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Peugeot reconnaît l’échec du label PSE et s’apprête à l’enterrer

En 2020, Peugeot dévoilait la 508 PSE. Cette version plus puissante et plus sportive de la berline française avait suscité beaucoup d'engouement. Mais elle avait également donné d'énormes espoirs aux amateurs de la marque, qui voyaient en ce blason la renaissance des Peugeot sportives d'antan. Cruelle désillusion… On ne peut pas dire que les passionnés de Peugeot ont eu la vie facile dans les années 2000 et 2010. Durant ces deux décennies, la passion ne semblait plus faire partie du cahier des charges des nouveaux modèles qui sortaient des usines de la marque sochalienne. Une période qui faisait amèrement regretter l'époque bénie des Peugeot 205 et 309 GTI ou encore 405 Mi16. Alors, quand le constructeur a dévoilé, en 2020, sa 508 PSE, beaucoup y ont vu une renaissance. Le label PSE, pour Peugeot Sport Engineered, se voulait comme une évocation aux modèles sportifs d'autrefois. À la différence près que les nouveaux n'embarqueraient que des motorisations hybrides. S'il fallait en passer par là, soit. La 508 PSE adoptait un design plus agressif et affichait de belles performances, avec ses 360 chevaux. On était encore un bon cran sous les berlines sportives allemandes, mais après tout, c'était censé n'être qu'un galop d'essai.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Peugeot 508 : environ 45.000 euros pour l'entrée de gamme, est-ce suffisant pour inquiéter les Allemands ?

Quelqu’un veut s’offrir le circuit de Willow Spring ?

Une annonce pour une vente pour le moins étonnante est apparue récemment sur internet. Celle-ci ne concerne ni une supercar, ni une voiture de collection, ni même une voiture tout court. Car c'est bel et bien un circuit automobile, qui peut être racheté par un passionné. Vous avez toujours rêvé de posséder votre propre circuit automobile, pour pouvoir organiser des journées de courses endiablées avec des amis après un bon barbecue ? Alors nous avons peut-être déniché pour vous la perle rare : le Willow Spring International Raceway. Ce circuit, situé en Californie à 1 heure au nord de Los Angeles, existe depuis plus de 60 ans. Et aujourd'hui, il est proposé à la vente ! Le circuit en lui-même est implanté sur un domaine de plus de 600 hectares et donne accès à 7 pistes différentes, chacune avec leurs propres particularités. De nombreuses catégories ont couru sur ce tracé par le passé, notamment la Nascar, du karting et même de la moto.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Magarigawa, le circuit privé japonais qui attire les pilotes les plus fortunés

VIDÉO - Formule 1 : on sait enfin à quoi ressembleront les monoplaces de 2026 !

La règlementation du championnat du monde de Formule 1 doit évoluer à partir de la saison 2026. Les changements concernent majoritairement les voitures en elles-mêmes. La FIA vient d'ailleurs de présenter le prototype de monoplace, l'occasion d'observer les évolutions de plus près. En 2022, la Formule 1 entrait dans une nouvelle ère avec un nouveau concept de monoplaces. Les voitures étaient redessinées et optimisées pour pouvoir se suivre plus facilement et ainsi favoriser la lutte entre les pilotes, et donc le spectacle. On l'a constaté depuis maintenant un peu plus de 2 saisons, cette règlementation a porté ses fruits, mais n'est pas exempte de défauts. Parmi ces inconvénients, la taille des voitures. Jamais les Formule 1 n'ont été si imposantes, ce qui pose inévitablement problème sur certains tracés comme Monaco, où il est devenu quasiment impossible de dépasser en course. La future règlementation, qui doit entrer en vigueur à partir de la saison 2026, devrait corriger cela. Le premier prototype de voiture a d'ailleurs été présenté cette semaine.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : FORMULE 1 – SAISON 2024 : actualités, moments forts, résultats

Vendue 145.000 euros, cette Alpina B12 est en réalité une arnaque !

