Brabus a dévoilé la toute dernière version du modèle le plus puissant de sa gamme : la Rocket. Basée sur la Mercedes-AMG GT, le préparateur allemand pousse son moteur à 1.000 ch pour la première fois de son histoire. Cela fait près de vingt ans que Brabus développe la gamme Rocket. Initialement basée sur la CLS, la Brabus Rocket perpétue la tradition en modifiant profondément la berline 4 portes de la marque à l'Etoile. Pour sa toute dernière mouture, la Rocket passe le seuil psychologique des 1.000 ch grâce à la Mercedes-AMG GT. Lire aussi : Brabus Rocket 1000 : la fusée sur roues la plus puissante d'Allemagne Brabus traite l'extérieur avec un kit carrosserie complet « Widebody ». Celui-ci reçoit de nombreuses pièces en fibre de carbone apparente, à l'image du bouclier avant et de sa lame intégrée. Les passages de roues élargis permettent d'accueillir des jantes de 21 pouces à l'avant, et 22 pouces à l'arrière. La poupe reçoit un aileron arrière fixe, un diffuseur d'air en fibre de carbone et deux doubles sorties d'échappement. Le V8 4.0 biturbo est réalésé à 4.5 et délivre 1.000 ch de puissance cumulée pour 1.820 Nm de couple maxi ! Le 0 à 100 km/h est expédié en 2,6 s, soit 0,3 s de mieux que la Mercedes-AMG GT dont elle dérive. La vitesse maxi est bridée électroniquement à 316 km/h. {{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Brabus vient de dévoiler la préparation la plus puissante de son histoire, basée sur la Mercedes-AMG GT. Le préparateur allemand a notamment atteint le seuil psychologique des 1.000 ch grâce à une lourde préparation mécanique. Pour le commun des mortels, Brabus est connu pour booster la Smart Fortwo depuis plus de vingt ans. Une fois affublée du B majuscule, la micro-citadine allemande devient plus méchante avec un kit carrosserie plus agressif, de grandes jantes et un petit surplus de puissance. De quoi se démarquer facilement dans les bouchons parisiens.  Mais pour les connaisseurs, Brabus représente un des préparateurs parmi les plus fous de la planète, sur le plan mécanique, avec de très grosses transformations sur base Mercedes. Voici sa dernière création : la Brabus Rocket 1000. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Brabus transforme deux Classe G63 6X6 en démons de 800 et 900 chevaux

RM Sotheby's a retrouvé la trace de l'unique break sportif de Mercedes réalisé avant l'absorption d'AMG. Surnommée « The Mallet », cette 300 TE inspirée de sa version classique « The Hammer » développe 310 ch. Pour remettre dans le contexte de l'époque, AMG sort en 1988 « The Hammer », une 300 CE 24, dont le moteur V8 6.0 est poussé à 385 ch. Son kit carrosserie spécifique, sa peinture noire et ses jantes pleines transforment le placide coupé en véritable monstre de l'Autobahn. La berline récupère le moteur de la 560 SEC, mais est moins puissante, avec 360 ch.  Squatter la file de gauche en 6.0 AMG Hammer, c'est mieux. Mais comment faire pour goûter au plaisir des 300 km/h en vitesse de pointe, lorsqu'on a une famille ? Voici la réponse officieuse d'AMG, sur base de 300 TE : « The Mallet ».{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Mercedes-AMG E63 S Final Edition : à l'aube de la révolution

Une Mercedes 300 TE unique au monde et badgée AMG a été mise aux enchères par RM Sotheby's. Son histoire est édifiante : elle est le premier break sportif officieux de Mercedes, réalisé par la branche nord-américaine du préparateur d'Affalterbach.  Baptisée « The Mallet », cette 300 TE à moteur V8 est présentée en 1987. Le bouclier avant AMG est identique, de même que la peinture noire et les jantes pleines à cinq branches. Les jupes latérales sont adaptées au break allemand, tout comme le bouclier arrière. En revanche, l'absence de double sortie d'échappement carrée, si chère à AMG, permet de l'assimiler à un excellent sleeper. Lire aussi : Mercedes 300 TE AMG 6.0 « The Mallet » : Le Marteau familial Elle était équipée du même moteur V8 de 6.0, mais fut moins puissante pour des raisons principalement économiques. Le bloc développait tout de même 310 ch, transmis aux roues arrière via une boite automatique à 4 rapports.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Seuls deux exemplaires ont été produits, dont celui-ci, en vente chez RM Sotheby's. La maison de vente aux enchères l'estime entre 300 et 400.000 dollars, soit environ 370.000 euros.

