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Aujourd’hui — 7 mai 2024Automobile

PHOTOS - Notre essai du Porsche Macan Electric (2024) en images

Le flambeau s'apprête à être passé ! Dès cet été le nouveau Porsche Macan Electric remplacera le Macan thermique dans la plupart des concessions européennes. Plus impressionnante que jamais, avec son look de SUV coupé et ses performances canons, cette nouvelle génération aura la lourde tâche de convertir à l'électrique une partie de la clientèle Porsche. Est-elle en mesure d'y parvenir ? Offre t-elle la sportivité attendue au volant d'une Porsche digne de ce nom ? Réponses dans notre essai, à bord du Macan 4 d'entrée de gamme (408 ch) et de la version Turbo forte de 639 ch.

Essai - Porsche Macan Electric (2024) : sacrilège ?

Le Macan s'est toujours imposé comme le SUV le plus sportif de la gamme Porsche. Est-ce que la nouvelle génération désormais 100% électrique est en mesure de suivre les traces de son prédécesseur thermique ? Réponse au volant du Macan 4 d'entrée de gamme, et de la turbulente version Turbo. Après plus de 850.000 unités vendues dans le monde en dix ans de carrière, le Macan cède aujourd'hui sa place à une seconde génération exclusivement proposée en 100% électrique. Pénalisée d'un fort malus (60 k€), la version thermique (de précédente génération donc) disparaitra en effet du catalogue dès cet été dans la majorité des pays d'Europe. Mais elle continuera d'être commercialisée aux USA et en Asie, ainsi qu'en Suisse et au Royaume-Uni. Le démarrage des ventes du Macan Electric est quant à lui annoncé comme excellent avec plus de 10.000 commandes effectuées en deux mois dans le monde (chiffres mars). Il faut également noter que près d'un client sur deux n'avait jamais acheté de Porsche. Un véritable produit de conquête donc pour la marque.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

PHOTOS – Mercedes-AMG CLE 53 4Matic+ Cabriolet : pour les balades sportives en bord de mer

Par : Juan Salazar
6 mai 2024 à 18:00
Mercedes-AMG dévoile le CLE 53 4Matic+ Cabriolet, un nouveau venu dans la gamme des cabriolets sportifs. Doté d'un moteur six cylindres en ligne biturbo et d'un toit décapotable, ce modèle cherche à offrir de la performance tout en conduisant à ciel ouvert.  Inspiré par les lignes dynamiques des derniers modèles de la marque, le Mercedes CLE 53 se distingue par ses larges passages de roues, son capot à double bosselage et son toit ouvrable, qui se déploie en 20 secondes à une vitesse maximale de 60 km/h. Il est même équipé d'un déflecteur de vent et d'un système de chauffage de la nuque pour un confort optimal, peu importe la météo. Son moteur six cylindres en ligne biturbo de 3,0 litres, à hybridation légère, développe 449 ch et un couple maximal de 560 Nm (600 Nm avec le boost temporaire). Le tout associé à une boîte de vitesses AMG Speedshift TCT et à une transmission intégrale 4MATIC+ entièrement variable, lui conférant une accélération de 0 à 100 km/h en seulement 4,2 secondes et une vitesse maximale de 250 km/h (270 km/h avec le pack AMG Driver). Malgré ses performances, sa consommation de carburant reste maîtrisée, oscillant entre 9,6 et 9,8 l/100 km, bien que ses émissions de CO2 lui valent un malus écologique de 60 000 euros.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Mercedes-AMG CLE 53 4Matic+ Cabriolet : le parfait compromis ?

Par : Juan Salazar
6 mai 2024 à 18:00
Mercedes-AMG accueille un nouveau venu dans la famille des cabriolets sportifs, le CLE 53 4Matic+ Cabriolet. Avec son moteur six cylindres en ligne biturbo et son toit rétractable, ce cabriolet entend bien allier confort et performance cheveux au vent ! En présentant son CLE 53, Mercedes a souhaité proposer un bon compromis entre ses deux coupés à succès, les Classe C et Classe E, qu'il remplace. Inspiré par les derniers modèles de la marque, son style se distingue par ses larges passages de roues avant et arrière, son capot à double bosselage et ses lignes acérées. La vraie particularité de ce dernier, c'est sa capote en toile qui peut s'ouvrir ou se fermer en 20 secondes, à une vitesse maximale de 60 km/h. Il embarque même un déflecteur de vent et un système pour réchauffer la nuque, afin que l'on puisse profiter de rouler chevaux au vent, même l'hiver ! Mais c'est sous le capot que la magie opère. Le CLE 53 4Matic+ Cabriolet abrite un moteur six cylindres en ligne biturbo de 3,0 litres, à hybridation légère, développant 449 ch et un couple maximal de 560 Nm (600 Nm avec l'overboost temporaire). Tout cela, associé à la boîte AMG Speedshift TCT et à la transmission intégrale 4MATIC+ entièrement variable, permet à ce cabriolet d'atteindre une vitesse maximale de 250 km/h (270 km/h avec le pack AMG Driver). Le 0 à 100 km/h est expédié en 4,2 secondes, pas si mal pour une voiture qui frôle les deux tonnes (1.985 kg).{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Nouveau Mercedes CLE Coupé : à plus de 66.000 euros, il fait le café au moins ?