Une sublime Alpina B12 de 1994 était proposée à la vente cette semaine. Les enchères, qui se sont achevées hier soir, sont montées jusqu'à 157.000 dollars, soit environ 144.000 euros. Une somme plus que rondelette, surtout pour une Alpina qui n'en est pas réellement une ! Une Alpina B12 de 1994 a récemment déchaîné les enchères, sur le site de ventes Bring a Trailer. L'Allemande, dans une configuration sobre et élégante, a en effet trouvé preneur contre la bagatelle de 157.000 dollars. Il faut reconnaître que c'est une sacrée somme, en dépit du fait que les Alpina soient plus exclusives et plus recherchées que leurs équivalents de chez BMW. Problème : cette Alpina n'en est pas une. Pas à 100 %, du moins. Il s'agit en réalité d'une « banale » BMW Série 8, une 850 CSi plus précisément. Cette dernière a été lourdement endommagée lors d'un accident. Toute la partie avant était éventrée, le moteur abîmé et le profil gauche passablement plié. De nombreuses personnes l'auraient alors déclaré en tant qu'épave, mais pas son précédent propriétaire. Celui-ci a décidé de la restaurer intégralement, en utilisant une méthode un peu particulière…{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Alpina B3 GT & B4 GT : quand Alpina réinvente les BMW M3 et M4

PHOTOS - Même une fausse Alpina B12 de 1994 coûte presque 150.000 euros !

Une Alpina B12 de 1994 était mise aux enchères cette semaine. La vente s'est terminée hier, le nouveau propriétaire ayant dû dépenser 157.000 dollars, soit environ 144.000 euros. Une sacrée somme pour une voiture magnifique, mais problème : ce n'est pas une véritable Alpina ! La fameuse Alpina en question n'en est en effet pas une. Il s'agit en réalité d'une "banale" BMW 850 CSi E31, qui a une histoire un peu particulière. Cette dernière a été passablement accidentée (dernière image de la série). Elle a ensuite été entièrement restaurée, avec une bonne partie de pièces Alpina. Ainsi, la carrosserie diffère légèrement de celle d'une Série 8 standard. Sous le capot, elle embarque toujours un V12. Cela dit, celui-ci a été revu par Alpina. Avec sa cylindrée de 5,7 litres, il développe désormais 415 chevaux. La voiture ne totalise que 74.000 kilomètres environ et est restée dans un très bon état depuis sa restauration. Voilà peut-être ce qui a convaincu l'acheteur de dépenser la modique somme de 144.000 euros pour l'acquérir...{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

EMC Mercedes 250GD : faites l’amour, pas la guerre !

Depuis plusieurs années, l'Expedition Motor Company s'est spécialisée dans la réhabilitation et la restauration d'anciens Mercedes Classe G Wolf, c'est-à-dire la version militaire du célèbre 4x4 allemand. L'entreprise propose différentes versions et peut même personnaliser chaque exemplaire selon les souhaits de ses clients. Cet exemplaire, par exemple, est prêt pour partir à l'aventure entre amis ! De nombreux préparateurs se battent pour proposer la version la plus dénaturée du célèbre Mercedes Classe G. Mansory et Hoffele sont certainement les deux qui y parviennent le mieux. Cependant, à l'autre bout du prisme de la préparation automobile, on trouve une société méconnue, l'Expedition Motor Company. EMC, pour les intimes. Cette officine américaine, basée dans le New-Jersey aux États-Unis, est spécialisée dans la restauration et l'optimisation du Mercedes Classe G, mais pas n'importe quelle version. Là où les préparateurs traditionnels utilisent des G500 et des G63 AMG comme bases de travail, EMC préfère l'authenticité et ne restaure que des anciennes versions militaires. Le Classe G dont il est question ici est un « Wolf », une version produite en 1991. L'engin gagne en standing et en élégance, mais propose toujours de très bonnes capacités en tout-terrain, afin que les clients n'aient jamais à brider leur sentiment de liberté en se cantonner à la route.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Mansory dévoile un Mercedes Classe G 6x6 pour la prochaine Fashion Week !