Après moult péripéties embarrassantes durant sa mise au point, Lancia a récemment dévoilé (un bien grand mot) la troisième génération de sa citadine phare, la Ypsilon. Le rendu est plus désirable qu'il n'y paraît, à tel point qu'un illustrateur l'a imaginé sans son toit. Avec la Ypsilon, Lancia entend renaître de ses cendres, bien aidé par Stellantis. Si les multiples fiascos de communication ont aidé plus tôt que prévu à se faire une idée de son style, sa présentation le 14 février dernier a permis de voir un design final séduisant et plus travaillé que ses homologues dont elle dérive. A tel point que l'illustrateur automobile X-Tomi lui a virtuellement créé une version décapotable, particulièrement charmante !  Lire aussi : Lancia Ypsilon 3 portes : celle qu'on veut maintenant !

Après avoir dévoilé la troisième génération de sa Panamera en novembre dernier, Porsche complète la gamme de sa berline de sport avec deux nouvelles versions E-Hybrid, plus efficientes. Les Porsche Panamera les plus vertueuses de la gamme voient l'arrivée d'un nouveau moteur électrique de 190 ch.  Dans la version 4 E-Hybrid d'entrée de gamme, la marque allemande l'associe à son moteur V6 2.9 biturbo de 304 ch. La puissance cumulée est de 470 ch et 650 Nm de couple maxi. De quoi réaliser l'exercice du 0 à 100 km/h en 4,1 s et atteindre 280 km/h en vitesse maxi. Des performances tout à fait acceptables pour se déplacer convenablement. Mais si la version de base paraît « juste », la Panamera 4S E-Hybrid va encore plus loin. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Porsche Panamera (2024) : peut-elle survivre face au Taycan ? Dans la version 4S E-Hybrid, le V6 2.9 biturbo de 353 ch permet à la berline sportive allemande d'atteindre la puissance cumulée de 544 ch et 750 Nm de couple maxi. Ainsi dotée, la Panamera 4S E-Hybrid gratte quelques dixièmes au 0 à 100 km/h pour l'expédier en 3,7 s, et atteint 290 km/h en vitesse de pointe. 

