Alors que Renault Sport a définitivement cédé sa place à Alpine, les amateurs de petites voitures sportives regrettent évidemment certains modèles frappés du losange. Parmi eux, comment ne pas citer la Megane R.S. ? Elle a longtemps été l'une des références du segment des compactes sportives, tenant la dragée haute à certains mythes roulants. Seulement pour beaucoup, sa disparition est synonyme d'explosion des tarifs. Mais qu'en est-il véritablement ? Cela fait déjà un moment que Renault a décidé de laisser le champ libre à Alpine, en enterrant son célèbre label Renault Sport. Outre la disparition de cette griffe adorée par les fans, on déplore surtout l'arrêt de la production de la Megane R.S., variante sportive de la compacte propre sur elle, qui revendiquait tout de même 300 chevaux dans sa dernière itération. Seulement voilà, comme dans de nombreux cas similaires, les tarifs d'un modèle qui s'arrête ont une fâcheuse tendance à s'envoler. Mais est-ce le cas de la Renault Megane R.S. ? Eh bien pas forcément ! Évidemment, si votre budget est serré, oubliez tout de suite les séries spéciales comme la Trophy ou l'encore plus méchante Trophy-R. Ces versions s'affichent autour des 60.000 euros, voire plus de 70.000 pour les modèles peu kilométrés. Pas inatteignables, mais tout de même bien plus chères que les exemplaires « normaux ». Aujourd'hui, il faut compter entre 35.000 et 50.000 euros pour des Megane R.S. standards, en ratissant large. Pour ce prix, vous pouvez mettre la main sur un exemplaire totalisant moins de 50.000 kilomètres.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : La Renault Mégane R.S. Ultime démarre à partir de 53 450 €

Cupra vient de présenter les versions restylées de ses Leon et Formentor. La même recette semble avoir été appliquée aux deux modèles, avec notamment un gros travail sur l'identité visuelle. Les motorisations sont communes, mais on regrette quand même la disparition du 5 cylindres de 390 chevaux, qui coiffait la gamme du Formentor. Désormais, il va falloir se contenter d'un 4 cylindres de 333 chevaux. Ce qui n'est pas ridicule, avouons-le. L'heure est au renouvellement chez Cupra. La griffe sportive de Seat vient en effet de présenter non pas une, mais bien deux nouveautés. Il s'agit en réalité davantage de restylages, mais les évolutions sont si profondes qu'on pourrait croire à de nouvelles générations. Cupra inaugure donc de nouveaux codes stylistiques, par le biais de ses Leon et Formentor restylés. À l'extérieur, les changements sont bien visibles. La face avant troque sa calandre classique contre des ouvertures plus discrètes, avec des arêtes qui renforcent l'agressivité de la voiture et qui contribuent à élargir l'ensemble, visuellement du moins. Le logo est désormais placé au bout du capot, tandis que les phares adoptent une signature lumineuse inédite. Comme sur la Leon, la face arrière évolue plus en douceur, avec l'intégration du logo, désormais lumineux, au centre du bandeau de LED. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Nouvelle Cupra Leon : elle ne veut plus passer pour une banale Seat !

Cupra vient de présenter sa Leon restylée. Si, à première vue, on pourrait croire que rien ou presque ne change, il apparaît en réalité que les évolutions sont bien plus profondes. Design revu, intégration de codes stylistiques propres à Cupra, habitacle modernisé, motorisations améliorées… La branche sportive de Seat a mis les petits plats dans les grands, avec vraisemblablement pour objectif de ne plus proposer de « simples » Seat rebadgées.  La Leon est l'un des modèles emblématiques de Seat, comme l'est la Golf pour Volkswagen. Il est donc normal qu'elle soit également capitale pour la division sportive de la marque espagnole, Cupra. Celle-ci vient d'ailleurs de présenter la version restylée de sa compacte. Vue de loin, on pourrait croire à des modifications infimes, mais on s'aperçoit rapidement que les deux versions sont plus différentes que jamais. Visuellement, les proportions sont conservées. Cupra ne pouvait pas tout changer, mais les évolutions apportées font une réelle différence.  La face avant abandonne la calandre classique au profit d'ouvertures plus fines, qui rappellent la Cupra Born. Le bouclier est plus anguleux et présente des arêtes et des lames, qui soulignent le tempérament plus agressif de la Leon. Le logo est déporté au bout du capot, tandis que les optiques intègrent une nouvelle signature lumineuse. La face arrière évolue plus en douceur, avec simplement une nouvelle signature à LED, qui intègre désormais le logo au centre du bandeau. Celui-ci est d'ailleurs lumineux également. Au rayon des nouveautés, on peut aussi citer de nouvelles teintes de carrosserie mates.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Cupra Formentor All-Terrain : quand JE Design offre une paire de bottes au SUV espagnol

