Après avoir bien fait monter l'excitation depuis plus d'une semaine, Volkswagen présente enfin sa nouvelle Golf GTI Clubsport ! La compacte sportive gagne donc une nouvelle variante, de 300 chevaux, pour célébrer son 50ème anniversaire. Clubsport. Une appellation déjà connue par les puristes du modèle, mais qui n'est cependant pas ajoutée au catalogue systématiquement à chaque génération. En réalité, la dernière Golf GTI Clubsport date de 2019. Cette dernière avait été produite pour célébrer les 45 ans de la compacte sportive. 5 ans plus tard, une nouvelle mouture vient de voir le jour. Esthétiquement, cette version se démarque de la Golf GTI standard grâce à des motifs présents sur les bas de caisse, mais aussi grâce à des boucliers légèrement redessinés et plus agressifs. Un aileron plus imposant trône également au-dessus de la lunette arrière. Peu de changement à l'intérieur, si ce n'est la sellerie à carreaux typique des modèles GTI.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Sous le capot, on retrouve le 4 cylindres 2.0 TSI qui développe ici 300 chevaux pour 400 Nm de couple. Les performances sont donc meilleures que sur la Volkswagen Golf GTI, avec un 0 à 100 km/h qui tombe en 5,6 secondes, tandis que la vitesse maximale est bridée à 250 km/h. Les tarifs sont encore inconnus.

Volkswagen vient de dévoiler la nouvelle version de sa Golf GTI Clubsport. Après plus d'une semaine d'annonces et de photos camouflées, on peut enfin poser les yeux sur celle qui célèbre les 50 ans de la Golf GTI. Pour marquer le coup, la marque lui offre 300 chevaux et un look légèrement revu. Les tarifs sont encore inconnus à l'heure actuelle. C'est à croire que mai était le mois de la Golf GTI ! Après avoir ouvert officiellement les carnets de commandes de la version « standard » restylée la semaine dernière, Volkswagen présente aujourd'hui une nouvelle version, reprenant l'appellation déjà connue Clubsport. Celle-ci est ici pour une raison simple : célébrer les 50 ans de la compacte sportive iconique. Et un demi-siècle, ça se fête ! On aurait d'ailleurs pu penser que Volkswagen aurait accordé plus d'exclusivité à cette version Clubsport. Les boucliers ont été retravaillés, légèrement, pour gagner en agressivité. L'aileron, fixé au-dessus de la lunette arrière, est également un peu plus massif. En dehors de ça, peu d'éléments permettent de différencier cette Clubsport d'une GTI basique, hormis les motifs qui ornent les bas de caisse. Les jantes de 18 pouces de série sont reprises au catalogue d'options de la Golf GTI.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Volkswagen Golf GTI : elle revient, à partir de 48.180 euros !

Environ 6 mois après avoir procédé à quelques remises à niveau dans sa gamme ID, Volkswagen a décidé de nous montrer l'étendue des travaux et le résultat. Il faut dire que ces optimisations étaient bienvenues pour certaines, nécessaires pour d'autres. On a pu prendre le volant du Volkswagen ID.5 pour constater les améliorations. Lorsqu'on est invité à découvrir une nouveauté fin mai, on est en droit de s'attendre à une météo quasi-estivale. Quelques jours avant l'événement, on commence à chercher les spots les plus esthétiques pour les prises d'images. Puis le jour-J arrive et on se retrouve dans le Vexin, par 15 degrés et sous un bon crachin normand qui nous fait rapidement regretter de ne pas avoir prévu de K-way… Les aléas du direct, dirons-nous ! Qu'à cela ne tienne, Volkswagen tient à nous détailler les nouveautés à l'abri, confortablement installés dans des canapés moelleux. La pluie cessera peut-être pendant ce temps… Bien naïfs que nous sommes ! Nous bravons donc le crachin et prenons donc la route au volant d'un Volkswagen ID.5.  De quelle version s'agissait-il ? De la seule qui soit proposée au catalogue, à savoir la Pro 286 en propulsion. L'occasion de faire un bref rappel de la situation. Si l'ID.5 n'est disponible qu'avec cette motorisation, son petit frère l'ID.4 dispose de 2 versions : la Pure 170 et la Pro 286 en propulsion, ainsi que la Pro 4Motion 286 en transmission intégrale. Les plus attentifs se doutent certainement que le bloc des versions Pro est le même que celui de la berline ID.7, et ils ont raison. La batterie de 77 kWh de notre ID.5 d'essai nous autorise un rayon d'action de 556 kilomètres, largement de quoi boucler notre petit tour humide du Vexin.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi :  Volkswagen ID.3 GTX : 286 chevaux, 4.000 euros de bonus écologique. La bonne recette !

