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Aujourd’hui — 18 mai 2024Automobile

Skoda Superb Combi iV : les commandes sont ouvertes, à partir de 52.160 euros

En début d'année, Skoda ouvrait les commandes pour sa nouvelle Superb. La primeur est revenue tout d'abord aux versions essence et Diesel, mais la gamme s'élargit désormais à la Superb iV, hybride rechargeable donc. Celle-ci est officiellement disponible, à partir de 52.160 euros. La grande routière de Skoda, la Superb, ajoute aujourd'hui une nouvelle corde à son arc. La marque vient en effet d'ouvrir les carnets de commandes pour la version hybride rechargeable. Toutefois, cette motorisation n'est pour l'heure disponible que sur la Superb Combi. La berline devrait vraisemblablement y avoir droit, seulement Skoda n'a pas encore donné de détails à ce sujet. Sous le capot, on retrouve un bloc 1.5 TSI électrifié, dont la puissance totale culmine à 204 chevaux. Celui-ci est associé à une boîte automatique à double embrayage DSG à 6 rapports. Skoda annonce une autonomie de 159 kilomètres en 100 % électrique en ville, grâce à une batterie d'une capacité brute de 25,7 kWh. Cette dernière peut d'ailleurs être branchée sur courant continu, pour recharger de 10 à 80 % en moins de 30 minutes. En courant alternatif, la batterie tolère les charges jusqu'à 11 kW. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Prix, finitions, équipements : tout savoir sur la nouvelle Skoda Superb Combi

Skoda Kodiaq iV : la version hybride rechargeable est disponible, à partir de 50.650 euros

Alors que Skoda présentait il y a quelques mois son nouveau Kodiaq, l'heure est maintenant venue d'ouvrir les commandes de la version hybride rechargeable. Le Kodiaq iV est donc disponible à l'achat, avec environ 150 kilomètres d'autonomie en 100 % électrique. Les tarifs débutent à 50.650 euros. Alors que les versions essence et Diesel sont déjà en vente depuis plusieurs mois, Skoda élargit aujourd'hui l'offre de son Kodiaq. Le grand SUV de la marque tchèque se décline désormais en hybride rechargeable. Attention toutefois, cette motorisation n'est disponible que sur la finition Selection et uniquement en 5 places. Le volume de coffre est compris entre 745 et 1.945 litres, une fois la banquette arrière rabattue. On ignore si le constructeur décidera de l'étendre à la version 7 places ultérieurement. La principale spécificité de ce nouveau Kodiaq iV se situe donc sous son capot, puisqu'il embarque un bloc 1.5 TSI hybride rechargeable de 204 chevaux, associé à une boîte à double embrayage DSG à 6 rapports. Le moteur est associé à une batterie d'une capacité brute de 25,7 kWh, qui permet au Kodiaq de prétendre à une autonomie de 149 kilomètres en 100 % électrique (en ville). Skoda annonce la possibilité de recharger de 10 à 80 % en moins de 30 minutes en courant continu.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Skoda Kodiaq restylé (2024), les tarifs : un peu moins cher que le Renault Espace

Coup de tonnerre : et si le V8 faisait son retour en Formule 1 ?

La Fédération Internationale de l'Automobile peaufine actuellement la future réglementation du championnat du monde de Formule 1, qui entrera en application à partir de 2026. Et si la réflexion concernant celle-ci est quasiment terminée, la FIA a déjà le regard tourné vers 2030, date à laquelle sera mis en place un nouveau règlement. Il se murmure d'ailleurs que l'hybridation pourrait être abandonnée, au profit d'un moteur que les fans adulent : le V8. Rien n'a été confirmé pour l'instant, mais il n'en fallait pas plus pour faire entrer en transe les passionnés de Formule 1 du monde entier. Cela fait maintenant 10 ans que les blocs atmosphériques ont cessé de rugir sur les circuits, remplacés par des V6 turbo hybrides. Les fans avaient sérieusement grincé des dents, lors de l'introduction de ces moteurs, en 2014. Mais au fil des années, la résignation a pris le dessus, les chances de voir revenir des moteurs bruyants s'amenuisant.  Il faut dire que l'ère de l'hybride n'a pas seulement rendu les courses plus silencieuses. L'ajout de batteries a évidemment eu d'autres impacts, notamment sur les monoplaces en elles-mêmes. Ces dernières se sont alourdies, tandis que la façon de les conduire a drastiquement évolué. Terminées les phases d'attaques à fond de cale pendant tout un Grand-Prix, les pilotes ont dû apprendre à gérer la capacité d'énergie électrique disponible, pour en tirer parti pour creuser les écarts, le plus stratégiquement possible. On assiste donc régulièrement à ce qu'on appelle le Leaft & Coast, comprenez des phases de recharge de batteries durant lesquelles les pilotes conduisent à l'économie.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Adamastor Furia : la supercar portugaise qui se la joue en mode Aston Martin Valkyrie