Le 25 mai prochain doit avoir lieu un festival qui devrait plaire à la fois aux passionnés de voitures, mais aussi aux amateurs de cinéma. L'Otto Fest s'installera donc dans le Morbihan, à Josselin, et mettra à l'honneur certaines des voitures de films et de séries les plus emblématiques ! On le sait, l'automobile et le cinéma sont deux secteurs historiquement liés. On ne compte plus le nombre de voitures qui ont servi d'héroïnes ou, en tout cas, de moyen de déplacement pour des héros. Certaines franchises se sont même construites autour de l'automobile, comme Fast & Furious. Qu'elles servent à semer la police, à courser les brigands ou tout simplement à faire la course, les voitures ont toujours eu un rôle prédominant sur le grand écran.  Elles vont d'ailleurs être mises à l'honneur le 25 mai prochain, à Josselin dans le Morbihan. OttOmobile, fabricant de modèles réduits de collection, organise le Otto Fest, un grand rassemblement dédié aux voitures de films et de séries, où les visiteurs pourront venir admirer ces icônes et même partir rouler dans la campagne bretonne.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Ces 5 films de voitures que vous devez absolument voir au moins une fois

Il y a quelques semaines, Bugatti avait ravi ses fans en annonçant l'arrivée en juin de la remplaçante de sa Chiron. La marque avait également rassuré tout le monde en confirmant qu'elle ne serait pas électrique, mais qu'elle embarquerait un inédit V16 électrifié. Bien qu'il reste encore quelques semaines à patienter avant sa présentation officielle, on a déjà pu apercevoir cette hypercar, cachée sous son camouflage. Le mois de juin pourrait bien devenir le préféré des passionnés d'hypercars ! C'est en effet ce mois-ci que Bugatti a choisi pour dévoiler officiellement sa nouvelle voiture, qui doit succéder à la Chiron. Un modèle qui fera entrer la marque alsacienne dans une nouvelle ère, puisque l'on sait déjà qu'il sera hybride. Ne râlez pas trop vite, on ne parle pas d'un 4 cylindres électrifié, mais bien d'un 16 cylindres en V qui promet des performances exceptionnelles et une belle sonorité. Le V16 était d'ailleurs le seul élément de la voiture que l'on avait pu voir jusqu'à aujourd'hui. Mais Bugatti a fait prendre l'air à sa future hypercar et, bien qu'elle soit lourdement camouflée, on peut quand même entrevoir ses lignes et ses proportions. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Remplaçante de la Bugatti Chiron : le W16 laissera sa place à un V16 hybride !

