Vue lecture

Il y a de nouveaux articles disponibles, cliquez pour rafraîchir la page.

CONFIG – Audi S3 Sportback : en attendant la version RS…

Il y a quelques semaines, Audi présentait sa S3 restylée. La version RS étant encore dans les tuyaux, on a commencé par celle-ci. Mais n'allez pas croire qu'elle fait office de bouche-trou, puisqu'avec plus de 300 chevaux, elle a déjà de solides arguments. Chez Audi, la gamme de la compacte A3 est en plein chantier. Les versions standards ainsi que la S3 viennent d'être restylées. Il ne manque plus que la RS3 et le catalogue sera à nouveau au grand complet. En l'attendant, on a décidé d'aller passer le temps dans le configurateur en ligne de la version la plus sportive actuellement disponible. Cette S3 liftée reprend son classique 4 cylindres 2.0 turbo de 333 chevaux et 420 Nm de couple. Une puissance qui devrait être similaire sur l'imminente Volkswagen Golf R, qui tarde à pointer le bout de son nez. Dans la pratique, cette Audi S3 peut abattre le 0 à 100 km/h en seulement 4,7 secondes et atteindre une vitesse de pointe bridée électroniquement à 250 km/h. Une fiche technique appétissante, qui donne encore plus envie de découvrir la future RS3, qui devrait être un sacré cran au-dessus. Côté tarifs, il faut compter 63.000 euros pour cette version Sportback.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Audi S3 : un restylage aux délicieuses saveurs de RS3 !

PHOTOS - BMW M3 : voilà pourquoi c'est la meilleure sportive du marché !

Peu de voitures sportives peuvent se vanter d'avoir une histoire aussi longue et riche que la BMW M3. La sportive bavaroise, née en 1986, s'est forgée une réputation solide et a su rester la référence sur le marché des berlines énervées, depuis bientôt 40 ans. Si BMW n'avait pas voulu s'engager en championnat DTM, on n'aurait peut-être jamais eu droit à la M3. Car c'est pour les besoins de l'homologation en compétition que ce modèle a vu le jour ! Une poignée d'exemplaires a été produite et, face à l'engouement de la clientèle, la voiture est ensuite entrée en production. Depuis 1986, six générations se sont succédées, avec chacune leurs particularités et leurs versions spécifiques, mais avec à chaque fois la même philosophie : limer de l'asphalte et coller la banane à celui qui tient le volant ! De la légendaire M3 E30 à l'actuelle M3 G80, de la mythique M3 CSL E46 à la première Touring sortie il y a 2 ans, en coupé, berline et même cabriolet ou encore break, découvrez ou redécouvrez l'histoire incroyable de la plus sportive des berlines sportives au travers de cette série de photos. {{_DYNINFEED_BLOCK_}}

24 Heures du Mans 2024 : programme, nouveautés, animations, tout savoir !

Les 15 et 16 juin prochains se tiendront les mythiques 24 Heures du Mans, sur le circuit de la Sarthe. Cet événement, l'un des plus importants de l'année à l'échelle mondiale, rassemblera passionnés, pilotes et constructeurs pour rythmer le week-end. Une grosse nouveauté doit d'ailleurs y être dévoilée. On vous dit tout. Voilà déjà 101 ans que la première édition des 24 Heures du Mans a eu lieu. La dernière édition nous avait offert du grand spectacle, avec en point d'orgue la victoire triomphale de Ferrari, l'année du retour de l'écurie dans la catégorie reine. Le cru 2024 s'annonce lui aussi palpitant, avec de nombreuses écuries qui reviennent après plusieurs longues années d'absence. On peut notamment citer Lamborghini, Alpine et BMW, qui vont avoir à cœur de se battre aux avant-postes contre Ferrari, Porsche, Peugeot ou encore Cadillac. Mais les habitués de l'événement Sarthois le savent bien, les 24 Heures du Mans ne se résument pas à la course. Le week-end est rythmé par des animations en tous genres, des parades et des expositions de voitures anciennes. Le traditionnel village sera ouvert aux spectateurs, avec ses boutiques de souvenirs et ses stands de restauration. Le mythique musée qui retrace l'histoire de l'épreuve sera également accessible et, d'ailleurs, quel meilleur moment pour le visiter ?{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Alpine Alpenglow Hy4 : le concept est toujours en vie et il roule !

