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Rolls-Royce Cullinan : le temple greco-anglais s’offre un restylage !

Après 6 ans de carrière, le Rolls-Royce Cullinan se refait une beauté avec un restylage esthétique. L'enjeu est de taille, puisque ce SUV représente la majeure partie des ventes de la marque depuis son arrivée sur le marché.  En 2018, lorsque Rolls-Royce a présenté son Cullinan, les avis étaient très partagés à son sujet. Certains doutaient sérieusement de son succès, tandis que d'autres y croyaient dur comme fer. On vous laisse deviner qui avait raison, étant donné que ce gros SUV représente à l'heure actuelle la majeure partie des ventes de la marque. Rien de bien nouveau cela dit, puisque tous les SUV lancés par les marques de luxe ont suivi le même chemin, du Bentayga de Bentley au Purosangue de Ferrari, en passant par l'Urus de Lamborghini. Mais peu importe son succès, l'étape du restylage reste délicate à aborder. Il est important de faire évoluer le produit, mais il ne faut surtout pas le dénaturer pour ne pas risquer de faire chuter les ventes. En d'autres termes, conserver ce qui plaisait aux clients et introduire des nouveautés. C'est ce que vient de faire Rolls-Royce, le Cullinan évolue sur le plan du design, en douceur.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Rolls-Royce Cullinan Linea D'Oro by Mansory : la définition de l'indécence ?

PHOTOS - Le Rolls-Royce Cullinan se refait une beauté, sans faire de régime !

Rolls-Royce vient de dévoiler la version restylée de son Cullinan. Le SUV ultra luxueux se refait donc une beauté, grâce à un restylage plus profond qu'il n'y parait. Cela dit, les nouveautés semblent être essentiellement esthétiques. Le Cullinan représente la majorité des ventes de Rolls-Royce depuis sa sortie, en 2018. Il est donc primordial de le maintenir au goût du jour, sans trop en faire au risque de le dénaturer. La marque anglaise semble l'avoir bien compris, puisque ce restylage permet à ce SUV ultra luxueux de s'améliorer sur de nombreux points, tout en restant identifiable au premier coup d'oeil. Visuellement, les lignes évoluent en douceur. Le Cullinan conserve son long capot et sa face avant très abrupte, avec sa calandre chromée façon temple grec. Cependant, la proue s'affine légèrement, grâce notamment à une nouvelle signature lumineuse plus effilée et un bouclier redessiné sur les parties basses. Les changements sont plus discrets à l'arrière, on remarque surtout les nouveaux échappements carrés.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} L'habitacle offre toujours une débauche de luxe et d'opulence, tout en gardant ce côté baroque, qui le différencie du Bentley Bentayga. L'écran central est intégré discrètement en haut de la planche de bord, tandis que le poste de conduite intègre désormais une instrumentation numérique. Sous l'horloge centrale, trône également la statuette Spirit Of Ecstasy, emblème de Rolls-Royce ! La marque ne donne pas de détails concernant le moteur. On sait simplement qu'il s'agit toujours du V12 6.75, peut-être un peu plus puissant que la version précédente. Les prix n'ont pas été communiqués.

La BMW M4 CSL est trop terrifiante pour vous ? Voici la version CS, à peine plus sage !