Le week-end dernier se tenait le Grand-Prix de Formule E de Monaco. À cette occasion, le constructeur Automobili Pininfarina a fait le show en faisant rouler son hypercar électrique, la Battista, dans une édition spéciale baptisée Nino Farina. Ce modèle d'exception a pu se dégourdir les roues et exploiter ses 1.900 chevaux dans les rues de la Principauté, sur le circuit de course. La Formule E ne jouit pas encore de la même popularité que son homologue thermique, la Formule 1. Cela dit, ça ne signifie pas que les constructeurs boudent les Grand-Prix, loin de là même. Par exemple, Automobili Pininfarina a profité du Grand-Prix de Monaco, qui se tenait le week-end dernier, pour faire la démonstration d'une nouvelle série spéciale de sa Battista, baptisée Edizione Nino Farina.  Cette série spéciale, limitée à seulement cinq exemplaires, rend hommage au pilote de course Giuseppe Farina, surnommé Nino en son temps. Ainsi, ces cinq Battista seront toutes différentes et donc uniques, avec des livrées et des habitacles spécifiques renvoyant aux victoires remportées par le pilote.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Pininfarina Anniversario et Reversario : le Yin et le Yang de l'hypercar italienne

Il y a quelques mois, Mercedes présentait son tout nouveau CLE Coupé, qui a la lourde tâche de remplacer à la fois les Classe C et E Coupé. Aujourd'hui, la marque à l'étoile communique les tarifs officiels. L'occasion de voir que ce CLE reprend le style de la Classe C Coupé, mais aussi les prix de la Classe E Coupé, puisqu'il s'affiche à partir de 66.300 euros tout de même ! Chez Mercedes, comme chez pas mal d'autres constructeurs premiums, l'heure est à la rationalisation. Éliminer le superflu, pour se concentrer sur les produits qui plaisent le plus et qui affichent donc de bons volumes de ventes. Dans la gamme, on retrouvait jusqu'à l'année dernière 2 coupés assez proches, qui arrivaient en fin de cycle. Mercedes a donc profité de ce renouvellement pour les fusionner, donnant donc naissance à cet inédit CLE. Le style est donc largement inspiré des dernières productions de la marque, avec un long capot plongeant et des optiques étirées, tandis que la poupe intègre des feux reliés par un bandeau. Le CLE est finalement assez semblable à l'ancienne Classe C Coupé, du moins pour l'esthétique. Les tarifs, en revanche, sont clairement inspirés de la Classe E Coupé, puisqu'il faudra débourser 66.300 euros pour la version d'entrée de gamme ! Une coquette somme…{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : ESSAI – Mercedes CLE (2024) : Coupé haute couture

Maintenant que l'on compte deux super-SUV en Italie, il ne reste plus qu'à les départager. Le Lamborghini Urus Performante et le Ferrari Purosangue font partie des mastodontes les plus performants du marché, actuellement. Mais est-il réellement possible de désigner un vainqueur ? Pour le savoir, il suffit de les faire s'affronter dans une course ! Bien qu'ils aient été présentés à des moments différents, ces deux SUV ont fait l'effet de véritables bombes dans le milieu automobile. Même si les passionnés ont grincé des dents au moment de leur lancement, le Lamborghini Urus et le Ferrari Purosangue ont fini par être acceptés à leur juste valeur, grâce notamment à leurs fiches techniques et à leurs motorisations nobles. Mais que valent-ils une fois qu'on les place l'un à côté de l'autre sur une grille de départ ? C'est ce qu'a voulu vérifier l'équipe de la chaîne Youtube Carwow.  Pour que le match soit le plus équitable possible, c'est la version Performante du Lamborghini Urus qui a été alignée sur la grille de départ. Celle-ci embarque un V8 4.0 biturbo de 666 chevaux et 850 Nm de couple, associé à une boîte automatique à 8 rapports. La puissance est transmise aux 4 roues, plutôt pratique pour déplacer les 2.150 kg de la bête. De son côté, le Ferrari Purosangue est équipé d'un V12 6.5 atmosphérique de 725 chevaux et 716 Nm de couple. Il a donc l'avantage de la puissance, mais il est également plus léger avec un poids de « seulement » 2.033 kg. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Lamborghini Urus SE : plus de puissance, moins de malus écologique !