Cette Bugatti Veyron Grand Sport Vitesse est l’une des plus spectaculaires jamais produites !

L'une des rares Bugatti Veyron Grand Sport Vitesse va être proposé aux enchères la semaine prochaine. L'exemplaire en question est habillé d'une carrosserie en fibre de carbone apparente finie en bleu et en noir, qui contraste avec l'habitacle tendu de cuir orange. La voiture est estimée entre 2 et 2,5 millions de livres. Le tapage occasionné par l'arrivée de la remplaçante de la Bugatti Chiron pourrait presque faire oublier la première hypercar produite sous l'ère Volkswagen : la Veyron. Heureusement, certains riches passionnés s'assurent qu'elle ne tombe pas dans l'oubli, en dépensant des sommes astronomiques pour mettre la main sur des exemplaires rares et ultra spectaculaires. C'est le cas de cette Bugatti Veyron Grand Sport Vitesse, qui pourrait changer de propriétaire la semaine prochaine. La Grand Sport Vitesse a été l'une des dernières évolutions de la Veyron. Basée sur la version Grand Sport, celle-ci se dote en plus d'un toit amovible permettant au conducteur d'entretenir son brushing à plus de 400 km/h. Elle n'a été produite qu'à 92 unités. Par ailleurs, la configuration de cet exemplaire est à la hauteur de sa fiche technique délirante.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : On connaît la date de présentation de la remplaçante de la Bugatti Chiron !

PHOTOS - Nouvelle BMW Série 1 : on prend les mêmes et on recommence ! Vraiment ?

L'heure est venue pour la BMW Série 1 de passer le flambeau. La marque vient justement de dévoiler la nouvelle génération, qui se met à jour esthétiquement, mais aussi techniquement. Visuellement, cette nouvelle Série 1 s'inscrit dans la continuité de la précédente génération. Le gabarit est à peu de choses près identique, même si les lignes évoluent. La face avant gagne en finesse, tandis que l'arrière est plus agressive. Les optiques avant étirées adoptent une nouvelle signature lumineuse. À l'intérieur, BMW remet sa compacte à niveau avec une planche de bord inspirée de celles des modèles supérieurs. La Série 1 a droit au double écran regroupant l'instrumentation et le multimédia. Au lancement, la gamme s'articulera autour de 3 motorisations. Les clients pourront choisir parmi les 120 (désormais privée du "i" synonyme d'électrique), 120d ainsi que la sportive M135 xDrive. Cette dernière embarque un 4 cylindres 2.0 de 300 chevaux et revendique le 0 à 100 km/h en seulement 4,9 secondes.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Les commandes doivent ouvrir en octobre 2024. Les prix débutent à partir de 38.900 euros pour la BMW 120 et grimpent à 57.200 euros pour la 135 xDrive.

BMW Série 1 : voici la nouvelle génération, 20 ans après la première !

BMW présente aujourd'hui la toute nouvelle génération de sa Série 1. La compacte allemande rempile, avec un design plus affirmé et un habitacle plus technologique pour répondre à la concurrence. Cette nouvelle Série 1 doit arriver en concessions au mois d'octobre. Les tarifs débutent à 38.900 euros. BMW dévoile sa nouvelle Série 1. La génération sortante ne sera pas restée bien longtemps au catalogue (5 ans seulement), en comparaison des 2 précédentes. La première a tenu 7 ans, contre 8 ans pour la deuxième. Elle ne se vendait pourtant pas si mal, au contraire : elle tenait tête à ses rivales de toujours, les Audi A3 et Mercedes Classe A, en France en tout cas. Une chose est sûre, la marque compte bien conserver cet avantage avec cette nouvelle génération. C'est peut-être ce qui explique la prise de risque modérée au niveau du design. Vue de loin, on peine presque à distinguer les changements par rapport à l'ancienne Série 1. Pourtant, en y regardant de plus près, on constate que les traits se sont affinés. La face avant intègre de nouvelles optiques plus étirées, qui adoptent une nouvelle signature à LED. La calandre évolue également. Pas dans la forme de ses contours, mais plutôt au niveau du centre. Les barres verticales qui remplissent le double haricot sont maintenant encadrées par d'autres barres obliques. La poupe affiche de nouveaux feux, un peu plus anguleux. Enfin, le numéro 1 est inscrit discrètement dans les custodes, comme sur l'actuelle Série 5.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : BMW peaufine sa surpuissante M3 Competition avec 20 ch de plus

On connaît la date de présentation de la remplaçante de la Bugatti Chiron !