BMW vient de présenter une nouvelle version de sa M4, qui vient se placer à mi-chemin entre le modèle de série et la déclinaison CSL. Pas exactement à mi-chemin en réalité, disons plutôt un cran en dessous de la CSL. Cette nouvelle M4 CS en reprend d'ailleurs le moteur de 550 chevaux, en y ajoutant une transmission intégrale permettant de garder les choses sous contrôle. Elle sera disponible à la fin du mois de mai, contre la coquette somme de 162.000 euros. Visiblement, chez BMW, on a envie de dire adieu au moteur à combustion en finissant en beauté. Et si on a encore un peu de temps avant le bouquet final, celui-ci s'annonce époustouflant au vu de ce que montre la marque bavaroise depuis quelques années. M3 Touring, M3 CS, M4 CSL, 3.0 CSL… Les ingénieurs de la division Motorsport semblent avoir accès à un budget illimité pour donner vie à des projets tous plus enthousiasmants les uns que les autres, dont certains étaient attendus depuis plusieurs décennies, comme la BMW M3 Touring. Même si la M4 compte déjà 3 déclinaisons, la 3.0 CSL n'étant grosso modo qu'une version recarrossée du coupé vendue à un tarif indécent, le constructeur lui offre encore une nouvelle variante : la M4 CS. À première vue, cette M4 CS semble venir se placer quelque part entre une M4 classique et une CSL. Le kit carrosserie très démonstratif comprend divers éléments en fibre de carbone, comme le becquet, le diffuseur, les coques de rétroviseurs ou encore diverses prises d'air. Les lignes ne sont pas transfigurées, simplement musclées. La M4 CS arbore toujours l'énorme calandre, légèrement redessinée. Celle-ci intègre le badge CS noir et rouge, que l'on retrouve également sur la malle. La signature lumineuse avant reprend celle inaugurée lors du restylage de la version de grande série, mais s'illumine désormais de jaune, faisant écho aux modèles mythiques engagés en compétition par BMW.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : BMW M4 et M4 Cabriolet restylées : plus de chevaux, plus d'euros

PHOTOS - BMW dégaine la M4 CS, à peine moins brutale que la très méchante CSL !

Jusqu'à maintenant, les clients souhaitant s'offrir un coupé sportif avait le choix, chez BMW. La M4 se déclinait déjà en coupé, en cabriolet ainsi qu'en version CSL, bien énervée. La marque bavaroise vient de lever le voile sur une nouvelle variante de sa M4, portant le badge bien connu CS. Dans la hiérarchie de la gamme de la BMW M4, cette nouvelle version CS vient se positionner entre le modèle standard et la CSL. Elle en reprend d'ailleurs le moteur, à savoir le 6 cylindres en ligne 3.0 biturbo de 550 chevaux et 650 Nm de couple. Cependant, à la différence de la M4 CSL, cette nouvelle CS envoie dispose d'une transmission intégrale répartissant la puissance sur les 4 roues, en privilégiant tout de même l'essieu arrière, BMW oblige. Que les fans de glisse se rassurent, il est possible de tout déconnecter et de passer en mode 100% propulsion ! Côté performances, BMW annonce un 0 à 100 km/h effacé en 3,4 secondes, soit 1 dixième d'amélioration par rapport à la M4 standard. La vitesse de pointe s'établit quant à elle à 302 km/h de série grâce au Pack Expérience M qui, pour une fois, n'est pas optionnel.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Au-delà de son badge CS apposé à l'avant et à l'arrière, cette M4 CS se distingue des autres versions grâce à sa calandre ornée d'un liseré rouge, mais aussi grâce à son kit carrosserie incluant des éléments en fibre de carbone, comme les coques de rétroviseurs, le toit ou encore le becquet. La marque précise qu'en plus de deux teintes reprises au nuancier BMW, deux nouveaux coloris seront spécifiques à ce modèle, dont ce Frozen Isle of Man Green Metallic.  Venons-en maintenant aux choses qui fâchent, à savoir les tarifs. Il faudra compter 162.000 euros chez nous, sans le malus écologique de 60.000 euros. Alors, si vous avez 222.000 euros sous la main et que vous en voulez une, ne traînez pas, puisque BMW n'alloue que 74 exemplaires pour la France. Il n'y en aura donc pas pour tout le monde... Les carnets de commandes doivent ouvrir à la fin du mois de mai.

VIDEO - A bord de la BMW M2 boîte manuelle : nos sensations de conduite

Après notre précédent essai de la BMW M2 équipée de la boîte automatique, nous avons cette fois eu l'occasion de prendre en main la petite sportive bavaroise en version boîte manuelle. Une configuration un peu moins performante puisqu'en l'occurrence la M2 perd deux petits dixièmes au 0 à 100km/h avec un chrono de 4,3 secondes. En revanche, la boîte mécanique profite clairement aux sensations de conduite avec des passages de rapports plus marqués et en imposant un vrai engagement de la part du conducteur. Toujours dotée du six cylindres en ligne 3.0 litres bi-turbo de 460 ch et 550 Nm, la M2 se révèle alors un engin ultra-exclusif dans la catégorie. D'ailleurs, c'est la dernière M a profiter d'une telle configuration. Un futur collector ! Lire aussi : ESSAI - BMW M2 : sont-ils allés trop loin ?

