Le long-métrage Ferrari, de Michael Mann, arrive sur la plateforme Prime Video le vendredi 8 mars 2024. Un portait synthétisé d'Enzo Ferrari, davantage centré sur sa vie de famille que sur le sport automobile, retraçant brièvement l'été 1957 traversé par le dirigeant italien. Trois petits mois, voilà la période choisie par Michael Mann, pour synthétiser l'existence du mythe Enzo Ferrari. Et pourtant, il aura fallu attendre près de trente années, pour que le réalisateur américain parvienne à porter la vie d'Il Commantadore sur grand écran. Le père de Heat (1995) ou du Dernier des Mohicans (1992) s'est alors arrêté sur l'été 1957, charnière pour la gloire de Ferrari et de sa bien nommée Scuderia. « Vaincre ou mourir » Gagner des courses pour vendre des voitures, c'est ainsi que pourraient être grossièrement simplifiés les sports mécaniques. Mais face à cette concurrence motivée, Enzo Ferrari, incarné par un Adam Driver grisonnant, s'impose comme un idéaliste : lui vend des voitures dans l'unique but de financer ses courses.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

70.649 véhicules ont été volés en 2023, d'après nos confrères du journal Le Parisien. Un total en hausse, qui confirme  la constante augmentation depuis l'après Covid.  À l'heure des bilans, l'année 2023 est synonyme de croissance. Immatriculations, marché de l'électrique… Quasiment tous les secteurs ont progressé. Mais, bien que les autorités auraient probablement apprécié s'en passer, les vols de voitures sont aussi en hausse. Selon Le Parisien, pas moins de 70.649 véhicules ont été dérobés l'année passée, soit une hausse de 11,1 %. Lire aussi : Top des ventes en 2023 : Le retour de la reine Renault Clio Après plusieurs années de mieux, le nombre de véhicules volés ne cesse de grimper depuis la pandémie passée. « En 2022, nous avions déjà observé une augmentation, mais en 2023, c'est une franche accélération » explique Franck Le Vallois, directeur général de France assurances à nos confrères.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} La Renault Clio, toujours au top Et au niveau des véhicules, le modèle en tête des classements est toujours le même : la Renault Clio (de quatrième génération). « C'est la loi de l'offre et de la demande : les modèles les plus vendus sont aussi les plus volés » confie Benoît Leclair, directeur de d'Argos, aux journalistes du Parisien. Le podium est complété par les Renault Mégane IV et Peugeot 3008 II. À noter que 9 des 10 membres du top 10 sont des véhicules français... seul le Toyota RAV4 V s'immisce dans ce classement.

Depuis le mercredi 14 février 2024, chaque Français peut désormais obtenir une version dématérialisée de son permis de conduire. Une fois la manipulation effectuée, le document prend place dans l'application France Identité. Le permis de conduire sait décidément s'adapter à son temps. Après avoir abandonné son format papier pour passer à la petite carte plastifiée en 2013, le document arrive maintenant en numérique. Car à partir de ce mercredi 14 février, le permis dématérialisé est étendu à tous les Français. Lire aussi : Leasing social, prime à la conversion, bonus écologique… Tout ce qui change pour l'achat d'une voiture Après avoir expérimenté le processus dans les départements des Hauts-de-Seine, de l'Eure-et-Loir et du Rhône, Gérald Darmanin a confirmé la généralisation de ce dispositif à nos confrères du Parisien. Le ministre de l'Intérieur précise qu'il « n'y aura dans tous les cas aucune obligation de passer au numérique, le physique et le digital vont coexister ». {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Rendez-vous sur France Identité Pour éditer son permis et ainsi ne plus l'oublier, le gouvernement a opté pour l'application France Identité, développée par l'Agence nationale des titres sécurisés (ANTS). C'est déjà dans cette même application, via son onglet « Portefeuille », qu'il est possible d'obtenir la carte nationale d'identité numérique.