Peugeot 3008 : la nouvelle génération démarre sur les chapeaux de roues !

Alors que la nouvelle génération du Peugeot 3008 est disponible à la commande depuis déjà quelques semaines, elle commence déjà à grapiller du terrain sur certains de ses concurrents. Le nouveau 3008 se classe 89ème du classement des ventes de voitures neuves en France à la fin du mois de mai, devant des modèles qui sont pourtant commercialisés depuis bien plus longtemps. Une question se pose : dans combien de temps parviendra-t-il à dépasser l'ancien modèle ? Depuis plusieurs années, le Peugeot 3008 affichait une forme insolente. Son excellent niveau de ventes lui a permis de rester parmi les 15 modèles les plus diffusés en France pendant une longue période. Le mois dernier, on a constaté une baisse de régime. Le 3008 est en effet descendu à la 18ème place. Rien d'inquiétant, étant donné que ce phénomène résulte simplement de l'arrivée de la nouvelle génération. L'ancien modèle n'étant plus distribué, hormis sur stocks, les ventes ont logiquement arrêté de monter. En revanche, le nouveau 3008 semble bien parti pour prendre la relève ! En l'espace de seulement quelques semaines, ce sont déjà plus de 2.000 exemplaires du SUV sochalien qui ont été vendus par Peugeot. 2.020, pour être précis. À titre de comparaison, c'est plus que le Skoda Enyaq ou que l'Alfa Romeo Tonale, qui restent sous la barre des 2.000 exemplaires écoulés. À ce rythme, la nouvelle génération devrait dépasser l'ancienne avant la fin de l'année.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Peugeot E-3008 : à 44.990 euros, qu'offre la version d'entrée de gamme ?

Stellantis s’embourbe avec ses problèmes d’airbags Takata

Il y a quelques semaines, Stellantis annonçait un défaut de fabrication d'airbags impliquant une vaste campagne de rappel. Celle-ci concernait initialement les Citroën C3 et DS3 produites entre 2009 et 2019, soit environ 530.000 voitures rien qu'en Europe. La situation, déjà critique pour le groupe, pourrait en réalité être bien pire puisque 8 millions de voitures seraient en réalités concernées par ses problèmes d'airbags fournis par Takata. C'est un véritable coup de massue qui vient de s'abattre sur le géant Stellantis. Début mai, le groupe lançait une grande campagne de rappel, demandant aux propriétaires de Citroën C3 et DS3 produites entre 2009 et 2019 d'arrêter de conduire. La raison : les airbags qui équipaient ces voitures étaient défectueux. Ils provenaient de l'équipementier japonais Takata, qui a depuis fait faillite. Environ 530.000 voitures (pour l'Europe) étaient concernées par ce souci et sont actuellement en train d'être remises en conformité. Cependant, le problème semble toucher bien plus de voitures… En effet, en plus des Citroën C3 et DS3, ce défaut de fabrication des airbags toucherait de nombreux autres modèles de l'ancien groupe PSA (Peugeot, Citroën, DS et Opel). Ainsi, les Citroën C4, DS4 et DS5, ainsi que certaines voitures provenant de chez Opel, seraient impactées par ce problème. Au total, ce sont donc pas moins de 8 millions de véhicules qui pourraient être rappelés en Europe dans les mois qui viennent !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Ventes de voitures neuves : coup de frein sur le marché de l'automobile en mai

Gemballa MIG : la Ferrari Enzo la plus démoniaque jamais produite !

