes. Elle n'est proposée qu'avec une boîte manuelle à 5 vitesses. Comme les supercars les plus exclusives de la planète, son moteur est situé à l'arrière, sous le plancher du coffre !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Renault 5 E-Tech : l'entrée de gamme passée à la loupe

Singer 911 DLS Cherry Red Metallic : la plus belle œuvre d’art germano-américaine !

Une magnifique Singer 911 DLS a été aperçue récemment, dans les rues de Londres. Si toutes les Singer sont généralement agréables à regarder, celle-ci bénéficie d'une configuration absolument hors-normes, avec sa carrosserie peinte en Cherry Red Metallic et son habitacle somptueux. Pour rappel, une Singer 911 DLS coûte plus de 1,5 million d'euros… Croiser une Porsche 911 n'est pas si exceptionnel. Après tout, le coupé allemand est l'un des modèles sportifs les plus vendus à travers le monde, depuis des années. Croiser un exemplaire restauré et revu par Singer, en revanche, ça n'arrive pas tous les 4 matins. Globalement, tous les exemplaires qui sortent des ateliers du préparateur californien sont sublimes. Mais celle-ci, aperçue dans les rues londoniennes, est clairement au-dessus du lot, avec sa configuration exceptionnelle. La DLS est basée sur la 911 Type 964. Celle-ci dispose d'une carrosserie légèrement revue, notamment avec des ailes élargies et des boucliers spécifiques. Les phares avant et arrière sont remplacés par des blocs à LED, fidèles au design d'origine. Un badge DLS est apposé sous le becquet façon queue de canard. Mais la principale caractéristique de cet exemplaire, c'est bel et bien sa teinte Cherry Red Metallic, qui contraste avec les liserés blancs latéraux et le lettrage Porsche. La voiture repose sur des jantes Fuchs.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Et si cette Porsche 911 par Singer était la moins chère du marché ?

Ferrari 456 GT Venice Estate : déménagement à l’Italienne

Sortie dans les années 90, la Ferrari 456 GT a eu droit à différentes déclinaisons. Certaines sont nées à Maranello, tandis que d'autres résultent de commandes passées par des clients richissimes. C'est notamment le cas de la lignée des 456 GT Venice, qui n'est rien de plus qu'un caprice du Sultan du Brunei. Dans cette famille de 14 modèles, on trouve une version break baptisée Estate. Pour le commun des mortels, le simple fait de rouler en Ferrari, peu importe le modèle, est déjà un rêve difficilement accessible. À l'autre bout de la pyramide sociale, on trouve une catégorie de gens qui n'ont définitivement pas les mêmes problèmes que tout le monde. Parmi leurs préoccupations, celle qui arrive en tout premier consiste tout simplement à se démarquer des « simples » millionnaires. Bien souvent, cela passe par des voitures uniques, créées spécialement pour eux. Certains cas sont devenus très célèbres, notamment celui du Sultan du Brunei. On ignore combien de voitures possède cet homme (le sait-il lui-même ?), mais il se murmure qu'il y en a assez pour remplir quelques grands hangars, à tel point que certains modèles pourrissent faute d'être utilisés et entretenus. Pour rappel, on parle ici de voitures dont le prix dépasse bien souvent le million d'euros… Dans les années 90, notre petit Sultan a passé une commande bien spécifique à Ferrari, sur la base de la 456 GT. Pininfarina s'est occupé du design et a accouché d'une poignée de 456 GT Venice : 7 breaks, 5 berlines et 2 Spyder. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Lotec TT1000 : la Ferrari Testarossa qui se prenait pour une F40