Grâce à une mise à jour de la liste des véhicules éligibles au bonus écologique, le Renault Scénic E-Tech d'entrée de gamme peut maintenant bénéficier de la ristourne de 4.000 €. La guerre des SUV électriques connaît un nouvel épisode, et ce dernier devrait satisfaire Renault. Puisqu'un décret, publié au Journal Officiel, rend le Scénic E-Tech éligible au bonus écologique, et cela qu'importe les versions. Dans son entrée de gamme, le SUV au losange débute donc au tarif de 35.990 € bonus déduit. Lire aussi : Nouveau Renault Scenic E-Tech : moins de 40.000 euros en entrée de gamme Avant cela, seule la version équipée de la batterie de 87 kWh avait obtenu le feu vert du gouvernement. Mais grâce à cet élargissement au bloc de 60 kWh, la version évolution autonomie confort peut aussi profiter de cette ristourne de 4.000 €.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Au même moment que son Transit Custom, Ford dévoile un second modèle produit en partenariat avec sa branche M-Sport : le Ranger MS-RT. Le pick-up embarque un moteur diesel V6 de 3,0 litres développant 240 ch et 600 Nm. Un véhicule conçu pour être le pick-up routier « ultime », c'est ainsi que Ford qualifie sa dernière création : le Ranger MS-RT. Né du partenariat avec M-Sport, puisque l'acronyme cache en réalité l'inscription « M-Sport Road Technology », l'utilitaire embarque moteur diesel V6 de 3,0 litres développant 240 ch et 600 Nm. À cela s'ajoutent une transmission automatique à 10 vitesses et un système de transmission intégrale dernière génération. Lire aussi : Nouveau Ford Transit Custom MS-RT : pour les artisans pressés, mais pas que ! Mais, bien que plus sage que le Transit Custom MS-RT, le pick-up arbore une carrosserie musclée. Au programme : jupes latérales sculptées, diffuseur et becquet arrière et même des roues de 21 pouces. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Commercialisés par Ford Pro, les premiers Ranger MS-RT devraient être livrés durant le second semestre 2024.

À une semaine des essais hivernaux, qui se tiendront du 21 au 23 février, l'ensemble des écuries de Formule 1 ont dévoilé leurs livrées pour la saison 2024. Découverte de ces 10 identités visuelles. La grille et les calendriers déjà dévoilés, ne manquaient plus que les livrées pour basculer définitivement dans la saison 2024 du championnat de Formule 1. Et, à une semaine des essais hivernaux de Bahreïn, l'ensemble du paddock a présenté ses monoplaces. Pas de révolution majeure dans l'ensemble, mais deux nouveautés à noter. Sauber, passé d'Alfa Roméo à Stake, abandonne le rouge pour identité verte et noire. De son côté, Visa Cash App RB, anciennement Alpha Tauri, reprend le code couleur de la Scuderia Toro Rosso… Sorte de retour en arrière esthétique pour l'antichambre de Red Bull.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Depuis le mercredi 14 février, chaque Français peut demander la dématérialisation de son permis de conduire. Une mesure qui devrait également s'étendre à la carte grise… Ce qui nous amène à cette question :

Après sa Passat, Volkswagen complète sa gamme électrique en dévoilant une berline break électrique : l'ID.7 Tourer. Avec son autonomie et son important volume de chargement, le constructeur allemand compte titiller les grandes voyageuses thermiques. L'ID.7 Tourer reprend quasiment tout de la berline, et notamment ses dimensions. Mais forcément, le break se distingue par sa ligne de toit prolongée et son volume bien plus important. Avec cette hauteur plus importante, l'électrique possède un volume de 605 litres si 5 personnes sont à bord. Une fois les sièges arrière rabattus, cela passe même à 1,714 litres, contre 1,596 unités du côté de la berline.  Lire aussi : Volkswagen ID.7 Tourer : la très bonne ID ? Techniquement, la Tourer emprunte les caractéristiques de sa jumelle berline. Le moteur de 286 ch (210 kW – 545 Nm) est de retour sur l'essieu arrière, en attendant une très probable version à transmission intégrale.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Côté batterie, la Tourer arrivera également, dans un premier temps, sur le marché avec une batterie de 82 kWh (valeur nette : 77 kWh). Sera ensuite proposée l'ID.7 Tourer Pro S, permettant d'embarquer l'important bloc de 91 kWh (86 kWh), promettant une autonomie de 687 km en cycle WLTP. 