Gemballa est à l'origine de certaines des préparations les plus spectaculaires basées sur des Porsche. Mais le préparateur n'est pas fermé d'esprit et a déjà planché sur d'autres modèles en provenance d'autres constructeurs. Et notamment une Ferrari Enzo, largement modifiée, aussi bien esthétiquement que techniquement. Gemballa est à part, dans la galaxie des préparateurs automobiles. Comme certains autres grands noms du milieu, cette officine ne se concentre pas sur une seule et unique marque. Ses préparations sont majoritairement basées sur des Porsche, mais le préparateur s'autorise tout de même quelques écarts, sur des McLaren par exemple. Mais l'une de ses réalisations les plus extravagantes n'est basée ni sur une voiture de la marque de Stuttgart, ni sur une supercar Woking. La Gemballa MIG est basée sur une Ferrari Enzo. Il faut avouer qu'on fait pire, comme base de travail. À première vue, l'Italienne est difficilement reconnaissable. Rien d'étonnant, la voiture de base étant dépourvue d'appendices aérodynamiques disgracieux. À côté de la MIG, la Enzo passerait presque pour un modèle de discrétion ! Car une fois sortie des ateliers de Gemballa, la supercar arbore un kit carrosserie pour le moins démonstratif, intégralement fabriqué en fibre de carbone.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : MP Gemballa Marsien : la Porsche 911 qui mange du bitume et du sable

PHOTOS - Le dacia Sandrider se salit les roues pour ses tests de préparation au Dakar !

Comme pour un sportif de haut niveau, Dacia impose un programme d'entrainement strict à son Sandrider, pour le préparer au mieux pour l'édition 2025 du Dakar. Des sessions de tests intensives ont été menées au Pays de Galles et dans le sud de la France. Pour être préparé au mieux pour le Dakar 2025, dont le départ sera donné dans un peu plus de 6 mois, Dacia a envoyé son Sandrider, une équipe de mécaniciens ainsi que ses 3 pilotes de l'autre côté de la Manche, au Pays de Galles. Là-bas, le 4x4 a pu affronter un terrain accidenté pour évaluer ses capacités en off-road ainsi que sa fiabilité mécanique. Par la suite, tout ce petit monde est rentré en France et a poursuivi les tests au château de Lastours, sur un terrain particulièrement rocailleux. À l'issue de ces essais, le trio de pilotes (Sébastien Loeb, Cristina Gutiérrez et Nasser Al-Attiyah) et la directrice de l'équipe se sont dits très satisfaits de la voiture. Seuls quelques soucis mécaniques mineurs ont été rencontrés, selon leur compte-rendu, tandis que le Sandrider semble performant et facile à prendre en main. Voilà qui est plutôt de bon augure pour le Dakar !{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Le Dacia Sandrider est en plein entraînement en vue du Dakar 2025 !

Dacia vient d'annoncer la fin de la première session de tests de son Sandrider. Ce 4x4 doit en effet participer à l'édition 2025 du Dakar, la plus mythique des épreuves du championnat de rallye-raid. L'équipe s'est donc rendue au Pays de Galles pour mettre à l'épreuve son Sandrider en conditions réelles. Dans un peu plus de six mois, Dacia sera lâché dans le grand bain de la compétition automobile. Et pas n'importe laquelle ! Au lieu de commencer petit, la marque a décidé de viser les sommets d'entrée de jeu, en s'attaquant à un sacré morceau : le championnat du monde de rallye-raid. Avec en manche d'ouverture, le redoutable Dakar. Pour se mettre dans les meilleures dispositions possibles, Dacia a donc emmené toute une troupe de mécaniciens ainsi que ses 3 pilotes et un Sandrider au Pays de Galles, au cœur de la base d'essais de Sweet Lamb. Là-bas, l'équipe a procédé à toute une batterie de tests grandeur nature, afin d'évaluer d'une part le comportement du véhicule en tout-terrain, mais également sa fiabilité en utilisation intensive.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Dacia Duster (2024) : de l'hybride, toujours du 4x4, mais plus de Diesel

AC Schnitzer S3 Sport CLS II : un nom compliqué pour une BMW M3 en jogging ?