Ventes de voitures neuves : coup de frein sur le marché de l'automobile en mai

Pour le deuxième mois consécutif cette année, on note une baisse de régime sur le marché de l'automobile en France. Les ventes de voitures neuves sont en recul de 2,9 % par rapport au mois de mai 2023, une diminution particulièrement marquée au sein du groupe Stellantis, notamment chez DS Automobiles. De son côté, l'électrique peine à s'imposer, une fois de plus. Au mois d'avril, on avait déjà pu constater une légère perte de vitesse sur le marché de l'automobile, en France. Cependant, cet essoufflement pouvait facilement s'expliquer par le nombre de jours ouvrés ce mois-ci, moins nombreux qu'en avril 2023. Rien de particulièrement alarmant, donc. Néanmoins, le mois de mai s'est révélé être, lui aussi, moins bon que l'an dernier, alors que l'on comptait le même nombre de jours travaillés. Cette fois, c'est plus problématique… En mai, 141.298 voitures neuves ont été immatriculées, contre 145.536 en mai 2023. Cela représente une baisse de 2,9 %, qui se répercute malheureusement chez de nombreux constructeurs. Au sein du groupe Stellantis, certaines marques affichent des diminutions assez spectaculaires. Fiat, par exemple, a vu ses ventes chuter de 27,7 % par rapport à mai 2023. DS Automobiles est en recul de 39,6 %, Citroën de 9,5 % et Peugeot de 11,8 %. Du côté du groupe Renault, Dacia voit ses ventes baisser de 15,3 %.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Après le bide de l'édition 2024, le Salon de Genève dit adieu à la Suisse !

Unimog TenereX : un tank aussi discret que raffiné !

Il y a quelques jours, Mercedes a dévoilé un véhicule plutôt particulier : l'Unimog TenereX. Ce monstre de plus de 9 tonnes a été conçu en grande partie par Hellgeth, spécialiste dans la fabrication de camping-cars extrêmes. Cet Unimog TenereX est fidèle au cahier des charges de l'entreprise, avec son bon vieux moteur Diesel et ses mensurations tout simplement titanesques. L'été approche et avec lui les derniers préparatifs pour les vacances. Certains préfèrent le confort des hôtels, d'autres la convivialité des campings. Certains optent également pour la simplicité des voyages en camping-cars. Problème : leur utilisation est bien souvent limitée au réseau routier traditionnel. Mercedes et Hellgeth viennent de résoudre cela, avec l'Unimog TenereX. Pour présenter rapidement cet engin, disons qu'il pourrait s'agir de l'ennemi juré des écologistes. Le Dark Vador ou le Sauron de l'univers de Greta Thunberg. Les présentations étant faites, faisons un tout du propriétaire. Le TenereX est basé sur le Mercedes Unimog. Toute la partie arrière, normalement réservée à l'espace de chargement, a été transformée en appartement. À l'intérieur, on trouve une cuisine aménagée et équipée, une salle de bain avec douche, un coin salon, un couchage ainsi que des toilettes séparées. Le tout est alimenté en électricité grâce à des panneaux solaires.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Rhino XL : la maison sur roues signée Krug Expedition

Des jouets grandeur nature au Hot Wheels Legends Tour France !

Durant les 24 Heures du Mans, mi-juin, se tiendra la finale d'un concours pas comme les autres : le Hot Wheels Legends Tour France. La dernière phase de cette épreuve verra s'affronter trois voitures pour le moins originales, modifiées par leurs propriétaires pour ressembler aux fameuses miniatures. Pour cette deuxième édition, une Volkswagen Coccinelle, une Citroën Traction et une DeLorean DMC-12 s'affronteront pour remporter le titre. C'est un concours à l'Américaine ! Et pour cause, il ne se déroule en France que pour la deuxième année consécutive. Jusqu'en 2022, le Hot Wheels Legends Tour se cantonnait au pays de l'Oncle Sam. Mais au vu du succès de cette compétition décalée, les organisateurs ont décidé de décliner le concept en France, mais aussi dans d'autres pays. La deuxième édition est déjà en route, la grande finale française étant prévue pour le 15 juin prochain, pendant les 24 Heures du Mans. Pour rappel, les voitures des candidats sont évaluées par un jury, qui attribue des notes en fonction de 3 critères : l'authenticité de la voiture choisie, la créativité ainsi que le degré de personnalisation. En d'autres termes, la voiture la plus modifiée n'est pas certaine d'être élue grande gagnante, si elle n'a pas d'histoire à raconter. Le public est aussi invité à voter pour élire sa voiture préférée.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Unimog TenereX : un tank aussi discret que raffiné !

Renault 5 E-Tech : que vaut-elle face à ses concurrentes ?

