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PHOTOS - Renault Megane R.S., Seat Leon Cupra, Ford Focus ST : quel prix en occasion ?

Après une sélection de voitures sportives d'occasion relativement accessibles, voici une nouvelle sélection comportant des voitures de la catégorie supérieure. Malgré de meilleures performances et des finitions plus flatteuses, vous allez voir que certaines ne sont pas si chères que l'on pourrait le croire. La semaine dernière, nous vous avions dressé une liste de petites sportives accessibles sur le marché de l'occasion. Cependant, certains passionnés ne se contentent pas de petits moteurs de "seulement" 200 chevaux. Heureusement, il existe une multitude de modèles proposant plus de 250 chevaux, voire plus de 300. Renault Mégane R.S., Volkswagen Golf R, Audi S3, Honda Civic Type R... Il y en a pour tous les goûts et pour tous les budgets ! 

PHOTOS - Notre essai du Mini Countryman C (2024) en version d'entrée de gamme

Gonflée à bloc, la troisième génération du Mini Countryman grimpe d'un segment pour laisser la place libre à son futur petit frère le Aceman. Avec 4,44 m de long désormais, le SUV compact avance de solides arguments pour séduire les familles avec une excellente habitabilité et un coffre digne de ce nom. Une Mini vraiment familiale, c'est nouveau ? Oui, mais on retrouve néanmoins la philosophie Mini par l'originalité de système multimédia, mais aussi par ses qualités dynamiques qui rendent ce grand Countryman plus agile qu'il n'en a l'air. Reste à voir si toutes les motorisations sont à la hauteur de sa prise de poids. Concrètement, que vaut la version d'entrée de gamme déjà forte d'un trois cylindre 1.5 litre hybrid de 170 ch ? Réponse dans notre essai. A lire : ESSAI – Mini Countryman (2024) : que vaut l'entrée de gamme ?

ESSAI – Mini Countryman (2024) : que vaut l’entrée de gamme ?

Avec l'arrivée prochaine de son petit frère baptisé Aceman, la nouvelle génération de Countryman a toute la latitude pour prendre de l'ampleur afin de mieux servir les familles. Conçu sur la plateforme de son cousin le BMW X1, il compte désormais sur un bloc essence hybrid de 170 ch pour assurer le job en entrée de gamme. Une valeur sûre, mais quid de l'esprit Mini ? Qu'il parait loin le temps où Mini faisait des Mini ! Le Countryman est certainement le meilleur symbole de ce changement d'époque. Pas moins de 33 cm séparent le modèle lancé en 2010 de la troisième génération aujourd'hui à l'essai (4,44 m). Le Countryman est devenu un véritable SUV compact jouant désormais dans la cours des Audi Q3, Mercedes GLA et BMW X1. Logique puisqu'il partage sa plateforme et la majorité de ses motorisations avec son cousin bavarois : des essence de 170, 218 et 300 ch (C, S et JCW), un Diesel de 163 ch (D) et même des moteurs électriques pour la première fois, avec les versions E et SE fortes de respectivement 204 et 313 ch. A peu près tout le monde devrait y trouver son compte. Après notre essai de la sulfureuse version JCW, nous nous sommes donc intéressés à la version d'entrée de gamme essence baptisée Countryman C, qui devrait représenter la majorité des ventes.

Roland Ratzenberger, l'autre destin tragique (et oublié) du GP d'Imola 1994

Le Grand Prix d'Imola 1994 a été marqué d'une pierre blanche par les décès de deux pilotes. Il y a 30 ans jour pour jour, Roland Ratzenberger, le premier d'entre eux, perdait la vie durant les qualifications du Grand Prix de San Marin.  Pour beaucoup, Roland Ratzenberger est un nom qui n'évoque pas grand-chose dans le sport automobile. Le pilote autrichien a poursuivi jusqu'au bout de sa vie son plus bel objectif : piloter une Formule 1. Il débute sa carrière en Formule Ford en 1983. Il enchaine ensuite la Formule 3 britannique, le championnat du monde de voitures de tourisme, l'endurance au Japon, jusqu'à une participation aux 24 Heures du Mans en 1993, qu'il termine en cinquième position.  Une carrière honorable qui lui ouvre les portes de la discipline reine en 1994, dans l'écurie Simtek Ford, aux côtés de David Brabham, le fils de Jack. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : FORMULE 1 - SAISON 2024 : découvrez le calendrier des 24 grands prix !

Acheter une Renault Megane R.S. d’occasion, c’est encore jouable ?

Alors que Renault Sport a définitivement cédé sa place à Alpine, les amateurs de petites voitures sportives regrettent évidemment certains modèles frappés du losange. Parmi eux, comment ne pas citer la Megane R.S. ? Elle a longtemps été l'une des références du segment des compactes sportives, tenant la dragée haute à certains mythes roulants. Seulement pour beaucoup, sa disparition est synonyme d'explosion des tarifs. Mais qu'en est-il véritablement ? Cela fait déjà un moment que Renault a décidé de laisser le champ libre à Alpine, en enterrant son célèbre label Renault Sport. Outre la disparition de cette griffe adorée par les fans, on déplore surtout l'arrêt de la production de la Megane R.S., variante sportive de la compacte propre sur elle, qui revendiquait tout de même 300 chevaux dans sa dernière itération. Seulement voilà, comme dans de nombreux cas similaires, les tarifs d'un modèle qui s'arrête ont une fâcheuse tendance à s'envoler. Mais est-ce le cas de la Renault Megane R.S. ? Eh bien pas forcément ! Évidemment, si votre budget est serré, oubliez tout de suite les séries spéciales comme la Trophy ou l'encore plus méchante Trophy-R. Ces versions s'affichent autour des 60.000 euros, voire plus de 70.000 pour les modèles peu kilométrés. Pas inatteignables, mais tout de même bien plus chères que les exemplaires « normaux ». Aujourd'hui, il faut compter entre 35.000 et 50.000 euros pour des Megane R.S. standards, en ratissant large. Pour ce prix, vous pouvez mettre la main sur un exemplaire totalisant moins de 50.000 kilomètres.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : La Renault Mégane R.S. Ultime démarre à partir de 53 450 €

Nouveau Cupra Formentor : il perd un cylindre et quelques chevaux !

Cupra vient de présenter les versions restylées de ses Leon et Formentor. La même recette semble avoir été appliquée aux deux modèles, avec notamment un gros travail sur l'identité visuelle. Les motorisations sont communes, mais on regrette quand même la disparition du 5 cylindres de 390 chevaux, qui coiffait la gamme du Formentor. Désormais, il va falloir se contenter d'un 4 cylindres de 333 chevaux. Ce qui n'est pas ridicule, avouons-le. L'heure est au renouvellement chez Cupra. La griffe sportive de Seat vient en effet de présenter non pas une, mais bien deux nouveautés. Il s'agit en réalité davantage de restylages, mais les évolutions sont si profondes qu'on pourrait croire à de nouvelles générations. Cupra inaugure donc de nouveaux codes stylistiques, par le biais de ses Leon et Formentor restylés. À l'extérieur, les changements sont bien visibles. La face avant troque sa calandre classique contre des ouvertures plus discrètes, avec des arêtes qui renforcent l'agressivité de la voiture et qui contribuent à élargir l'ensemble, visuellement du moins. Le logo est désormais placé au bout du capot, tandis que les phares adoptent une signature lumineuse inédite. Comme sur la Leon, la face arrière évolue plus en douceur, avec l'intégration du logo, désormais lumineux, au centre du bandeau de LED. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Nouvelle Cupra Leon : elle ne veut plus passer pour une banale Seat !
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