Moins d'un an après avoir lancé la grande berline ID.7, Volkswagen dévoile sa variante break baptisée ID.7 Tourer. Le premier break électrique de la marque allemande arrivera courant 2024 en France, avec une autonomie et un volume taillé pour titiller les grandes voyageuses thermiques. L'histoire d'amour entre Volkswagen et les breaks semble si sincère qu'elle devrait même passer l'épreuve de l'électrique. Et pour cause, le constructeur allemand propose désormais sa grande berline sans émissions en une carrosserie break : l'ID.7 Tourer. Le fleuron de la gamme « ID. » s'inscrit ainsi comme le pendant électrique de la Passat (Diesel, essence, MHEV et PHEV), et permet à VW de proposer un grand break par motorisation…  On ne fait pas les choses à moitié Outre-Rhin. Une autonomie de voyageuse… Techniquement, rien de vraiment nouveau puisque la Tourer emprunte les caractéristiques de la berline… ce qui n'est résolument pas une mauvaise nouvelle. Le moteur de 286 ch (210 kW – 545 Nm) est de retour sur l'essieu arrière, en attendant une très probable version à transmission intégrale.  {{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Afin de compléter sa gamme de breaks et offrir une alternative électrique à la Passat, Volkswagen introduit son ID.7 Tourer. Motorisations, autonomie, volume... découvrez tous les détails du premier fleuron de la gamme ID. Berline haut de gamme de la famille électrique de chez Volkwagen, l'ID.7 Tourer arrive avec le large lot d'équipements de l'ID.7 déjà dévoilée. Système d'affichage tête haute en réalité augmentée,  écran central de 15 pouces...  La berline break intégrera également la technologie Chat GPT dévoilée au CES 2024. Lire aussi : Volkswagen ID.7 Tourer : la très bonne ID ? En termes de puissance, un seul moteur est proposé, d'une puissance de 286 ch (210 kW – 545 Nm). En revanche, la berline pourra embarquer deux batteries différentes : une de 82 kWh (valeur nette : 77 kWh) ainsi qu'une seconde de 91 kWh (86 kWh). Cette dernière promet une autonomie de 687 km en cycle WLTP. {{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Véritable hommage au passé, la Renault 5 E-Tech incarne également le futur électrique de la marque. Après trois années d'attente, la citadine fait ses débuts avec une puissance de 150 ch et 400 km d'autonomie. Des ailes gonflées, des optiques carrés dans la calandre ou des phares verticaux à l'arrière… Les nostalgiques reconnaîtront probablement un lot important de clins d'œil à la mythique citadine. Lire aussi : Renault 5 E-Tech : motorisations, batteries, finitions… Tous les détails de la citadine électrique Mais sous sa carrosserie, la Renault 5 E-Tech électrique propose forcément une technologie bien moderne. Et pour cause, le moteur embarqué par la R5 est dérivé de ceux des Megane et Scenic E-Tech. Plus compact, il est proposé en trois niveaux de puissance. Dès sa commercialisation en France, la citadine arrivera avec un moteur de 150 ch (110 kW / 245 Nm). La gamme sera complétée, par la suite, par deux blocs de 120 ch (90 kW) et 95 ch (70 kW). {{_DYNINFEED_BLOCK_}} La plateforme AmpR Small permet à Renault de proposer deux batteries différentes : Une première d'une capacité de 52 kWh (valeur brute), ce qui offre une autonomie de 400 km en cycle WLTP. Le second bloc, moins important, est de 40 kWh (valeur brute), ce qui fait chuter l'autonomie à 300 km. En charge rapide, elles peuvent recevoir jusqu'à respectivement 110 et 80 kW, de quoi faire passer la charge de 15 à 80 % en 30 minutes.   