Alors que Renault a officiellement ouvert les carnets de commandes de sa nouvelle R5 E-Tech, le marché des citadines 100 % électriques est plus étoffé que jamais. Les clients qui souhaitent s'offrir une petite voiture à batteries ont de plus en plus de choix, avec notamment la Peugeot E-208 et ses cousines les Opel Corsa-e et Lancia Ypsilon, ou encore la Mini Cooper E. Alors, la nouvelle star du losange peut-elle inquiéter ses rivales ? Il y a encore quelques années, les automobilistes qui souhaitaient passer à l'électrique n'avaient malheureusement le choix qu'entre des SUV plus ou moins gros et quelques berlines. Le marché des citadines branchées a en effet mis du temps à se développer mais, désormais, plusieurs options s'offrent aux acheteurs. À commencer par la récente Renault 5 E-Tech, la petite nouvelle qui pourrait bien devenir la star de ce segment. Cela dit, en dépit de sa bonne bouille, elle va devoir affronter une concurrence solide, au milieu des Peugeot E-208, Opel Corsa-e et Lancia Ypsilon. Sans oublier la très huppée Mini Cooper E ! Analysons donc la situation, en comparant ces modèles sur 3 critères : l'habitabilité, la motorisation ainsi que le nerf de la guerre, le prix. Habitabilité : sont-elles si petites que ça ?

Gemballa Mirage GT : avait-on le droit de faire ça à une Porsche Carrera GT ?

Gemballa ne se limite pas aux préparations basées sur la Porsche 911. Si le coupé sport de Stuttgart fait effectivement partie de ses modèles favoris, le préparateur a également travaillé sur d'autres modèles, dont un très exclusif : la Porsche Carrera GT. La supercar allemande a en effet fait une halte dans les ateliers de Gemballa et en est ressortie encore plus méchante ! Aujourd'hui, Gemballa est principalement connu pour ses réalisations sur base de Porsche, et plus particulièrement de 911. Le préparateur a en effet un gros faible pour la fameuse grenouille de Stuttgart. Cependant, il lui a déjà fait quelques infidélités. Parmi ses créations, on peut en effet trouver des Cayenne, des Panamera et même des McLaren. Mais l'une de ses œuvres les plus extrêmes est basée sur la Porsche Carrera GT. La première question que l'on est en droit de se poser est : « peut-on réellement infliger une préparation, peu importe le résultat, à une voiture aussi légendaire que la Carrera GT ? ». Quelle que soit la réponse, Gemballa a tranché. Visiblement, c'est un grand oui. L'engin a été renommé Mirage GT et arbore un kit carrosserie en fibre de carbone, encore plus démonstratif. La voiture reçoit une lame avant, un extracteur d'air creusé dans le capot, un roofscop chargé de refroidir le moteur, un capot arrière et un aileron en fibre de carbone. L'ensemble repose sur des jantes forgées de 19 pouces à l'avant et 20 pouces à l'arrière. Si le programme peut paraître extravagant, on est bien loin des réalisations de Mansory. Gemballa a respecté la voiture originelle, et c'est tant mieux !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : MP Gemballa Marsien : la Porsche 911 qui mange du bitume et du sable

CONFIG – Renault 5 E-Tech : enfin une électrique qui a de la gueule !

Depuis sa présentation officielle à Genève, on attendait l'ouverture des commandes de la Renault 5 E-Tech avec impatience. Maintenant que c'est fait, on peut enfin aller fouiller dans le configurateur en ligne et faire joujou avec la liste des options et des accessoires. Il ne vous reste plus qu'à découvrir notre configuration ! Renault lance officiellement la carrière de sa nouvelle star, celle que l'on attendait depuis la première annonce de 2021 et qui mériterait (presque) de figurer sur les billets de banque : la R5 E-Tech. On a beau chercher, on ne se souvient pas avoir vu autant d'engouement autour d'un modèle ces dernières années. La R5 est un cas d'école en matière de marketing, mais aussi en termes de résultat ! Car oui, cette petite citadine électrique est belle. Pour l'heure, seules 2 versions sont disponibles à l'achat : la Techno et l'Iconic Cinq, qui fait office de série de lancement. Après avoir passé la finition d'entrée de gamme à la loupe, on a décidé de signer un chèque en blanc et d'aller fouiller dans le configurateur en ligne, pour personnaliser notre propre exemplaire. On a choisi la version Iconic Cinq, avec son moteur de 150 chevaux et sa batterie de 52 kWh, qui autorise une autonomie de 410 kilomètres en cycle d'homologation WLTP. Celle-ci est facturée 31.490 euros, hors options.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Renault 5 E-Tech : l'entrée de gamme passée à la loupe

PHOTOS - Volkswagen Golf GTI Clubsport : le nouveau scalpel allemand !

