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Hier — 1 juin 2024Automobile

ESSAI - Volkswagen T-Cross restylé (2024) : Cube de jouvence

Volkswagen a opéré un restylage de mi-carrière sur son T-Cross, après 4 ans de présence sur le marché. Le SUV d'entrée de gamme de la marque allemande compte sur une qualité perçue en progression et l'arrivée d'un moteur essence TSI plus puissant pour gratter des parts aux références de la catégorie. Change t'il vraiment ? A l'heure actuelle, le segment des SUV citadins est l'un des plus encombrés. Renault Captur, Citroën C3 Aircross, Peugeot 2008, Opel Mokka, Nissan Juke, Seat Arona, Ford Puma... difficile de se faire un nom, tant les constructeurs rivalisent d'idées pour attirer les jeunes familles. Avec la perte de vitesse des citadines classiques, au profit de leur équivalent surélevé, Volkswagen se devait de tenter sa chance. Le Volkswagen T-Cross nait en 2020. Jusqu'ici, les chiffres de vente sont honnêtes, sans être transcendants : environ 100.000 exemplaires en quatre ans de production. Afin de doper les ventes, Volkswagen opère un léger coup de bistouri sur le T-Cross et une revoit la qualité perçue à la hausse.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

10 anecdotes que vous ne savez peut-être pas sur la Bugatti Chiron

Bugatti s'apprête à livrer le dernier exemplaire de sa Chiron à son riche client après quasiment 10 ans de production. L'occasion de revenir sur 10 faits qui rendent l'hypercar française si fascinante. Bugatti aura mis du temps à fabriquer et trouver preneur pour sa Chiron depuis 2016. Les 500 exemplaires ont officiellement tous rejoint leurs acquéreurs, et il a fallu rivaliser d'idées pour maintenir l'intérêt pour la voiture de production la plus rapide du monde. Entre séries spéciales et chiffres ahurissants, voici 10 anecdotes qui ont participé à la légende de la Bugatti Chiron.  Lire aussi : Bugatti Chiron L'Ultime : un dernier gros coup avant de raccrocher 1 - Pourquoi « Chiron » ? Parce que Louis Chiron !

CONCEPT OUBLIÉ – Renault Talisman (2001) : A l’aube du bizarre

En 2001, Renault présente un concept-car aux formes étonnantes, le Talisman. La face avant inspirera notamment la future routière de la gamme : la Vel Satis.  Avec le regard actuel, les années 2000 commencent à délicieusement se couvrir de sépia et de nuages de points blancs sur les productions automobiles. A l'époque, Renault est en pleine phase de renouvellement stylistique, sous la houlette de Patrick Le Quément, le designer historique de la marque. Sa dernière création possède un volume inclassable qui va inspirer plusieurs modèles de sa gamme : voici le Renault Talisman Concept. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : CONCEPT OUBLIÉ – GT by Citroën : du virtuel au réel, il n'y a qu'un pas
À partir d’avant-hierAutomobile

AUTO & TENNIS – Seat Ibiza « G.Sabatini » : Le tennis à l’espagnole

Seat a fait partie des nombreux constructeurs à surfer sur la vague du tennis dans les années 80 et 90. A l'instar de ses concurrentes, la marque espagnole a suivi les tendances visuelles et s'est attaché les services d'une joueuse en vogue, Gabriela Sabatini, pour créer la Seat Ibiza « G.Sabatini ».  La Seat Ibiza cherche à se faire un nom dans un segment ultra-concurrentiel, dominé par les françaises et les allemandes, Peugeot 205 et Volkswagen Golf en tête. Elle réussit à se faire sa place grâce à un design cubique charmant, un comportement routier vivant et des moteurs économiques et fiables. Il fut une période où le tennis faisait partie des sports à la mode, comme un vecteur d'exposition à part entière pour les constructeurs. Chaque année, Roland-Garros ouvre ses portes et embarque bon nombre de partenaires dans son univers, fait de petites balles jaunes et de terre battue, à Porte d'Auteuil. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Seat suit la tendance et saute sur l'occasion en lançant en 1989 la Seat Ibiza « G.Sabatini », qui est l'objet du quatrième épisode de notre série « Auto & Tennis ». Lire aussi : AUTO & TENNIS – Opel Corsa « Steffi » : L'une des meilleures citadines de tous les temps

McLaren P1 et 720S « Gulf » : 2 supercars à vendre pour le prix d’une !