Arme de Renault pour envahir le marché de l'électrique abordable, la R5 E-Tech électrique fait officiellement ses débuts à l'occasion du salon de Genève. Jusqu'à 150 ch et 400 km d'autonomie, découvrez tous les détails de la citadine électrique tant attendue. Après plus de trois années d'attente, Renault profite du salon de Genève pour enfin lever le voile sur sa R5 E-Tech électrique. Un véhicule puisant sa philosophie et son nom dans le passé, mais après 37 mois de teasing et un tarif d'appel situé sous les 25.000 €, il est surtout censé incarner le futur électrique de la marque. 95, 120 ou 150 chevaux ? Pour passer du prototype au modèle de série, Renault et sa filiale Ampère ont planché sur la plateforme AmpR Small (anciennement appelée CMF-B EV), une base totalement électrique proche de la thermique utilisée sur les Clio et Captur.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

La petite de la gamme électrique Volkswagen, l'ID.3, bascule également dans la famille GTX. Avec ses 326 ch sur l'essieu arrière, la bombinette peut atteindre 200 km/h. Compacte et sportive, la Volkswagen ID.3 GTX débarque avec deux motorisations différentes : une première de de 286 ch (210 kW), déjà utilisé sur les ID.4, 5 et 7, mais surtout une seconde version de 326 ch (240 kW) baptisée ID.3 GTX Perfomance. Installé sur l'essieur arrière, ce bloc lui permet d'abattre le 0 à 100 km/h en seulement 5,6 secondes et peu atteindre la vitesse maximale de 200 km/h (contre 160 km/h sur l'ID.3 classique). Lire aussi :  Volkswagen ID.3 GTX : l'héritière de la Golf GTI ? En revanche, qu'importe la version, la batterie embarquée est la même : 84 kWh (capacité nette 79 kWh). En cycle WLTP, cette dernière promet une autonomie d'environ 600 km. La puissance de recharge pouvant aller jusqu'à 175 kW permet de recharge, sur borne rapide, de 10 à 80 % en 26 minutes.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Quelques semaines après l'ID.7 Tourer, Volkswagen dévoile la variante sportive et haut de gamme GTX. Boosté à 340 ch, le break électrique et ses deux moteurs sera proposé à la vente au second semestre 2024.  La dernière est finalement la première. Volkswagen avait annoncé que, après les ID.4 et ID.5, l'ensemble de sa gamme 100 % électrique ID sera décliné en des versions GTX. Dernière arrivée, l'ID.7 Tourer est la première à bénéficier de cette généralisation du sigle de trois lettres. Une puissance cumulée de 340 chevaux Dans le marché très limité des breaks électriques et sportifs, l'ID.7 Tourer GTX s'impose, en attendant que BMW et Audi emboîtent le pas, comme la seule alternative à la Porsche Taycan Sport Turismo. Car équivalent électrique du sigle GTI, cette variante GTX débarque avec bien plus de sportivité.  {{_DYNINFEED_BLOCK_}}

L'ensemble de la gamme ID de Volkswagen va recevoir des versions sportives GTX, et la petite compacte ID.3 n'y échappe pas. Motorisations, autonomie... découvrez tous les détails de la bombinette électrique allemande dans cette vidéo. Dans sa variante GTX, l'ID.3 est considérée par Volkswagen comme « l'équivalent électrique de la Golf GTI Clubsport ». Cela se caractérise par le moteur de 326 ch embarqué dans la version Performance, mais aussi par plusieurs éléments de carrosserie.  Lire aussi : Volkswagen ID.3 GTX : l'héritière de la Golf GTI ? Car la compacte arbore une teinte rouge roi qui n'est pas sans rappeller celle du modèle thermique. La carrosserie est également composée d'éléments (toit, bas de caisse, rétroviseurs) recouverts d'un noir brillant, presque miroir. Initialement en option, les phares à LED IQ. Light sont équipés de série. Sous l'emblème arrière trône également le sigle GTX, prenant la place du nom du véhicule.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Dans l'habitacle, on y retrouve également plusieurs touches de rouge, notamment au niveau du siège et du volant. . En revanche, l'ID.3 profite de cette version GTX pour récupérer le nouvel écran central de 12,9 pouces, déjà proposé sur la récente Golf 8 restylée. Ce nouveau système d'infodivertissement pourra également intégrer, Chat GPT via son assistant vocal. 

