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Renault Captur : à quoi a-t-on droit avec la finition Evolution à 24.900 euros ?

Récemment restylé, le Renault Captur devrait arriver dans les concessions dans les semaines qui viennent, les commandes étant déjà ouvertes. En attendant de croiser les premiers exemplaires sur les routes, intéressons-nous déjà à la finition Evolution, qui fait office d'entrée de gamme, avec son tarif fixé à 24.900 euros. En a-t-on pour notre argent ? C'est un restylage en profondeur auquel a eu droit le Renault Captur. Si la face arrière reste très proche de l'ancienne version, à quelques détails près comme les optiques transparents, la face avant évolue bien plus nettement. À tel point qu'il est difficile de reconnaître le Captur vu de face, du moins tant qu'on ne s'est pas habitué à cette nouvelle version. L'intérieur évolue plus en douceur, davantage sur le plan technologique d'ailleurs, notamment au niveau du système d'infodivertissement Google. Renault décline ce Captur restylé sur 3 niveaux de finition : Evolution, Techno et Esprit Alpine. C'est le premier qui va nous intéresser aujourd'hui. Celui-ci donne accès à trois types de motorisations, avec aussi bien de l'essence que de l'hybride et même du GPL. Les tarifs commencent à 24.900 euros, pour la version TCe de 90 chevaux.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Renault Captur restylé (2024) : sous ses airs de Scenic, change-t-il vraiment ?

PHOTOS - Mansory MCX Pergusa : attention, ça pique violemment les yeux !

Une fois de plus, Mansory reste fidèle à sa propre tradition et vient de présenter une nouvelle version de la Maserati MC20. Le résultat est discutable, mais on ne peut pas renier le travail accompli pour y arriver. Cependant, on voit mal qui, à part un influenceur installé à Dubaï, pourrait bien préférer cette version préparée à la MC20 de série... La Maserati MC20 devait être bien trop lisse au goût de Mansory, qui a tout simplement décidé de la barder d'appendices aérodynamiques disgracieux. Énorme aileron, diffuseur démesuré, lame avant proéminente, roofscop, ailettes latérales... Rien ne manque, ou plutôt tout est en trop, c'est selon. L'ensemble de la carrosserie est réalisé en fibre de carbone apparente. Sous le capot, elle conserve son V6 3.0 biturbo, dont la puissance atteint désormais 750 chevaux et 880 Nm de couple. Le 0 à 100 km/h ne demande plus que 2,6 secondes, tandis que la vitesse de pointe atteint les 335 km/h ! Les prix n'ont pas encore été annoncés.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Mansory MCX Pergusa : la Maserati MC20 complètement hystérique

Mansory vient d'ajouter une nouvelle création à sa collection. Basée sur la Maserati MC20, cette réalisation adopte un nom aussi agressif que son design : MCX Pergusa. Comme toujours avec le préparateur, on est bien loin du design pure et agréable à l'œil de la voiture initiale. Les prix n'ont pas été communiqués pour l'instant. Les constructeurs ont beau s'évertuer à produire des voitures au style élégant, aux lignes fluides, dotées de carrosseries dénuées d'appendices aérodynamiques, il y aura toujours des préparateurs pour saccager le travail des designers. Et parmi eux, le meilleur est certainement Mansory. Toujours dans les bons coups, celui-ci ne manque pas une seule occasion de défigurer les voitures les plus exclusives de la production. Ferrari, Lamborghini, Rolls-Royce, tout le monde y passe ! Cette fois, c'est à une Maserati que Mansory s'est attaqué. La MC20, plus précisément. La supercar italienne a reçu, sans rien demander à personne, un kit carrosserie complet en carbone forgé apparent. Elle a donc droit à une lame avant proéminente, des ailettes latérales, un roofscop, un diffuseur et un aileron arrière démesuré, le tout venant casser la pureté de la ligne originelle. L'ensemble repose sur des jantes forgées à écrou central.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Rolls-Royce Cullinan Linea D'Oro by Mansory : la définition de l'indécence ?