Après avoir bien fait monter l'excitation depuis plus d'une semaine, Volkswagen présente enfin sa nouvelle Golf GTI Clubsport ! La compacte sportive gagne donc une nouvelle variante, de 300 chevaux, pour célébrer son 50ème anniversaire. Clubsport. Une appellation déjà connue par les puristes du modèle, mais qui n'est cependant pas ajoutée au catalogue systématiquement à chaque génération. En réalité, la dernière Golf GTI Clubsport date de 2019. Cette dernière avait été produite pour célébrer les 45 ans de la compacte sportive. 5 ans plus tard, une nouvelle mouture vient de voir le jour. Esthétiquement, cette version se démarque de la Golf GTI standard grâce à des motifs présents sur les bas de caisse, mais aussi grâce à des boucliers légèrement redessinés et plus agressifs. Un aileron plus imposant trône également au-dessus de la lunette arrière. Peu de changement à l'intérieur, si ce n'est la sellerie à carreaux typique des modèles GTI.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Sous le capot, on retrouve le 4 cylindres 2.0 TSI qui développe ici 300 chevaux pour 400 Nm de couple. Les performances sont donc meilleures que sur la Volkswagen Golf GTI, avec un 0 à 100 km/h qui tombe en 5,6 secondes, tandis que la vitesse maximale est bridée à 250 km/h. Les tarifs sont encore inconnus.

Volkswagen Golf GTI Clubsport : 300 chevaux pour se rapprocher de la Golf R !

Volkswagen vient de dévoiler la nouvelle version de sa Golf GTI Clubsport. Après plus d'une semaine d'annonces et de photos camouflées, on peut enfin poser les yeux sur celle qui célèbre les 50 ans de la Golf GTI. Pour marquer le coup, la marque lui offre 300 chevaux et un look légèrement revu. Les tarifs sont encore inconnus à l'heure actuelle. C'est à croire que mai était le mois de la Golf GTI ! Après avoir ouvert officiellement les carnets de commandes de la version « standard » restylée la semaine dernière, Volkswagen présente aujourd'hui une nouvelle version, reprenant l'appellation déjà connue Clubsport. Celle-ci est ici pour une raison simple : célébrer les 50 ans de la compacte sportive iconique. Et un demi-siècle, ça se fête ! On aurait d'ailleurs pu penser que Volkswagen aurait accordé plus d'exclusivité à cette version Clubsport. Les boucliers ont été retravaillés, légèrement, pour gagner en agressivité. L'aileron, fixé au-dessus de la lunette arrière, est également un peu plus massif. En dehors de ça, peu d'éléments permettent de différencier cette Clubsport d'une GTI basique, hormis les motifs qui ornent les bas de caisse. Les jantes de 18 pouces de série sont reprises au catalogue d'options de la Golf GTI.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Volkswagen Golf GTI : elle revient, à partir de 48.180 euros !

ESSAI – Volkswagen ID.5 Pro 286 (2024) : c’est désormais un bon compagnon de route !

Environ 6 mois après avoir procédé à quelques remises à niveau dans sa gamme ID, Volkswagen a décidé de nous montrer l'étendue des travaux et le résultat. Il faut dire que ces optimisations étaient bienvenues pour certaines, nécessaires pour d'autres. On a pu prendre le volant du Volkswagen ID.5 pour constater les améliorations. Lorsqu'on est invité à découvrir une nouveauté fin mai, on est en droit de s'attendre à une météo quasi-estivale. Quelques jours avant l'événement, on commence à chercher les spots les plus esthétiques pour les prises d'images. Puis le jour-J arrive et on se retrouve dans le Vexin, par 15 degrés et sous un bon crachin normand qui nous fait rapidement regretter de ne pas avoir prévu de K-way… Les aléas du direct, dirons-nous ! Qu'à cela ne tienne, Volkswagen tient à nous détailler les nouveautés à l'abri, confortablement installés dans des canapés moelleux. La pluie cessera peut-être pendant ce temps… Bien naïfs que nous sommes ! Nous bravons donc le crachin et prenons donc la route au volant d'un Volkswagen ID.5.  De quelle version s'agissait-il ? De la seule qui soit proposée au catalogue, à savoir la Pro 286 en propulsion. L'occasion de faire un bref rappel de la situation. Si l'ID.5 n'est disponible qu'avec cette motorisation, son petit frère l'ID.4 dispose de 2 versions : la Pure 170 et la Pro 286 en propulsion, ainsi que la Pro 4Motion 286 en transmission intégrale. Les plus attentifs se doutent certainement que le bloc des versions Pro est le même que celui de la berline ID.7, et ils ont raison. La batterie de 77 kWh de notre ID.5 d'essai nous autorise un rayon d'action de 556 kilomètres, largement de quoi boucler notre petit tour humide du Vexin.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi :  Volkswagen ID.3 GTX : 286 chevaux, 4.000 euros de bonus écologique. La bonne recette !