Equipée d'une transmission intégrale, l'ID.7 Tourer débarque dans sa version GTX. Une variante plus sportive, de 340 ch, mais également haut de gamme. Volkswagen a doté sa berline break d'un second moteur, installé sur l'essieu avant. Ainsi, l'ID.7 Tourer gagne 54 ch (40 kW) et passe à 340 ch (250 kW). Elle profite d'une transmission intégrale de série (4Motion). Lire aussi : Volkswagen ID.7 Tourer GTX : le break électrique passe à 340 ch Rien de nouveau en revanche côté batterie, puisque la GTX reçoit celle de l'ID.7 Tourer Pro S, à savoir un bloc de 91 kWh (capacité nette : 86 kWh). L'autonomie s'élève ainsi 645 km en cycle WLTP tandis que la puissance de recharge acceptée est toujours affichée à 200 kW, ce qui permet de passer de 10 à 80 % en moins de 30 minutes.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Assistant vocal, écran de 15 pouces… l'ensemble des équipements de l'ID7 Tourer arrivent également sur cette version musclée. Mais se voulant davantage haut de gamme, la GTX propose, de série, des éléments pourtant en option sur le break classique, comme par exemple les projecteurs LED IQ.Light.

Tout comme ses sœurs ID, la compacte ID.3 a le droit à sa version GTX. Sous ses traits assez sages, la petite de la famille cache un moteur de 326 chevaux pouvant atteindre la vitesse de 200 km/h.  De la même manière que l'ensemble de la gamme électrique Volkswagen, la petite ID.3 débarque dans une version signée du badge GTX. Compact et sportif, le modèle n'est pas sans rappeler l'un des véhicules les plus emblématiques de la marque. Au point que du côté de Volkswagen, on déclare que l'ID.3 GTX Performance est pour « l'équivalent électrique de la Golf GTI Clubsport ». Chacun se fera son avis, mais en attendant, ses chiffres sont prometteurs. La vitesse de pointe bridée à 200 km/h  Contrairement aux autres modèles GTX déjà dévoilés, la compacte ne bénéficie pas d'une transmission intégrale. Mais en compensation, Volkswagen propose deux moteurs différents pour sa sportive, logés sur l'essieu arrière du véhicule. Le premier développe une puissance de 286 ch (210 kW), un moteur bien connu de la marque car déjà utilisé sur les ID.4, 5 et 7. Mais arrive ensuite la version ID.3 GTX Perfomance. Et pour la toute première fois, Volkswagen propose un bloc de 326 ch (240 kW). {{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Volkswagen l'avait annoncé, l'ensemble de sa gamme électrique ID sera dérivé en des versions GTX. Bas de caisse, optiques, sellerie… retour sur cette signature visuelle. Les modèles ID GTX, considérés comme l'équivalent électrique des GTI, reçoivent forcément plusieurs éléments distinctifs propres à cette famille de sportives. Cela se caractérise par exemple par une carrosserie composée d'éléments (toit, bas de caisse, rétroviseurs) recouverts d'un noir brillant, presque miroir. Les phares à LED IQ. Light, initialement en option, deviennent un équipement de série. À l'avant comme à l'arrière, les bas de caisse possèdent un motif en nid d'abeilles. Et comme l'arboraient déjà les ID.4 et ID.5, ces « nouvelles » GTX affichent le sigle à trois lettres, prenant la place du nom du véhicule.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Dans l'habitacle se trouvent plusieurs touches de rouge, notamment au niveau du siège et du volant… ce qui rappelle forcément les fameuses GTI.

Le monospace électrique ID. Buzz bénéficie aussi d'une version GTX. Le Combi moderne gagne en puissance, mais surtout en habitabilité. Volkswagen a fait le choix de doter son ID.Buzz GTX d'un second moteur. Résultat, le monospace bénéficie d'une puissance de 340 ch (250 kW) et d'une transmission intégrale (4Motion). Mais plus que de la sportivité, le Combi électrique gagne surtout en espace à bord. Car dans la version 5 places, l'ID Buzz GTX offre un espace de chargement de 1.121 litres si l'ensemble de ses sièges sont occupés, et cela passe même à 2.123 litres une fois la banquette arrière rabattue. Mais déjà prometteurs, ces volumes augmentent encore avec la version 7 places. Ainsi, le monospace propose un volume de 1.340 litres dans son coffre et jusqu'à 2.469 litres quand les sièges rabattus. Si 7 passagers sont à bord, le volume passe à 306 litres. Le Combi électrique arriver, dans sa variante GTX, durant le second semestre 2024 tandis que les préventes ouvriront cet été.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}