En 1995, AC Schnitzer était déjà reconnu pour ses réalisations sur base de BMW. Cette année-là, le préparateur allemand a dévoilé une version revisitée de la M3 E36. Celle-ci était dotée d'un kit carrosserie spécifique et voyait sa puissance passer de 286 à 350 chevaux ! Les années 80 et 90 étaient une époque bénie pour les préparateurs automobiles en tous genres. Aucun modèle n'était à l'abri, il n'était pas rare de voir des petites officines s'attaquer à des mythes roulants comme des Ferrari Testarossa ou des Lamborghini Countach. La voiture dont il est question ici est un peu moins « noble » que nos deux Italiennes, cela dit elle appartient à une lignée adulée par les préparateurs : la BMW M3.  La M3 E36, pour être plus précis, est certainement la génération la moins tunée de toutes. Mais en cherchant bien, on peut tout de même tomber sur quelques pépites, parmi lesquelles cette S3 Sport CLS II, née dans les ateliers du préparateur allemand AC Schnitzer. Une appellation à rallonge qui, au premier coup d'œil, ne semble désigner qu'une banale E36 en survêtement de mauvais goût. Et pourtant…{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : MH3 CSL V10 Clubsport : ce que BMW n'a jamais osé faire !

Cupra Tavascan : quel prix pour ce SUV Coupé 100 % électrique ?

La gamme de Cupra s'enrichit d'un nouveau modèle. Celui-ci vient se positionner au-dessus du Formentor déjà existant et prend lui aussi la forme d'un SUV, coupé cette fois, mais surtout 100 % électrique. Deux versions sont disponibles, l'une de 286 chevaux et l'autre de 340 chevaux. Les commandes ouvrent justement aujourd'hui, pour des tarifs débutant à 46.990 euros. Et si Seat commençait à être jaloux ? Pour l'heure, ça n'est pas le cas, mais cela pourrait bien arriver à l'avenir si Cupra continue de s'émanciper de la maison mère et d'avoir droit à des exclusivités. Aujourd'hui, la gamme s'étoffe avec un tout nouveau modèle, 100 % électrique : le Tavascan. Celui-ci est basé sur la même plateforme que ses cousins Volkswagen ID.4, ID.5 ou encore Skoda Enyaq iV.  Le Tavascan prend la forme d'un SUV coupé qui adopte tous les derniers codes stylistiques de la marque. On retrouve donc le fameux Shark Nose, ou nez de requin en bon Français, à l'avant, ainsi que les phares affinés qui intègrent la nouvelle signature lumineuse en forme de triangle. Le code couleur est toujours le même : une peinture sombre et satinée pour la carrosserie et des touches de cuivre sur les jantes, les logos et quelques inserts décoratifs.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : ESSAI – Volkswagen ID.5 Pro 286 (2024) : c'est désormais un bon compagnon de route !

Jeep Willys : l’héroïne du 6 juin 1944

Le 6 juin 1944, les troupes alliées débarquaient en Normandie pour libérer la France de l'occupation allemande. Et si les soldats sont arrivés par la mer, ils ont ensuite poursuivi leur croisade dans les terres, notamment à l'aide d'un véhicule devenu mythique et que tous les passionnés de la seconde guerre mondiale s'arrachent : la Jeep Willys. Cette semaine, la Normandie commémore l'un des événements les plus importants de son histoire : le débarquement. Il y a 80 ans, le 6 juin 1944, les alliés envoyaient leurs troupes depuis l'autre côté de la Manche pour venir libérer la France occupée par les nazis. Une opération d'une ampleur sans précédent, au cours de laquelle des milliers de barges se sont échouées sur les plages normandes pour débarquer soldats, chars d'assaut, camions et, bien sûr, des centaines de Willys, alors appelées Willys MB (le Jeep viendra après). La Willys est devenue une véritable légende roulante, sans doute même l'une des voitures les plus connues depuis l'invention de l'automobile. Remontons dans le temps pour découvrir son histoire. Dans les années 30, face à la hausse des tensions à travers le monde, les États-Unis lancent un appel d'offres auprès de quelques constructeurs pour produire un nouveau véhicule qui servira aux troupes américaines. Les prérequis sont relativement simples : ce modèle doit être léger pour pouvoir passer à peu près partout, mais il doit surtout être facile à entretenir et à réparer sur le champ de bataille. Ford et Willys-Overland remportent le contrat et lancent officiellement la production de la Willys MB en 1941, alors que la seconde guerre mondiale a déjà débuté outre-Atlantique.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Jeep Avenger 4xe : une version parée pour l'aventure ?

