Vue normale

Il y a de nouveaux articles disponibles, cliquez pour rafraîchir la page.
Aujourd’hui — 17 mai 2024Automobile

Adamastor Furia : la supercar portugaise qui se la joue en mode Aston Martin Valkyrie

Voici la Furia, une toute nouvelle supercar au design ultra radical, qui n'est l'œuvre ni de Pagani, ni d'Aston Martin, ni d'aucune marque connue d'ailleurs. Non, cet engin est signé Adamastor, un tout jeune constructeur portugais ! La Furia est d'ailleurs son premier modèle, qui devrait être facturé la bagatelle de 1,6 million d'euros tout de même.  Le nom Adamastor vous évoque-t-il quelque chose ? Non, c'est bien ce qu'on pensait, et c'est bien normal après tout. Il s'agit en fait un constructeur automobile portugais qui s'apprête à commercialiser sa première voiture. Une citadine ? Ça serait logique. Un SUV ? C'est la mode, paraît-il… En réalité, rien de tout ça ! Non, à la place, Adamastor préfère viser les sommets dès le départ, avec une supercar. Après tout, pourquoi s'embêter à rivaliser avec une Renault Twingo quand on peut aller titiller directement des bolides de plus de 600 chevaux. Mis sur les rails en 2019, le projet Furia arrive gentiment à son terme. La supercar a été présentée mardi et, le moins que l'on puisse dire, c'est qu'elle éveille la curiosité. Esthétiquement, déjà, on pourrait presque la considérer comme une hypercar. Les lignes acérées et ajourées rappellent celles de l'Aston Martin Valkyrie, dont le design a avant tout été dicté par l'aéro. Ce qui semble également être le cas pour la Furia, comme en témoignent ses entrées d'air béantes sur le bouclier, les nombreuses ailettes latérales, ainsi que les tunnels aérodynamiques qui débouchent sous les portières.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Ferrari F12 TRS : quand Maranello pondait deux One-Off pour le prix de deux !

Bentley Continental GT : l’heure est venue de passer à l’hybridation

Bentley vient de jeter un petit pavé dans la mare des voitures de luxe. En effet, son iconique Continental GT s'apprête à s'électrifier partiellement, une étape importante pour ce modèle qui n'était décliné qu'en versions W12 depuis plus de 20 ans, et en V8 depuis 2010. Bentley dévoilera cette nouvelle génération le mois prochain. Une page s'apprête à être tournée, en Angleterre. Bentley, marque historique indissociable de l'automobile de luxe, vient de confirmer l'arrivée d'une nouvelle génération de Continental GT. L'enjeu est de taille, ce modèle représentant l'une des meilleures ventes de la marque, derrière le Bentayga tout de même. Connaissant Bentley, il y a peu de chances pour que la voiture soit ratée. Cela dit, une nouveauté non négligeable pourrait bien perturber la clientèle : l'arrivée de l'hybridation sous le capot. Pour l'heure, seules deux images ont été publiées par la marque anglaise. On peut y voir la nouvelle Continental GT, encore camouflée. S'il est difficile de discerner les détails de la carrosserie, il semble que le style n'évolue que légèrement. On peut tout de même noter que la face avant se débarrasse de 2 optiques sur les 4 que comptaient les générations précédentes. Pour le reste, la voiture semble afficher des lignes encore affinées et un gabarit peu ou prou identique. L'habitacle n'a quant à lui pas encore été révélé.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Bentley Batur : vous n'avez pas pu vous offrir le coupé ? Voici maintenant le cabriolet !

Quand le GIGN roulait en Renault 5 Alpine

Si de nos jours, on a l'habitude de voir le GIGN se déplacer dans des véhicules blindés, il fut un temps où ces groupes d'interventions roulaient dans des voitures bien plus communes. Mais ne vous y trompez pas, commune ne signifie pas ennuyeuse ! En 1977, le GIGN avait par exemple passé commande de 3 exemplaires de R5 Alpine. Les voitures qu'elles utilisent en disent long sur les forces de l'ordre. On a évidemment tous en tête les hypercars surpuissantes de la police Qatari, ou encore les Porsche 911 de la polizei allemande. En France, on n'a jamais vraiment donné dans la surenchère, à quelques exceptions près. Pour rappel, il n'y a encore pas si longtemps, nos policiers et gendarmes se déplaçaient dans des Peugeot Partner, dont certains sont encore utilisés en plus des nouveaux 5008. Bien entendu, certaines divisions de nos forces de l'ordre avaient droit à quelques réjouissances. Les brigades d'intervention rapide avaient par exemple la chance d'avoir des Renault Megane R.S., ou encore des Alpine A110 comme c'est le cas actuellement. Justement, le partenariat entre Renault ne date pas d'hier. En 1977, par exemple, le GIGN passait commande de 3 exemplaires de R5 Alpine. La classe !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : RETRO : 5 choses que vous ne savez peut-être pas sur la Renault 5