VIDEO - Pour le plaisir, des Ferrari FXX qui tourne à Monza et au Mugello !

Par : Juan Salazar
6 mai 2024 à 17:00
Alors que le dernier modèle à V12 atmosphérique de Ferrari a été présenté la semaine dernière, c'est le moment de rendre un ultime hommage à ce moteur que l'on retrouve encore aujourd'hui chez le constructeur. Montez le volume et appréciez cette sérénade offerte par la Ferrari FXX, inspirée de la Ferrari Enzo, qui dévale les circuits de Monza et du Mugello. Que se passe-t-il quand Ferrari décide de créer des variantes encore plus extrêmes, de ses modèles les plus extrêmes : ça donne le programme FXX. Destinés à de riches clients triés sur le volet, les véhicules de la série XX ne sont ni homologués pour la route ni pour la compétition. Alors, pourquoi débourser plusieurs millions afin de s'en offrir un, me direz-vous ? Eh bien parce que c'est simplement ce qui se fait de mieux chez le constructeur au cheval cabré. Ce programme a pour objectif de servir de « laboratoire », afin de développer les futurs modèles du constructeur. Ainsi, Ferrari propose à ces riches propriétaires de prendre le volant de ces monstres de piste sur les circuits les plus prestigieux du monde. Et dans cette vidéo, on peut voir le tout premier modèle à avoir inauguré la série, la Ferrari FXX, dévaler les circuits de Monza et du Mugello, dans un vacarme absolument magnifique. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Ferrari 12 Cilindri : la 365 Daytona de 2024 !

Alfa Romeo Junior : à 29.500 euros, que vaut l’entrée de gamme ?

Alors que les polémiques qui entouraient son lancement commencent à s'estomper, l'Alfa Romeo Junior prépare maintenant son arrivée sur le marché. La marque a d'ailleurs communiqué ses tarifs la semaine dernière, l'occasion de constater que l'entrée de gamme s'affiche à 29.500 euros, pour la version Ibrida. Une bonne surprise, puisque l'Italien est plus accessible que le Peugeot 2008, avec lequel il partage de nombreux éléments techniques. Mais cela suffira-t-il pour lui assurer le succès ? Ce modèle était très attendu, Alfa Romeo n'avait pas le droit à l'erreur avec ce Milano, désormais rebaptisé Junior. Décliné en motorisations 100 % électrique et hybride, ce SUV joue donc sur les deux tableaux, comme ses cousins du groupe Stellantis. Évidemment, les Alfistes purs grincent des dents, eux qui sont davantage intéressés par les berlines sportives et les coupés élégants. Reste que la marque a pour l'instant réussi son pari, en proposant son junior à moins de 30.000 euros, ce qui le rend plus accessible que le Peugeot 2008 doté de la même motorisation. Le Junior Elettrica, également moins cher que son cousin sochalien, débute à 38.500 euros. En version Ibrida, celle dont il est question aujourd'hui, il embarque un 3 cylindres 1.2 PureTech de 136 chevaux, associé à une boîte de vitesses automatique à 6 rapports dans laquelle est logé un petit bloc électrique. Une motorisation déjà bien connue, que l'on retrouve également sous le capot des Jeep Avenger ou encore des Citroën C3 Aircross. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Alfa Romeo Milano : véritable Alfa, ou énième clone made in Stellantis ?