PHOTOS - Cette Citroën 2CV Sahara vaut plus cher qu'une Porsche 911 !

Le week-end dernier, une Citroën 2CV a été adjugée à plus de 143.000 euros lors d'une vente aux enchères qui se tenait à Monaco. Et même s'il s'agit d'une version très particulière, baptisée Sahara et dotée de 2 moteurs, cette somme est tout de même stratosphérique ! On le sait, les prix de revente de certaines voitures n'arrêtent pas d'augmenter. Mais la plupart du temps, ce phénomène ne concerne que des modèles d'exception, le plus souvent des supercars ou des voitures sportives produites par des marques de renom. Alors, quand une "simple" Citroën 2CV s'échange contre la bagatelle de 143.750 euros, on se pince pour être certain qu'on ne rêve pas ! "Simple" n'est certainement pas le qualificatif qui correspond le mieux à cette Deudeuche. Il s'agit en réalité d'une 2CV Sahara, une version produite à seulement 693 unités. Ajoutez à cela l'état de conservation très propre de cet exemplaire de 1965, et son tableau de bord qui n'affiche que 40.492 kilomètres et vous comprenez désormais mieux pourquoi il s'est vendu aussi cher.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} En plus de son accastillage spécifique, de sa roue de secours placée sur le capot avant et de son ventilateur installé sur le coffre, cette Citroën 2CV Sahara a la particularité d'embarquer 2 moteurs. En plus de celui installé à l'avant, un deuxième bloc de 425 cm3 se situe derrière la banquette arrière, transformant alors la Deuche classique en un vrai 4x4. Mais même en tenant compte de l'histoire et de la conception atypique de cette voiture, on ne peut s'empêcher de s'interroger sur son prix de revente. Après tout, pour 143.750 euros, on peut s'offrir une Porsche 911 neuve (sans le malus, certes...). Mais il est vrai que pouvoir se balader au volant d'une telle bizarrerie doit bien justifier une partie de cette coquette somme.

Citroën 2CV Sahara : le plus français de tous les 4x4 !

Le week-end dernier, lors d'une vente aux enchères organisée par la maison RM Sotheby's à Monaco, un lot pour le moins original a trouvé preneur contre la coquette somme de 143.750 euros. Il ne s'agit ni d'une Ferrari, ni d'une Lamborghini ou d'une Porsche. Non, on parle ici d'une Citroën 2CV Sahara, une version équipée d'une transmission intégrale de la fameuse Deudeuche. Oubliez le C5 Aircross, c'est une 2CV Sahara qu'il vous faut ! Les années 60 étaient bénies. À cette époque, les marques n'avaient pas besoin de tableaux Excel remplis de chiffres de marges opérationnelles et de seuils de rentabilité. Tout était plus simple. N'importe qui pouvait avoir une idée, se retrouver 2 semaines plus tard en train de griffonner au crayon sur un paperboard et présenter le produit final 2 mois après, devant une assemblée surexcitée. C'est d'ailleurs ce qui a dû se passer chez Citroën en 1958, quand la marque a présenté la 2CV Sahara. « Chef, j'ai une idée : et si on greffait un deuxième moteur à l'arrière d'une Deuche, qu'on le reliait à l'essieu arrière pour en faire un 4x4 ? Banco ! ». Voilà, dans les grandes lignes, ce qui s'est dit dans le bureau de la direction de Citroën, à l'époque. Et c'était loin d'être des paroles en l'air, puisque la voiture de série est bel et bien arrivée la même année. Visuellement, la 2CV n'était pas transfigurée, mais on pouvait voir au premier coup d'œil que cette version avait un petit truc en plus. La garde au sol était rehaussée, les soubassements protégés par des plaques métalliques, les pare-chocs proéminents et la roue de secours déplacée sur le capot avant. Sans oublier un étrange ventilateur, qui faisait son apparition sur le coffre, à l'arrière…{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Souvenez-vous : quand Citroën attachait une BX GTI sur un Boeing 707 pour une pub télé

Audi NSU EP4 : qu’attend Audi pour produire ce petit jouet électrique ?