Ford Fiesta XR2 MkII : le petite GTI oubliée des années 80 !

Si vous cherchez à mettre la main sur une petite GTI amusante, en provenance directe des années 80, plusieurs choix s'offrent à vous. Vous penserez instinctivement aux Peugeot 205 GTI et Volkswagen Golf GTI, comme tout le monde. Et si vous tentiez d'être original ? Avec une Ford Fiesta XR2, par exemple ? Sur le marché des youngtimers, tous les modèles ne sont pas logés à la même enseigne. Certaines voitures n'ont absolument plus besoin d'aucune publicité, leur renommée étant déjà solide depuis plusieurs décennies. C'est notamment le cas, sur le segment des petites sportives, des Peugeot 205 GTI et Volkswagen Golf GTI. On pourrait vous répéter pendant des heures que ces voitures n'ont aucun intérêt (c'est faux, c'est pour l'exemple, calmez-vous), vous en voudriez toujours une. En revanche, certains modèles ne bénéficient pas d'une réputation aussi solide, souvent à tort. C'est le cas de la Ford Fiesta XR2 qui mériterait pourtant une meilleure cote de popularité. Mais la Fiesta XR2, qu'est-ce que c'est au juste ? Avant tout un pur produit des années 80. Visuellement, tous les codes stylistiques sont présents. Des lignes simples et carrées, un gabarit compact, de petites jantes et un look plus agressif qu'une Fiesta standard. En plus de tout ça, la version XR2 ajoutait deux phares ronds supplémentaires, façon voiture de rallye d'époque ! Dans l'habitacle, le poste de conduite très horizontal regroupait toutes les commandes de part et d'autre des compteurs. La sellerie était également spécifique, pour une ambiance plus sportive.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Porsche 924 Artz Kombi : l'utilitaire le plus classe des années 80 !

Volkswagen ID.4 Edition Limitée FFF : en route pour l’Euro 2024 !

Volkswagen a dévoilé hier une série spéciale de son ID.4, au moment où Didier Deschamps, sélectionneur de l'équipe de France de football, révélait la liste des joueurs retenus pour participer à l'Euro 2024. Le SUV électrique se pare d'une livrée spécifique et voit sa dotation de série enrichie. Les commandes sont déjà ouvertes, la marque a annoncé une production totale de seulement 23 exemplaires. Cela fait déjà 10 ans que Volkswagen est partenaire de la Fédération Française de Football. Une affaire qui roule, donc. Pour célébrer cet anniversaire, la marque allemande vient de dévoiler une série spéciale très exclusive de son SUV 100 % électrique, l'ID.4. Baptisée Edition Limitée FFF, cette version affiche quelques clins d'œil à l'équipe de France de Football et arrive à point nommé, à moins d'un mois du coup d'envoi de l'Euro 2024. Esthétiquement, les références à la FFF sont assez discrètes. L'ID.4 se dote par exemple de liserés tricolores sur les contours de la calandre, sur les custodes ainsi que sous le logo à l'arrière. Des badges FFF, représentant un coq et les 2 étoiles des 2 coupes du monde remportées par nos bleus, sont installés sur les ailes avant. Les seuils de portes arborent des inserts siglés Edition Limitée, tandis qu'une plaque numérotée trône sous la planche de bord, dans l'habitacle.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Les Volkswagen ID.4 et ID.5 reçoivent une mise à jour importante

MH8 5.0 V8 : un V8 de BMW M5 E39 dans une Série 8 E31, il n’y avait que Manhart pour y penser !

