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VIDEO – VW Golf GTI Clubsport : découverte du modèle 2024

Quelques mois après le restylage de la Golf 8, Volkswagen nous a présenté en avant-première l'une des versions sportives les plus exclusives du catalogue, à savoir la Golf GTI Clubsport. Celle-ci vient d'être dévoilée en première mondiale au Nürburgring pour célébrer les 50 ans du modèle, aux côtés de la version de compétition nommée GTI Clubsport 24H et forte de 348 ch. Pour le modèle de série, la puissance passe désormais à 300ch. Soit un peu plus que la Golf GTI « classique » qui passe à 265 ch cette année. Et un cran en dessous de la nouvelle Golf R forte de 333 ch. La fiche technique est donc intéressante. Avec 300 ch et 400 Nm de couple maxi, le quatre cylindres 2.0 litres turbo fait de cette GTI Clubsport le modèle traction le plus puissant du catalogue et lui permet de délivrer des performances canon : 5,6 s au 0 à 100 km/h. Soit 3 dixièmes plus rapide que la GTI qui stagne à 5,9 secondes.  On observe aussi quelques nouveautés stylistiques et technologiques. A commencer par un tout nouveau bouclier, plus ouvert afin d'améliorer le refroidissement mécanique. Le look se modernise, au même titre que les optiques affinées qui accueillent pour la première fois des feux Matrix LED adaptatifs. La barrette centrale est quant à elle habillée d'un logo lumineux. La montée en gamme est clairement visible. D'autant que notre modèle exposé profite de jantes optionnelles de 19 pouces permettant de réduire les masses non suspendues à hauteur de 8 kg par roue (-20 %). Et d'un impressionnant système d'échappement signé Akrapovic.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} L'habitacle profite lui aussi de son lot de nouveautés en adoptant un bloc d'instrumentation de 10,2 pouces personnalisable et épaulé par un système multimédia de 12,9 pouces. Celui-ci équipe les derniers modèles de la firme allemande, à commencer par sa grande sœur la Passat notamment. La GTI Clubsport se démarque de la GTI en accueillant par la même occasion de très beaux sièges bien enveloppants. Sublimes. En attendant les essais, la fiche technique nous fait déjà de saliver. La GTI Clubsport se démarque en effet par un différentiel électronique positionné sur le train avant. Celui-ci freine la roue intérieure au virage afin d'optimiser la motricité et assurer des passages en courbe le plus efficacement possible. La boite DSG à 7 rapports est évidemment toujours de la partie. La vitesse de pointe enfin, limitée à 250 km/h, peut être débridée à 267 km/h en option. Ce qui en fait l'une des Golf les plus rapides du monde, 3 km/h derrière la Golf R et l'Arteon R. Il faut savoir aussi que cette GTI survitaminée dispose de l'amortissement piloté DCC. Ce n'est pas une nouveauté. En revanche, celui-ci accueille un nouveau mode de conduite dénommé Spécial, caractérisé par une suspension sensiblement assoupli par rapport au mode Race, afin de convenir au mieux au tracé du Nürburgring particulièrement bosselé et contraignant. Le régime de fonctionnement moteur est quant à lui légèrement augmenté afin d'améliorer les temps de réponse. On a hâte de l'essayer !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} La commercialisation a débuté. Les tarifs devraient débuter autour de 53.000 euros environ selon nos estimations. Hors malus évidemment. On parle ici d'une taxe de 40.000 euros. Dommage, elle nous plaisait bien…   {{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Stellantis s’embourbe avec ses problèmes d’airbags Takata

Il y a quelques semaines, Stellantis annonçait un défaut de fabrication d'airbags impliquant une vaste campagne de rappel. Celle-ci concernait initialement les Citroën C3 et DS3 produites entre 2009 et 2019, soit environ 530.000 voitures rien qu'en Europe. La situation, déjà critique pour le groupe, pourrait en réalité être bien pire puisque 8 millions de voitures seraient en réalités concernées par ses problèmes d'airbags fournis par Takata. C'est un véritable coup de massue qui vient de s'abattre sur le géant Stellantis. Début mai, le groupe lançait une grande campagne de rappel, demandant aux propriétaires de Citroën C3 et DS3 produites entre 2009 et 2019 d'arrêter de conduire. La raison : les airbags qui équipaient ces voitures étaient défectueux. Ils provenaient de l'équipementier japonais Takata, qui a depuis fait faillite. Environ 530.000 voitures (pour l'Europe) étaient concernées par ce souci et sont actuellement en train d'être remises en conformité. Cependant, le problème semble toucher bien plus de voitures… En effet, en plus des Citroën C3 et DS3, ce défaut de fabrication des airbags toucherait de nombreux autres modèles de l'ancien groupe PSA (Peugeot, Citroën, DS et Opel). Ainsi, les Citroën C4, DS4 et DS5, ainsi que certaines voitures provenant de chez Opel, seraient impactées par ce problème. Au total, ce sont donc pas moins de 8 millions de véhicules qui pourraient être rappelés en Europe dans les mois qui viennent !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Ventes de voitures neuves : coup de frein sur le marché de l'automobile en mai