Alpine se prépare à sortir l'A290, la version sportive de la Renault 5 E-Tech. Leurs versions modernes ont beau être 100 % électriques, leur inspiratrice date de 1976 : voici la Renault 5 Alpine.  La citadine du Losange se transforme actuellement chez Alpine et récupère tous les codes de style de la marque dieppoise : longue portées, kit carrosserie spécifique, grandes jantes. Cette collaboration a déjà existé par le passé, avec la Renault 5 sportive originelle : l'Alpine de 1976.  Lire aussi : Renault 5 Turbo, combien vaut-elle aujourd'hui ? Renault 5 : populaire par excellence Durant les années 70, le concept de la citadine de sport en était à ses premiers tours de roues. Cette catégorie littéralement inventée par la Volkswagen Golf GTI il y a tout juste 50 ans va inspirer la plupart des constructeurs, à commencer par Renault. la gamme sportive de Renault reposait sur la R8 et la R12 Gordini, plus grandes, plus puissantes, mais aussi plus chères. A l'opposé, cela faisait quatre ans que la R5 envahissait les routes françaises. Multicolore, facile d'entretien et dotée d'une bouille sympathique, Renault a vu en la R5 la base idéale pour répondre à la Volkswagen Golf GTI. {{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Habituellement adressée aux conducteurs sans permis, certains mécaniciens n'hésitent pas à transformer la Renault Twizy en un engin encore plus fun à conduire !  La Renault Twizy attise les convoitises des mécaniciens les plus barrés de la planète. Son volume mi-moto, mi-auto, ses sensations au volant et son prix aujourd'hui réduit en font une bonne base pour la transformer à toutes les sauces. Twizy Pick-up En Italie, un bricoleur spécialisé dans la mobilité électrique fabrique plusieurs types de Renault Twizy différentes. Ici, le petit véhicule de Renault accueille une benne sur-mesure et flambant neuve. {{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Dacia s'est attaqué sa Spring. Design revu en profondeur, capacité de la batterie en hausse et polyvalence accrue : la citadine roumaine cherche à gommer tous les défauts de sa remplaçante avec une profonde montée en gamme.  La Dacia Spring représente l'argument massue pour dynamiter le marché onéreux du tout électrique. Avec un modèle sous les 20.000 euros, le Français moyen pouvait y retrouver son compte, dans un véhicule qui lui permettait de se déplacer à pas cher. Problème, son prix réduit était le seul avantage qui lui était prêté. Comportement routier perfectible, puissance limitée, autonomie réduite … tous ces défauts majeurs semblent vouloir être gommés par Dacia sur la version restylée de la Spring.  Voir aussi : VIDEO - Nouvelle Dacia Spring (2024) : un restylage en profondeur pour le même prix

Fort d'un succès retrouvé grâce à la 205, Peugeot sort en 1984 le concept-car « Quasar ». L'occasion pour la marque au Lion de retrouver des couleurs après être passé tout près de la faillite.  Durant les années 80, le groupe PSA-Simca-Chrysler était pendant quelque temps le premier constructeur d'Europe. Cette boulimie économique, incarnée par le rachat de Chrysler Europe en 1979, a failli précipiter Peugeot dans les abysses. Deux modèles ont sauvé in extremis les meubles : la Citroen BX et la Peugeot 205. En trois ans, le groupe a retrouvé une vertueuse santé économique grâce à deux modèles condamnés au succès. Pour fêter ce retour inattendu au premier plan, Peugeot présente au Salon de l'Automobile de Paris de 1984 le premier d'une trilogie de showcars stellaires : le Quasar.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : CES 2023 - Peugeot Inception, un concept annonciateur du futur de la marque

Vorsteiner a réalisé un kit carrosserie particulièrement sauvage pour rendre la BMW M2 Competition encore plus méchante sur la route.  La face avant reçoit une lame de bouclier en fibre de carbone et un capot ajouré de deux larges ouvertures latérales du même matériau. Les ailes sont élargies et ventilées pour refroidir les freins. Les jupes latérales sont fabriquées d'un seul tenant.  Lire aussi : Vorsteiner diabolise la BMW M2 Competition Les modifications les plus profondes portent sur l'arrière du véhicule. La malle arrière arbore un becquet de type « bec de canard ». Le diffuseur arrière en fibre de carbone encadre les deux doubles sorties d'échappement. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Commander l'intégralité de ce kit pour la BMW M2 Competition revient à 17.675 dollars, soit environ 16.400 €.

Vorsteiner a réalisé un kit carrosserie complet pour rendre la BMW M2 encore plus sauvage qu'à l'origine. Le résultat est bluffant de sauvagerie.  Si Francis Ngannou buvait du SP98, le résultat à 4 roues ressemblerait à ceci. La BMW M2 Competition était déjà fortement agressive face à la Série 2 classique. Vorsteiner relève le niveau de deux crans, à base d'éléments en kit, en fibre de carbone.  Lire aussi : ESSAI - BMW M2 : sont-ils allés trop loin ?