CONFIG – Audi S3 Sportback : en attendant la version RS…

Il y a quelques semaines, Audi présentait sa S3 restylée. La version RS étant encore dans les tuyaux, on a commencé par celle-ci. Mais n'allez pas croire qu'elle fait office de bouche-trou, puisqu'avec plus de 300 chevaux, elle a déjà de solides arguments. Chez Audi, la gamme de la compacte A3 est en plein chantier. Les versions standards ainsi que la S3 viennent d'être restylées. Il ne manque plus que la RS3 et le catalogue sera à nouveau au grand complet. En l'attendant, on a décidé d'aller passer le temps dans le configurateur en ligne de la version la plus sportive actuellement disponible. Cette S3 liftée reprend son classique 4 cylindres 2.0 turbo de 333 chevaux et 420 Nm de couple. Une puissance qui devrait être similaire sur l'imminente Volkswagen Golf R, qui tarde à pointer le bout de son nez. Dans la pratique, cette Audi S3 peut abattre le 0 à 100 km/h en seulement 4,7 secondes et atteindre une vitesse de pointe bridée électroniquement à 250 km/h. Une fiche technique appétissante, qui donne encore plus envie de découvrir la future RS3, qui devrait être un sacré cran au-dessus. Côté tarifs, il faut compter 63.000 euros pour cette version Sportback.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Audi S3 : un restylage aux délicieuses saveurs de RS3 !

PHOTOS - BMW M3 : voilà pourquoi c'est la meilleure sportive du marché !

Peu de voitures sportives peuvent se vanter d'avoir une histoire aussi longue et riche que la BMW M3. La sportive bavaroise, née en 1986, s'est forgée une réputation solide et a su rester la référence sur le marché des berlines énervées, depuis bientôt 40 ans. Si BMW n'avait pas voulu s'engager en championnat DTM, on n'aurait peut-être jamais eu droit à la M3. Car c'est pour les besoins de l'homologation en compétition que ce modèle a vu le jour ! Une poignée d'exemplaires a été produite et, face à l'engouement de la clientèle, la voiture est ensuite entrée en production. Depuis 1986, six générations se sont succédées, avec chacune leurs particularités et leurs versions spécifiques, mais avec à chaque fois la même philosophie : limer de l'asphalte et coller la banane à celui qui tient le volant ! De la légendaire M3 E30 à l'actuelle M3 G80, de la mythique M3 CSL E46 à la première Touring sortie il y a 2 ans, en coupé, berline et même cabriolet ou encore break, découvrez ou redécouvrez l'histoire incroyable de la plus sportive des berlines sportives au travers de cette série de photos. {{_DYNINFEED_BLOCK_}}