L'année dernière, Audi a dévoilé un étonnant concept, en décalage complet avec ses dernières études de style. Et pour cause, cette NSU EP4 a été réalisée par des étudiants qui, avouons-le, ont une approche un poil plus enthousiasmante que celle des véritables designers de la marque aux anneaux, qui semblent préférer les tanks hauts sur roues aux petites voitures amusantes. Il y a donc peu de chances pour qu'Audi décide de la produire, mais la disparition de la TT laisse quand même de la place pour une petite voiture plaisir, qui plus est électrique… Ces dernières années, il faut bien reconnaître que les concepts d'Audi n'étaient pas les plus heureux du monde. On a bien eu droit à la série des Sphere, bénéficiant d'un design assez audacieux, mais la marque a tout de même minimisé la prise de risque. D'autant que rien de ce que l'on avait pu voir sur ces études de style n'a été répliqué depuis sur des voitures de production. Alors, quand Audi a présenté la NSU EP4 en juillet dernier, la flamme s'est ravivée instantanément. On ne va pas refaire toute la genèse de ce concept, qui nécessiterait de revenir 150 ans en arrière et de retracer l'histoire du petit constructeur NSU. Sachez simplement que ce concept est grossièrement un électromod, ou un restomod électrique si vous préférez, de la NSU Print 4L de 1971, entièrement réalisé par un groupe d'étudiants. Et au vu du résultat, on espère sincèrement que certains de ces stagiaires ont été embauchés par Audi depuis !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Audi EP4 : elle vous dit probablement quelque chose

Ferrari F12 TRS : quand Maranello pondait deux One-Off pour le prix de deux !

Les réalisations uniques font partie intégrante de la riche histoire de Ferrari. La marque italienne accouche régulièrement de One-Off, commandés par des clients spéciaux au portefeuille bien garni. Il y a 10 ans, Ferrari dévoilait justement l'un de ces fameux modèles, la F12 TRS. Comme son nom l'indique, celle-ci se basait sur une F12 Berlinetta, avec cependant une carrosserie revue et des performances en hausse. Chez Ferrari, il est relativement simple de s'assurer de ne pas avoir la même voiture que le voisin. « Relativement », puisqu'il faut tout de même avoir les reins solides. Mais une fois ce critère rempli, alors il existe plusieurs possibilités : passer par le département de personnalisation Tailor Made, ou bien signer un chèque en blanc et faire directement appel au centre de style. Si la plupart des clients se contentent de la première option, il n'est pas rare qu'un client plus fortuné que les autres commande une voiture entièrement réalisée sur mesure. C'est ce qui s'est passé en 2014, lorsqu'un fidèle de la marque italienne s'est vu remettre les clés non pas d'une, mais bien de deux Ferrari F12 TRS. C'est vrai, pourquoi se limiter à une seule ? Le principe est simple, sous leurs carrosseries (presque) uniques se cachent deux Ferrari F12 Berlinetta, dont les performances ont en plus été revues à la hausse. Pour résumer, les riches se payent une Ferrari, les très riches la font réaliser sur mesure, tandis que les ultras riches les commandent deux par deux.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Tailor Made, Mulliner, Q : découvrez les départements de personnalisation des marques de luxe

Collection Antoine de Saint Exupéry : les DS 3, DS 4 et DS 7 redessinées par le père du Petit Prince