Deux McLaren peintes aux couleurs mythiques de « Gulf Racing » sont actuellement à vendre sur un site d'enchères. Elles sont dans un état de conservation digne de la sortie d'usine. La collection « Dare to Dream » de RM Sotheby's écarquille les yeux de n'importe quel passionné automobile. Certaines pièces de collection sont si belles qu'elles font oublier leur prix, souvent stratosphérique. C'est le cas de ces deux McLaren, aux couleurs de « Gulf Racing » et à la dotation strictement identique.  Lire aussi : Cette McLaren Elva est si difficile à exploiter qu'elle est restée neuve !

PHOTOS - Ces deux McLaren à la déco extérieure "Gulf Racing" sont en vente à des sommes folles

Ces deux McLaren à la déco "Gulf Racing" sont à vendre sur un célèbre site de vente aux enchères anglais. Elles appartiennent toutes les deux à un riche propriétaire américain, qui a réalisé le rêve de sa vie, selon lui : posséder les deux plus belles supercars du moment dans son garage. Le premier modèle est une McLaren P1 de 2015, la n°108 sur les 375 exemplaires produits entre 2013 et 2015. L'heureux acquéreur s'est fait plaisir avec plus de 100.000 dollars d'équipements supplémentaires. Sur la P1, le bleu ciel de la carrosserie est surmonté d'une large bande orange centrale qui court de la face avant au capot moteur, à l'arrière. Quelques détails de carrosserie ont été relevés avec le même orange : lame avant, jupes latérales, étriers de freins, aileron rétractable, diffuseur d'air. A bord, les sièges baquets reçoivent des surpiqures oranges et un logo « P1 » cousu du même fil. Le volant possède désormais un repère à 12h aux couleurs bleues et oranges de Gulf.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : McLaren P1 et 720S « Gulf » : 2 supercars à vendre pour le prix d'une ! La 720S arbore une déco Gulf extérieure strictement identique. A la différence de la P1, le toit est resté en fibre de carbone non peint. Sur les côtés, une bande noire et orange part des bas de caisse et termine sa course sur les ailes arrière. Enfin, la lame avant, les jupes latérales et le diffuseur d'air reçoivent un liseré de la même teinte orange que la bande centrale. L'habitacle reçoit le même traitement que sur la P1. À un détail près : les surpiqures de la 720S sont bleu ciel. L'hypercar britannique a été estimée par RM Sotheby's entre 1,75 et 2,25 millions de dollars, soit entre 1,6 et 2 millions d'euros. La petite sœur devrait trouver preneur contre un chèque compris entre 350 et 400.000 dollars (entre 323 et 370.000 euros).

PHOTOS - Cette originale TVR Cerbera 4.2 se vend aux enchères pour une bouchée de pain aux Etats-Unis

TVR a bâti sa renommée sur un passé compétitif et la réalisation semi-artisanale de coupés et de cabriolets à gros moteur. Durant les années 90, la marque de Blackpool décide de sortir un étonnant coupé à moteur V8 et au comportement routier ultra-délicat : la Cerbera 4.2. Cet exemplaire date de 1996 et arbore des feux avant en forme d'œuf d'araignée. Sortie d'usine en bleu foncé, cet exemplaire a vu sa carrosserie en fibre de verre repeinte en « Lime Green Metallic » par un des anciens propriétaires. Il affiche 41.000 miles, soit environ 66.000 km. Après une longue existence au Royaume-Uni, cette Cerbera acidulée a traversé l'Atlantique et subi un lourd traitement antirouille de son châssis. Son actuel propriétaire l'a mis en vente sur un site aux enchères américain. Lire aussi : TVR Cerbera 4.2 : Si la violence absolue était une automobile Curieusement, le tarif n'est pas très élevé : l'enchère est actuellement fixée à 22,500 dollars, soit environ 21.000 € ! La rareté des pièces, leur prix, la fiabilité moteur et le réseau réduit des passionnés de TVR expliquent ce tarif si bas, au pays de l'Oncle Sam.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