Gemballa MIG : la Ferrari Enzo la plus démoniaque jamais produite !

Gemballa est à l'origine de certaines des préparations les plus spectaculaires basées sur des Porsche. Mais le préparateur n'est pas fermé d'esprit et a déjà planché sur d'autres modèles en provenance d'autres constructeurs. Et notamment une Ferrari Enzo, largement modifiée, aussi bien esthétiquement que techniquement. Gemballa est à part, dans la galaxie des préparateurs automobiles. Comme certains autres grands noms du milieu, cette officine ne se concentre pas sur une seule et unique marque. Ses préparations sont majoritairement basées sur des Porsche, mais le préparateur s'autorise tout de même quelques écarts, sur des McLaren par exemple. Mais l'une de ses réalisations les plus extravagantes n'est basée ni sur une voiture de la marque de Stuttgart, ni sur une supercar Woking. La Gemballa MIG est basée sur une Ferrari Enzo. Il faut avouer qu'on fait pire, comme base de travail. À première vue, l'Italienne est difficilement reconnaissable. Rien d'étonnant, la voiture de base étant dépourvue d'appendices aérodynamiques disgracieux. À côté de la MIG, la Enzo passerait presque pour un modèle de discrétion ! Car une fois sortie des ateliers de Gemballa, la supercar arbore un kit carrosserie pour le moins démonstratif, intégralement fabriqué en fibre de carbone.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : MP Gemballa Marsien : la Porsche 911 qui mange du bitume et du sable

Pour nettoyer l'extérieur de votre voiture vous-même, ce nettoyeur haute pression Kärcher sera très utile

Le nettoyeur numéro 1 des ventes chez Amazon baisse de prix ! Votre carrosserie retrouve tout son éclat grâce au nettoyeur haute pression Kärcher, dont le prix baisse de 35 % grâce à cette offre signée Amazon. Si vous avez une voiture et souhaitez lui rendre tout son éclat sans passer par la station de lavage automatique… Voici l'offre à saisir ! Amazon vous propose 35 % de réduction sur le nettoyeur haute pression Kärcher qui coûte désormais 189,90 euros au lieu de 289,99 euros. Numéro 1 des ventes sur la marketplace, il est noté 4,6/5 étoiles et vous permet de nettoyer toutes sortes de surface, dont la carrosserie de votre véhicule. Retrouvez de la brillance et une couleur vive grâce à son jet d'eau puissant. Vous pouvez régler le niveau de pression simplement en tournant la lance. Le pistolet intègre également un écran qui vous permet de vérifier la pression à tout moment avant d'utiliser le Kärcher ou pendant son utilisation. Vous pouvez atteindre une pression maximale de 130 bars, ce qui suffit pour nettoyer votre voiture en profondeur. Donnez un coup de propre à votre voiture avec ce nettoyeur haute pression Kärcher Nettoyer une voiture est tout sauf facile, surtout quand les traces et les taches sont incrustées depuis longtemps. Le nettoyeur à haute pression est la solution idéale pour enlever la poussière et les saletés avec précision. Vous pouvez utiliser le modèle Kärcher pour nettoyer l'extérieur de votre véhicule. Il est également conçu pour protéger votre voiture des griffes éventuelles qui peuvent survenir lors d'un nettoyage agressif. La pression ajustable permet de nettoyer en profondeur les surfaces et les vitres sans les abîmer ou entacher la peinture. Facile à utiliser, le nettoyeur Kärcher, en promotion chez Amazon vous est livré avec un pistolet haute pression, un flexible haute pression de 8 mètres et une rotabuse. En commandant sur Amazon, vous profiterez de la livraison gratuite de votre commande. Autre avantage si vous disposez d'un compte Amazon Prime : vous pourrez bénéficier de la livraison gratuite et accélérée de votre nettoyeur haute pression.  {{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Lanzante TAG Championship : La seule Porsche 911 motorisée par un bloc de F1