DS Automobiles vient de dévoiler une nouvelle « collection » dédiée à Antoine de Saint Exupéry. L'écrivain français, auteur du Petit Prince et décédé il y a 80 ans, donne donc son nom à cette série spéciale déclinée sur les DS 3, DS 4 et DS 7. Chaque modèle a droit à toutes les motorisations déjà existantes dans leurs gammes respectives. DS Automobiles présente encore une fois une énième finition sur trois des modèles de sa gamme, qui commence au passage à devenir difficilement compréhensible. Bastille, Rivoli, Opera, Pallas, Edition France… Les finitions sont nombreuses, à tel point qu'on ne sait même plus lesquelles sont limitées dans le temps. Ajoutez à cela qu'elles ne donnent pas toutes accès à telle ou telle motorisation et vous voilà avec un sacré nœud au cerveau ! Mais il restait visiblement un trou de souris dans lequel caser encore une nouvelle finition, baptisée cette fois Antoine de Saint Exupéry. Comme son nom l'indique, celle-ci rend hommage à l'écrivain français, qui était également un aviateur renommé, disparu il y a 80 ans. Cette série spéciale est proposée sur les DS 3, DS 4 et DS 7 et se limite essentiellement à des éléments de design. La marque précise que ce niveau de finition donne accès aux versions essence, Diesel, hybride et 100% électrique.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : DS3 : plus de 30.000 euros pour l'entrée de gamme, sérieusement ?

Avec cette Pontiac Aztek, Walter White aurait été bien plus intimidant !

Il y a quelques années, un passionné a eu la bonne idée de plancher sur un projet vraiment pas banal. En effet, notre homme a décidé de modifier un exemplaire de Pontiac Aztek, qui pourrait prétendre au titre de voiture la plus laide de tous les temps. Mais l'objectif n'était pas de la rendre sportive, ni même belle. Ici, l'idée était d'en faire un engin capable de passer n'importe où ! La Pontiac Aztek a-t-elle la moindre velléité en tout-terrain ? Pas le moins du monde, dans sa condition d'origine en tout cas. À vrai dire, elle est certainement autant à l'aise en dehors des routes que sur un stand de salon automobile. Pour faire simple, elle est aussi baroudeuse qu'agréable à regarder. On en arrive donc à se demander quelle mouche a bien pu piquer le producteur de la série à succès Breaking Bad pour que celui-ci décide de punir son personnage principal en lui donnant à conduire une Pontiac Aztek ! Après tout, on imagine plus souvent les barons de la drogue rouler dans des voitures surpuissantes, ou bien très luxueuses. Mais ce bon vieil Heisenberg, lui, roule dans une voiture que personne (ou presque) n'a daigné acheter dans le monde réel. L'un des rares propriétaires de cette horreur roulante a procédé à quelques menues modifications, qui en auraient fait une voiture bien plus adaptée à la profession de Walter White, dans laquelle sillonner les rues d'Albuquerque n'aurait pas été honteux.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Ford Mustang STL-1 : plus Américain, tu meurs !

PHOTOS - Bentley célèbre une dernière fois le V8 avec une série spéciale des Continental GT, GTC et Flying Spur

Bentley s'apprête à arrêter la production de ses Continental GT et GTC ainsi que de sa Flying Spur, du moins pour les versions équipées du V8. Les modèles ne disparaîtront pas, puisque des versions hybrides sont en préparation. En Europe, nous avons eu droit il y a quelques mois à quelques packs de personnalisation spécifiques, venant s'ajouter au catalogue d'options de ces 3 modèles pour marquer la fin du V8 4.0 biturbo. Cependant, la marque anglaise semble vouloir arrondir les angles sur le marché nord-américain, avec une série spéciale baptisée Edition 8. Celle-ci est disponible sur les Continental GT et GTC, ainsi que sur la Flying Spur. La dotation de cette série spéciale inclut certains des équipements les plus demandés par les clients. Les 3 voitures disposent de la planche de bord rotative à 3 facettes, de la sellerie Palm Fluting, ainsi que des jantes de 22 pouces. Bentley annonce que 60 teintes de carrosserie, toutes issues du catalogue Extended Paint de Mulliner, seront disponibles. Des badges frappés du nom de la série spéciale complètent la dotation.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} On ignore les tarifs de cette Edition 8. Ce qu'on sait, en revanche, c'est que seuls les clients habitant en Amérique du Nord y auront droit. Pour rappel, le V8 4.0 biturbo développe 550 chevaux et 770 Nm de couple. Précisons tout de même que ce bloc continuera d'exister sous le capot du Bentayga, déjà décliné en version hybride rechargeable avec un V6.