Manhart vient de présenter un modèle qui devrait ravir les passionnés de BMW et de youngtimers. Le préparateur allemand, spécialiste des réalisations basées sur les voitures de la marque bavaroise, s'est attaqué cette fois à une Série 8 E31. Seulement, les modifications ne s'arrêtent pas à l'esthétique, puisque le V12 de série a été remplacé par un V8 provenant tout droit de la baie moteur d'une BMW M5 E39.  Vous voulez vous faire plaisir en vous offrant un youngtimer, de préférence une BMW, mais vous hésitez entre 2 modèles ? Au hasard, une Série 8 E31 et une M5 E39. Le choix est cornélien, on le reconnait. Mais si on vous disait que vous pouviez vous offrir les deux, en ne signant qu'un seul chèque ? Il y a évidemment un trucage, pour autant vous pourriez vous retrouver avec une voiture possédant à la fois des éléments de Série 8 et de M5. Et ça, on le doit à Manhart. Voici la MH8, la dernière réalisation en date du préparateur allemand. À première vue, rien de bien extravagant, la Série 8 qui a servi de base de travail semble tout ce qu'il y a de plus normale. Hormis les grandes jantes en alliage Manhart Concave One de 20 pouces, le préparateur a également remplacé les boucliers avant et arrière par ceux de la 850 CSi d'époque, plus agressifs. Les rétroviseurs M plus effilés sont également spécifiques, tout comme le becquet discret sur la malle.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : MH3 CSL V10 Clubsport : ce que BMW n'a jamais osé faire !
Hier — 17 mai 2024Automobile

Adamastor Furia : la supercar portugaise qui se la joue en mode Aston Martin Valkyrie

Voici la Furia, une toute nouvelle supercar au design ultra radical, qui n'est l'œuvre ni de Pagani, ni d'Aston Martin, ni d'aucune marque connue d'ailleurs. Non, cet engin est signé Adamastor, un tout jeune constructeur portugais ! La Furia est d'ailleurs son premier modèle, qui devrait être facturé la bagatelle de 1,6 million d'euros tout de même.  Le nom Adamastor vous évoque-t-il quelque chose ? Non, c'est bien ce qu'on pensait, et c'est bien normal après tout. Il s'agit en fait un constructeur automobile portugais qui s'apprête à commercialiser sa première voiture. Une citadine ? Ça serait logique. Un SUV ? C'est la mode, paraît-il… En réalité, rien de tout ça ! Non, à la place, Adamastor préfère viser les sommets dès le départ, avec une supercar. Après tout, pourquoi s'embêter à rivaliser avec une Renault Twingo quand on peut aller titiller directement des bolides de plus de 600 chevaux. Mis sur les rails en 2019, le projet Furia arrive gentiment à son terme. La supercar a été présentée mardi et, le moins que l'on puisse dire, c'est qu'elle éveille la curiosité. Esthétiquement, déjà, on pourrait presque la considérer comme une hypercar. Les lignes acérées et ajourées rappellent celles de l'Aston Martin Valkyrie, dont le design a avant tout été dicté par l'aéro. Ce qui semble également être le cas pour la Furia, comme en témoignent ses entrées d'air béantes sur le bouclier, les nombreuses ailettes latérales, ainsi que les tunnels aérodynamiques qui débouchent sous les portières.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Ferrari F12 TRS : quand Maranello pondait deux One-Off pour le prix de deux !

Bentley Continental GT : l’heure est venue de passer à l’hybridation

Bentley vient de jeter un petit pavé dans la mare des voitures de luxe. En effet, son iconique Continental GT s'apprête à s'électrifier partiellement, une étape importante pour ce modèle qui n'était décliné qu'en versions W12 depuis plus de 20 ans, et en V8 depuis 2010. Bentley dévoilera cette nouvelle génération le mois prochain. Une page s'apprête à être tournée, en Angleterre. Bentley, marque historique indissociable de l'automobile de luxe, vient de confirmer l'arrivée d'une nouvelle génération de Continental GT. L'enjeu est de taille, ce modèle représentant l'une des meilleures ventes de la marque, derrière le Bentayga tout de même. Connaissant Bentley, il y a peu de chances pour que la voiture soit ratée. Cela dit, une nouveauté non négligeable pourrait bien perturber la clientèle : l'arrivée de l'hybridation sous le capot. Pour l'heure, seules deux images ont été publiées par la marque anglaise. On peut y voir la nouvelle Continental GT, encore camouflée. S'il est difficile de discerner les détails de la carrosserie, il semble que le style n'évolue que légèrement. On peut tout de même noter que la face avant se débarrasse de 2 optiques sur les 4 que comptaient les générations précédentes. Pour le reste, la voiture semble afficher des lignes encore affinées et un gabarit peu ou prou identique. L'habitacle n'a quant à lui pas encore été révélé.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Bentley Batur : vous n'avez pas pu vous offrir le coupé ? Voici maintenant le cabriolet !