A l'occasion du Festival of Speed de Goodwood qui se tiendra en juillet prochain, Lanzante va présenter trois exemplaires de son dernier restomod : la TAG Championship. Celui-ci est basé sur une Porsche 911 type 930 et motorisé par un bloc V6 dérivé des McLaren des années 80.  Le paysage automobile ne compte plus les nombreux artisans spécialisés dans le restomod de Porsche 911. Le coupé GT de Porsche est magnifié sous plusieurs formes, du véhicule de Gentlemen Driver au monstre de piste.  Lanzante est un spécialiste du genre et est étroitement lié à McLaren. L'écurie de F1 fournit les moteurs des monoplaces à la société italienne, qui se charge de les adapter en lieu et place du Flat-6 allemand. Au vu de la fiche technique de leur dernière création, le résultat s'annonce exceptionnel sur la Lanzante TAG Championship.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : VIDEO - Cette Porsche 911 Art Car cache un authentique moteur de Formule 1 sous le capot

Mercedes S600 Estate : Limousine et soute à bagages unique au monde

Cette Mercedes-Benz S600 de 1996 possède une plastique inédite. Elle fait partie des 18 exemplaires de Classe S Estate W140, et est le seul à cacher un moteur V12 sous son capot. Dans les années 90, Mercedes a tapé du poing sur la table en produisant la Classe S W140, surnommée la « meilleure voiture du monde ». Débordant d'innovations techniques et technologiques, la Classe S a repris son trône, menacé par BMW et sa Série 7.  La W140 a été produite jusqu'en 1998, avec notamment l'arrivée de la S600 en 1994, lors du restylage de mi-carrière. Motorisée par un 12 cylindres en V développant 394 ch, elle inaugure surtout l'arrivée de la division de personnalisation « designo ». Celle-ci laisse libre cours à l'imagination de son riche client sur son exemplaire personnalisé, à l'image de cette S600 Estate blanche.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Mercedes 300 TE AMG 6.0 « The Mallet » : Le Marteau familial

PHOTOS – La Nevera de Mate Rimac est complètement dingue

Quand Mate Rimac, fondateur de Rimac Automobili, configure sa propre Nevera, personne n'est déçu. Au menu : carbone peint, motifs en tous genres et une montagne de puissance ! Une carrosserie en fibre de carbone teintée en rouge, ça vous dit ? Eh bien ce n'est pas tout, le fondateur de Rimac a choisi des drapeaux croates peints à la main sur les rétroviseurs et un motif d'éclair caché sous l'aileron arrière. À l'intérieur, il a opté pour une finition asymétrique, avec un côté de l'habitacle principalement noir et l'autre rouge. On y retrouve divers motifs personnalisés, comme l'emblème de Solinjanka, brodés sur les appuie-têtes et les accoudoirs.  Les options de personnalisation sont presque infinies, allant des messages gravés au laser, aux choix de matériaux comme le cuir Napa ou l'Alcantara. La Nevera n'est pas seulement une prouesse esthétique, elle est aussi une bête de performance. Équipée de quatre moteurs électriques, elle développe une puissance de plus de 1.900 chevaux, lui permettant de passer de 0 à 100 km/h en moins de 2 secondes, le tout avec une autonomie de 550 km. {{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Mate Rimac a reçu sa propre Nevera et spoiler alert : elle est magnifique

Le fondateur de Rimac Automobili, a enfin reçu sa Nevera, l'hypercar électrique de sa propre marque. Quinze ans après avoir fondé la société, il voit son ambition se matérialiser dans un véhicule sur mesure, conçu selon ses souhaits. C'est un moment marquant pour Mate Rimac, qui a lancé Rimac Automobili en 2009 « avec le rêve de créer une hypercar entièrement électrique ». Aujourd'hui, ce rêve prend forme dans la Nevera. Chaque détail de cette voiture a été minutieusement choisi par Rimac lui-même. La quasi totalité de ses composants est fabriquée en Croatie, pays d'origine du constructeur. Quand on la voit, difficile de passer à côté de sa carrosserie en fibre de carbone apparente, teintée en rouge, avec des accents en fibre de carbone brute. Cette finition, appelée Carbon Level 3, nécessite une précision millimétrée pour aligner les fibres sur les panneaux de la carrosserie. Le processus de vernissage est tout aussi méticuleux, chaque imperfection étant comblée pour éviter les fissures. Et pour rendre hommage à ses racines croates, des drapeaux ont été peints à la main sur les rétroviseurs et un motif de foudre personnalisé a été apposé sous l'aileron arrière.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Mate Rimac, le PDG de Bugatti, révèle des composants de son futur V16

PHOTOS - Le dacia Sandrider se salit les roues pour ses tests de préparation au Dakar !