Cette Porsche 911 Type 993 nous fait sa crise de la trentaine !

Le préparateur allemand KCPerformance a récemment présenté une Porsche 911 un peu particulière. Les équipes ont travaillé sur un modèle de génération 993 et, à première vue, rien ne change. Il faut en réalité ouvrir la portière et s'installer à bord pour déceler la principale différence, qui se situe entre les deux sièges. Car cette 911 d'antan est désormais équipée d'une boîte automatique PDK. Pas sûr que les puristes de la première heure apprécient… Dans le monde de la restauration automobile, il existe des monuments qu'il vaut mieux ne pas toucher si l'on n'est pas sûr de son coup. Ferrari, ou encore Alfa Romeo et bien entendu, Porsche. La 911 est une icône, peu importe la génération. C'est pourquoi, parmi les nombreuses entreprises spécialisées dans la restauration de ce modèle, seule une poignée est reconnue et respectée mondialement, avec en tête de file le Californien Singer. Mais KCPerformance s'est récemment illustré en présentant une 911 Type 993 modifiée, sur laquelle… rien ne change. À première vue, en tout cas. Extérieurement, on voit mal qui pourrait bien dire que cette 993 n'est pas « full stock ». La carrosserie est inchangée et la voiture repose toujours sur ses jantes de série. Elle n'a même pas droit à des phares à LED ! Peut-être faut-il regarder à l'intérieur, alors ? Les sièges sont identiques à ceux d'une 993 sortie d'usine, tout comme la planche de bord. Puis le regard se pose sur le volant, avant de s'arrêter entre les sièges…{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Cette Porsche 911 restaurée est bien plus moderne que vous ne le pensez

PHOTOS - L'Alpine Alpenglow passe de la moquette des salons à l'asphalte de Spa-Francorchamps !

Dévoilé en 2022 au Mondial de Paris, le concept Alpine Alpenglow se rapproche petit à petit de sa version de production. Certes, il reste encore de la marge, mais l'hypercar à hydrogène s'est déjà offert quelques tours de piste sur le circuit de Spa-Francorchamps, à l'occasion des 6 Heures de Spa. Certains chanceux ont pu assister aux premiers tours de roues de l'Alpine Alpenglow. Ce concept-car a peaufiné son style depuis presque 2 ans, avec un design optimisé, de nouvelles jantes et un nouveau cockpit permettant à deux personnes de monter à bord. Mais la principale nouveauté se cache dans les entrailles de la bête. Car si, en 2022, l'Alpenglow n'était "qu'une coquille vide" dont les données techniques n'étaient que théoriques, Alpine a bien avancé depuis. Désormais, l'hypercar est équipée d'un 4 cylindres 2.0 turbo de 340 chevaux, alimenté par de l'hydrogène. Une approche différente des autres constructeurs, qui permet de décarboner la gamme tout en conservant la sonorité de la voiture.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} À terme, Alpine prévoit de remplacer le petit 4 cylindres par un V6, encore en cours de développement. L'Alpenglow sera à nouveau exposée à l'occasion des 24 Heures du Mans, les 14 et 15 juin prochains, où elle effectuera également quelques tours de circuit. C'est là-bas qu'Alpine dévoilera en première mondiale sa future A290 !

Alpine Alpenglow Hy4 : le concept est toujours en vie et il roule !