Quand le GIGN roulait en Renault 5 Alpine

Si de nos jours, on a l'habitude de voir le GIGN se déplacer dans des véhicules blindés, il fut un temps où ces groupes d'interventions roulaient dans des voitures bien plus communes. Mais ne vous y trompez pas, commune ne signifie pas ennuyeuse ! En 1977, le GIGN avait par exemple passé commande de 3 exemplaires de R5 Alpine. Les voitures qu'elles utilisent en disent long sur les forces de l'ordre. On a évidemment tous en tête les hypercars surpuissantes de la police Qatari, ou encore les Porsche 911 de la polizei allemande. En France, on n'a jamais vraiment donné dans la surenchère, à quelques exceptions près. Pour rappel, il n'y a encore pas si longtemps, nos policiers et gendarmes se déplaçaient dans des Peugeot Partner, dont certains sont encore utilisés en plus des nouveaux 5008. Bien entendu, certaines divisions de nos forces de l'ordre avaient droit à quelques réjouissances. Les brigades d'intervention rapide avaient par exemple la chance d'avoir des Renault Megane R.S., ou encore des Alpine A110 comme c'est le cas actuellement. Justement, le partenariat entre Renault ne date pas d'hier. En 1977, par exemple, le GIGN passait commande de 3 exemplaires de R5 Alpine. La classe !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : RETRO : 5 choses que vous ne savez peut-être pas sur la Renault 5

Porsche 924 Artz Kombi : l’utilitaire le plus classe des années 80 !

Au début des années 80, un carrossier du nom de Artz s'est amusé à transformer quelques Porsche 924 en breaks de chasse. Une idée qui pouvait sembler ridicule à l'époque, mais qui, au vu du résultat, n'était pas si mauvaise. Malheureusement, très peu d'exemplaires ont vu le jour. Il est donc extrêmement rare d'en croiser aujourd'hui… Le monde de l'automobile était bien différent quelques décennies en arrière. Savoir si c'était mieux avant ou pas n'est pas la question, ça n'est qu'un constat. Les préparateurs étaient moins nombreux et partageaient la vedette avec des carrossiers, dont la plupart ont malheureusement disparu aujourd'hui. L'un d'entre eux, Artz, a accouché de quelques pépites dans les années 80, notamment des Audi Quattro break ou encore Volkswagen Scirocco en version pick-up. Mais l'une de ses réalisations est restée dans les mémoires, la Porsche 924 Artz Kombi. L'histoire de ce projet est assez nébuleuse. Il est d'ailleurs passablement compliqué de mettre la main sur des images authentiques. Du côté des informations, en revanche, c'est un peu plus simple. La date de production exacte reste floue, la plupart des passionnés s'accordant à dire que ces quelques Porsche 924 Artz Kombi seraient sorties des ateliers du carrossier en 1981.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : BMW 767 iL Goldfish : non, le V16 n'a pas été inventé par Bugatti !

PHOTOS - Renault dégaine une nouvelle version du Rafale, forte de 300 chevaux !

Renault vient de dévoiler une nouvelle version de son Rafale, doté d'une motorisation inédite. Le SUV coupé est en effet équipé d'un 3 cylindres associé à 3 moteurs électriques, le tout développant un total de 300 chevaux. Chez Renault, le Rafale fait office de vaisseau amiral. Le grand SUV coupé confirme ce statut en inaugurant une nouvelle motorisation E-Tech Hybride de 300 chevaux. Celle-ci se compose d'un 3 cylindres 1.2 turbo de 150 chevaux, combiné à 3 moteurs électriques pour une puissance cumulée de 300 chevaux, transmis aux 4 roues. La marque évoque une autonomie en 100 % électrique d'environ 100 kilomètres, grâce à la batterie de 22 kWh. Outre cette nouvelle motorisation, le Rafale se décline désormais dans une toute nouvelle finition baptisée Atelier Alpine. Celle-ci offre notamment un châssis retravaillé et une nouvelle suspension pilotée qui fonctionne avec une caméra prédictive, qui analyse le revêtement de la route en temps réel pour adapter la dureté des amortisseurs.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Ce Rafale 4x4 E-Tech 300 chevaux sera disponible à l'automne. Renault le proposera en finitions Esprit Alpine et Atelier Alpine. Les prix sont pour l'heure inconnus.