Extrait émission Turbo : Youngtimers Festival, au rendez-vous des passionnés

Vous avez grandi dans les années 80, 90 ou 2000 ? Vous aviez des étoiles dans les yeux en découvrant des compteurs gradués à plus de 200 km/h en collant vos mains contre les vitres conducteurs ? Attention, vous êtes sans doute un amateur de Youngtimers : ces voitures lancées lors des 3 dernières décennies et qui comptent de plus en plus d'adeptes dans le monde.  La semaine dernière, les fans avaient rendez-vous sur le circuit de Montlhéry, en région parisienne, pour participer au Youngtimers Festival. Au programme : des centaines de voitures en exposition, des sessions d'attaque sur circuit, et même une parade. Mais surtout, une ambiance cool, avec des passionnés aux anges !  S'il ne devait en rester qu'une, une seule voiture qui symbolise à elle seule la mode des Youngtimers initiée il y a une quinzaine d'année, ce serait elle et sans conteste : la Peugeot 205 GTI. Quand on parle de Youngtimer, la Peugeot 205 GTI est incontournable. C'était la sportive française populaire par excellence, et au passage la meilleure GTI de son époque. Désolé pour les passionnés de la Renault Supercinq GT Turbo, sa grande rivale, mais c'est la réalité. Son succès ne s'est jamais démenti et elle fête aujourd'hui ses 40 ans ! Eh ouais, la toute première 205 GTI, c'était en 1984, avec un 1.6 de 105 chevaux. Ça passe hein ?   Pour fêter cet évènement, le 205 GTI Classic Club et le GTI Powers, deux clubs de passionnés, se sont réunis pour nous offrir ce plateau exceptionnel avec plus de 40 exemplaires réunis ici, au Youngtimers Festival. Heu franchement, j'repartirais bien avec l'un d'entre eux moi. Pas vous ?     Pour une sportive, la Peugeot 205 GTI a eu une carrière particulièrement longue : plus de 10 ans, jusqu'en 1994, et plus de 330 000 exemplaires écoulés à la clef, principalement en Europe. Ce qui explique sa grande popularité. Il y a eu 6 versions principales différentes : 1.6 de 105 ou 115 ch, et 1.9 de 122 ou 130 ch, en tenant compte également des dernières versions Griffe et Gentry du début des années 90.  L'une des plus recherchées car l'une des plus rares, c'est la Peugeot 205 Griffe.    Bon, vous m'voyez venir ? Et si on l'emmenait sur l'Anneau de Montlhéry cette 205 Griffe ? Aujourd'hui en 2024, un modèle comme la Peugeot 205 Griffe de Mathieu, ça coûte plus de 20 000 euros. Mais certaines versions plus conventionnelles de 205 GTI, un peu kilométrées et ayant besoin d'être rafraîchies s'échangent autour de 10 000 euros.   

Extrait émission Turbo : Essai Hyundai Ioniq 5 N, la promesse d'une sportive nouvelle génération

La promesse de la coréenne est simple : offrir des sensations de conduite proches de celles d'une sportive thermique. Sacré pari pour une voiture, qui à la base, est un savant mélange entre un SUV et une grosse berline familiale ! Peut-être une nouvelle ère dans le monde de l'automobile électrique ! En 10 ans d'existence, la division sports mécaniques de Hyundai a déjà connu quelques succès : deux titres constructeurs en WRC et 4 titres pilotes en TCR. Ce que l'on sait moins, c'est que Hyundai avait déjà tenté une incursion dans le monde de la compétition à la fin des années 90. Transformer un SUV électrique en sportive, c'est donc le défi fou que s'est lancé Hyundai. Pour y arriver, son département de voitures routières sportives N, a donc pu compter sur le savoir-faire en compétition de Motorsport.  L'avant se muscle avec ce grand bouclier bien ouvert par des aérateurs spécifiques. Les jupes latérales rabaissées s'étirent de part et d'autre de grosses jantes 21 pouces. Le tout souligné par un petit liseré orange. Bref, la Ioniq 5 N ne passe pas inaperçue ! Des dimensions supérieures qui ne profitent ni à l'habitabilité ni au coffre qui restent identiques. Tout l'inverse de la présentation intérieure se la jouant plus sportive : sièges baquets, pédales et reposes pieds en alu, nouveau volant et même une petite console centrale munie d'une genouillère pour la conduite sur circuit. Très malin !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Plus de temps à perdre, il est temps de quitter l'Allemagne. Direction la France, à travers les magnifiques paysages des  Vosges ! Etonnante oui, mais surtout super performante ! Grâce à ses deux moteurs, un sur chaque essieu, la Ioniq 5 N peut développer jusqu'à 650 chevaux. De quoi atteindre 260 km/h de vitesse maximale et surtout littéralement foudroyer le 0 à 100 km/h en seulement 3 secondes 4. Il reste toutefois une petite étape à faire passer à la IONIQ 5 N, celle du circuit, eh oui ! Le temps de laisser la neige s'arrêter de tomber et nous voilà sur le tracé Geopark de Saint Dié des Vosges. Rouler en électrique en se croyant dans une sportive thermique, c'est donc possible… et franchement réaliste ! Un nouveau type de voiture qui pourrait peut-être convaincre même les plus électro-sceptiques. Et inspirer d'autres constructeurs !  