Porsche 924 Artz Kombi : l’utilitaire le plus classe des années 80 !

Au début des années 80, un carrossier du nom de Artz s'est amusé à transformer quelques Porsche 924 en breaks de chasse. Une idée qui pouvait sembler ridicule à l'époque, mais qui, au vu du résultat, n'était pas si mauvaise. Malheureusement, très peu d'exemplaires ont vu le jour. Il est donc extrêmement rare d'en croiser aujourd'hui… Le monde de l'automobile était bien différent quelques décennies en arrière. Savoir si c'était mieux avant ou pas n'est pas la question, ça n'est qu'un constat. Les préparateurs étaient moins nombreux et partageaient la vedette avec des carrossiers, dont la plupart ont malheureusement disparu aujourd'hui. L'un d'entre eux, Artz, a accouché de quelques pépites dans les années 80, notamment des Audi Quattro break ou encore Volkswagen Scirocco en version pick-up. Mais l'une de ses réalisations est restée dans les mémoires, la Porsche 924 Artz Kombi. L'histoire de ce projet est assez nébuleuse. Il est d'ailleurs passablement compliqué de mettre la main sur des images authentiques. Du côté des informations, en revanche, c'est un peu plus simple. La date de production exacte reste floue, la plupart des passionnés s'accordant à dire que ces quelques Porsche 924 Artz Kombi seraient sorties des ateliers du carrossier en 1981.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : BMW 767 iL Goldfish : non, le V16 n'a pas été inventé par Bugatti !

PHOTOS - Renault dégaine une nouvelle version du Rafale, forte de 300 chevaux !

Renault vient de dévoiler une nouvelle version de son Rafale, doté d'une motorisation inédite. Le SUV coupé est en effet équipé d'un 3 cylindres associé à 3 moteurs électriques, le tout développant un total de 300 chevaux. Chez Renault, le Rafale fait office de vaisseau amiral. Le grand SUV coupé confirme ce statut en inaugurant une nouvelle motorisation E-Tech Hybride de 300 chevaux. Celle-ci se compose d'un 3 cylindres 1.2 turbo de 150 chevaux, combiné à 3 moteurs électriques pour une puissance cumulée de 300 chevaux, transmis aux 4 roues. La marque évoque une autonomie en 100 % électrique d'environ 100 kilomètres, grâce à la batterie de 22 kWh. Outre cette nouvelle motorisation, le Rafale se décline désormais dans une toute nouvelle finition baptisée Atelier Alpine. Celle-ci offre notamment un châssis retravaillé et une nouvelle suspension pilotée qui fonctionne avec une caméra prédictive, qui analyse le revêtement de la route en temps réel pour adapter la dureté des amortisseurs.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Ce Rafale 4x4 E-Tech 300 chevaux sera disponible à l'automne. Renault le proposera en finitions Esprit Alpine et Atelier Alpine. Les prix sont pour l'heure inconnus.

Renault offre 300 chevaux et des gènes d’Alpine à son Rafale !