Renault offre 300 chevaux et des gènes d’Alpine à son Rafale !

Récemment arrivé dans les concessions, le Renault Rafale s'offre déjà une nouvelle version. Celle-ci est équipée d'une motorisation E-Tech hybride plus puissante, avec 300 chevaux et une transmission intégrale. De plus, une nouvelle finition Atelier Alpine vient étoffer le catalogue, avec bien plus que de simples spécificités esthétiques. Les carnets de commandes ouvriront à l'automne, les prix n'ont pas encore été communiqués. Depuis quelques mois, le vaisseau amiral de Renault s'appelle Rafale. Ce grand SUV coupé, qui vient se positionner tout en haut de la gamme, confirme donc son statut et se décline désormais en une nouvelle version plus puissante, baptisée E-Tech Hybride 4x4 300. Tout est dans le titre, le Rafale gagne donc des chevaux et se dote d'une transmission intégrale. Mais ce n'est pas tout, puisqu'en plus de ces nouveautés mécaniques, il gagne également quelques raffinements grâce à la nouvelle finition Atelier Alpine. Visuellement, les nouveautés sont relativement discrètes. On peut citer la nouvelle teinte de carrosserie Bleu Sommet Satin Métallisé, exclusive à cette finition Atelier Alpine, qui contraste avec le spoiler arrière fini en Noir Étoilé. L'ensemble repose sur de nouvelles jantes 21 pouces Chicane. L'habitacle a également droit à un léger traitement spécifique, avec entre autres une moquette bleue au sol.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Renault Rafale : une gamme simplifiée, à partir de 45.000 euros

Les Citroën C3 et DS3 rappelées à cause d’un problème d’airbag

Citroën et DS Automobiles sont actuellement en train de mener une vaste campagne de rappel concernant leurs C3 et DS3. En cause, un élément situé dans les airbags qui présente un défaut et qui pourrait donc se détériorer et entraîner des blessures aux occupants des voitures concernées. Les C3 produites entre 2009 et 2017 et les DS3 fabriquées entre 2009 et 2019 vont donc devoir être contrôlées. Il n'est pas rare d'assister à des campagnes de rappels. Les défauts de fabrication peuvent toucher tous les constructeurs. Dans ce genre de situation, les marques adressent alors des courriers aux propriétaires des modèles touchés par l'avarie en question pour une simple vérification, dans le meilleur des cas, ou le remplacement de la pièce défaillante. Mais au vu du nombre d'exemplaires concernés par ce souci technique, Citroën et DS Automobiles vont avoir pas mal de courriers à envoyer. En effet, on a appris il y a quelques jours que les Citroën C3 et les DS 3, plus particulièrement leurs airbags, peuvent s'avérer défectueux. Ainsi, les C3 produites entre le 9 avril 2009 et le 20 février 2017 vont devoir repasser en atelier. Pour la DS3, il s'agit des exemplaires produits entre 26 juin 2009 et le 30 mai 2019. Certains clients ont d'ores et déjà été contactés.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Nouvelle Citroën C3 : elle arrive au catalogue à partir de 14.990 euros

VIDÉO - Toujours autant d’essence et de tôle froissée dans le prochain Mad Max !

Le 22 mai prochain sortira le nouvel opus de la saga cinématographique Mad Max. Intitulé Furiosa, cet épisode devrait une fois de plus offrir son lot de cascades de voitures impressionnantes, comme semble le confirmer la bande-annonce. Les amateurs de sans-plomb et de grosses cylindrées devraient en avoir pour leur argent ! Eh non, Fast & Furious n'a pas le monopole de la voiture au cinéma. Mad Max offre également de très belles séquences, mémorables pour la plupart et, certes, dans un autre registre. Il faut dire que le contexte est bien différent, mais tout aussi improbable. Alors que dans la saga Fast & Furious on assiste à chaque fois à une vendetta menée par un garagiste en marcel qui arrive à passer 37 rapports sur une ligne droite de 150 mètres, les événements des films Mad Max se déroulent dans un tout autre environnement, futuriste et plus sombre, dans lequel des gangs se battent pour mettre la main sur les dernières gouttes de pétrole. Pourquoi le pétrole, vous demandez-vous ? C'est une excellente question. Après tout, dans une pareille situation, il vaudrait certainement mieux se battre pour de l'eau ou de la nourriture, ce qui éviterait au passage de croiser des tribus entières de cannibales… Mais parfois, il vaut mieux ne pas poser trop de questions et laisser la magie du cinéma opérer. Et dans ce cas précis, la magie prend la forme de voitures rouillées, hérissées de piques et avalant du sans-plomb par grosses gorgées.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Ces 5 films de voitures que vous devez absolument voir au moins une fois