TVR Cerbera 4.2 : Si la violence absolue était une automobile

TVR a produit l'essentiel de ses voitures les plus iconiques pendant les années 90. La marque anglaise prônait une fabrication semi-artisanale de roadsters à gros moteurs et sans aucune aide à la conduite. En 1994, TVR décide de lancer un monstre mythologique roulant : la Cerbera. Lorsque le nom de TVR est évoqué de nos jours, il rappelle surtout des souvenirs datant du jeu « Gran Turismo ». Les véritables amateurs de la marque de Blackpool se souviennent de quelques modèles comme la V8S, la Griffith 500, la Chimaera ou encore la Tuscan Speed Six. Ces barquettes étaient motorisées par des 6 cylindres en ligne ou des V8, parées de cuir et de bois, mais surtout, dotées d'aucune aide à la conduite.  Les TVR n'étaient déjà pas à mettre entre toutes les mains, tel le coude-portière avec la goutte de sueur dès le prochain virage. Mais ce n'était rien, face au monstre que TVR présente au public en 1994 au salon automobile de Londres : voici la TVR Cerbera.  {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : TWR Supercat : la Jaguar XJS renaît sous la forme d'un restomod

AUTO & TENNIS – Opel Corsa « Steffi » : L'une des meilleures citadines de tous les temps

Durant les années 80, le tennis fait partie des sports à la mode. Opel a rejoint la longue liste des constructeurs qui cherchent à séduire la clientèle avide de ce sport de raquettes. La marque au Blitz va sortir le grand jeu en appelant la n°1 mondiale Steffi Graf pour sa petite Corsa : l'Opel Corsa « Steffi ». Opel veut à tout prix rendre sa Corsa attractive pour la jeunesse des années 80, désireuse de s'évader à petit prix. La marque allemande venait de lancer sa petite Corsa en 1982. Malheureusement, sa silhouette cubique, son équipement chiche et ses moteurs limités à l'espace urbain, ne font pas mouche face à la concurrence. Afin de remédier à cela, Opel s'appuie sur un sport en vogue : le tennis. La marque au Blitz sent le bon plan et s'attache les services de la joueuse pour promouvoir sa petite Corsa en 1987. Le nom est déjà tout trouvé : voici l'Opel Corsa « Steffi ». {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Opel Corsa GSi : Le cube le plus furieux d'Allemagne

BMW peaufine sa surpuissante M3 Competition avec 20 ch de plus

BMW poursuit la mise a jour complète de la gamme de la Série 3 en apportant des évolutions spécifiques à sa version sportive, la M3 Competition. Au programme, une transmission 4 roues motrices xDrive inédite, des feux redessinés et 20 ch de plus, pour passer à 530 ch. BMW est sur la lancée d'une grosse actualité ces dernières semaines. Après son sublime cabriolet Skytop Concept présenté au Concours d'Elégance de Villa d'Este, la marque bavaroise revient à son catalogue et peaufine l'une des toutes meilleures berlines super-sportives du marché : la M3 Competition.  Lire aussi : BMW offre une ultime mise à jour technologique à sa Série 3

PHOTOS - La BMW Série 3 à droit à une nouvelle mise à jour

BMW offre un coup de neuf technologique à sa Série 3, présente depuis 2018 sur le marché. Si les retouches esthétiques sont quasiment inexistantes, l'habitacle et la palette de moteurs reçoivent une mise à jour qui doit permettre de tenir jusqu'en 2026. Rien ne change, concernant l'apparence extérieure entre la nouvelle version et sa précédente mouture, datant de 2022. Seules deux nuances inédites « Arctic Race Blau » et « Fire Red », ainsi qu'une nouvelle gamme de jantes de 19 pouces font leur apparition. La qualité perçue progresse, avec des matériaux plus cossus, tels que le verre sur certains boutons de la planche de bord. Un nouveau volant avec méplat fait son apparition sur toutes les versions. Tous les logiciels internes sont mis à jour, du combiné d'instrumentation au système d'info-divertissement.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : BMW offre une ultime mise à jour technologique à sa Série 3 Côté moteurs, le bloc hybride 330e gagne une plus grosse batterie de 19,5 kWh en capacité nette. Son autonomie électrique se voit quasiment doublée : 101 km sur la berline, et 97 km sur le break. Les 316d et 320e, présents au catalogue depuis 2022, disparaissent déjà du catalogue. Enfin, la boîte automatique Sport à double embrayage et 8 rapports est prescrite d'office sur tous les moteurs, sauf les blocs d'entrée de gamme.