Aujourd'hui, les organisateurs du Salon de Genève viennent d'annoncer une triste nouvelle pour le secteur automobile. L'événement, qui était revenu cette année sur ces terres en Suisse, n'a vraisemblablement pas convaincu grand monde et se tiendra désormais uniquement au Qatar, pour les prochaines éditions. On avait tous nourri beaucoup d'espoir, lorsque l'on avait appris que le Salon de Genève revenait en Europe après 4 années d'absence. La crise du covid, en 2020, avait contraint les organisateurs à annuler l'événement, dans un premier temps, avant de le délocaliser au Qatar. Face au succès qu'il y avait rencontré, les chances de le voir revenir en Suisse étaient bien minces. Contre toute attente, les organisateurs avaient surpris tout le monde en ramenant le salon sur ces terres d'origine, à Genève, en 2024. Passée l'excitation provoquée par cette annonce, force est de constater que le succès n'a pas été au rendez-vous, aussi bien côté exposants que côtés visiteurs. L'affluence n'a pas été à la hauteur, tandis que le programme était un peu timide, avec très peu de constructeurs européens ayant fait le déplacement. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Salon de Genève 2024 – Que faut-il retenir de cette édition en demi-teinte ?

BMW vient de dévoiler deux nouveaux monstres destinés à limer l'asphalte des circuits en compétition : les M4 GT3 Evo et GT4 Evo. La concurrence peut officiellement commencer à trembler... Vous trouvez la BMW M4 "civile" un peu trop timide ? Rassurez-vous, la marque allemande pense à tous ses fans, même les plus énervés. Mesdames, messieurs, voici les nouvelles M4 GT3 Evo et GT4 Evo, deux monstres dédiés à un usage sur piste. Si la GT3 est effectivement la plus méchante des deux, la GT4 Evo n'a absolument pas à rougir. Kit carrosserie plus large, aileron disproportionné à fixation en col de cygne, livrée Motorsport... Le ton est donné. Pour le moment, BMW ne communique que la fiche technique de la M4 GT3 Evo. Elle embarque un 6 cylindres en ligne 3.0 biturbo de 590 chevaux, associé à une boîte X-Trac à 6 rapports. Les performances sont encore inconnues, mais on peut faire confiance à la marque pour qu'elle envoie des watts (à défaut d'en consommer). Vous voulez vous en offrir une ? Comptez 578.000 euros... {{_DYNINFEED_BLOCK_}}

C'est aujourd'hui que Renault ouvre les commandes de sa R5 E-Tech pour tous. Le configurateur en ligne est donc accessible depuis ce matin, l'occasion de jeter un œil à sa dotation en équipements. La finition Techno s'affiche à partir de 33.490 euros, avant déduction du bonus écologique. Le feuilleton de la R5 E-Tech prend un nouveau tournant aujourd'hui, avec l'ouverture du configurateur en ligne et des commandes. Les personnes qui avaient procédé aux pré-réservations étaient prioritaires et pouvaient donc avoir accès à la liste des options dès cette semaine. Désormais, tout le monde peut configurer son propre exemplaire, avec 2 finitions au choix : Techno et Iconic Cinq, la version de lancement. Renault a mis les petits plats dans les grands et offre à sa star un affichage spécifique, sur son site internet. La mise en page du configurateur évolue donc. La finition Techno se pare de série de la teinte Vert Pop, rehaussée par le jonc de toit noir. On retrouve également des inscriptions 5 sur les portières avant. L'ensemble repose sur des jantes en alliage diamantées de 18 pouces. Cette finition comprend aussi les phares à LED à l'avant et à l'arrière, ainsi que la fameuse jauge de charge sur le capot.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Renault 5 E-Tech : une édition Roland-Garros pour faire le break !