BMW 530iX Enduro Touring : Quand la routière bavaroise quitte l’Autobahn par la forêt

Avec l'aide de son département Individual, BMW crée en 1993 une originale version tout-chemin de son break routier, baptisé Enduro Touring. Au programme : carrosserie bicolore, transmission intégrale et grand confort à bord. Une configuration qui est malheureusement restée sans suite.  Durant les années 90, BMW cherche à développer l'image de sa Série 5 E34, présente sur le marché depuis 1988. La berline prend avec brio le relais de l'iconique génération précédente, la E28. Pour la première fois de son histoire, BMW sort une version break Touring de la Série 5, caractérisée par sa gigantesque soute à bagages.  BMW est plutôt doué sur la transmission intégrale. Proposée pour la première fois sur la Série 3 E30, avec la 325iX, la technologie des quatre roues motrices de la marque allemande semble avoir fait ses preuves sur chaussée dégradée.  C'est en associant version inédite et transmission intégrale que BMW crée une version inédite de la Série 5 Touring : la BMW 530iX Enduro Touring. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : BMW Série 5 Touring : l'électrique s'invite sous son capot pour la première fois !

Une DeLorean DMC-12 électrique : quand la foudre frappe un peu trop fort

Par : Juan Salazar
6 mai 2024 à 12:00
Qui n'a jamais rêvé d'avoir la mythique DeLorean DMC-12. Transformée en machine à remonter le temps dans la saga Retour Vers le Futur, son look plus qu'avant-gardiste a fait rêver petits et grands. Mais le préparateur Lynx Motors vient de pousser la transformation un cran au-dessus, en remplaçant son V6 par un moteur électrique. La célèbre DeLorean DMC-12 est de retour (vers le futur ?). Cette mythique voiture de sport produite des années 1981 à 1983 a marqué les esprits, notamment grâce à son look qui semblait tout droit sorti d'un film de science-fiction. On se souvient avant tout de sa carrosserie en acier inoxydable et de ses portes papillon, le tout avec un moteur V6 de 130 chevaux sous le capot. Fort heureusement, le succès de la saga Retour Vers le Futur a réussi à sauver ce modèle qui n'avait pas connu une grande carrière jusque-là. Finalement, le constructeur américain DeLorean continuera à entretenir les diverses voitures en circulation, étant donné qu'il s'agissait de l'unique modèle de son histoire. Il avait même été question de le dériver en version électrique, ce qui n'a jamais abouti, jusqu'à aujourd'hui…{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Ces 5 courses poursuites sont-elles les meilleures de l'histoire du cinéma ?

RUMEURS – Une nouvelle Lancia Gamma pour 2026, Stellantis en pleine réflexion sur le thermique, le Cadillac Optiq arrive en Europe !

Comme toutes les semaines, l'actualité est parsemée de rumeurs. Cependant, certains bruits de couloirs sont assez insistants et même plutôt plausibles, au regard des stratégies des différentes marques. C'est notamment le cas d'une rumeur évoquant le retour d'une appellation bien connue chez Lancia, Gamma. D'autre part, il se murmure chez Stellantis que les modèles électriques pourraient continuer d'être déclinés en versions thermiques pendant plus longtemps que prévu. Enfin, actuellement en pleine transition, Cadillac pourrait décider de lancer son nouveau SUV Optic sur le marché européen, en parallèle du Lyriq. Lorsque l'on veut rester informé sur ce qui se passe dans le milieu automobile, il convient de bien trier les informations vérifiées et les rumeurs. Et si certains bruits de couloirs paraissent plausibles, il vaut toujours mieux les prendre avec des pincettes, du moins jusqu'à leur éventuelle confirmation. Trois rumeurs particulièrement intéressantes circulent depuis une semaine environ. À commencer par le retour de l'appellation Gamma, ou Thema, au sein de la gamme Lancia. Il se pourrait également que Stellantis continue de décliner ses voitures électriques en versions thermiques pendant encore quelques années, au-delà de la date initialement prévue. Enfin, alors que la marque est actuellement en plein renouveau, Cadillac pourrait s'appuyer sur son nouveau SUV, l'Optiq, pour partir à l'assaut du marché européen. On fait le point. Lire aussi : Lancia Ypsilon HF : le retour de deux lettres mythiques en 2025 ! Le futur vaisseau amiral de Lancia pourrait s'appeler Gamma ou Thema
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