Comme pour un sportif de haut niveau, Dacia impose un programme d'entrainement strict à son Sandrider, pour le préparer au mieux pour l'édition 2025 du Dakar. Des sessions de tests intensives ont été menées au Pays de Galles et dans le sud de la France. Pour être préparé au mieux pour le Dakar 2025, dont le départ sera donné dans un peu plus de 6 mois, Dacia a envoyé son Sandrider, une équipe de mécaniciens ainsi que ses 3 pilotes de l'autre côté de la Manche, au Pays de Galles. Là-bas, le 4x4 a pu affronter un terrain accidenté pour évaluer ses capacités en off-road ainsi que sa fiabilité mécanique. Par la suite, tout ce petit monde est rentré en France et a poursuivi les tests au château de Lastours, sur un terrain particulièrement rocailleux. À l'issue de ces essais, le trio de pilotes (Sébastien Loeb, Cristina Gutiérrez et Nasser Al-Attiyah) et la directrice de l'équipe se sont dits très satisfaits de la voiture. Seuls quelques soucis mécaniques mineurs ont été rencontrés, selon leur compte-rendu, tandis que le Sandrider semble performant et facile à prendre en main. Voilà qui est plutôt de bon augure pour le Dakar !{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Le Dacia Sandrider est en plein entraînement en vue du Dakar 2025 !

Dacia vient d'annoncer la fin de la première session de tests de son Sandrider. Ce 4x4 doit en effet participer à l'édition 2025 du Dakar, la plus mythique des épreuves du championnat de rallye-raid. L'équipe s'est donc rendue au Pays de Galles pour mettre à l'épreuve son Sandrider en conditions réelles. Dans un peu plus de six mois, Dacia sera lâché dans le grand bain de la compétition automobile. Et pas n'importe laquelle ! Au lieu de commencer petit, la marque a décidé de viser les sommets d'entrée de jeu, en s'attaquant à un sacré morceau : le championnat du monde de rallye-raid. Avec en manche d'ouverture, le redoutable Dakar. Pour se mettre dans les meilleures dispositions possibles, Dacia a donc emmené toute une troupe de mécaniciens ainsi que ses 3 pilotes et un Sandrider au Pays de Galles, au cœur de la base d'essais de Sweet Lamb. Là-bas, l'équipe a procédé à toute une batterie de tests grandeur nature, afin d'évaluer d'une part le comportement du véhicule en tout-terrain, mais également sa fiabilité en utilisation intensive.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Dacia Duster (2024) : de l'hybride, toujours du 4x4, mais plus de Diesel

PHOTOS - Une Lamborghini Murciélago en boîte manuelle : le rêve accessible ?

Il n'est pas rare de voire des Lamborghini sur le site d'enchères Bring a Trailer, mais cet exemplaire de Murcielago à boîte manuelle, affichant moins de 8.000 km au compteur, a déchainé les passions !  Pas de doute, cette Murciélago attire tous les regards avec son allure racée et ses lignes agressives. On notera les détails exquis comme l'aileron arrière et les prises d'air à activation automatique, ou encore les phares au xénon. L'intérieur se pare de sièges en cuir Créma avec des surpiqûres rouges, d'un tableau de bord en cuir noir et d'équipements haut de gamme. Cerise sur le gâteau : la boîte de vitesses manuelle à six rapports, rarissime de nos jours.  Sous le capot, le V12 de 6,2 litres est monté en position centrale et délivre 580 chevaux pour 650 Nm de couple. Il propulse la voiture de 0 à 100 km/h en seulement 3,8 secondes et lui permet d'atteindre une vitesse maximale de 330 km/h. Cet exemplaire, qui cumule moins de 8.000 km, a bénéficié d'une révision complète avant la vente. Le futur propriétaire de cette voiture aura déboursé 460.000 euros pour se procurer la belle italienne.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Très belle, mais très chère Lamborghini Murcielago, surtout en boîte manuelle !