Ces derniers jours, on a pu entendre toutes sortes de bruits de couloirs concernant d'hypothétiques nouveautés. Pour l'heure, rien n'a été confirmé mais certaines de ces rumeurs méritent tout de même que l'on s'attarde dessus. C'est notamment le cas du côté de chez Alfa Romeo, qui serait en train de développer une nouvelle supercar pour faire suite à sa 33 Stradale. En Allemagne, Audi serait également en train de plancher sur la remplaçante de la R8, en version électrique, qui pourrait développer jusqu'à 1.400 chevaux ! Enfin, en Angleterre, la future Aston Martin DBS termine ses tests et pourrait bien reprendre en partie les lignes de la magnifique Valour. On fait le point ! Il faut toujours faire attention à ce qu'on lit. Entre actualité vérifiée et bruits de couloirs, il n'est pas toujours simple de démêler le vrai du faux. On peut donc vite tomber dans le panneau. Cela dit, bien qu'elles ne soient pas confirmées par les marques, certaines rumeurs méritent quand même notre attention tant elles sont soit plausibles, soit enthousiasmantes. Cette semaine, on part en Italie, en Allemagne et en Angleterre, pour évoquer d'éventuelles nouveautés très intéressantes du côté de chez Alfa Romeo, Audi et Aston Martin. Lire aussi : Alfa Romeo 33 Stradale : et en bleu, elle vous plait ? Alfa Romeo 33 Stradale : déjà une suite en préparation ?

Avec les beaux jours qui arrivent, il est tentant de s'offrir un véhicule adapté pour partir en camping. Récemment, on parlait des Dacia Duster et Jogger, offrant certains packs optionnels dédiés aux activités de plein air. Mais en regardant sur le marché secondaire, il est possible de trouver des véhicules bien plus originaux, comme cette Volkswagen Coccinelle transformée en camping-car. Mais en vrai camping-car ! La Volkswagen Coccinelle fait partie des modèles qui ont été les plus modifiés au cours de leur carrière. Buggy, 4x4, hotrod... Elle a droit à de nombreuses déclinaisons, dont une bonne partie n'était pas du fait de Volkswagen. Quoiqu'il en soit, on vient de dénicher une version qu'on n'avait encore jamais vu : la coccinelle camping-car ! Seule la partie avant de la Cox a survécu à la transformation, puisqu'à partir du capot, tout a été remplacé par un caisson géant qui abrite le poste de conduite spécifique, ainsi qu'une salle à manger toute équipée qui peut être convertie en chambre à coucher le soir venu. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} L'ensemble est dans son jus, la carrosserie ainsi que la partie habitable présentent des traces d'usure qui, après tout, apportent du cachet à cette maison roulante, certainement unique au monde ! Cette création originale vient d'ailleurs d'être vendue aux enchères, contre la somme de 25.000 euros environ !

Depuis sa présentation, il y a un peu moins de 2 ans, l'Alpine A110 R fait office de porte-étendard dans la gamme de la marque dieppoise. Avec ses 300 chevaux et son poids réduit grâce à l'utilisation de fibre de carbone, elle est non seulement la plus impressionnante visuellement, mais également la plus performante. En même temps, à plus de 100.000 euros, encore heureux ! On a donc voulu configurer notre propre exemplaire. Question : est-ce un crime de choisir une autre couleur que le Bleu Alpine traditionnel ?  Alpine a réussi à décliner sa petite berlinette à toutes les sauces, de la version standard à la R, la plus radicale, en passant par la S, plus équilibrée. Mais c'est bien la plus énervée du lot qui va nous intéresser cette fois, pour la simple et bonne raison que nous nous sommes une nouvelle fois adonnés à notre activité favorite : faire mumuse avec les configurateurs en ligne.  Une fois l'Alpine A110 R sélectionnée, un petit coup d'œil à sa fiche technique suffit à nous rappeler qu'il ne s'agit pas d'une petite sportive classique. En position centrale arrière, sous son capot en fibre de carbone apparente, la bête embarque un 4 cylindres 1.8 turbo, dont les 300 chevaux sont balancés pêle-mêle sur les pauvres roues arrière. Alpine annonce un 0 à 100 km/h expédié en 3,9 secondes ! Malheureusement, elle est aussi coûteuse que puissante, avec un prix de base établi à 106.000 euros.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : CONFIG - L'Alpine A110 parfaite ressemblerait-elle à la Clio Williams ?