PHOTOS - BMW Série 3 Touring, le break allemand se met à jour

BMW offre un coup de neuf technologique à sa Série 3, ici dans sa version Touring (break), présente depuis 2018 sur le marché. Si les retouches esthétiques sont quasiment inexistantes, l'habitacle et la palette de moteurs reçoivent une mise à jour qui doit permettre de tenir jusqu'en 2026. Rien ne bouge, en ce qui concernant l'extérieure de la voiture, entre la nouvelle version et sa précédente mouture, datant de 2022. Seules deux nuances inédites « Arctic Race Blau » et « Fire Red », ainsi qu'une nouvelle gamme de jantes de 19 pouces font leur apparition. A l'intérieur, la qualité perçue progresse, avec des matériaux plus cossus, tels que le verre sur certains boutons de la planche de bord. Un nouveau volant avec méplat fait son apparition sur toutes les versions. Tous les logiciels internes sont mis à jour, du combiné d'instrumentation au système d'info-divertissement.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : BMW offre une ultime mise à jour technologique à sa Série 3 Côté moteurs, le bloc hybride 330e gagne une plus grosse batterie de 19,5 kWh en capacité nette. Son autonomie électrique se voit quasiment doublée : 101 km sur la berline, et 97 km sur le break. Les 316d et 320e, présents au catalogue depuis 2022, disparaissent déjà du catalogue. Enfin, la boîte automatique Sport à double embrayage et 8 rapports est prescrite d'office sur tous les moteurs, sauf les blocs d'entrée de gamme.

BMW offre une ultime mise à jour technologique à sa Série 3

BMW souhaite prolonger la carrière de l'actuelle génération de la Série 3, présente sur le marché depuis 2018. Après un premier facelift observé en 2022, la marque bavaroise met de nouveau à jour la dotation technologique de sa berline compacte avec un second restylage. Il existe des chirurgies esthétiques qui se distinguent au premier coup d'œil. Et d'autres nécessitent une puissante loupe pour constater les changements. La dernière itération de la BMW Série 3 entre pleinement dans la seconde catégorie.  Présente sur le marché depuis 2018, la 7ème génération G20 a subi un premier facelift de mi-carrière deux ans auparavant. Celui-ci comprenait de nouveaux boucliers avant et arrière, une nouvelle signature lumineuse et une dotation technologique revue à la hausse. Pour ce second coup de bistouri, les retouches sont quasiment imperceptibles. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : BMW Série 3 : la concurrence ne répond plus !

PHOTOS - Cette Peugeot 306 S16 tunée avec un kit extra-large est à vendre pour une bouchée de pain

Une Peugeot 306 S16 ph1 de 1994 recherche un nouveau propriétaire sur un site de vente aux enchères néerlandais. Problème, son kit carrosserie extra-large d'un autre temps risque de repousser pas mal d'acheteurs... La face avant reçoit un imposant bouclier doté de doubles longue portées. De profil, la 306 S16 perd ses baguettes latérales et voit ses rétroviseurs remplacés par des modèles « type M3 ». Les nouvelles ailes extra-larges donnent une assise impressionnante au véhicule. Le véhicule repose sur des jantes Tramont de 16 pouces, en trois parties et à large déport. Le logo « S16 » est déporté en bas des portes. A l'arrière, le bouclier spécifique laisse la place à une grosse sortie d'échappement unique. Le coffre est dépossédé de tous ses monogrammes. A son sommet, trône un aileron plus imposant. Lire aussi : Peugeot 306 S16 DP Sport : qui se souvient du Tuning des années 90 ? A bord, un volant trois branches MOMO personnalisé remplace le volant d'origine. Le combiné d'instrumentation est désormais sur fond blanc à aiguilles rouges. Le pédalier alu n'est certainement pas d'origine. Un téléphone à main, habituellement posé dans des véhicules bien plus luxueux, se trouve au pied de la console centrale. Enfin, le coffre cache un puissant système audio embarqué.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Son excellent état de conservation n'attire pas autant la convoitise que prévu : il est estimé entre 16 et 19.000 € selon un site de vente aux enchères hollandais, mais sa dernière enchère atteint péniblement les 7.000 €, pour le moment. 

Peugeot 306 S16 DP Sport : qui se souvient du Tuning des années 90 ?