PHOTOS - Hyundai Ioniq 5 N (2024), l'essai en images : une grosse polémique de 650 ch

En passant entre les mains de la division N, la branche sportive de Hyundai, l'inclassable Ioniq 5 devient l'un des objets roulants les plus délirants de ces dernières années. Certes, l'électrique permet depuis longtemps d'exploiter de très fortes puissances et signer des chronos d'enfer en toute facilité (3,4 s de 0 à 100 km/h dans le cas de la Ioniq 5 N). Bien sûr, les Porsche Taycan, Tesla Model S Plaid ou Kia EV6 GT en livrent une impressionnante démonstration. Mais là, c'est autre chose... En imitant le fonctionnement d'une vraie sportive thermique, tant au niveau sonorité que de la conduite (elle simule même les passages de rapports factices !), cette très étrange coréenne lance un double message un peu provocant. Rien ne remplacerait l'essence, en matière de sensations et de sportivité ? Et en même temps (c'est à la mode), une électrique serait capable de faire aussi bien... Voire mieux ?! Bon, les grondements inspirés du 4 cylindres de la i30 N amusent la galerie. Maintenant, il s'agit surtout de voir, au-delà de l'aspect gadget totalement assumé, comment sont dressés ses 650 ch (et 770 Nm de couple !), avec plus de 2,2 tonnes à faire tourner. Notre essai en images.          

CONFIG – Notre Alfa Romeo Stelvio Quadrifoglio est parfait pour un road-trip en famille !

L'ADN d'Alfa Romeo en a pris un petit coup, depuis la présentation du nouveau Junior. Ce petit SUV, au style plutôt sportif avouons-le, cache en réalité une motorisation hybride ou électrique, au choix. Rien de bien exaltant. Heureusement pour les puristes, il reste dans la gamme quelques modèles plus proches de la philosophie de la marque italienne, dont le Stelvio Quadrifoglio, avec son V6 de plus de 500 chevaux. On en a d'ailleurs configuré un exemplaire, parfait pour partir en road-trip en famille cet été ! L'avenir de l'Alfa Romeo Stelvio n'est pas assuré, encore moins dans sa version sportive Quadrifoglio. Par les temps qui courent, les constructeurs ont la fâcheuse manie de remplacer les modèles passionnants par des engins équipés de batteries de 200 kg et de moteurs d'aspirateurs. Heureusement, ils n'oublient pas la sportivité en leur ajoutant des badges RS, ou Veloce… Mais trêve d'ironie, revenons-en à notre mouton : le Stelvio Quadrifoglio. Avec son V6 2.9 biturbo de 520 chevaux, l'ADN Alfa Romeo est bel et bien là, malgré son statut de SUV. Il reprend les lignes de la Giulia, tout en offrant davantage de place dans l'habitacle pour partir en vacances en famille. Cela dit, tout cela se mérite, puisque le Stelvio Quadrifoglio s'affiche à partir de 104.000 euros.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Alfa Romeo Stelvio et Giulia : les versions électriques débarquent en 2025 et 2026

Bentley Batur : vous n'avez pas pu vous offrir le coupé ? Voici maintenant le cabriolet !

Bentley vient de dévoiler la dernière réalisation de son département de personnalisation, Mulliner. La nouvelle Batur Convertible reprend les dessous du coupé éponyme, tout en abandonnant son toit pour pouvoir cruiser cheveux au vent. Avec ce cabriolet ultra exclusif, les quelques propriétaires chanceux pourront afficher leur supériorité par rapport aux possesseurs de banales Continental GTC ! Quand on a beaucoup d'argent, vraiment beaucoup, et qu'on souhaite s'offrir une belle voiture, on se tourne vers Rolls-Royce ou Bentley. Mais quand on a tellement d'argent et que l'on ne sait plus quoi en faire, alors on va frapper à la porte des départements de personnalisation de ces deux marques, Mulliner dans le cas de Bentley. Cette division d'ultra luxe est en effet à l'origine de certains des modèles les plus exclusifs du marché, comme la Bacalar ou la plus récente Batur.  Plus luxueux, plus rares du fait de leur production très limitée et donc fatalement plus chers, ces modèles ne s'adressent pas aux clients fortunés, mais bien à l'élite de la clientèle. Soucieux de continuer de proposer des produits d'exception, Mulliner vient de lever le voile sur sa dernière réalisation, la Batur Convertible.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Bentley Bentayga Apex Edition : Pourquoi le SUV de luxe anglais enfile son jogging ?