Le préparateur Zacoe vient de présenter son tout nouveau kit carrosserie ultra large conçu pour la Ferrari SF90 Stradale. L'entreprise s'était déjà occupée du cas de la 296 GTB en début d'année, avec un kit semblable. Cette fois, c'est donc au tour de sa grande sœur de passer sur le billard. Le résultat est discutable, on ne peut pas dire que Zacoe y soit allé de main morte. Depuis l'arrivée de la SF90 Stradale, Ferrari a pris un tournant en termes de codes stylistiques. Un virage qui ne plait pas à tous les puristes, mais qui a au moins le mérite de renouveler l'image que renvoie la marque. Les préparateurs, en revanche, n'ont que faire du design des modèles frappés du blason du cheval cabré. Mansory, Novitec, tous continuent de proposer des solutions de personnalisation et d'optimisation de performances pour ces supercars italiennes. C'est également le cas du moins connu Zacoe. Ce petit préparateur asiatique n'a pas franchement de marque de prédilection. Toyota, Porsche, BMW, McLaren… Il ratisse large ! Ferrari n'y échappe pas, comme en témoigne la 296 GTB widebody, révélée en début d'année par Zacoe. Les équipes se sont une nouvelle fois surpassées, et présentent cette fois un kit plus ou moins similaire, cette fois adapté à la très méchante SF90 Stradale. Comme pour la 296, celle-ci est complètement transfigurée.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : La plus méchante des Ferrari 296 GTB est signée Zacoe !

Le Renault Austral a le vent en poupe, ces derniers temps. Les ventes sont bonnes, à tel point que le SUV du losange a réussi l'exploit de dépasser son rival historique, le Peugeot 3008, jusqu'alors référence absolue et indétrônable du segment des SUV. On le sait, le 3008 a été renouvelé il y a peu de temps, ce qui devrait relancer ses ventes. Mais cela peut-il suffire pour expliquer le succès du Renault Austral ?  Ah, le Peugeot 3008… On peut dire qu'il aura donné des cheveux blancs à bon nombre de SUV concurrents, qui ont tenté tant bien que mal à se faire une place. Sans succès, malheureusement. Même le Volkswagen Tiguan, extrêmement bien placé il y a encore 5 ou 6 ans, s'est vu reléguer loin derrière le Français. Mais Peugeot est comme tous les autres constructeurs, il a des périodes de moins bien, des petits coups de mou si vous préférez. Une baisse de régime dont a immédiatement tiré parti le Renault Austral, qui a dépassé le 3008 au classement des ventes de voitures neuves en France.  Que les fans de Peugeot se rassurent, le 3008 n'est pas enterré, loin de là ! En réalité, le Renault Austral s'est écoulé à seulement une grosse centaine d'exemplaires de plus que son rival, depuis le début de l'année. Une lutte très serrée donc, qui pourrait basculer d'un côté comme de l'autre à n'importe quel moment. Reste que cela faisait si longtemps qu'on n'avait pas vu le 3008 derrière qu'il faut bien en parler quand ça arrive !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Renault Arkana : il est encore en vie, à partir de 31.300 euros