La BMW Série 1 continue son petit bonhomme de chemin et affiche toujours de meilleurs niveaux de ventes que ses rivales. Facturée à partir de 33.070 euros, elle affiche une bonne dotation de série, qui pourrait même faire réfléchir les acheteurs potentiels de la Volkswagen Golf, pourtant environ 4.000 euros moins chère. La Série 1 est décidément en grande forme, à tel point que la concurrence a bien du mal à suivre la cadence. L'Audi A3 parvient à rester au contact, tant bien que mal, mais la Mercedes Classe A est distancée. La faute à une approche moins originale pour l'une et à des tarifs trop élevés et (très) difficilement justifiables pour la seconde. Sans pour autant être révolutionnaire, la BMW adopte un design dynamique et a droit à une dotation très correcte. À l'extérieur, la BMW Série 1 en finition d'accès s'habille d'une teinte noire unie et repose sur des jantes de 17 pouces. Elle est équipée de série des projecteurs à LED. L'ensemble est très sobre, mais présente très bien. La marque ne cède pas à la mode des plastiques noirs sur les parties basses de la carrosserie, tout est peint de la même couleur.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : La BMW série 1 prend l'avantage sur l'Audi A3 et la Mercedes Classe A

DS Automobiles vient de présenter une nouvelle version de son DS 7. Baptisé Vauban, celui-ci promet d'offrir davantage de sécurité grâce à son blindage inédit et ses 300 chevaux. Les prix débutent à 165.000 euros, les commandes doivent ouvrir courant juin. Encore une nouvelle finition spéciale chez DS Automobiles ? Il est vrai que depuis quelques mois, c'est devenu la spécialité de la marque française : étoffer les catalogues de ses modèles avec des finitions plus richement dotées, quitte à rendre la gamme parfaitement incompréhensible et, il faut bien le dire, illisible sur le configurateur en ligne. Il faut croire qu'il restait une petite place dans le catalogue du DS 7, puisque celui-ci gagne une inédite finition Vauban.  Peut-être davantage une version, à vrai dire, puisque la dotation de ce DS 7 Vauban ne se limite pas à une teinte extérieure, un système Hi-Fi haut de gamme et une sellerie en velours côtelé. Non, ici, l'argument principal est invisible à l'œil nu. Ce DS 7 embarque en réalité 164 kg de blindage, pour offrir sécurité et sérénité à ses occupants. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : ESSAI – DS 7 E-Tense 300 4x4 (2023), 1000 kilomètres avec l'un des meilleurs voyageurs français

Jeep vient d'annoncer l'ouverture des carnets de commandes de son nouveau modèle, le Wagoneer S. Ce grand SUV, 100 % électrique bien entendu, développe 600 chevaux et dispose d'une transmission intégrale de série. Il sera dans un premier temps réservé au marché américain, avant de rejoindre les autres continents par la suite.   Cela faisait plusieurs mois que Jeep préparait l'arrivée de ce nouveau SUV. On en entendait parler depuis le début de l'année, cette fois ça y est : le Wagoneer S s'apprête à devenir réalité. La recette n'a pas vraiment évolué au cours des derniers mois, le design est toujours aussi élancé (pour un SUV de ce gabarit, entendons-nous) et la fiche technique délirante. Avec ce Wagoneer S, Jeep met enfin les 2 pieds dans le grand bain de l'électricité, à l'échelle mondiale cette fois. La version définitive de ce grand SUV est très fidèle à ce que l'on avait déjà pu apercevoir depuis début janvier. On retrouve une face avant très abrupte, qui affiche des optiques affinées au maximum. La calandre est très novatrice. Celle-ci reprend les 7 fameux piliers, gimmick historique de la marque américaine. Cependant, ils sont ici suggérés par un jeu d'éclairage et de motifs en 3D. Le profil très robuste laisse apparaître des passages de roues carrés, tandis que la face arrière arbore un large bandeau lumineux. La lunette est plus inclinée qu'il n'y paraît et est surmontée d'un aileron. L'ensemble repose sur des jantes de 20 pouces.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Jeep Avenger 4xe : une version parée pour l'aventure ?