PHOTOS - Bentley présente la dernière née de sa division Mulliner, la Batur Convertible !

Bentley vient de lever le voile sur la toute dernière réalisation de son département de personnalisation, Mulliner. La branche d'ultra luxe a ôté le toit du coupé Batur, donnant ainsi naissance à la Batur Convertible, sans doute l'un des cabriolets les plus exclusifs du marché. Exclusif, de par la quantité d'exemplaires prévus, d'une part. 16, pour être précis. Pas un de plus, pas un de moins. Il faudra donc se lever tôt pour espérer mettre la main sur l'un d'eux, si tant est qu'ils ne soient pas déjà tous vendus.  C'est l'exemplaire N°0 que Bentley a décidé de dévoiler. Celui-ci arbore une teinte Vermillon satinée. Les lignes sont globalement les mêmes que celles du coupé, présenté en 2022, à ceci près que cette version Convertible abandonne le toit au profit d'une capote souple. La marque anglaise précise que les clients ont le choix parmi une infinité de possibilités de personnalisation, dans la plus pure tradition du label Mulliner.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Évidemment, l'habitacle fait la part belle aux matériaux les plus nobles. L'intégralité de l'intérieur est tendu de cuir de différentes teintes avec des surpiqures, tandis que la planche de bord est ornée d'inserts décoratifs contrastants.  Sous le capot, on retrouve le W12 de la version Coupé, dont la puissance reste à 750 chevaux pour un couple impressionnant de 1.000 Nm. Le bloc est épaulé par 2 turbo et est associé à une boîte automatique à 8 rapports ainsi qu'à un échappement sport, pour profiter des vocalises cheveux au vent. Bien évidemment, Bentley a soigneusement tenu les prix secrets.

PHOTOS - Cette rare Alfa Romeo Giulia GTAm arbore une livrée historique qui va faire décoller son prix de vente

Alfa Romeo a produit pendant une courte période deux éditions limitées de sa berline, la Giulia. Basée sur la version sportive Quadrifoglio Verde, les Giulia GTA et GTAm s'échangent aujourd'hui à prix d'or sur les sites de ventes aux enchères. A l'image de cet exemplaire, muni du pack "Silverstone 1972", qui est sur le point de s'échanger contre un gros chèque pouvant dépasser les 170.000 euros.   Le pack « Silverstone 1972 » correspond à une victoire historique du label GTA. Le bouclier avant est peint au choix en blanc ou en jaune. Le reste de la carrosserie se fait à l'appréciation du client : rouge, jaune, vert, blanc ; avec le Biscione sur le capot ou sans ; un chiffre sur les portes ou non ; le drapeau italien ou de simples lignes courant sur toute la longueur de l'auto …{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Sur cet exemplaire, la face avant est peinte en blanc. Elle est surmontée d'une large bande centrale qui court jusque sur le coffre. Un adhésif circulaire, arborant le chiffre « 1 » est posé sur les portes. Enfin, son toit est en fibre de carbone. Acheté neuf, il est déjà mis en vente chez RM Sotheby's avec seulement 838 km au compteur.  Lire aussi : Alfa Romeo Giulia GTAm : Alfa renoue (encore) avec son passé sportif Chaque livrée historique est personnalisable à souhait … et renforce le côté collection du véhicule, pourtant déjà exclusif, à 500 unités, seulement. De quoi faire exploser les cotes, à l'image de ce modèle, dont l'estimation est comprise entre 150 et 200.000 euros !