Le 10 mai dernier, Alpine a profité des 6 Heures de Spa-Francorchamps pour présenter, ou plutôt représenter, son concept à hydrogène. Si l'Alpenglow Hy4 est assez proche visuellement de celle exposée au Mondial de l'Auto de Paris 2022, elle s'en distingue par une particularité de taille : elle roule, pour de vrai ! La marque en a d'ailleurs fait la démonstration en lui faisant boucler quelques tours de circuit en marge de la course ! Le souci avec les concept-cars, c'est que c'est souvent quitte ou double. Soit le constructeur décide de continuer de plancher dessus jusqu'à arriver à une version de production, plus ou moins proche de l'idée initiale, soit le projet reste à l'état de coquille vide destinée à être déplacée de salon en salon, sans que l'idée d'une version de série n'arrive jamais. Mais on se doutait bien qu'Alpine préparait quelque-chose de concret avec son concept Alpenglow, dévoilé au Mondial de Paris 2022. Car en plus de son design très travaillé, cette hypercar possédait déjà une ébauche de fiche technique. Pour rappel, l'idée de base était de concevoir une hypercar dotée d'un moteur thermique alimenté par de l'hydrogène. La feuille de route a été suivie scrupuleusement, jusqu'à arriver à ce prototype totalement fonctionnel, qui a été présenté à l'occasion des 6 Heures de Spa-Francorchamps, le week-end dernier. Il évolue légèrement sur le plan du design, notamment avec un habitacle biplace et de nouvelles jantes.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : CONFIG - L'Alpine A110 parfaite ressemblerait-elle à la Clio Williams ?

Rolls-Royce Cullinan : le temple greco-anglais s’offre un restylage !

Après 6 ans de carrière, le Rolls-Royce Cullinan se refait une beauté avec un restylage esthétique. L'enjeu est de taille, puisque ce SUV représente la majeure partie des ventes de la marque depuis son arrivée sur le marché.  En 2018, lorsque Rolls-Royce a présenté son Cullinan, les avis étaient très partagés à son sujet. Certains doutaient sérieusement de son succès, tandis que d'autres y croyaient dur comme fer. On vous laisse deviner qui avait raison, étant donné que ce gros SUV représente à l'heure actuelle la majeure partie des ventes de la marque. Rien de bien nouveau cela dit, puisque tous les SUV lancés par les marques de luxe ont suivi le même chemin, du Bentayga de Bentley au Purosangue de Ferrari, en passant par l'Urus de Lamborghini. Mais peu importe son succès, l'étape du restylage reste délicate à aborder. Il est important de faire évoluer le produit, mais il ne faut surtout pas le dénaturer pour ne pas risquer de faire chuter les ventes. En d'autres termes, conserver ce qui plaisait aux clients et introduire des nouveautés. C'est ce que vient de faire Rolls-Royce, le Cullinan évolue sur le plan du design, en douceur.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Rolls-Royce Cullinan Linea D'Oro by Mansory : la définition de l'indécence ?

PHOTOS - Le Rolls-Royce Cullinan se refait une beauté, sans faire de régime !

Rolls-Royce vient de dévoiler la version restylée de son Cullinan. Le SUV ultra luxueux se refait donc une beauté, grâce à un restylage plus profond qu'il n'y parait. Cela dit, les nouveautés semblent être essentiellement esthétiques. Le Cullinan représente la majorité des ventes de Rolls-Royce depuis sa sortie, en 2018. Il est donc primordial de le maintenir au goût du jour, sans trop en faire au risque de le dénaturer. La marque anglaise semble l'avoir bien compris, puisque ce restylage permet à ce SUV ultra luxueux de s'améliorer sur de nombreux points, tout en restant identifiable au premier coup d'oeil. Visuellement, les lignes évoluent en douceur. Le Cullinan conserve son long capot et sa face avant très abrupte, avec sa calandre chromée façon temple grec. Cependant, la proue s'affine légèrement, grâce notamment à une nouvelle signature lumineuse plus effilée et un bouclier redessiné sur les parties basses. Les changements sont plus discrets à l'arrière, on remarque surtout les nouveaux échappements carrés.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} L'habitacle offre toujours une débauche de luxe et d'opulence, tout en gardant ce côté baroque, qui le différencie du Bentley Bentayga. L'écran central est intégré discrètement en haut de la planche de bord, tandis que le poste de conduite intègre désormais une instrumentation numérique. Sous l'horloge centrale, trône également la statuette Spirit Of Ecstasy, emblème de Rolls-Royce ! La marque ne donne pas de détails concernant le moteur. On sait simplement qu'il s'agit toujours du V12 6.75, peut-être un peu plus puissant que la version précédente. Les prix n'ont pas été communiqués.