Cela faisait plusieurs mois que l'on en entendait parler, cette fois ça y est : le Jeep Wagoneer S est enfin réalité. Le nouveau SUV 100 % électrique débutera en effet sa carrière à partir du mois de juin, d'abord aux États-Unis, puis sur les autres marchés à l'international. D'ici quelques jours, Jeep ouvrira les carnets de commandes pour un tout nouveau modèle : le Wagoneer S. Ce grand SUV, 100 % électrique, offre 600 chevaux et 800 Nm de couple distribués au 4 roues via une transmission intégrale de série. La marque annonce une autonomie de 480 kilomètres, selon le cycle d'homologation américain. Côté performances, le Wagoneer S revendique un 0 à 100 km/h abattu en seulement 3,4 secondes. L'habitacle se veut moderne, avec une surface numérique cumulée de 45 pouces ! On retrouve des écrans pour l'instrumentation numérique, l'infodivertissement, la climatisation ainsi qu'en face du passager. Les assistances à la conduite sont bien sûr incluses, comme le système de freinage automatique d'urgence, ou encore le régulateur de vitesse adaptatif. Les prix n'ont pas encore été communiqués. Jeep a confirmé que ce Wagoneer S serait bien vendu chez nous. Cependant, la primeur revient au marché américain, pour le moment.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Il y a quelques années, Gemballa présentait une création exceptionnelle basée sur la Porsche 911 Type 992. Baptisée MP Gemballa Marsien, cette dernière adopte un kit carrosserie qui la fait ressembler à la mythique 959. En plus de l'aspect esthétique, Gemballa avait également travaillé sur la partie mécanique, portant ainsi la puissance à 750 chevaux ! Gemballa n'est pas connu pour faire dans la demi-mesure. La réputation du préparateur allemand est principalement due à ses réalisations sur base de Porsche 911, dont certaines sont assez extravagantes, comme l'Avalanche. En 2021, Gemballa a produit une série de voitures limitée à 40 exemplaires. Son nom ? La MP Gemballa Marsien. Et même si la voiture donneuse n'a plus grand-chose à voir avec une 911, cette réalisation devrait plaire aux Porschistes de la première heure. Les passionnés les plus férus auront directement reconnu une Porsche 959. Ou cru reconnaître, plutôt. Puisque Gemballa l'assure, sous ce kit carrosserie très évocateur, se cache bel et bien une 911 Turbo S Type 992. Cependant, il faut avoir l'œil pour la repérer. On reconnaît bien entendu les optiques avant, ainsi que le large bandeau lumineux à l'arrière. Cela dit, celui-ci se fond dans un bouclier bien plus massif, encadré par un aileron fixe. Les ailes sont élargies et taillées à la serpe, le profil se dote de sorties d'air, tandis que le capot ajouré reçoit un extracteur d'air servant à l'aérodynamisme de la voiture. L'intégralité du kit carrosserie est réalisé en fibre de carbone. L'habitacle n'a jamais été révélé.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Gemballa Avalanche : la Porsche 911 qui enterre toutes les autres supercars

En début d'année, Volkswagen annonçait une grosse mise à jour sur sa gamme ID. Les voitures électriques du constructeur allemand souffraient en effet de quelques lacunes depuis leurs lancements respectifs. La marque a rectifié le tir améliorant le système d'infodivertissement et en mettant à jour les motorisations, désormais plus efficientes. Le système multimédia embarqué dans les Volkswagen ID.3, ID.4 et ID.5 avait été vivement critiqué à ses débuts. Mauvaise réactivité, bugs répétés, ergonomie discutable... Les propriétaires s'en souviennent encore. Heureusement, la marque a décidé de réagir et a procédé à une mise à jour d'ampleur. Désormais, l'infodivertissement est plus lisible, plus fluide et donc plus agréable à utiliser. Volkswagen a également procédé à quelques modifications dans l'habitacle. Côté motorisations, les ID.4 et ID.5 reprennent les moteurs de la plus récente ID.7. Le premier est donc disponible en version Pure de 170 chevaux, tandis qu'une version Pro de 286 chevaux est disponible pour les 2 modèles. La plus puisante des 2 offre un bon agrément de conduite, mais aussi une autonomie de 556 kilomètres (ID.5 Pro 286), grâce à une batterie de 77 kWh. L'ID.5 s'affiche à partir de 50.500 euros. Notre modèle d'essai, avec quelques options, grimpait à 56.765 euros.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Environ 6 mois après avoir procédé à quelques remises à niveau dans sa gamme ID, Volkswagen a décidé de nous montrer l'étendue des travaux et le résultat. Il faut dire que ces optimisations étaient bienvenues pour certaines, nécessaires pour d'autres. On a pu prendre le volant du Volkswagen ID.5 pour constater les améliorations. Lorsqu'on est invité à découvrir une nouveauté fin mai, on est en droit de s'attendre à une météo quasi-estivale. Quelques jours avant l'événement, on commence à chercher les spots les plus esthétiques pour les prises d'images. Puis le jour-J arrive et on se retrouve dans le Vexin, par 15 degrés et sous un bon crachin normand qui nous fait rapidement regretter de ne pas avoir prévu de K-way… Les aléas du direct, dirons-nous ! Qu'à cela ne tienne, Volkswagen tient à nous détailler les nouveautés à l'abri, confortablement installés dans des canapés moelleux. La pluie cessera peut-être pendant ce temps… Bien naïfs que nous sommes ! Nous bravons donc le crachin et prenons donc la route au volant d'un Volkswagen ID.5.  De quelle version s'agissait-il ? De la seule qui soit proposée au catalogue, à savoir la Pro 286 en propulsion. L'occasion de faire un bref rappel de la situation. Si l'ID.5 n'est disponible qu'avec cette motorisation, son petit frère l'ID.4 dispose de 2 versions : la Pure 170 et la Pro 286 en propulsion, ainsi que la Pro 4Motion 286 en transmission intégrale. Les plus attentifs se doutent certainement que le bloc des versions Pro est le même que celui de la berline ID.7, et ils ont raison. La batterie de 77 kWh de notre ID.5 d'essai nous autorise un rayon d'action de 556 kilomètres, largement de quoi boucler notre petit tour humide du Vexin.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Volkswagen ID.3 GTX : 286 chevaux, 4.000 euros de bonus écologique. La bonne recette !