Alfa Romeo Giulia GTAm : Alfa renoue (encore) avec brio avec son passé sportif

Alfa Romeo avait présenté en 2020 deux éditions spéciales survitaminées de la Giulia : la GTA et son pendant piste, la GTAm. La berline italienne pouvait même avoir accès à un pack de personnalisation « Silverstone 1972 », qui la rend encore plus exclusive.  L'Alfa Romeo Giulia coche toutes les cases de l'"esprit Alfa" depuis sa sortie en 2015. Berline, propulsion, correctement motorisée en essence comme en diesel, la Giulia fait partie des berlines les plus belles et les plus désirables de sa catégorie.  Le sommet de la gamme est incarné par la Quadrifoglio Verde, motorisée par un V6 2.9 biturbo de 530 ch. De quoi aller taquiner les surpuissantes Mercedes C63 AMG et autres BMW M3. Il ne manquait plus que la consécration suprême pour les collectionneurs : la fameuse série spéciale ultra-sportive. C'est chose faite en 2020, avec les Alfa Romeo Giulia GTA et GTAm. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Valtteri Bottas reçoit son Alfa Romeo Giulia GTAm

PHOTOS - Cette rutilante Audi RS2 voit sa cote grimper année après année

Audi a créé en 1995 la RS2 en collaboration avec Porsche. Considéré comme le premier break de sport de l'histoire, la RS2 possède des performances de supercar pour l'époque. Cet exemplaire, actuellement en vente sur un site aux enchères français, est dans un état clinique.  Les boucliers avant et arrière sont spécifiques au modèle. Les rétroviseurs obus proviennent de la Porsche 911 type 993. Les jantes Audi de 16 pouces sont remplacées par des roues Porsche Cup de 17 pouces. Dans le détail, on distingue des clignotants blancs à l'avant, un nouveau badge « Audi RS2 Porsche » sur la calandre et le coffre, des étriers de freins peints en rouge, et une calandre inter-feux rouge sur la malle arrière. A bord, les sièges baquets Recaro sont spécifiques. Les panneaux de portes ont été redessinés et tendus de cuir. L'instrumentation à fond blanc recevait un compteur gradué jusqu'à 300 km/h.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Audi RS2 : Le break des papas éternellement pressés Sous le capot, le moteur 5 cylindres 2.2 20V se voit greffé d'un turbocompresseur K24 plus gros, avec une pression pouvant aller jusqu'à 1,4 bar en overboost. Le bloc atteint désormais 315 ch et 410 Nm de couple maxi. Il est relié à une boîte manuelle à 6 rapports et fait passer toute cette cavalerie au sol grâce à sa transmission intégrale quattro.  L'Audi RS2 atteint 100 km/h en 5,3 s et 262 km/h en vitesse de pointe. Le tout, dans un bruit exceptionnel, unique aux 5 cylindres en ligne.

Audi RS2 : Le break des papas éternellement pressés

En 1993, Audi surprend tout le monde au Salon de Francfort en dévoilant la RS2, un break sportif développé en collaboration avec Porsche. La puissance et le son de son moteur 5 cylindres ont enivré toute une génération, dans la lignée des quattro du Groupe B de la décennie précédente.   Les années 90 ont fait mal à Audi. Le Groupe B a disparu depuis 1987, tandis que Pikes Peak et le DTM ne sont pas suffisants pour assurer les finances internes. Il fallait absolument trouver un équilibre dans les comptes de la marque aux Anneaux, qui commencent à virer tout doucement dans le rouge. Après le sport, Audi tente l'aventure du luxe, avec la V8 en 1989. Les chiffres ne sont pas fameux. Pour le moment … L'histoire de l'Automobile a montré une quantité non négligeable de paris qui ont payé. Ceux-là même qui font basculer des histoires et des vies. Produite entre 1995 et 1996, l'Audi RS2 fait partie de ces véhicules qui ont changé le cours de l'histoire d'une marque automobile. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : CONFIG – Voici l'Audi RS4 parfaite pour battre des records entre Marbella et Amsterdam

Cette Bugatti Chiron est sur son 31, avec un costume en fibre de carbone bleue !