24 Heures du Mans 2024 : programme, nouveautés, animations, tout savoir !

Les 15 et 16 juin prochains se tiendront les mythiques 24 Heures du Mans, sur le circuit de la Sarthe. Cet événement, l'un des plus importants de l'année à l'échelle mondiale, rassemblera passionnés, pilotes et constructeurs pour rythmer le week-end. Une grosse nouveauté doit d'ailleurs y être dévoilée. On vous dit tout. Voilà déjà 101 ans que la première édition des 24 Heures du Mans a eu lieu. La dernière édition nous avait offert du grand spectacle, avec en point d'orgue la victoire triomphale de Ferrari, l'année du retour de l'écurie dans la catégorie reine. Le cru 2024 s'annonce lui aussi palpitant, avec de nombreuses écuries qui reviennent après plusieurs longues années d'absence. On peut notamment citer Lamborghini, Alpine et BMW, qui vont avoir à cœur de se battre aux avant-postes contre Ferrari, Porsche, Peugeot ou encore Cadillac. Mais les habitués de l'événement Sarthois le savent bien, les 24 Heures du Mans ne se résument pas à la course. Le week-end est rythmé par des animations en tous genres, des parades et des expositions de voitures anciennes. Le traditionnel village sera ouvert aux spectateurs, avec ses boutiques de souvenirs et ses stands de restauration. Le mythique musée qui retrace l'histoire de l'épreuve sera également accessible et, d'ailleurs, quel meilleur moment pour le visiter ?{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Alpine Alpenglow Hy4 : le concept est toujours en vie et il roule !

Cette Bugatti Veyron Grand Sport Vitesse est l’une des plus spectaculaires jamais produites !

L'une des rares Bugatti Veyron Grand Sport Vitesse va être proposé aux enchères la semaine prochaine. L'exemplaire en question est habillé d'une carrosserie en fibre de carbone apparente finie en bleu et en noir, qui contraste avec l'habitacle tendu de cuir orange. La voiture est estimée entre 2 et 2,5 millions de livres. Le tapage occasionné par l'arrivée de la remplaçante de la Bugatti Chiron pourrait presque faire oublier la première hypercar produite sous l'ère Volkswagen : la Veyron. Heureusement, certains riches passionnés s'assurent qu'elle ne tombe pas dans l'oubli, en dépensant des sommes astronomiques pour mettre la main sur des exemplaires rares et ultra spectaculaires. C'est le cas de cette Bugatti Veyron Grand Sport Vitesse, qui pourrait changer de propriétaire la semaine prochaine. La Grand Sport Vitesse a été l'une des dernières évolutions de la Veyron. Basée sur la version Grand Sport, celle-ci se dote en plus d'un toit amovible permettant au conducteur d'entretenir son brushing à plus de 400 km/h. Elle n'a été produite qu'à 92 unités. Par ailleurs, la configuration de cet exemplaire est à la hauteur de sa fiche technique délirante.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : On connaît la date de présentation de la remplaçante de la Bugatti Chiron !

PHOTOS - Nouvelle BMW Série 1 : on prend les mêmes et on recommence ! Vraiment ?

L'heure est venue pour la BMW Série 1 de passer le flambeau. La marque vient justement de dévoiler la nouvelle génération, qui se met à jour esthétiquement, mais aussi techniquement. Visuellement, cette nouvelle Série 1 s'inscrit dans la continuité de la précédente génération. Le gabarit est à peu de choses près identique, même si les lignes évoluent. La face avant gagne en finesse, tandis que l'arrière est plus agressive. Les optiques avant étirées adoptent une nouvelle signature lumineuse. À l'intérieur, BMW remet sa compacte à niveau avec une planche de bord inspirée de celles des modèles supérieurs. La Série 1 a droit au double écran regroupant l'instrumentation et le multimédia. Au lancement, la gamme s'articulera autour de 3 motorisations. Les clients pourront choisir parmi les 120 (désormais privée du "i" synonyme d'électrique), 120d ainsi que la sportive M135 xDrive. Cette dernière embarque un 4 cylindres 2.0 de 300 chevaux et revendique le 0 à 100 km/h en seulement 4,9 secondes.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Les commandes doivent ouvrir en octobre 2024. Les prix débutent à partir de 38.900 euros pour la BMW 120 et grimpent à 57.200 euros pour la 135 xDrive.
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