En 2022, Toyota avait dévoilé quelques images d'une voiture de sport inédite, dotée d'un V8. Cette dernière, baptisée GR GT3 Concept, doit être engagée dans le championnat IMSA ainsi qu'en endurance, à terme. La marque japonaise a récemment emmené l'engin sur le circuit de Spa-Francorchamps, afin de compléter la phase de tests. Par les temps qui courent, les nouveautés à base de V8 et d'aéro ultra poussé se font de plus en plus rares. Alors quand une marque planche sur un tel projet, on n'a pas le droit de cracher dans la soupe. Actuellement, Toyota peaufine son concept GR GT3. Bien entendu, le projet en question est encore en phase de gestation et n'est pas encore arrivé à son terme. Cela dit, certains chanceux ont eu la chance de voir l'engin en action sur le circuit de Spa-Francorchamps. Il faudra patienter encore un peu pour pouvoir poser les yeux sur la version définitive de la GR GT3. Pour l'heure, le monstre est encore camouflé, mais ne se cache pas pour autant ! En fait, il aurait bien du mal à rester discret, avec son kit carrosserie et ses appendices aérodynamiques démentiels. L'échappement semble déboucher juste derrière les roues avant, l'énorme aileron dispose de fixations en col de cygne tandis que la lame avant semble prête à découper tout ce qui passe à sa hauteur.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Toyota GR : de nouveaux SUV vraiment sportifs bientôt au catalogue ?

La semaine dernière, Volkswagen dévoilait une étonnante série limitée de son ID.4, afin de célébrer son partenariat avec la Fédération Française de Football. Baptisée Edition FFF, cette dernière s'est offert une première sortie, sous la pluie hélas. Nous avons eu la chance de l'approcher et même de monter à bord ! C'est l'une des séries spéciales les plus exclusives de toute l'histoire de Volkswagen. 23, c'est le nombre d'exemplaires disponibles à l'achat, en plus de ce modèle numéroté 00/23, que nous avons pu observer en détails, sous un crachin normand. Vu de loin, cet ID.4 Edition FFF peut sembler simpliste. Mais en s'approchant, les détails se révèlent : écusson d'aile à l'effigie de la Fédération Française de Football, lisérés bleu et rouge sur la calandre avant, drapeau tricolore sous le logo arrière et évocation du maillot de l'équipe de France sur les montants de custode. À l'intérieur, les seuils de portes reçoivent des plaques en aluminium arborant des traits colorés rappelant encore une fois le maillot de nos bleus. Une plaque numérotée est apposée sous la planche de bord. Enfin, l'éclairage d'ambiance est réglé par défaut pour afficher du bleu et du rouge.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Pour rappel, les acheteurs de cet ID.4 Edition FFF se verront remettre des goodies de l'équipe de France de football. Ils pourront également assister à des matchs. Les tarifs sont fixés à 47.860 euros, bonus de 4.000 euros déduit.