À partir d’avant-hierAutomobile

Suzuki Jimny XL Heritage : il faudra déménager en Australie si vous en voulez un !

Suzuki présente une nouvelle série spéciale de son Jimny. Le petit baroudeur le plus mignon de tous les temps se pare de décalcomanies aux douces saveurs d'antan. Les spécificités sont donc relativement limitées, ce qui ne devrait pas l'empêcher de se vendre en un éclair. 500 unités seront disponibles, uniquement en Australie. Si vous en voulez un, commencez donc à organiser votre déménagement… L'année dernière, la branche australienne de Suzuki avait présenté le Jimny Heritage. Ce dernier n'avait été produit qu'à 300 exemplaires, tous vendus en un claquement de doigts. La marque réitère donc cette année, avec le Jimny XL Heritage, la version 5 portes du petit 4x4.  Les spécificités propres à ce Jimny Heritage sont assez limitées. Plusieurs couleurs sont disponibles dans le nuancier, parmi lesquelles le Vert Jungle, le Gris Granit ou encore l'Ivoire. La carrosserie est ornée de bandes orange et rouge sur les côtés, ainsi que de décalcomanies représentant un rhinocéros, l'emblème de cette série spéciale. Les garde-boues rouges complètent la dotation extérieure.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Transformez votre Suzuki Jimny en Lancia Delta Integrale ou en R5 Turbo grâce à Damd

CONFIG - Lexus LC 500 Cabriolet : pour se démarquer tout en élégance !

Avec les beaux jours qui reviennent, certains automobilistes songent à s'offrir un cabriolet pour pleinement profiter du soleil. Et même si elle s'est considérablement réduite depuis quelques années, l'offre des voitures découvrables est toujours assez fournie. On vous en a trouvé une qui vous permettra de vous distinguer de tous les autres, qui auront certainement choisi un modèle allemand... Le segment des cabriolets a été déserté par pas mal de marques. Certes, il reste toujours du choix, mais outre les Allemands qui font encore de la résistance, il faut bien avouer que l'offre est plus réduite qu'il y a quelques années. Alors quel modèle choisir si l'on veut se démarquer de ceux qui choisissent des Mercedes CLE, Audi A5 et autres BMW Série 4 cabriolets ? On peut bien sûr se tourner vers l'Angleterre, mais il faudra prévoir un budget autrement plus conséquent. Les États-Unis ? Si vous aimez la brutalité et les plastiques durs, pourquoi pas. Mais si vous recherchez du raffinement, une bonne motorisation et un design spectaculaire, le tout pour moins de 150.000 euros (à une subtilité près...), alors c'est au Japon qu'il faut aller ! Lexus n'est pas la plus médiatisée des marques asiatiques. Les ventes restent confidentielles en France, ces voitures étant surtout privilégiées par les taxis et VTC parisiens. Mais il serait bien dommage de ne pas s'y intéresser, notamment pour ce qui concerne un modèle en particulier : la LC 500. Déclinée en coupé et en cabriolet, cette GT est dotée d'un V8 5.0 de 464 chevaux, couplé à une boîte automatique à 10 rapports qui n'envoie la puissance que sur le train arrière. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Cette Lexus LFA rouge a passé la barre des 800.000 euros !