La BMW M4 CSL est trop terrifiante pour vous ? Voici la version CS, à peine plus sage !

BMW vient de présenter une nouvelle version de sa M4, qui vient se placer à mi-chemin entre le modèle de série et la déclinaison CSL. Pas exactement à mi-chemin en réalité, disons plutôt un cran en dessous de la CSL. Cette nouvelle M4 CS en reprend d'ailleurs le moteur de 550 chevaux, en y ajoutant une transmission intégrale permettant de garder les choses sous contrôle. Elle sera disponible à la fin du mois de mai, contre la coquette somme de 162.000 euros. Visiblement, chez BMW, on a envie de dire adieu au moteur à combustion en finissant en beauté. Et si on a encore un peu de temps avant le bouquet final, celui-ci s'annonce époustouflant au vu de ce que montre la marque bavaroise depuis quelques années. M3 Touring, M3 CS, M4 CSL, 3.0 CSL… Les ingénieurs de la division Motorsport semblent avoir accès à un budget illimité pour donner vie à des projets tous plus enthousiasmants les uns que les autres, dont certains étaient attendus depuis plusieurs décennies, comme la BMW M3 Touring. Même si la M4 compte déjà 3 déclinaisons, la 3.0 CSL n'étant grosso modo qu'une version recarrossée du coupé vendue à un tarif indécent, le constructeur lui offre encore une nouvelle variante : la M4 CS. À première vue, cette M4 CS semble venir se placer quelque part entre une M4 classique et une CSL. Le kit carrosserie très démonstratif comprend divers éléments en fibre de carbone, comme le becquet, le diffuseur, les coques de rétroviseurs ou encore diverses prises d'air. Les lignes ne sont pas transfigurées, simplement musclées. La M4 CS arbore toujours l'énorme calandre, légèrement redessinée. Celle-ci intègre le badge CS noir et rouge, que l'on retrouve également sur la malle. La signature lumineuse avant reprend celle inaugurée lors du restylage de la version de grande série, mais s'illumine désormais de jaune, faisant écho aux modèles mythiques engagés en compétition par BMW.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : BMW M4 et M4 Cabriolet restylées : plus de chevaux, plus d'euros

PHOTOS - BMW dégaine la M4 CS, à peine moins brutale que la très méchante CSL !

Jusqu'à maintenant, les clients souhaitant s'offrir un coupé sportif avait le choix, chez BMW. La M4 se déclinait déjà en coupé, en cabriolet ainsi qu'en version CSL, bien énervée. La marque bavaroise vient de lever le voile sur une nouvelle variante de sa M4, portant le badge bien connu CS. Dans la hiérarchie de la gamme de la BMW M4, cette nouvelle version CS vient se positionner entre le modèle standard et la CSL. Elle en reprend d'ailleurs le moteur, à savoir le 6 cylindres en ligne 3.0 biturbo de 550 chevaux et 650 Nm de couple. Cependant, à la différence de la M4 CSL, cette nouvelle CS envoie dispose d'une transmission intégrale répartissant la puissance sur les 4 roues, en privilégiant tout de même l'essieu arrière, BMW oblige. Que les fans de glisse se rassurent, il est possible de tout déconnecter et de passer en mode 100% propulsion ! Côté performances, BMW annonce un 0 à 100 km/h effacé en 3,4 secondes, soit 1 dixième d'amélioration par rapport à la M4 standard. La vitesse de pointe s'établit quant à elle à 302 km/h de série grâce au Pack Expérience M qui, pour une fois, n'est pas optionnel.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Au-delà de son badge CS apposé à l'avant et à l'arrière, cette M4 CS se distingue des autres versions grâce à sa calandre ornée d'un liseré rouge, mais aussi grâce à son kit carrosserie incluant des éléments en fibre de carbone, comme les coques de rétroviseurs, le toit ou encore le becquet. La marque précise qu'en plus de deux teintes reprises au nuancier BMW, deux nouveaux coloris seront spécifiques à ce modèle, dont ce Frozen Isle of Man Green Metallic.  Venons-en maintenant aux choses qui fâchent, à savoir les tarifs. Il faudra compter 162.000 euros chez nous, sans le malus écologique de 60.000 euros. Alors, si vous avez 222.000 euros sous la main et que vous en voulez une, ne traînez pas, puisque BMW n'alloue que 74 exemplaires pour la France. Il n'y en aura donc pas pour tout le monde... Les carnets de commandes doivent ouvrir à la fin du mois de mai.