Après le bide de l’édition 2024, le Salon de Genève dit adieu à la Suisse !

Aujourd'hui, les organisateurs du Salon de Genève viennent d'annoncer une triste nouvelle pour le secteur automobile. L'événement, qui était revenu cette année sur ces terres en Suisse, n'a vraisemblablement pas convaincu grand monde et se tiendra désormais uniquement au Qatar, pour les prochaines éditions. On avait tous nourri beaucoup d'espoir, lorsque l'on avait appris que le Salon de Genève revenait en Europe après 4 années d'absence. La crise du covid, en 2020, avait contraint les organisateurs à annuler l'événement, dans un premier temps, avant de le délocaliser au Qatar. Face au succès qu'il y avait rencontré, les chances de le voir revenir en Suisse étaient bien minces. Contre toute attente, les organisateurs avaient surpris tout le monde en ramenant le salon sur ces terres d'origine, à Genève, en 2024. Passée l'excitation provoquée par cette annonce, force est de constater que le succès n'a pas été au rendez-vous, aussi bien côté exposants que côtés visiteurs. L'affluence n'a pas été à la hauteur, tandis que le programme était un peu timide, avec très peu de constructeurs européens ayant fait le déplacement. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Salon de Genève 2024 – Que faut-il retenir de cette édition en demi-teinte ?

PHOTOS - Les nouvelles BMW M4 GT3 et GT4 Evo sont prêtes à entrer sur le 'Ring !

BMW vient de dévoiler deux nouveaux monstres destinés à limer l'asphalte des circuits en compétition : les M4 GT3 Evo et GT4 Evo. La concurrence peut officiellement commencer à trembler... Vous trouvez la BMW M4 "civile" un peu trop timide ? Rassurez-vous, la marque allemande pense à tous ses fans, même les plus énervés. Mesdames, messieurs, voici les nouvelles M4 GT3 Evo et GT4 Evo, deux monstres dédiés à un usage sur piste. Si la GT3 est effectivement la plus méchante des deux, la GT4 Evo n'a absolument pas à rougir. Kit carrosserie plus large, aileron disproportionné à fixation en col de cygne, livrée Motorsport... Le ton est donné. Pour le moment, BMW ne communique que la fiche technique de la M4 GT3 Evo. Elle embarque un 6 cylindres en ligne 3.0 biturbo de 590 chevaux, associé à une boîte X-Trac à 6 rapports. Les performances sont encore inconnues, mais on peut faire confiance à la marque pour qu'elle envoie des watts (à défaut d'en consommer). Vous voulez vous en offrir une ? Comptez 578.000 euros... {{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Renault 5 E-Tech : l’entrée de gamme passée à la loupe

C'est aujourd'hui que Renault ouvre les commandes de sa R5 E-Tech pour tous. Le configurateur en ligne est donc accessible depuis ce matin, l'occasion de jeter un œil à sa dotation en équipements. La finition Techno s'affiche à partir de 33.490 euros, avant déduction du bonus écologique. Le feuilleton de la R5 E-Tech prend un nouveau tournant aujourd'hui, avec l'ouverture du configurateur en ligne et des commandes. Les personnes qui avaient procédé aux pré-réservations étaient prioritaires et pouvaient donc avoir accès à la liste des options dès cette semaine. Désormais, tout le monde peut configurer son propre exemplaire, avec 2 finitions au choix : Techno et Iconic Cinq, la version de lancement. Renault a mis les petits plats dans les grands et offre à sa star un affichage spécifique, sur son site internet. La mise en page du configurateur évolue donc. La finition Techno se pare de série de la teinte Vert Pop, rehaussée par le jonc de toit noir. On retrouve également des inscriptions 5 sur les portières avant. L'ensemble repose sur des jantes en alliage diamantées de 18 pouces. Cette finition comprend aussi les phares à LED à l'avant et à l'arrière, ainsi que la fameuse jauge de charge sur le capot.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Renault 5 E-Tech : une édition Roland-Garros pour faire le break !