Récemment arrivé dans les concessions, le Renault Rafale s'offre déjà une nouvelle version. Celle-ci est équipée d'une motorisation E-Tech hybride plus puissante, avec 300 chevaux et une transmission intégrale. De plus, une nouvelle finition Atelier Alpine vient étoffer le catalogue, avec bien plus que de simples spécificités esthétiques. Les carnets de commandes ouvriront à l'automne, les prix n'ont pas encore été communiqués. Depuis quelques mois, le vaisseau amiral de Renault s'appelle Rafale. Ce grand SUV coupé, qui vient se positionner tout en haut de la gamme, confirme donc son statut et se décline désormais en une nouvelle version plus puissante, baptisée E-Tech Hybride 4x4 300. Tout est dans le titre, le Rafale gagne donc des chevaux et se dote d'une transmission intégrale. Mais ce n'est pas tout, puisqu'en plus de ces nouveautés mécaniques, il gagne également quelques raffinements grâce à la nouvelle finition Atelier Alpine. Visuellement, les nouveautés sont relativement discrètes. On peut citer la nouvelle teinte de carrosserie Bleu Sommet Satin Métallisé, exclusive à cette finition Atelier Alpine, qui contraste avec le spoiler arrière fini en Noir Étoilé. L'ensemble repose sur de nouvelles jantes 21 pouces Chicane. L'habitacle a également droit à un léger traitement spécifique, avec entre autres une moquette bleue au sol.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Renault Rafale : une gamme simplifiée, à partir de 45.000 euros

Les Citroën C3 et DS3 rappelées à cause d’un problème d’airbag

Citroën et DS Automobiles sont actuellement en train de mener une vaste campagne de rappel concernant leurs C3 et DS3. En cause, un élément situé dans les airbags qui présente un défaut et qui pourrait donc se détériorer et entraîner des blessures aux occupants des voitures concernées. Les C3 produites entre 2009 et 2017 et les DS3 fabriquées entre 2009 et 2019 vont donc devoir être contrôlées. Il n'est pas rare d'assister à des campagnes de rappels. Les défauts de fabrication peuvent toucher tous les constructeurs. Dans ce genre de situation, les marques adressent alors des courriers aux propriétaires des modèles touchés par l'avarie en question pour une simple vérification, dans le meilleur des cas, ou le remplacement de la pièce défaillante. Mais au vu du nombre d'exemplaires concernés par ce souci technique, Citroën et DS Automobiles vont avoir pas mal de courriers à envoyer. En effet, on a appris il y a quelques jours que les Citroën C3 et les DS 3, plus particulièrement leurs airbags, peuvent s'avérer défectueux. Ainsi, les C3 produites entre le 9 avril 2009 et le 20 février 2017 vont devoir repasser en atelier. Pour la DS3, il s'agit des exemplaires produits entre 26 juin 2009 et le 30 mai 2019. Certains clients ont d'ores et déjà été contactés.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Nouvelle Citroën C3 : elle arrive au catalogue à partir de 14.990 euros

VIDÉO - Toujours autant d’essence et de tôle froissée dans le prochain Mad Max !

Le 22 mai prochain sortira le nouvel opus de la saga cinématographique Mad Max. Intitulé Furiosa, cet épisode devrait une fois de plus offrir son lot de cascades de voitures impressionnantes, comme semble le confirmer la bande-annonce. Les amateurs de sans-plomb et de grosses cylindrées devraient en avoir pour leur argent ! Eh non, Fast & Furious n'a pas le monopole de la voiture au cinéma. Mad Max offre également de très belles séquences, mémorables pour la plupart et, certes, dans un autre registre. Il faut dire que le contexte est bien différent, mais tout aussi improbable. Alors que dans la saga Fast & Furious on assiste à chaque fois à une vendetta menée par un garagiste en marcel qui arrive à passer 37 rapports sur une ligne droite de 150 mètres, les événements des films Mad Max se déroulent dans un tout autre environnement, futuriste et plus sombre, dans lequel des gangs se battent pour mettre la main sur les dernières gouttes de pétrole. Pourquoi le pétrole, vous demandez-vous ? C'est une excellente question. Après tout, dans une pareille situation, il vaudrait certainement mieux se battre pour de l'eau ou de la nourriture, ce qui éviterait au passage de croiser des tribus entières de cannibales… Mais parfois, il vaut mieux ne pas poser trop de questions et laisser la magie du cinéma opérer. Et dans ce cas précis, la magie prend la forme de voitures rouillées, hérissées de piques et avalant du sans-plomb par grosses gorgées.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Ces 5 films de voitures que vous devez absolument voir au moins une fois

Hier — 16 mai 2024Automobile

Suzuki Jimny XL Heritage : il faudra déménager en Australie si vous en voulez un !