Volkswagen vient d'ouvrir les carnets de commandes pour la version sportive de son ID.3, la GTX. Celle-ci offre 286 chevaux et peut abattre le 0 à 100 km/h en 5,9 secondes. Elle s'affiche à partir de 46.990 euros et est éligible au bonus écologique de 4.000 euros ! En début d'année, Volkswagen dévoilait une inédite version sportive de sa compacte électrique, l'ID.3. Baptisée GTX, celle-ci reprend en fait le moteur de la grande berline ID.7 sur l'essieu arrière et gagne donc en efficacité.  Visuellement, l'ID.3 n'est pas transfigurée. Cette version se pare d'une teinte bicolore pour l'extérieur et affiche fièrement le badge GTX sous les rétroviseurs. Le bouclier avant retravaillé intègre une nouvelle signature lumineuse des feux de jour, qui évoquent un X séparé en deux parties. La voiture repose de série sur de grandes jantes de 20 pouces. A l'intérieur, le volant adopte des surpiqures et des inserts rouges et porte un badge GTX. Les sièges façon baquets sont également spécifiques et sont recouverts partiellement d'alcantara. Pour le reste, la planche de bord est identique à celle d'une ID.3 standard.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Volkswagen Golf GTI : elle revient, à partir de 48.180 euros !

Volkswagen vient d'ouvrir les carnets de commandes de sa nouvelle ID.3 GTX. Cette dernière embarque une motorisation de 286 chevaux et espère bien se faire enfin un nom sur le marché. Elle s'affiche à partir de 46.990 euros. Volkswagen vient de procéder à une refonte de sa gamme ID. Le vaisseau amiral ID.7 a en effet offert son groupe motopropulseur à ses petites soeurs, de même que son système d'infodivertissement. À cette occasion, la marque allemande a décidé d'installer le moteur de sa grande berline dans sa compacte, créant ainsi l'ID.3 GTX. Cette dernière offre 286 chevaux sous le pied droit, pour un couple de 545 Nm ! La voiture embarque la batterie de 79 kWh et revendique une autonomie de 604 kilomètres WLTP, ce qui en fait tout simplement la plus efficiente des ID.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Volkswagen propose cette ID.3 GTX à partir de 46.990 euros, juste sous le seuil fatidique d'éligibilité au bonus écologique. Elle en profite donc et voit son prix descendre de 4.000 euros, s'affichant alors à 42.990 euros. Une belle opération, qui devrait lui permettre de sortir de l'anonymat. La marque annonce également une version "Performance" offrant 326 chevaux, prévue pour cet été !

Dans les années 80, la Porsche 911 avait droit à une version revue et optimisée par Gemballa, baptisée Avalanche. Celle-ci a d'ailleurs fait partie des voitures les plus performantes de la production, en son temps. Et si elle n'a jamais été médiatisée au point d'accéder à la postérité, le préparateur lui a tout de même offert une descendance grâce à deux autres générations. La dernière en date est plus terrifiante que jamais ! Le milieu de la préparation automobile a bien évolué depuis quelques décennies. Aujourd'hui, il suffit de barder une voiture de carbone apparent, de marier deux couleurs qui à priori ne s'accordent pas entre elles et d'ajouter quelques chevaux supplémentaires, et les clients sont contents. Mais dans les années 80, les cahiers des charges étaient relativement plus complexes… À l'époque, on ne travaille pas encore le carbone comme à l'heure actuelle. On pourrait donc penser que les créations devaient être plus sobres, mais ce n'est pas tout à fait le cas. Gemballa en est le parfait exemple, avec son Avalanche. Cette réalisation est basée sur une Porsche 911 Type 930, cela dit elle n'a plus grand-chose à voir avec la version de série. Kit carrosserie démonstratif et optimisation de performances sont au programme. Le menu n'a pas changé depuis, puisque l'actuelle génération de l'Avalanche reprend la même formule !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Est-ce la plus belle Porsche 911 GT3 Touring du marché ?

Une fois n'est pas coutume, le restylage de la Porsche 911 est un véritable événement. Pas parce qu'elle évolue nettement en termes de design, mais bien pour ce qui se passe sous le capot, puisque la version GTS cède aux sirènes de l'hybridation. Un nouveau chapitre s'ouvre, mais ne ferme pas définitivement le précédent. Certaines versions embarquent encore des motorisations 100 % thermiques, pour le plus grand bonheur des Porschistes de la première heure ! Ce jour restera gravé éternellement dans la mémoire des aficionados de Porsche, comme étant la date à laquelle la mythique 911 est passée à l'hybridation. Mais la marque a préféré jouer la sécurité, à raison. Il était difficilement concevable de convertir l'intégralité de la gamme de la 911 à l'hybride, sous peine de voir des hordes de passionnés attaquer le siège social avec des fourches et des torches. C'est pourquoi la Porsche 911 Carrera continue d'exister sans passer par la case électrification. Lire aussi : Porsche 911 GTS restylée : elle passe à l'hybride ! Sacrilège ou révolution ?