À quelques semaines de son lancement officiel en France, le Hyundai Santa Fe dévoile ses tarifs. Il va falloir mettre de l'argent de côté, la marque ayant revu les prix de son grand SUV à la hausse. Au commencement, une seule et unique version sera disponible, à savoir l'hybride rechargeable de 253 chevaux. Celle-ci s'affiche à partir de 59.500 euros tout de même ! Depuis son introduction dans la gamme Hyundai, le Santa Fe a bien évolué. Alors que l'image de la marque en elle-même s'est améliorée au fil des ans, le grand SUV s'est métamorphosé au fil des générations, passant d'un modèle aux lignes arrondies à un mastodonte ultra carré, au style néo-rétro, pour cette cinquième génération. Aujourd'hui, Hyundai communique les prix de ce nouveau cru, qui se méritera avec son ticket d'accès fixé à 59.500 euros ! Au lancement, la gamme sera pour le moins simple à retenir, étant donné que le Santa Fe ne sera décliné qu'avec une seule motorisation. Il s'agit d'un bloc hybride rechargeable, composé d'un 4 cylindres 1.6 T-GDi de 160 chevaux, associé à un moteur électrique de 98 chevaux, le tout pour une puissance cumulée de 253 chevaux. Avec plus de 2 tonnes sur la balance, ce poids lourd n'a aucune velléité sportive, avec un 0 à 100 km/h donné pour un peu moins de 10 secondes et une vitesse maximale de 187 km/h.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Hyundai débarque avec un nouveau Santa Fe baroudeur mais toujours plus familial

La BMW Série 5 a été renouvelée l'année dernière, avec l'arrivée de la génération G60. Jusqu'à présent, les préparateurs automobiles ne s'étaient pas encore penchés sur son cas. Mais cette semaine, AC Schnitzer a décidé de sauter le pas et a présenté son catalogue d'accessoires adaptés à la grande berline allemande. La simplicité et la discrétion sont de mise. On ne peut pas dire que la nouvelle génération de BMW Série 5, la G60 donc, fasse l'unanimité auprès des puristes de la marque. Le design rompt complètement avec les codes stylistiques habituels, l'habitacle cède à la mode des écrans, l'électricité s'invite sous le capot… Bref, on croirait parler d'une Mercedes. Heureusement, il reste des versions puissantes au catalogue et, pour ceux qui en veulent plus, la M5 ne devrait plus tarder à arriver.  Mais pour ceux qui souhaitent une Série 5 plus exclusive, alors il y a AC Schnitzer. Le préparateur allemand, habitué des transformations de modèles BMW, vient de présenter un kit carrosserie ainsi qu'une liste des accessoires disponibles pour la berline à l'hélice. Une fois n'est pas coutume dans le milieu de la préparation automobile, le résultat est plutôt sobre et discret !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Manhart pousse la plus puissante BMW M5 de son histoire à plus de 900 ch

Karma Automotive vient d'annoncer le retour imminent de la Revero, une berline hybride au look spectaculaire. La marque californienne est actuellement en train de plancher sur sa future gamme, dont la Revero fera bien évidemment partie. Ce modèle serait d'ailleurs vendu en Europe ! L'histoire de la marque Karma est bien compliquée à comprendre. À l'origine, Fisker produisait une voiture, baptisée Karma. Le constructeur a ensuite connu de sérieuses difficultés financières, avant de peu à peu disparaître. Une marque chinoise a ensuite racheté le projet de la Karma, l'a transformé en constructeur à part entière et a commencé à plancher sur de nouveaux modèles.  Et c'est justement ce qu'elle fait. Ces dernières années, Karma a présenté quelques concept-cars, qui préfiguraient des modèles de série. Si les récents déboires financiers de la marque ont pu laisser croire à sa disparition, il semble qu'elle ne soit pas décidée à rendre les armes si facilement. Pour preuve, la grande berline Revero est encore au programme, y compris en Europe !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Karma Gyesera, le second modèle de la marque sino-américaine