Le mois dernier, l'un des très heureux propriétaires de Bugatti Chiron a mis en vente son hypercar sur une plateforme d'enchères. Cet exemplaire a la particularité d'être habillé d'une carrosserie intégralement composée de fibre de carbone, laissée apparente et peinte en bleu. Une configuration très élégante, qui s'est échangée contre la modique somme de 3,075 millions de dollars. Ces derniers mois, on a assisté à une stabilisation des cotes sur le marché des voitures d'exception. Attention, n'allez pas croire qu'elles sont devenues accessibles, loin de là, cependant leur valeur stagne, à plusieurs dizaines de milliers d'euros près. L'époque où leur cote explosait est donc derrière nous, mais pourrait toutefois revenir prochainement. Quoiqu'il en soit, une des 500 Bugatti Chiron produites a récemment été vendue aux enchères, contre 3,075 millions de dollars, soit un peu plus de 2,85 millions d'euros. L'exemplaire en question est assez exceptionnel, même pour une Chiron déjà loin d'être banale. Il arbore une carrosserie composée de panneaux en fibre de carbone, laissée apparente et habillée d'une teinte bleu nuit, très élégante. L'hypercar alsacienne repose sur un ensemble de jantes forgées noires, de 20 pouces à l'avant et 21 à l'arrière. Certains éléments sont laissés en noir, comme le diffuseur ou encore les coques de rétroviseurs.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi :  Remplaçante de la Bugatti Chiron : le W16 laissera sa place à un V16 hybride !

PHOTOS - Cette Bugatti Chiron est intégralement habillée de fibre de carbone bleue !

L'un des 500 exemplaires de la Bugatti Chiron a été vendu aux enchères le mois dernier, contre la coquette somme de 3,075 millions de dollars, soit environ 2,85 millions d'euros. Et même si cet exemplaire est assez exceptionnel, avec sa carrosserie en carbone apparent, finie en bleu, la cote de la Chiron semble stagner depuis quelques mois maintenant. Entendons-nous, lorsque l'on dit que sa cote ne monte plus, cela ne signifie pas que la Bugatti Chiron est abordable. Loin de là, même, puisqu'elle reste inaccessible pour le commun des mortels. Cet exemplaire en est une nouvelle fois la preuve, car il s'est échangé contre la bagatelle de 2,85 millions d'euros environ, en Californie. Cette Bugatti Chiron bénéficie d'une configuration très élégante, avec une carrosserie composée de panneaux en fibre de carbone, laissée apparente et habillée d'une teinte bleue. L'ensemble repose sur des jantes noires, de 20 pouces à l'avant et 21 à l'arrière. L'habitacle contraste avec l'extérieur, avec sa sellerie en cuir rouge qui s'étend de la base de la console centrale jusqu'au pavillon. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} L'exemplaire vendu n'affiche que 1.900 miles au compteur, soit un peu plus de 3.057 kilomètres, parcourus depuis 2018. Autant dire que cette Chiron n'a pas roulé tous les jours depuis sa livraison. Pour rappel, elle est équipée d'un W16 8.0 quadriturbo développant 1.500 chevaux, qui lui permet d'atomiser le 0 à 100 km/h en 2,4 secondes et d'atteindre une vitesse maximale limitée électroniquement à 420 km/h. 

Machine Revival : le Singer français qui crée des chefs-d’œuvre depuis plus de 10 ans !

Le monde de la restauration et de la préparation automobile n'est pas réservé qu'aux Anglais et aux Américains. Si ce sont bel et bien les plus connus, d'autres officines méritent pourtant d'être mises sous le feu des projecteurs, dont Machine Revival. Cette société française, fondée en 2013 par un petit groupe de passionnés d'automobiles, a déjà accouché de plus d'une vingtaine de créations exceptionnelles. Lorsque l'on évoque l'art méticuleux de la restauration de voitures anciennes, les mêmes noms reviennent souvent en boucle. Notamment Singer, une entreprise californienne spécialisée dans la remise au goût du jour de l'iconique Porsche 911, qui s'est taillée une réputation mondiale et qui est aujourd'hui considérée comme la meilleure dans son domaine. Bien sûr, on ne peut pas minimiser son talent, cependant il serait bien dommage de se focaliser uniquement sur Singer. D'autres officines, plus petites et plus jeunes, méritent que l'on jette un œil sur leur travail. C'est le cas de Machine Revival qui, cocorico, est une petite société française ! Machine Revival, c'est une joyeuse petite bande de passionnés, qui s'est lancée en 2013. Installée dans le Pays Basque, et du haut de ses 11 ans d'existence, l'équipe a déjà pondu 29 créations, la plupart basées sur des Porsche. 911, 912, 2.7, Targa, Machine Revival n'est pas fermé d'esprit ! De nombreuses versions passent par l'atelier basque et en ressortent en étant uniques de par leur livrée, leur habitacle, leur carrosserie retravaillée, mais également des éléments mécaniques revus ! {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Maggiore GranturismO : le restomod qui redonne ses lettres de noblesse à la Ferrari 288 GTO