Une Peugeot 306 S16 tunée est actuellement mise en vente sur un site de vente aux enchères hollandais. Son excellent état extérieur est mis en valeur par la pose d'un kit carrosserie DP Sport qui rappelle le tuning des années 90. Les années 90 ont été une décennie haute en couleurs pour l'automobile. Véhicules atypiques, moteurs puissants et débordants de caractère, prix contenus pour la plupart … posséder une voiture qui fume, pétarade, siffle, chez soi n'était pas un gros mot, en ces temps-là. Certaines modes sont nées au cours de cette période, où la liberté automobile était encore de mise.  Véritable courant de personnalisation automobile ultime, le Tuning a connu ses plus belles heures de gloire dans une période où « Fast And Furious », « Need For Speed Underground » et autres tuning bariolé à l'espagnole n'étaient pas encore arrivés sur le territoire.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Illustration avec cette Peugeot 306 S16 ph1 de 1994 dotée d'un kit carrosserie extra-large de chez DP Sport, un des carrossiers français les plus renommés de l'époque.  Lire aussi : Peugeot 309 Maxi : un délire d'ingénieur homologué pour la route !

Cette BMW Série 1 surpuissante est un superbe patchwork de la gamme M

Un propriétaire allemand a construit ce qui pourrait ressembler à une interprétation de la BMW 1M CS. Ce projet fou a nécessité 16 mois de travail en adaptant des pièces de plusieurs BMW M différentes dans un résultat de très grande qualité.  Construire la voiture ultime est un rêve qui peut vite paraître inaccessible pour beaucoup. La faute à un budget beaucoup trop élevé pour réaliser son plus beau fantasme automobile, mais aussi à toutes les petites mains à mobiliser pour que cela fonctionne.  Pourtant, certains passionnés automobiles ont le carnet de contacts (et le portefeuille) suffisamment rempli(s) pour s'offrir un tel luxe. C'est le cas de ce propriétaire allemand qui a créé une hypothétique « BMW 1M CS » à partir de plusieurs pièces issues du catalogue Motorsport. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : La BMW série 1 prend l'avantage sur l'Audi A3 et la Mercedes Classe A

AUTO & TENNIS – Autobianchi/Lancia Y10 « Fila » : le Cube immaculé

Durant les années 80, le tennis fait partie des sports à la mode. Autobianchi exploite la brèche du tennis à son tour en 1987 et lance la Y10 « Fila », une série spéciale basée sur un équipementier, alors très en vogue.  Chaque année, Roland-Garros ouvre ses portes et embarque bon nombre de partenaires dans son univers, fait de petites balles jaunes et de terre battue, à Porte d'Auteuil. La mode y occupe une place prépondérante, à quelques semaines du début de l'été. Il fut une période où le tennis faisait partie des sports à la mode, comme un vecteur d'exposition à part entière. Cette semaine sera consacrée à la relation entre l'automobile et la Petite Balle Jaune. Le second volet de la semaine « Auto & Tennis » s'attarde sur l'Autobianchi/Lancia Y10 « Fila ». {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : AUTO & TENNIS - Peugeot 205 Lacoste : Quand le Croco mange du Lion

Ce swap moteur Honda complètement fou enflamme cette Ford Escort MkII !

Un propriétaire britannique a réalisé un projet fou, basé sur un swap moteur démoniaque dans sa Ford Escort MkII. Celui-ci a notamment installé un moteur de Honda S2000 greffé d'un turbo, en lieu et place du moteur d'origine ! La Grande-Bretagne est un pays beaucoup plus souple en matière de législation automobile. En effet, il est possible de faire immatriculer n'importe quel objet roulant, tant qu'il comporte des feux avant et arrière, un pare-brise et un habitacle pouvant protéger efficacement ses occupants.  Cela laisse le champ libre aux mécaniciens les plus doués pour réaliser des projets mécaniques complètement fous, à l'image de cette diabolique Ford Escort MkII de 1976. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Ford Escort Mk1 Evolution par MST Cars : Le virus du bonheur

Lancia Ypsilon HF : Le furieux Eléphant italien fait son retour … en tout électrique !

Lancia a dévoilé les premières images officielles de la version sportive de sa dernière citadine, l'Ypsilon HF. La petite italienne dispose d'une évolution plus affutée de son châssis et de ses trains roulants, ainsi que d'un moteur 100 % électrique de 240 ch. Stellantis poursuit le travail pour faire renaître Lancia. La marque premium italienne dépoussière ses grimoires historiques et fait revivre le label sportif HF, disparu depuis 2000, et la Delta HPE HF Evo 500. La première à porter ce blason historique n'est autre que la toute récente Ypsilon : voici la Lancia Ypsilon HF.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Lancia Ypsilon HF : le retour de deux lettres mythiques en 2025 !
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