Ça met toujours un petit coup au moral de se dire que les voitures des années 90 fêtent leurs 30 ans durant la décennie. Ça ne rajeunit pas, c'est sûr, mais ça permet tout de même de se replonger dans la genèse de certains projets qui ont marqué des générations entières, à leur époque. C'est notamment le cas de la Ferrari F355, une voiture de sport qui est devenue l'une des icônes des années 90.  Il y a des anniversaires qui marquent plus que d'autres. 30 ans, c'est un cap important ! Un cap qu'est en train de franchir la Ferrari F355, un véritable monument souvent sous-coté de l'histoire de la marque au cheval cabré. En effet, elle est arrivée sur le marché à une époque où Maranello enchaînait les productions exceptionnelles. À partir des années 80, Ferrari s'est mis à pondre des monuments roulants : 288 GTO, F40, Testarossa, F50… La fin du millénaire a vu naître des légendes, qui ont parfois éclipsé en partie certains autres modèles pourtant dignes d'intérêt. C'est notamment le cas de la F355 Berlinetta, lancée en 1994. À ce moment, la 348 est en fin de vie, la Testarossa est en place depuis 10 ans et rempile pour 2 ans, la F40 est encore dans toutes les têtes et la F50 est en gestation. Le terrain est donc miné pour la F355, même s'il faut bien préciser qu'elle ne joue pas dans la même catégorie que les supercars ultra performantes. Ce qui ne l'a pas empêché de s'écouler à plus de 11.200 exemplaires, contre toute attente, au cumul des versions Berlinetta et Targa.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Maggiore GranturismO : le restomod qui redonne ses lettres de noblesse à la Ferrari 288 GTO

Cette année, la Ferrari F355 Berlinetta souffle ses 30 bougies ! Une voiture emblématique des années 90, qui avait eu droit à une version plus radicale : la F355 Challenge. L'un des 108 exemplaires est d'ailleurs actuellement en vente. La Challenge était la version radicale de la Ferrari F355 Berlinetta, celle qui était destinée à enchaîner les tours sur circuit et à faire tomber les chronos. Visuellement, elle se démarque avec ses boucliers spécifiques et son aileron arrière fixe. L'exemplaire qui est en vente est chaussé de jantes noires de 18 pouces.  L'habitacle est complètement dépouillé, aux antipodes de celui d'une F355 Berlinetta. Sièges baquets Cobra, contreportes allégées, console central brute... Tout est fait pour alléger la voiture et plonger le pilote dans l'ambiance de la course automobile.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Cet exemplaire n'est pas dans un état exceptionnel. On voit clairement qu'il a été utilisé par ses précédents propriétaires. Certaines égratignures témoignent du passé de la voiture, que ce soit à l'extérieur ou à l'intérieur. Sous le capot, en position centrale arrière, la F355 Challenge embarque un V8 3.5 qui produit 380 chevaux, comme la version Berlinetta. Elle avait en revanche droit à des améliorations côté châssis, ainsi qu'à un échappement spécifique, entre autres. Seuls 108 exemplaires ont été produits, il est donc étonnant de voir les enchères stagner aux alentours des 120.000 euros.

Dévoilée pour la première fois au Salon de Genève, en février dernier, la Renault 5 E-Tech se paie déjà le luxe de s'offrir une série spéciale. Celle-ci sera exposée du 20 mai au 9 juin à Roland-Garros et en reprendra d'ailleurs le nom, pour sceller le partenariat entre la marque au losange et le célèbre tournoi de tennis parisien. Depuis 2022, Renault est le partenaire principal du tournoi Roland-Garros. L'occasion de régulièrement mettre en avant de nouveaux modèles et s'afficher sur l'événement. Mais cette année, la feuille de route est toute trouvée, quelques semaines après la première présentation mondiale de la R5 E-Tech, attendue depuis 3 ans. La petite citadine électrique a déjà droit à une série spéciale, baptisée Roland-Garros, pour réaffirmer son engagement auprès du tournoi. L'année dernière, Renault avait déjà annoncé être en train de travailler sur cette série spéciale de la R5 E-Tech. Visuellement, elle adopte un look plus sportif que les versions présentées à Genève en février. Le nuancier ne comporte que 4 teintes, toutes exclusives à cette série Roland-Garros : le Blanc Nacré, le Bleu Nocturne, le Noir Étoilé et le Gris Schiste Mat. Peu importe la couleur choisie, la voiture se pare d'un insert décoratif en chrome satiné sur le pourtour du toit. L'ensemble repose sur des jantes spécifiques de 18 pouces.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Renault 5 E-Tech : motorisations, batteries, finitions… Tous les détails de la citadine électrique