On sait déjà depuis un moment que ce n'était que l'affaire de quelques semaines avant que Bugatti ne dévoile officiellement la remplaçante de sa Chiron. La marque alsacienne vient de donner une date définitive et donne donc rendez-vous aux passionnés. Ne prévoyez rien le 20 juin prochain ! Le 20 juin prochain promet d'être historique ! Car non seulement c'est ce jour qu'a choisi Bugatti pour dévoiler sa nouvelle hypercar, mais c'est aussi et surtout une date que l'on retiendra comme celle où la première Bugatti hybride a été présentée. Le chapitre de la Chiron s'apprête donc à se refermer, laissant la place à une nouvelle ère, faite à la fois de sans-plomb et de watts. Bugatti a publié une courte vidéo sur ses réseaux sociaux pour annoncer l'arrivée de son nouveau modèle. Il ne reste donc plus que 2 grosses semaines d'attente avant de découvrir le nouveau fleuron de l'automobile française. L'heure de la présentation officielle n'est pas encore connue, elle sera annoncée dans les jours qui viennent.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : La remplaçante de la Bugatti Chiron s'offre déjà une sortie !

Renault Twingo : elle fait de la résistance, à partir de 17.000 euros !

On l'oublie trop souvent, mais la Renault Twingo est encore proposée au catalogue de la marque. La petite citadine est disponible aussi bien en version thermique qu'en 100% électrique. La Twingo équipée du 3 cylindres de 65 chevaux s'affiche à partir de 17.000 euros. Saviez-vous que Renault proposait toujours sa Twingo ? On parie que non. Il faut dire que ces derniers temps, l'actualité de la marque était davantage centrée sur les grosses nouveautés, que sont le Rafale ou, encore mieux, la R5 E-Tech. La pauvre petite Twingo n'a donc pas eu des masses de place au milieu de tout ce remue-ménage ! Ce qui ne l'empêche pas de survivre, puisqu'elle s'est vendue à plus de 11.000 exemplaires en France depuis le début de l'année, aussi bien avec son petit moteur à combustion qu'avec son bloc électrique et sa batterie. En version thermique, une seule motorisation subsiste au catalogue : la SCe 65. Ce modeste 3 cylindres 1.0 de 65 chevaux peut faire sourire, mais rappelons que la Twingo est un véritable poids-plume dont la principale vocation est de slalomer entre les trottoirs des centres-villes. Elle n'est proposée qu'avec une boîte manuelle à 5 vitesses. Comme les supercars les plus exclusives de la planète, son moteur est situé à l'arrière, sous le plancher du coffre !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Renault 5 E-Tech : l'entrée de gamme passée à la loupe

Singer 911 DLS Cherry Red Metallic : la plus belle œuvre d’art germano-américaine !

Une magnifique Singer 911 DLS a été aperçue récemment, dans les rues de Londres. Si toutes les Singer sont généralement agréables à regarder, celle-ci bénéficie d'une configuration absolument hors-normes, avec sa carrosserie peinte en Cherry Red Metallic et son habitacle somptueux. Pour rappel, une Singer 911 DLS coûte plus de 1,5 million d'euros… Croiser une Porsche 911 n'est pas si exceptionnel. Après tout, le coupé allemand est l'un des modèles sportifs les plus vendus à travers le monde, depuis des années. Croiser un exemplaire restauré et revu par Singer, en revanche, ça n'arrive pas tous les 4 matins. Globalement, tous les exemplaires qui sortent des ateliers du préparateur californien sont sublimes. Mais celle-ci, aperçue dans les rues londoniennes, est clairement au-dessus du lot, avec sa configuration exceptionnelle. La DLS est basée sur la 911 Type 964. Celle-ci dispose d'une carrosserie légèrement revue, notamment avec des ailes élargies et des boucliers spécifiques. Les phares avant et arrière sont remplacés par des blocs à LED, fidèles au design d'origine. Un badge DLS est apposé sous le becquet façon queue de canard. Mais la principale caractéristique de cet exemplaire, c'est bel et bien sa teinte Cherry Red Metallic, qui contraste avec les liserés blancs latéraux et le lettrage Porsche. La voiture repose sur des jantes Fuchs.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Et si cette Porsche 911 par Singer était la moins chère du marché ?