Suzuki présente une nouvelle série spéciale de son Jimny. Le petit baroudeur le plus mignon de tous les temps se pare de décalcomanies aux douces saveurs d'antan. Les spécificités sont donc relativement limitées, ce qui ne devrait pas l'empêcher de se vendre en un éclair. 500 unités seront disponibles, uniquement en Australie. Si vous en voulez un, commencez donc à organiser votre déménagement… L'année dernière, la branche australienne de Suzuki avait présenté le Jimny Heritage. Ce dernier n'avait été produit qu'à 300 exemplaires, tous vendus en un claquement de doigts. La marque réitère donc cette année, avec le Jimny XL Heritage, la version 5 portes du petit 4x4.  Les spécificités propres à ce Jimny Heritage sont assez limitées. Plusieurs couleurs sont disponibles dans le nuancier, parmi lesquelles le Vert Jungle, le Gris Granit ou encore l'Ivoire. La carrosserie est ornée de bandes orange et rouge sur les côtés, ainsi que de décalcomanies représentant un rhinocéros, l'emblème de cette série spéciale. Les garde-boues rouges complètent la dotation extérieure.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Transformez votre Suzuki Jimny en Lancia Delta Integrale ou en R5 Turbo grâce à Damd

CONFIG - Lexus LC 500 Cabriolet : pour se démarquer tout en élégance !

Avec les beaux jours qui reviennent, certains automobilistes songent à s'offrir un cabriolet pour pleinement profiter du soleil. Et même si elle s'est considérablement réduite depuis quelques années, l'offre des voitures découvrables est toujours assez fournie. On vous en a trouvé une qui vous permettra de vous distinguer de tous les autres, qui auront certainement choisi un modèle allemand... Le segment des cabriolets a été déserté par pas mal de marques. Certes, il reste toujours du choix, mais outre les Allemands qui font encore de la résistance, il faut bien avouer que l'offre est plus réduite qu'il y a quelques années. Alors quel modèle choisir si l'on veut se démarquer de ceux qui choisissent des Mercedes CLE, Audi A5 et autres BMW Série 4 cabriolets ? On peut bien sûr se tourner vers l'Angleterre, mais il faudra prévoir un budget autrement plus conséquent. Les États-Unis ? Si vous aimez la brutalité et les plastiques durs, pourquoi pas. Mais si vous recherchez du raffinement, une bonne motorisation et un design spectaculaire, le tout pour moins de 150.000 euros (à une subtilité près...), alors c'est au Japon qu'il faut aller ! Lexus n'est pas la plus médiatisée des marques asiatiques. Les ventes restent confidentielles en France, ces voitures étant surtout privilégiées par les taxis et VTC parisiens. Mais il serait bien dommage de ne pas s'y intéresser, notamment pour ce qui concerne un modèle en particulier : la LC 500. Déclinée en coupé et en cabriolet, cette GT est dotée d'un V8 5.0 de 464 chevaux, couplé à une boîte automatique à 10 rapports qui n'envoie la puissance que sur le train arrière. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Cette Lexus LFA rouge a passé la barre des 800.000 euros !

Quadrifoglio Super Sport : la nouvelle série spéciale pour les Alfa Romeo Giulia et Stelvio

Alors que leur remplacement est de plus en plus évoqué, les Alfa Romeo Giulia et Stelvio reçoivent une nouvelle série spéciale, baptisée Quadrifoglio Super Sport. La recette est strictement la même sur les deux modèles, à quelques détails près. La berline sera produite à 275 exemplaires, tandis que la production du Stelvio sera limitée à 175 unités. Les prix restent inconnus pour le moment. À l'heure où la passion semble en perte de vitesse chez Alfa Romeo, le dernier modèle en date étant un SUV 100 % électrique reposant sur une plateforme franco-américaine, produit en Pologne et ayant renoncé à son nom suite à un tollé, les modèles frappés du trèfle semblent être les derniers représentants de l'âme de la marque. Hélas, rien n'est éternel et ils finiront bien par être remplacés, eux aussi. Mais Alfa entretient la passion autant que possible et offre à la Giulia et au Stelvio Quadrifoglio une nouvelle série spéciale, au nom évocateur : Super Sport. De quoi raviver la flamme des puristes ? Le nuancier des couleurs disponibles pour cette série spéciale contient le Rosso Etna à 3 couches et le Bianco Alfa. Cependant, les deux modèles présentés sont habillés d'une teinte Nero Vulcano, assez inhabituelle au catalogue de la marque italienne qui nous avait habitué au Rosso Alfa. Un peu de changement ne fait jamais de mal, après tout. L'une et l'autre reposent sur un ensemble de jantes en alliage à 5 trous Bruni, de 19 pouces sur la Giulia et 21 pouces pour le Stelvio. La berline peut être équipée d'un toit en fibre de carbone, en option. Les coques de rétroviseurs et la calandre sont en carbone, de série cette fois. Dernier détail, plus symbolique qu'autre chose, le badge Quadrifoglio se pare d'un fond noir, et ce, pour la première fois de l'histoire de la marque.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : CONFIG – Notre Alfa Romeo Stelvio Quadrifoglio est parfait pour un road-trip en famille !