Lotus Elan Speedster M200 : Prendre son élan à deux, séparément

Dans la foulée de l'extension de sa gamme durant les années 90, Lotus a présenté une version Speedster de son petit cabriolet, l'Elan M100 : l'Elan Speedster M200. Fait rare, ce concept-car unique au monde est homologué pour la route !  Rouler tous les jours dans un modèle unique n'est pas donné à tout le monde. En effet, ces créations uniques au monde n'ont pas d'autre vocation que d'être exposées sur les salons du monde entier. Celui-ci déroge quelque peu à la règle.  Lotus a produit quelque temps un petit roadster à traction avant, nommé Elan M100. Ce fut à ce jour l'unique modèle frappé du blason jaune et vert à être proposé sous la forme d'une traction avant. En 1991, la marque anglaise va réaliser un concept-car qui cherche encore aujourd'hui son utilité dans l'histoire : voici la Lotus Elan M200 Speedster.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Lotus Carlton Tourer : La soute à bagages la plus rapide du monde dans les années 90

PHOTOS - Le propriétaire de cette Lotus Elan M200 Speedster homologuée pour la route l'a mis en vente

En 1991, Lotus a présenté un étonnant concept-car basé sur son petit roadster, l'Elan M100. Baptisé M200 Speedster, ce showcar unique au monde a connu plusieurs propriétaires et est homologué pour circuler sur les routes. Actuellement en Suisse, il a été mis en vente, en vue de trouver un autre propriétaire.  Les optiques avant « pop-up » sont remplacés par de fins projecteurs sur fond noir. Le bouclier avant gagne des antibrouillards. Le profil se signale par la présence de jantes plus grandes et au dessin plus sportif, ainsi que d'une arche au-dessus de la tête des passagers.  Lire aussi : Lotus Elan Speedster M200 : Prendre son élan à deux, séparément Les ingénieurs ont supprimé le pare-brise et la capote. L'habitacle voit ses deux uniques places assises être séparées en leur centre par un épais montant central. Chacun possède son saute-vent personnel teinté en noir.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Comme tout véhicule fabriqué et produit en Angleterre, la Lotus Elan M200 Speedster a été homologuée pour la route. Son propriétaire actuel se sert de cet argument pour vendre ce concept-car unique à un autre passionné de la marque anglaise. 

Week-end de l’Ascension : ça va bouchonner sur les routes de l’Hexagone !

Comme tous les ans, les jours fériés et les ponts du mois de mai sont l'occasion pour beaucoup de Français de partir en week-end. Les routes de l'Hexagone vont donc être très empruntées, dès aujourd'hui et jusqu'à dimanche. Si, comme beaucoup, vous vous apprêtez à partir, attendez-vous à de gros ralentissements. Bison Futé classe la journée du 7 mai en rouge, dans le sens des départs. Cette année, le calendrier permet de pouvoir profiter de longs week-ends en mai, notamment cette semaine. En effet, le 8 mai est suivi du 9 mai (jusque-là ça se tient) qui correspond à l'Ascension. De nombreux Français ont pu poser un jour de congé le vendredi 10, et ainsi s'offrir une petite semaine de vacances. Qui dit vacances, dit circulation difficile. C'est évidemment ce que prévoit Bison Futé pour ce long week-end. La situation s'annonce déjà compliquée aujourd'hui, puisque ce mardi est classé rouge dans le sens des départs. Le mercredi 8 mai est quant à lui classé en orange, selon les prévisions.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Sécurité routière : un mauvais mois de mars sur les routes de France
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