Ferrari 456 GT Venice Estate : déménagement à l’Italienne

Sortie dans les années 90, la Ferrari 456 GT a eu droit à différentes déclinaisons. Certaines sont nées à Maranello, tandis que d'autres résultent de commandes passées par des clients richissimes. C'est notamment le cas de la lignée des 456 GT Venice, qui n'est rien de plus qu'un caprice du Sultan du Brunei. Dans cette famille de 14 modèles, on trouve une version break baptisée Estate. Pour le commun des mortels, le simple fait de rouler en Ferrari, peu importe le modèle, est déjà un rêve difficilement accessible. À l'autre bout de la pyramide sociale, on trouve une catégorie de gens qui n'ont définitivement pas les mêmes problèmes que tout le monde. Parmi leurs préoccupations, celle qui arrive en tout premier consiste tout simplement à se démarquer des « simples » millionnaires. Bien souvent, cela passe par des voitures uniques, créées spécialement pour eux. Certains cas sont devenus très célèbres, notamment celui du Sultan du Brunei. On ignore combien de voitures possède cet homme (le sait-il lui-même ?), mais il se murmure qu'il y en a assez pour remplir quelques grands hangars, à tel point que certains modèles pourrissent faute d'être utilisés et entretenus. Pour rappel, on parle ici de voitures dont le prix dépasse bien souvent le million d'euros… Dans les années 90, notre petit Sultan a passé une commande bien spécifique à Ferrari, sur la base de la 456 GT. Pininfarina s'est occupé du design et a accouché d'une poignée de 456 GT Venice : 7 breaks, 5 berlines et 2 Spyder. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Lotec TT1000 : la Ferrari Testarossa qui se prenait pour une F40

Ventes de voitures neuves : coup de frein sur le marché de l'automobile en mai

Pour le deuxième mois consécutif cette année, on note une baisse de régime sur le marché de l'automobile en France. Les ventes de voitures neuves sont en recul de 2,9 % par rapport au mois de mai 2023, une diminution particulièrement marquée au sein du groupe Stellantis, notamment chez DS Automobiles. De son côté, l'électrique peine à s'imposer, une fois de plus. Au mois d'avril, on avait déjà pu constater une légère perte de vitesse sur le marché de l'automobile, en France. Cependant, cet essoufflement pouvait facilement s'expliquer par le nombre de jours ouvrés ce mois-ci, moins nombreux qu'en avril 2023. Rien de particulièrement alarmant, donc. Néanmoins, le mois de mai s'est révélé être, lui aussi, moins bon que l'an dernier, alors que l'on comptait le même nombre de jours travaillés. Cette fois, c'est plus problématique… En mai, 141.298 voitures neuves ont été immatriculées, contre 145.536 en mai 2023. Cela représente une baisse de 2,9 %, qui se répercute malheureusement chez de nombreux constructeurs. Au sein du groupe Stellantis, certaines marques affichent des diminutions assez spectaculaires. Fiat, par exemple, a vu ses ventes chuter de 27,7 % par rapport à mai 2023. DS Automobiles est en recul de 39,6 %, Citroën de 9,5 % et Peugeot de 11,8 %. Du côté du groupe Renault, Dacia voit ses ventes baisser de 15,3 %.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Après le bide de l'édition 2024, le Salon de Genève dit adieu à la Suisse !

Unimog TenereX : un tank aussi discret que raffiné !