PHOTOS - Alfa Romeo Giulia Quadrifoglio Super Sport : la série spéciale la plus énervée de tous les temps ?

Alfa Romeo vient de dévoiler une nouvelle série spéciale pour sa Giulia Quadrifoglio, sobrement baptisée Super Sport. La berline italienne a droit à un traitement stylistique exclusif. Seules 275 unités seront disponibles pour l'ensemble des marchés. L'Alfa Romeo Giulia gagne une nouvelle série limitée. Très limitée, même, puisque la marque ne prévoit de vendre que 275 exemplaires de cette version Quadrifoglio Super Sport. La bonne nouvelle, c'est qu'elle sera également commercialisée chez nous ! Elle commémore la première victoire d'Alfa Romeo sur la légendaire Mille Miglia de 1928. Visuellement, la Giulia n'est pas transfigurée. Il faut regarder du côté des détails pour percevoir les spécificités de cette série spéciale, à commencer par les badges latéraux Quadrifoglio. Ceux-ci adoptent un fond noir, pour la première fois de l'histoire de la marque. À noter également les nouveaux étriers de freins, visibles derrière les jantes Bruni de 19 pouces. L'habitacle, en revanche, s'offre quelques raffinements parmi lesquels des inserts décoratifs en fibre de carbone aux touches de rouge. La sellerie est également exclusive.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Sous le capot, on retrouve encore le V6 2.9 biturbo de 520 chevaux. Cette version Super Sport est livrée de série avec l'échappement sport Akrapovic. Alfa Romeo décline également cette série spéciale sur le Stelvio Quadrifoglio, qui ne sera pour sa part produit qu'à 175 exemplaires. Les prix restent inconnus à l'heure actuelle.

Stellantis ouvre les portes de l’Europe au Chinois Leapmotor

À partir du mois de septembre prochain, une nouvelle marque chinoise va arriver en Europe, bien aidée par Stellantis. En effet, lors d'une grande conférence qui se tenait hier à Pékin, Carlos Tavares a annoncé un nouveau partenariat avec Leapmotor, un constructeur chinois, avec pour objectif de produire des véhicules électriques accessibles. On a tous en mémoire les nombreux discours de Carlos Tavares, pendant lesquels il taclait sans retenue les constructeurs chinois, mettant au passage en garde l'Europe de l'arrivée de ces derniers. Apparemment, ceux-ci ne sont pas rancuniers, loin de là même. Le PDG de Stellantis vient d'officialiser un nouveau partenariat entre le groupe et Leapmotor, une start-up chinoise. Carlos Tavares a dévoilé les grandes lignes de cette collaboration. Les premières voitures devraient arriver en septembre, dans un nouveau réseau composé de 200 concessions. Celles-ci seront implantées en France, mais aussi en Allemagne, en Belgique, en Italie, au Portugal, en Espagne, en Grèce, en Roumanie et aux Pays-Bas. Leapmotor prévoit même d'augmenter le maillage de son réseau en portant le nombre de concessions à 500 d'ici à 2026 ! Au total, 6 modèles doivent voir le jour à l'horizon 2027.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Citroën ë-C3 : quel est son prix ?

Opel Corsa : une entrée de gamme trop rationnelle ?