Ce nouveau chef d'œuvre signé Zagato, le carrossier italien, est intitulé AGTZ Twin Tail. Limité à 19 exemplaires, il faudra débourser 650 000 euros, soit dix fois le prix de l'A110, pour son système de carrosserie amovible.  Il nous a habitué à ses œuvres d'art sur roues, mais pour cette première collaboration avec Alpine, il a fait fort. Zagato nous présente sa version revisitée de l'Alpine A110, mais au lieu de faire un kit carrosserie simple, il propose au propriétaire de l'AGTZ Twin Tail de choisir entre deux configurations : une courte et une longue. En savoir plus : AGTZ Twin Tail : Zagato ajoute une longue queue à l'A110 La A110 reçoit un habillage en fibre de carbone sur mesure, pour une esthétique remarquable mais surtout pour optimiser les performances. On reconnait bien sûr la marque de fabrique du carrossier : le toit à double bulle.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Sur les 19 modèles, près de la moitié ont déjà été vendus, avant même sa première présentation mondiale à Villa d'Este du 24 au 26 mai prochain.   

Zagato rend hommage à l'Alpine A220 de course en produisant son équivalent moderne, basé sur l'A110 : l'AGTZ Twin Tail. Design fidèle à l'originale, système de queue modulable, pour 19 exemplaires seulement. L'Alpine A110 fait partie des coupés sportifs les plus appréciés du marché. Il a su se faire une place dans un secteur phagocyté par les constructeurs allemands, BMW M2 et Porsche 718 Cayman en tête. Pourtant, la marque dieppoise dispose d'une riche source d'inspiration pour les designers, notamment grâce à son implication dans le sport automobile. Zagato, un des carrossiers italiens les plus renommés de la scène automobile, a fouillé dans les livres d'histoire pour créer la version moderne de l'Alpine A220 de 1968 : l'AGTZ Twin Tail.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : A290 : quand Alpine muscle le jeu de la Renault 5 100 % électrique

Nissan a cherché plusieurs moyens de faire évoluer sa Skyline GT-R dans les années 80. Pour sa R32, la marque japonaise a décidé d'acheter discrètement une Porsche 959 … revendue aujourd'hui aux enchères dans une autre robe !  Durant la fin des années 80, Nissan cherche à renouveler sa Skyline. Fabriquée depuis 1985, la Skyline R31 arrive en fin de carrière, et il faut lui trouver une remplaçante. Mettre au point la Skyline R32 nécessite des connaissances mécaniques encore plus pointues, en vue de conserver son hégémonie locale. Surnommée la « maxi-Porsche », la 959 était un véritable laboratoire roulant, embarquant de nombreuses technologies inédites : double suralimentation, suspensions pilotées, transmission intégrale, carrosserie composite, ABS, etc.. C'est alors que la marque japonaise eut une idée qui va s'avérer brillante par la suite : acheter un exemplaire de la meilleure voiture du monde en 1986. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Cette Porsche 911 Targa restaurée par Singer est une merveille absolue !

Canepa a restauré une Porsche 959 à un niveau de réalisation rarement atteint pour une voiture aussi complexe. Son historique improbable : il a appartenu à Nissan, qui s'en est servi d'engin de développement pour sa transmission intégrale dans les années 80 !  Nissan a tenté d'en obtenir un exemplaire directement à la source, en Allemagne. Demande rejetée de la part du constructeur de Stuttgart. En passant par un concessionnaire belge, Nissan l'a rapatrié au Japon et intégralement démonté les pièces de sa transmission intégrale. Les informations récoltées ont servi au développement de la future (et légendaire) transmission intégrale ATTESA ET-S, qui a équipé la Skyline R32 à partir de 1989.  Lire aussi : Cette Porsche 959 restaurée a servi d'étude interne… pour Nissan ! Canepa, un garage californien spécialisé dans la Porsche 959, a retrouvé sa trace en 2019. Celui-ci l'a restaurée pour en faire un monstre encore plus abouti qu'à sa sortie. Il a fallu près de 4.000 heures de restauration et quatre ans de travail pour sortir cette Porsche 959 « SC by Canepa ». {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Elle reçoit une nouvelle peinture vert chêne foncé, issue du nuancier personnalisé de chez Porsche. À l'intérieur, l'habitacle est tendu de cuir brun tabac sur-mesure, avec quelques touches de tissu semblables à du tweed. Le Flat-6 2.8 biturbo passe de 450 à 800 ch. Cet exemplaire est aujourd'hui estimé entre 3,25 et 3,75 millions de dollars sur un site de vente aux enchères américain.