Une Lamborghini Murciélago à boîte manuelle, qui affiche moins de 8.000 km au compteur, a été mise aux enchères sur Bring a Trailer. Arborant une somptueuse teinte Rosso Vik et un intérieur en cuir Crema avec surpiqûres rouges, cette voiture incarne l'élégance, la performance, mais surtout le fun ! C'est en 2001, lors du Salon de l'Automobile de Francfort, que cette superbe création de la marque au taureau a été dévoilée en remplacement de la Lamborghini Diablo. Parmi ses équipements, on retrouvait des jantes Speedline de 18 pouces, un aileron arrière et des prises d'air à activation automatique, un système de levage de l'essieu avant, ou encore des phares au xénon. Cet exemplaire, qui cumule moins de 8.000 km au compteur, a bénéficié d'une révision complète de son système hydraulique avant la vente. Et quelle vente ! La belle italienne s'est revendue pour la modique somme de 501.000 dollars, soit environ 460.000 euros...{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Une Lamborghini Murcielago avec une boîte manuelle, ça coûte un million d'euros !

AC Schnitzer S3 Sport CLS II : un nom compliqué pour une BMW M3 en jogging ?

En 1995, AC Schnitzer était déjà reconnu pour ses réalisations sur base de BMW. Cette année-là, le préparateur allemand a dévoilé une version revisitée de la M3 E36. Celle-ci était dotée d'un kit carrosserie spécifique et voyait sa puissance passer de 286 à 350 chevaux ! Les années 80 et 90 étaient une époque bénie pour les préparateurs automobiles en tous genres. Aucun modèle n'était à l'abri, il n'était pas rare de voir des petites officines s'attaquer à des mythes roulants comme des Ferrari Testarossa ou des Lamborghini Countach. La voiture dont il est question ici est un peu moins « noble » que nos deux Italiennes, cela dit elle appartient à une lignée adulée par les préparateurs : la BMW M3.  La M3 E36, pour être plus précis, est certainement la génération la moins tunée de toutes. Mais en cherchant bien, on peut tout de même tomber sur quelques pépites, parmi lesquelles cette S3 Sport CLS II, née dans les ateliers du préparateur allemand AC Schnitzer. Une appellation à rallonge qui, au premier coup d'œil, ne semble désigner qu'une banale E36 en survêtement de mauvais goût. Et pourtant…{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : MH3 CSL V10 Clubsport : ce que BMW n'a jamais osé faire !

PHOTOS - Jeep Avenger e-Hybrid (2024), l'essai en images : une dose d'électricité qui change la donne

Sa bouille de Jeep de poche et sa motorisation 100 % électrique, seule proposée au lancement, ont largement joué pour son titre de voiture de l'année 2023. Pourtant, malgré son nom de super-héros, l'Avenger n'a pas vraiment eu un début de parcours très glorieux d'un point de vue commercial... Pas donné, et l'électrique n'est évidemment pas pour tout le monde. Jeep a ainsi rapidement (et discrètement) complété la gamme d'une version essence en reprenant le 3 cylindres 1.2 Puretech 100 ch, fin 2023. Aujourd'hui, c'est au tour du tout récent hybride 48V apparu chez Peugeot, déployé sur toute la famille Stellantis, de faire son apparition sous le capot du Jeep Avenger. Evolution optimisée (et fiabilisée !) du 3 cylindres Putretech, ce moteur doté d'une micro-hybridation plutôt aboutie (voir notre essai des Peugeot 208 et Opel Corsa dotées de la même mécanique) promet consommations douces et agrément en progrès, tout en limitant l'impact sur les aspects pratiques (coffre et habitacle inchangés) et les tarifs... forcément un peu plus élevés, cela dit. Si la greffe prend bien, l'Avenger e-Hybrid serait sans doute la version la plus intéressante de la gamme. 

Cupra Tavascan : quel prix pour ce SUV Coupé 100 % électrique ?

La gamme de Cupra s'enrichit d'un nouveau modèle. Celui-ci vient se positionner au-dessus du Formentor déjà existant et prend lui aussi la forme d'un SUV, coupé cette fois, mais surtout 100 % électrique. Deux versions sont disponibles, l'une de 286 chevaux et l'autre de 340 chevaux. Les commandes ouvrent justement aujourd'hui, pour des tarifs débutant à 46.990 euros. Et si Seat commençait à être jaloux ? Pour l'heure, ça n'est pas le cas, mais cela pourrait bien arriver à l'avenir si Cupra continue de s'émanciper de la maison mère et d'avoir droit à des exclusivités. Aujourd'hui, la gamme s'étoffe avec un tout nouveau modèle, 100 % électrique : le Tavascan. Celui-ci est basé sur la même plateforme que ses cousins Volkswagen ID.4, ID.5 ou encore Skoda Enyaq iV.  Le Tavascan prend la forme d'un SUV coupé qui adopte tous les derniers codes stylistiques de la marque. On retrouve donc le fameux Shark Nose, ou nez de requin en bon Français, à l'avant, ainsi que les phares affinés qui intègrent la nouvelle signature lumineuse en forme de triangle. Le code couleur est toujours le même : une peinture sombre et satinée pour la carrosserie et des touches de cuivre sur les jantes, les logos et quelques inserts décoratifs.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : ESSAI – Volkswagen ID.5 Pro 286 (2024) : c'est désormais un bon compagnon de route !