L'Opel Corsa est la sixième citadine la plus vendue en France depuis le début de l'année. Si elle reste en retrait par rapport aux références du segment, comme la Renault Clio ou sa cousine la Peugeot 208, elle tient tout de même tête à la Volkswagen Polo, par exemple. Il faut dire qu'elle a de sérieux arguments à faire valoir, à commencer par son tarif inférieur à 20.000 euros. Mais malgré ce prix, l'entrée de gamme n'est-elle pas un peu trop rationnelle ? L'Opel Corsa est l'une des nombreuses cousines de la Peugeot 208, dans la galaxie Stellantis. Si l'affiliation est visible sous le capot, l'Allemande parvient tout de même à s'en différencier plus nettement à l'extérieur et dans l'habitacle. La Corsa est plus sobre sur le plan du design, moins tape à l'œil que la Française. Idem à l'intérieur, l'agencement de la planche de bord est plus conventionnel, avec un volant de taille normale et un mobilier moins anguleux. La gamme est également plus resserrée du côté de l'Allemande. Car si la 208 se décline sur 3 finitions, la Corsa se contente de seulement 2 niveaux : Corsa et GS. Comme sur sa cousine, le choix de motorisations est assez large, avec aussi bien des blocs essence traditionnels que des mild-hybrid et du 100 % électrique. Intéressons-nous à la version la plus accessible, à savoir la Corsa dotée du 1.2 PureTech de 75 chevaux, affichée à 19.400 euros avant options.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : ESSAI – Opel Corsa Hybrid 100 ch (2024) : l'hybride léger, la voie de la sagesse ?

Cupra Formentor : l’art et la manière de faire sa place sur le marché

Alors que Cupra vient tout juste de présenter les nouvelles versions restylées de ses Leon et Formentor, l'heure est venue de faire un premier bilan des ventes du SUV ibérique. Celui-ci s'en sort avec les honneurs et se classe même devant des voitures pourtant bien diffusées, comme le Mercedes GLC, le Jeep Avenger ou encore le Seat Arona. La marque espère bien poursuivre sur cette belle lancée après l'arrivée en concession du Formentor restylé. Bien qu'il s'agisse d'une marque encore toute jeune, Cupra a déjà su faire sa place sur le marché. Pour rappel, elle s'était émancipée de Seat, cessant alors d'être un simple label sportif pour devenir un constructeur à part entière. Un pari qui semble réussi, comme le confirme le succès du Formentor, premier modèle propre à Cupra. Son succès ne se dément pas, puisque ce SUV s'est encore vendu à presque 3.000 exemplaires depuis le 1er janvier 2024. Il vient d'ailleurs d'avoir droit à un restylage. Pour le moment, une seule version est disponible à la commande, à savoir le Formentor V équipé du 1.5 eTSI de 150 chevaux. Pas le plus fougueux donc, ce qui ne signifie pas pour autant qu'il s'agit d'un Formentor au rabais ! Loin de là même, puisque la dotation de série est assez conséquente. Il s'affiche à 42.675 euros.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Nouveau Cupra Formentor : il perd un cylindre et quelques chevaux !
À partir d’avant-hierAutomobile

Renault Captur : à quoi a-t-on droit avec la finition Evolution à 24.900 euros ?

Récemment restylé, le Renault Captur devrait arriver dans les concessions dans les semaines qui viennent, les commandes étant déjà ouvertes. En attendant de croiser les premiers exemplaires sur les routes, intéressons-nous déjà à la finition Evolution, qui fait office d'entrée de gamme, avec son tarif fixé à 24.900 euros. En a-t-on pour notre argent ? C'est un restylage en profondeur auquel a eu droit le Renault Captur. Si la face arrière reste très proche de l'ancienne version, à quelques détails près comme les optiques transparents, la face avant évolue bien plus nettement. À tel point qu'il est difficile de reconnaître le Captur vu de face, du moins tant qu'on ne s'est pas habitué à cette nouvelle version. L'intérieur évolue plus en douceur, davantage sur le plan technologique d'ailleurs, notamment au niveau du système d'infodivertissement Google. Renault décline ce Captur restylé sur 3 niveaux de finition : Evolution, Techno et Esprit Alpine. C'est le premier qui va nous intéresser aujourd'hui. Celui-ci donne accès à trois types de motorisations, avec aussi bien de l'essence que de l'hybride et même du GPL. Les tarifs commencent à 24.900 euros, pour la version TCe de 90 chevaux.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Renault Captur restylé (2024) : sous ses airs de Scenic, change-t-il vraiment ?

PHOTOS - Mansory MCX Pergusa : attention, ça pique violemment les yeux !