BMW Série 1 : à partir de 33.000 euros, elle pourrait faire de l’ombre à la Volkswagen Golf

La BMW Série 1 continue son petit bonhomme de chemin et affiche toujours de meilleurs niveaux de ventes que ses rivales. Facturée à partir de 33.070 euros, elle affiche une bonne dotation de série, qui pourrait même faire réfléchir les acheteurs potentiels de la Volkswagen Golf, pourtant environ 4.000 euros moins chère. La Série 1 est décidément en grande forme, à tel point que la concurrence a bien du mal à suivre la cadence. L'Audi A3 parvient à rester au contact, tant bien que mal, mais la Mercedes Classe A est distancée. La faute à une approche moins originale pour l'une et à des tarifs trop élevés et (très) difficilement justifiables pour la seconde. Sans pour autant être révolutionnaire, la BMW adopte un design dynamique et a droit à une dotation très correcte. À l'extérieur, la BMW Série 1 en finition d'accès s'habille d'une teinte noire unie et repose sur des jantes de 17 pouces. Elle est équipée de série des projecteurs à LED. L'ensemble est très sobre, mais présente très bien. La marque ne cède pas à la mode des plastiques noirs sur les parties basses de la carrosserie, tout est peint de la même couleur.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : La BMW série 1 prend l'avantage sur l'Audi A3 et la Mercedes Classe A

DS 7 Vauban : si vous craignez les malfrats, DS Automobiles à ce qu’il vous faut !

DS Automobiles vient de présenter une nouvelle version de son DS 7. Baptisé Vauban, celui-ci promet d'offrir davantage de sécurité grâce à son blindage inédit et ses 300 chevaux. Les prix débutent à 165.000 euros, les commandes doivent ouvrir courant juin. Encore une nouvelle finition spéciale chez DS Automobiles ? Il est vrai que depuis quelques mois, c'est devenu la spécialité de la marque française : étoffer les catalogues de ses modèles avec des finitions plus richement dotées, quitte à rendre la gamme parfaitement incompréhensible et, il faut bien le dire, illisible sur le configurateur en ligne. Il faut croire qu'il restait une petite place dans le catalogue du DS 7, puisque celui-ci gagne une inédite finition Vauban.  Peut-être davantage une version, à vrai dire, puisque la dotation de ce DS 7 Vauban ne se limite pas à une teinte extérieure, un système Hi-Fi haut de gamme et une sellerie en velours côtelé. Non, ici, l'argument principal est invisible à l'œil nu. Ce DS 7 embarque en réalité 164 kg de blindage, pour offrir sécurité et sérénité à ses occupants. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : ESSAI – DS 7 E-Tense 300 4x4 (2023), 1000 kilomètres avec l'un des meilleurs voyageurs français

Jeep Wagoneer S : le wagon rapide et silencieux débute enfin sa carrière !

Jeep vient d'annoncer l'ouverture des carnets de commandes de son nouveau modèle, le Wagoneer S. Ce grand SUV, 100 % électrique bien entendu, développe 600 chevaux et dispose d'une transmission intégrale de série. Il sera dans un premier temps réservé au marché américain, avant de rejoindre les autres continents par la suite.   Cela faisait plusieurs mois que Jeep préparait l'arrivée de ce nouveau SUV. On en entendait parler depuis le début de l'année, cette fois ça y est : le Wagoneer S s'apprête à devenir réalité. La recette n'a pas vraiment évolué au cours des derniers mois, le design est toujours aussi élancé (pour un SUV de ce gabarit, entendons-nous) et la fiche technique délirante. Avec ce Wagoneer S, Jeep met enfin les 2 pieds dans le grand bain de l'électricité, à l'échelle mondiale cette fois. La version définitive de ce grand SUV est très fidèle à ce que l'on avait déjà pu apercevoir depuis début janvier. On retrouve une face avant très abrupte, qui affiche des optiques affinées au maximum. La calandre est très novatrice. Celle-ci reprend les 7 fameux piliers, gimmick historique de la marque américaine. Cependant, ils sont ici suggérés par un jeu d'éclairage et de motifs en 3D. Le profil très robuste laisse apparaître des passages de roues carrés, tandis que la face arrière arbore un large bandeau lumineux. La lunette est plus inclinée qu'il n'y paraît et est surmontée d'un aileron. L'ensemble repose sur des jantes de 20 pouces.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Jeep Avenger 4xe : une version parée pour l'aventure ?
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