Il y a quelques jours, Mercedes a dévoilé un véhicule plutôt particulier : l'Unimog TenereX. Ce monstre de plus de 9 tonnes a été conçu en grande partie par Hellgeth, spécialiste dans la fabrication de camping-cars extrêmes. Cet Unimog TenereX est fidèle au cahier des charges de l'entreprise, avec son bon vieux moteur Diesel et ses mensurations tout simplement titanesques. L'été approche et avec lui les derniers préparatifs pour les vacances. Certains préfèrent le confort des hôtels, d'autres la convivialité des campings. Certains optent également pour la simplicité des voyages en camping-cars. Problème : leur utilisation est bien souvent limitée au réseau routier traditionnel. Mercedes et Hellgeth viennent de résoudre cela, avec l'Unimog TenereX. Pour présenter rapidement cet engin, disons qu'il pourrait s'agir de l'ennemi juré des écologistes. Le Dark Vador ou le Sauron de l'univers de Greta Thunberg. Les présentations étant faites, faisons un tout du propriétaire. Le TenereX est basé sur le Mercedes Unimog. Toute la partie arrière, normalement réservée à l'espace de chargement, a été transformée en appartement. À l'intérieur, on trouve une cuisine aménagée et équipée, une salle de bain avec douche, un coin salon, un couchage ainsi que des toilettes séparées. Le tout est alimenté en électricité grâce à des panneaux solaires.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Rhino XL : la maison sur roues signée Krug Expedition

Des jouets grandeur nature au Hot Wheels Legends Tour France !

Durant les 24 Heures du Mans, mi-juin, se tiendra la finale d'un concours pas comme les autres : le Hot Wheels Legends Tour France. La dernière phase de cette épreuve verra s'affronter trois voitures pour le moins originales, modifiées par leurs propriétaires pour ressembler aux fameuses miniatures. Pour cette deuxième édition, une Volkswagen Coccinelle, une Citroën Traction et une DeLorean DMC-12 s'affronteront pour remporter le titre. C'est un concours à l'Américaine ! Et pour cause, il ne se déroule en France que pour la deuxième année consécutive. Jusqu'en 2022, le Hot Wheels Legends Tour se cantonnait au pays de l'Oncle Sam. Mais au vu du succès de cette compétition décalée, les organisateurs ont décidé de décliner le concept en France, mais aussi dans d'autres pays. La deuxième édition est déjà en route, la grande finale française étant prévue pour le 15 juin prochain, pendant les 24 Heures du Mans. Pour rappel, les voitures des candidats sont évaluées par un jury, qui attribue des notes en fonction de 3 critères : l'authenticité de la voiture choisie, la créativité ainsi que le degré de personnalisation. En d'autres termes, la voiture la plus modifiée n'est pas certaine d'être élue grande gagnante, si elle n'a pas d'histoire à raconter. Le public est aussi invité à voter pour élire sa voiture préférée.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Unimog TenereX : un tank aussi discret que raffiné !

Renault 5 E-Tech : que vaut-elle face à ses concurrentes ?

Alors que Renault a officiellement ouvert les carnets de commandes de sa nouvelle R5 E-Tech, le marché des citadines 100 % électriques est plus étoffé que jamais. Les clients qui souhaitent s'offrir une petite voiture à batteries ont de plus en plus de choix, avec notamment la Peugeot E-208 et ses cousines les Opel Corsa-e et Lancia Ypsilon, ou encore la Mini Cooper E. Alors, la nouvelle star du losange peut-elle inquiéter ses rivales ? Il y a encore quelques années, les automobilistes qui souhaitaient passer à l'électrique n'avaient malheureusement le choix qu'entre des SUV plus ou moins gros et quelques berlines. Le marché des citadines branchées a en effet mis du temps à se développer mais, désormais, plusieurs options s'offrent aux acheteurs. À commencer par la récente Renault 5 E-Tech, la petite nouvelle qui pourrait bien devenir la star de ce segment. Cela dit, en dépit de sa bonne bouille, elle va devoir affronter une concurrence solide, au milieu des Peugeot E-208, Opel Corsa-e et Lancia Ypsilon. Sans oublier la très huppée Mini Cooper E ! Analysons donc la situation, en comparant ces modèles sur 3 critères : l'habitabilité, la motorisation ainsi que le nerf de la guerre, le prix. Habitabilité : sont-elles si petites que ça ?