Une fois de plus, Mansory reste fidèle à sa propre tradition et vient de présenter une nouvelle version de la Maserati MC20. Le résultat est discutable, mais on ne peut pas renier le travail accompli pour y arriver. Cependant, on voit mal qui, à part un influenceur installé à Dubaï, pourrait bien préférer cette version préparée à la MC20 de série... La Maserati MC20 devait être bien trop lisse au goût de Mansory, qui a tout simplement décidé de la barder d'appendices aérodynamiques disgracieux. Énorme aileron, diffuseur démesuré, lame avant proéminente, roofscop, ailettes latérales... Rien ne manque, ou plutôt tout est en trop, c'est selon. L'ensemble de la carrosserie est réalisé en fibre de carbone apparente. Sous le capot, elle conserve son V6 3.0 biturbo, dont la puissance atteint désormais 750 chevaux et 880 Nm de couple. Le 0 à 100 km/h ne demande plus que 2,6 secondes, tandis que la vitesse de pointe atteint les 335 km/h ! Les prix n'ont pas encore été annoncés.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Mansory MCX Pergusa : la Maserati MC20 complètement hystérique

Mansory vient d'ajouter une nouvelle création à sa collection. Basée sur la Maserati MC20, cette réalisation adopte un nom aussi agressif que son design : MCX Pergusa. Comme toujours avec le préparateur, on est bien loin du design pur et agréable à l'œil de la voiture initiale. Les prix n'ont pas été communiqués pour l'instant. Les constructeurs ont beau s'évertuer à produire des voitures au style élégant, aux lignes fluides, dotées de carrosseries dénuées d'appendices aérodynamiques, il y aura toujours des préparateurs pour saccager le travail des designers. Et parmi eux, le meilleur est certainement Mansory. Toujours dans les bons coups, celui-ci ne manque pas une seule occasion de défigurer les voitures les plus exclusives de la production. Ferrari, Lamborghini, Rolls-Royce, tout le monde y passe ! Cette fois, c'est à une Maserati que Mansory s'est attaqué. La MC20, plus précisément. La supercar italienne a reçu, sans rien demander à personne, un kit carrosserie complet en carbone forgé apparent. Elle a donc droit à une lame avant proéminente, des ailettes latérales, un roofscop, un diffuseur et un aileron arrière démesuré, le tout venant casser la pureté de la ligne originelle. L'ensemble repose sur des jantes forgées à écrou central.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Rolls-Royce Cullinan Linea D'Oro by Mansory : la définition de l'indécence ?

PHOTOS - Cette Citroën 2CV Sahara vaut plus cher qu'une Porsche 911 !

Le week-end dernier, une Citroën 2CV a été adjugée à plus de 143.000 euros lors d'une vente aux enchères qui se tenait à Monaco. Et même s'il s'agit d'une version très particulière, baptisée Sahara et dotée de 2 moteurs, cette somme est tout de même stratosphérique ! On le sait, les prix de revente de certaines voitures n'arrêtent pas d'augmenter. Mais la plupart du temps, ce phénomène ne concerne que des modèles d'exception, le plus souvent des supercars ou des voitures sportives produites par des marques de renom. Alors, quand une "simple" Citroën 2CV s'échange contre la bagatelle de 143.750 euros, on se pince pour être certain qu'on ne rêve pas ! "Simple" n'est certainement pas le qualificatif qui correspond le mieux à cette Deudeuche. Il s'agit en réalité d'une 2CV Sahara, une version produite à seulement 693 unités. Ajoutez à cela l'état de conservation très propre de cet exemplaire de 1965, et son tableau de bord qui n'affiche que 40.492 kilomètres et vous comprenez désormais mieux pourquoi il s'est vendu aussi cher.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} En plus de son accastillage spécifique, de sa roue de secours placée sur le capot avant et de son ventilateur installé sur le coffre, cette Citroën 2CV Sahara a la particularité d'embarquer 2 moteurs. En plus de celui installé à l'avant, un deuxième bloc de 425 cm3 se situe derrière la banquette arrière, transformant alors la Deuche classique en un vrai 4x4. Mais même en tenant compte de l'histoire et de la conception atypique de cette voiture, on ne peut s'empêcher de s'interroger sur son prix de revente. Après tout, pour 143.750 euros, on peut s'offrir une Porsche 911 neuve (sans le malus, certes...). Mais il est vrai que pouvoir se balader au volant d'une telle bizarrerie doit bien justifier une partie de cette coquette somme.
❌
❌