VIDEO - Citroën C3 et ë-C3 (2024) à l'essai : premier verdict express

Pour ceux qui auraient raté le renouvellement de la Citroën C3, il n'y a aucune erreur ni illusion d'optique : voici bel et bien la quatrième génération de la citadine des Chevrons ! Plus grand-chose de la silhouette rondouillarde de la toute première C3 née en 2002... Nous avons désormais affaire à un petit SUV "de poche", d'un gabarit toujours extrêmement réduit (4,01 m, donc plus court qu'une Renault Clio ou une Peugeot 208), inspiré par le concept Oli découvert fin 2022. De toute manière, il est désormais admis qu'une citadine opère sa mutation en mini-baroudeur (de façade évidemment, aucune prétention tout-terrain). Développée sur une plate-forme inédite, d'abord destinée aux marchés émergents (et optimisée pour l'Europe), la C3 opère un repositionnement un peu délicat : concurrencer Dacia sur son terrain du rapport prix / prestations, sans pour autant verser dans le low-cost. Le mot n'est même jamais prononcé chez Citroën, où l'on parle plutôt de simplification, de rationnalisation... La C3 démarre ainsi à un prix d'appel particulièrement serré, à 14.990 € en essence 100 ch (l'évolution en principe fiabilisée du 3 cylindres 1.2 Puretech). A titre de comparaison, une Sandero GPL démarre à 14.250 €. Quant à la version électrique ë-C3 qui arrive simultanément, son prix d'appel de 23.300 € (avant bonus de 4.000 €) en fait l'électrique la moins chère du marché, devant la Dacia Spring... avec une fiche technique d'un autre niveau (113 ch, batterie de 44 kWh) et en principe, des qualités routières autrement plus modernes. On confirme, après nos premiers tours de roues : au volant, la C3 est toujours une authentique Citroën, confortable et rassurante, et certainement pas bâclée. Doit-on y voir un futur carton commercial, en essence comme en électrique ? L'essentiel à retenir en vidéo, avant l'essai détaillé. {{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Jeep Willys : l’héroïne du 6 juin 1944

Le 6 juin 1944, les troupes alliées débarquaient en Normandie pour libérer la France de l'occupation allemande. Et si les soldats sont arrivés par la mer, ils ont ensuite poursuivi leur croisade dans les terres, notamment à l'aide d'un véhicule devenu mythique et que tous les passionnés de la seconde guerre mondiale s'arrachent : la Jeep Willys. Cette semaine, la Normandie commémore l'un des événements les plus importants de son histoire : le débarquement. Il y a 80 ans, le 6 juin 1944, les alliés envoyaient leurs troupes depuis l'autre côté de la Manche pour venir libérer la France occupée par les nazis. Une opération d'une ampleur sans précédent, au cours de laquelle des milliers de barges se sont échouées sur les plages normandes pour débarquer soldats, chars d'assaut, camions et, bien sûr, des centaines de Willys, alors appelées Willys MB (le Jeep viendra après). La Willys est devenue une véritable légende roulante, sans doute même l'une des voitures les plus connues depuis l'invention de l'automobile. Remontons dans le temps pour découvrir son histoire. Dans les années 30, face à la hausse des tensions à travers le monde, les États-Unis lancent un appel d'offres auprès de quelques constructeurs pour produire un nouveau véhicule qui servira aux troupes américaines. Les prérequis sont relativement simples : ce modèle doit être léger pour pouvoir passer à peu près partout, mais il doit surtout être facile à entretenir et à réparer sur le champ de bataille. Ford et Willys-Overland remportent le contrat et lancent officiellement la production de la Willys MB en 1941, alors que la seconde guerre mondiale a déjà débuté outre-Atlantique.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Jeep Avenger 4xe : une version parée pour l'aventure ?
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