Gemballa Mirage GT : avait-on le droit de faire ça à une Porsche Carrera GT ?

Gemballa ne se limite pas aux préparations basées sur la Porsche 911. Si le coupé sport de Stuttgart fait effectivement partie de ses modèles favoris, le préparateur a également travaillé sur d'autres modèles, dont un très exclusif : la Porsche Carrera GT. La supercar allemande a en effet fait une halte dans les ateliers de Gemballa et en est ressortie encore plus méchante ! Aujourd'hui, Gemballa est principalement connu pour ses réalisations sur base de Porsche, et plus particulièrement de 911. Le préparateur a en effet un gros faible pour la fameuse grenouille de Stuttgart. Cependant, il lui a déjà fait quelques infidélités. Parmi ses créations, on peut en effet trouver des Cayenne, des Panamera et même des McLaren. Mais l'une de ses œuvres les plus extrêmes est basée sur la Porsche Carrera GT. La première question que l'on est en droit de se poser est : « peut-on réellement infliger une préparation, peu importe le résultat, à une voiture aussi légendaire que la Carrera GT ? ». Quelle que soit la réponse, Gemballa a tranché. Visiblement, c'est un grand oui. L'engin a été renommé Mirage GT et arbore un kit carrosserie en fibre de carbone, encore plus démonstratif. La voiture reçoit une lame avant, un extracteur d'air creusé dans le capot, un roofscop chargé de refroidir le moteur, un capot arrière et un aileron en fibre de carbone. L'ensemble repose sur des jantes forgées de 19 pouces à l'avant et 20 pouces à l'arrière. Si le programme peut paraître extravagant, on est bien loin des réalisations de Mansory. Gemballa a respecté la voiture originelle, et c'est tant mieux !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : MP Gemballa Marsien : la Porsche 911 qui mange du bitume et du sable

CONFIG – Renault 5 E-Tech : enfin une électrique qui a de la gueule !

Depuis sa présentation officielle à Genève, on attendait l'ouverture des commandes de la Renault 5 E-Tech avec impatience. Maintenant que c'est fait, on peut enfin aller fouiller dans le configurateur en ligne et faire joujou avec la liste des options et des accessoires. Il ne vous reste plus qu'à découvrir notre configuration ! Renault lance officiellement la carrière de sa nouvelle star, celle que l'on attendait depuis la première annonce de 2021 et qui mériterait (presque) de figurer sur les billets de banque : la R5 E-Tech. On a beau chercher, on ne se souvient pas avoir vu autant d'engouement autour d'un modèle ces dernières années. La R5 est un cas d'école en matière de marketing, mais aussi en termes de résultat ! Car oui, cette petite citadine électrique est belle. Pour l'heure, seules 2 versions sont disponibles à l'achat : la Techno et l'Iconic Cinq, qui fait office de série de lancement. Après avoir passé la finition d'entrée de gamme à la loupe, on a décidé de signer un chèque en blanc et d'aller fouiller dans le configurateur en ligne, pour personnaliser notre propre exemplaire. On a choisi la version Iconic Cinq, avec son moteur de 150 chevaux et sa batterie de 52 kWh, qui autorise une autonomie de 410 kilomètres en cycle d'homologation WLTP. Celle-ci est facturée 31.490 euros, hors options.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Renault 5 E-Tech : l'entrée de gamme passée à la loupe

PHOTOS - Volkswagen Golf GTI Clubsport : le nouveau scalpel allemand !

Après avoir bien fait monter l'excitation depuis plus d'une semaine, Volkswagen présente enfin sa nouvelle Golf GTI Clubsport ! La compacte sportive gagne donc une nouvelle variante, de 300 chevaux, pour célébrer son 50ème anniversaire. Clubsport. Une appellation déjà connue par les puristes du modèle, mais qui n'est cependant pas ajoutée au catalogue systématiquement à chaque génération. En réalité, la dernière Golf GTI Clubsport date de 2019. Cette dernière avait été produite pour célébrer les 45 ans de la compacte sportive. 5 ans plus tard, une nouvelle mouture vient de voir le jour. Esthétiquement, cette version se démarque de la Golf GTI standard grâce à des motifs présents sur les bas de caisse, mais aussi grâce à des boucliers légèrement redessinés et plus agressifs. Un aileron plus imposant trône également au-dessus de la lunette arrière. Peu de changement à l'intérieur, si ce n'est la sellerie à carreaux typique des modèles GTI.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Sous le capot, on retrouve le 4 cylindres 2.0 TSI qui développe ici 300 chevaux pour 400 Nm de couple. Les performances sont donc meilleures que sur la Volkswagen Golf GTI, avec un 0 à 100 km/h qui tombe en 5,6 secondes, tandis que la vitesse maximale est bridée à 250 km/h. Les tarifs sont encore inconnus.