Cette Mercedes 560 SEC AMG 6.0 "Wide Body" a été estimée à près de 700.000 dollars, soit environ 650.000 euros. Une estimation hallucinante que RM Sotheby's a jugé  acceptable au vu de la rareté de cet engin, sorti à 25 exemplaires.  Sorti des usines allemandes en 1990, cet exemplaire traverse l'Atlantique en 2014, vers l'Ontario (Canada), avant de rallier les Etats-Unis l'année suivante, en Floride. Plus basse, plus large, campée sur de larges roues de 17 pouces, la Mercedes gagne son surnom « The Hammer » grâce à l'agressivité hallucinante de son kit carrosserie « Wide Body ».  De la sellerie à la planche de bord, en passant par le volant 4 branches siglé AMG, l'habitacle tendu de cuir noir ne respire pas franchement la joie. Quelques touches de bois véritable viennent relever le niveau de gaieté de ce cockpit, sur la console centrale, le tunnel de transmission et les panneaux de porte.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Mercedes 560 SEC AMG 6.0 « The Hammer » : Le Marteau de l'Autobahn Preuve que ce monstre a terrorisé bon nombre d'autres véhicules durant sa vie, le totaliseur kilométrique affiche un peu plus de 62.000 km. Si vous voulez devenir la future terreur de l'Autobahn, il vous faudra débourser entre 500 et 700.000 dollars, soit un peu moins de 650.000 euros ! 

Une Mercedes 560 SEC AMG 6.0 "The Hammer" a été mise aux enchères sur le site anglais de RM Sotheby's. Elle fait partie des tout derniers exemplaires fabriqués par AMG avant son rachat par la marque à l'Etoile, ce qui la rend encore plus rare et désirable.  Durant les années 80, Mercedes était la meilleure marque automobile du moment, destinée au grand public. Technologie, puissance, confort... aucun concurrent n'avait le cran de venir se battre contre la marque à l'Etoile. BMW commençait tout juste à devenir le rival n°1, tandis qu'Audi n'avait pas encore rejoint le duo. A cette période, AMG n'était pas encore sous la houlette officielle de Mercedes. Cela leur permettait de créer des véhicules autrement plus puissants et agressifs, basés sur la gamme de la marque à l'Etoile. Leur plus célèbre réalisation va marquer toute une génération de jeunes allemands en mal de reconnaissance sur les routes. Voici l'un des véhicules phares de la firme d'Affalterbach : la Mercedes 560 SEC AMG 6.0 « The Hammer ». {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Mercedes 300 TE AMG 6.0 « The Mallet » : Le Marteau familial

Renault s'apprête à dévoiler dans les prochains jours la R5 E-Tech 100 % électrique. L'occasion parfaite pour revenir sur 5 anecdotes qui ont marqué la vie de son inspiratrice de 1972.  Produite entre 1972 et 1985, la Renault 5 fut la voiture populaire de la marque par excellence. Petite, multicolore, avec une bouille sympathique, elle gagne en popularité sur les routes françaises et à l'international. La Renault 5 a évolué avec son temps en proposant plusieurs versions devenues iconiques, en 3 ou 5 portes, avec ou sans turbo, en France comme aux Etats-Unis. Retour sur 5 anecdotes qui ont rendu la Cinq mythique dans le cœur des Français.  Lire aussi : Renault 5 E-Tech : motorisations, batteries, finitions… Tous les détails de la citadine électrique 1 - Deux boites de vitesses : une au sol, une sur le tableau de bord La Renault 5 a été commercialisée à sa sortie en 1972 avec une commande de boîte disposée sur la planche de bord, à l'instar de la Renault 4L. Cette configuration a été conservée jusqu'en 1974, où elle retrouve un levier de vitesses au plancher, plus facile à manipuler. {{_DYNINFEED_BLOCK_}}