CONFIG – Notre Alfa Romeo Stelvio Quadrifoglio est parfait pour un road-trip en famille !

L'ADN d'Alfa Romeo en a pris un petit coup, depuis la présentation du nouveau Junior. Ce petit SUV, au style plutôt sportif avouons-le, cache en réalité une motorisation hybride ou électrique, au choix. Rien de bien exaltant. Heureusement pour les puristes, il reste dans la gamme quelques modèles plus proches de la philosophie de la marque italienne, dont le Stelvio Quadrifoglio, avec son V6 de plus de 500 chevaux. On en a d'ailleurs configuré un exemplaire, parfait pour partir en road-trip en famille cet été ! L'avenir de l'Alfa Romeo Stelvio n'est pas assuré, encore moins dans sa version sportive Quadrifoglio. Par les temps qui courent, les constructeurs ont la fâcheuse manie de remplacer les modèles passionnants par des engins équipés de batteries de 200 kg et de moteurs d'aspirateurs. Heureusement, ils n'oublient pas la sportivité en leur ajoutant des badges RS, ou Veloce… Mais trêve d'ironie, revenons-en à notre mouton : le Stelvio Quadrifoglio. Avec son V6 2.9 biturbo de 520 chevaux, l'ADN Alfa Romeo est bel et bien là, malgré son statut de SUV. Il reprend les lignes de la Giulia, tout en offrant davantage de place dans l'habitacle pour partir en vacances en famille. Cela dit, tout cela se mérite, puisque le Stelvio Quadrifoglio s'affiche à partir de 104.000 euros.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Alfa Romeo Stelvio et Giulia : les versions électriques débarquent en 2025 et 2026

Bentley Batur : vous n'avez pas pu vous offrir le coupé ? Voici maintenant le cabriolet !

Bentley vient de dévoiler la dernière réalisation de son département de personnalisation, Mulliner. La nouvelle Batur Convertible reprend les dessous du coupé éponyme, tout en abandonnant son toit pour pouvoir cruiser cheveux au vent. Avec ce cabriolet ultra exclusif, les quelques propriétaires chanceux pourront afficher leur supériorité par rapport aux possesseurs de banales Continental GTC ! Quand on a beaucoup d'argent, vraiment beaucoup, et qu'on souhaite s'offrir une belle voiture, on se tourne vers Rolls-Royce ou Bentley. Mais quand on a tellement d'argent et que l'on ne sait plus quoi en faire, alors on va frapper à la porte des départements de personnalisation de ces deux marques, Mulliner dans le cas de Bentley. Cette division d'ultra luxe est en effet à l'origine de certains des modèles les plus exclusifs du marché, comme la Bacalar ou la plus récente Batur.  Plus luxueux, plus rares du fait de leur production très limitée et donc fatalement plus chers, ces modèles ne s'adressent pas aux clients fortunés, mais bien à l'élite de la clientèle. Soucieux de continuer de proposer des produits d'exception, Mulliner vient de lever le voile sur sa dernière réalisation, la Batur Convertible.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Bentley Bentayga Apex Edition : Pourquoi le SUV de luxe anglais enfile son jogging ?
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