Volkswagen Golf GTI Clubsport : 300 chevaux pour se rapprocher de la Golf R !

Volkswagen vient de dévoiler la nouvelle version de sa Golf GTI Clubsport. Après plus d'une semaine d'annonces et de photos camouflées, on peut enfin poser les yeux sur celle qui célèbre les 50 ans de la Golf GTI. Pour marquer le coup, la marque lui offre 300 chevaux et un look légèrement revu. Les tarifs sont encore inconnus à l'heure actuelle. C'est à croire que mai était le mois de la Golf GTI ! Après avoir ouvert officiellement les carnets de commandes de la version « standard » restylée la semaine dernière, Volkswagen présente aujourd'hui une nouvelle version, reprenant l'appellation déjà connue Clubsport. Celle-ci est ici pour une raison simple : célébrer les 50 ans de la compacte sportive iconique. Et un demi-siècle, ça se fête ! On aurait d'ailleurs pu penser que Volkswagen aurait accordé plus d'exclusivité à cette version Clubsport. Les boucliers ont été retravaillés, légèrement, pour gagner en agressivité. L'aileron, fixé au-dessus de la lunette arrière, est également un peu plus massif. En dehors de ça, peu d'éléments permettent de différencier cette Clubsport d'une GTI basique, hormis les motifs qui ornent les bas de caisse. Les jantes de 18 pouces de série sont reprises au catalogue d'options de la Golf GTI.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Volkswagen Golf GTI : elle revient, à partir de 48.180 euros !

ESSAI – Volkswagen ID.5 Pro 286 (2024) : c’est désormais un bon compagnon de route !

Environ 6 mois après avoir procédé à quelques remises à niveau dans sa gamme ID, Volkswagen a décidé de nous montrer l'étendue des travaux et le résultat. Il faut dire que ces optimisations étaient bienvenues pour certaines, nécessaires pour d'autres. On a pu prendre le volant du Volkswagen ID.5 pour constater les améliorations. Lorsqu'on est invité à découvrir une nouveauté fin mai, on est en droit de s'attendre à une météo quasi-estivale. Quelques jours avant l'événement, on commence à chercher les spots les plus esthétiques pour les prises d'images. Puis le jour-J arrive et on se retrouve dans le Vexin, par 15 degrés et sous un bon crachin normand qui nous fait rapidement regretter de ne pas avoir prévu de K-way… Les aléas du direct, dirons-nous ! Qu'à cela ne tienne, Volkswagen tient à nous détailler les nouveautés à l'abri, confortablement installés dans des canapés moelleux. La pluie cessera peut-être pendant ce temps… Bien naïfs que nous sommes ! Nous bravons donc le crachin et prenons donc la route au volant d'un Volkswagen ID.5.  De quelle version s'agissait-il ? De la seule qui soit proposée au catalogue, à savoir la Pro 286 en propulsion. L'occasion de faire un bref rappel de la situation. Si l'ID.5 n'est disponible qu'avec cette motorisation, son petit frère l'ID.4 dispose de 2 versions : la Pure 170 et la Pro 286 en propulsion, ainsi que la Pro 4Motion 286 en transmission intégrale. Les plus attentifs se doutent certainement que le bloc des versions Pro est le même que celui de la berline ID.7, et ils ont raison. La batterie de 77 kWh de notre ID.5 d'essai nous autorise un rayon d'action de 556 kilomètres, largement de quoi boucler notre petit tour humide du Vexin.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi :  Volkswagen ID.3 GTX : 286 chevaux, 4.000 euros de bonus écologique. La bonne recette !
❌