Quadrifoglio Super Sport : la nouvelle série spéciale pour les Alfa Romeo Giulia et Stelvio

Alors que leur remplacement est de plus en plus évoqué, les Alfa Romeo Giulia et Stelvio reçoivent une nouvelle série spéciale, baptisée Quadrifoglio Super Sport. La recette est strictement la même sur les deux modèles, à quelques détails près. La berline sera produite à 275 exemplaires, tandis que la production du Stelvio sera limitée à 175 unités. Les prix restent inconnus pour le moment. À l'heure où la passion semble en perte de vitesse chez Alfa Romeo, le dernier modèle en date étant un SUV 100 % électrique reposant sur une plateforme franco-américaine, produit en Pologne et ayant renoncé à son nom suite à un tollé, les modèles frappés du trèfle semblent être les derniers représentants de l'âme de la marque. Hélas, rien n'est éternel et ils finiront bien par être remplacés, eux aussi. Mais Alfa entretient la passion autant que possible et offre à la Giulia et au Stelvio Quadrifoglio une nouvelle série spéciale, au nom évocateur : Super Sport. De quoi raviver la flamme des puristes ? Le nuancier des couleurs disponibles pour cette série spéciale contient le Rosso Etna à 3 couches et le Bianco Alfa. Cependant, les deux modèles présentés sont habillés d'une teinte Nero Vulcano, assez inhabituelle au catalogue de la marque italienne qui nous avait habitué au Rosso Alfa. Un peu de changement ne fait jamais de mal, après tout. L'une et l'autre reposent sur un ensemble de jantes en alliage à 5 trous Bruni, de 19 pouces sur la Giulia et 21 pouces pour le Stelvio. La berline peut être équipée d'un toit en fibre de carbone, en option. Les coques de rétroviseurs et la calandre sont en carbone, de série cette fois. Dernier détail, plus symbolique qu'autre chose, le badge Quadrifoglio se pare d'un fond noir, et ce, pour la première fois de l'histoire de la marque.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : CONFIG – Notre Alfa Romeo Stelvio Quadrifoglio est parfait pour un road-trip en famille !

PHOTOS - Alfa Romeo Giulia Quadrifoglio Super Sport : la série spéciale la plus énervée de tous les temps ?

Alfa Romeo vient de dévoiler une nouvelle série spéciale pour sa Giulia Quadrifoglio, sobrement baptisée Super Sport. La berline italienne a droit à un traitement stylistique exclusif. Seules 275 unités seront disponibles pour l'ensemble des marchés. L'Alfa Romeo Giulia gagne une nouvelle série limitée. Très limitée, même, puisque la marque ne prévoit de vendre que 275 exemplaires de cette version Quadrifoglio Super Sport. La bonne nouvelle, c'est qu'elle sera également commercialisée chez nous ! Elle commémore la première victoire d'Alfa Romeo sur la légendaire Mille Miglia de 1928. Visuellement, la Giulia n'est pas transfigurée. Il faut regarder du côté des détails pour percevoir les spécificités de cette série spéciale, à commencer par les badges latéraux Quadrifoglio. Ceux-ci adoptent un fond noir, pour la première fois de l'histoire de la marque. À noter également les nouveaux étriers de freins, visibles derrière les jantes Bruni de 19 pouces. L'habitacle, en revanche, s'offre quelques raffinements parmi lesquels des inserts décoratifs en fibre de carbone aux touches de rouge. La sellerie est également exclusive.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Sous le capot, on retrouve encore le V6 2.9 biturbo de 520 chevaux. Cette version Super Sport est livrée de série avec l'échappement sport Akrapovic. Alfa Romeo décline également cette série spéciale sur le Stelvio Quadrifoglio, qui ne sera pour sa part produit qu'à 175 exemplaires. Les prix restent inconnus à l'heure actuelle.

Stellantis ouvre les portes de l’Europe au Chinois Leapmotor

À partir du mois de septembre prochain, une nouvelle marque chinoise va arriver en Europe, bien aidée par Stellantis. En effet, lors d'une grande conférence qui se tenait hier à Pékin, Carlos Tavares a annoncé un nouveau partenariat avec Leapmotor, un constructeur chinois, avec pour objectif de produire des véhicules électriques accessibles. On a tous en mémoire les nombreux discours de Carlos Tavares, pendant lesquels il taclait sans retenue les constructeurs chinois, mettant au passage en garde l'Europe de l'arrivée de ces derniers. Apparemment, ceux-ci ne sont pas rancuniers, loin de là même. Le PDG de Stellantis vient d'officialiser un nouveau partenariat entre le groupe et Leapmotor, une start-up chinoise. Carlos Tavares a dévoilé les grandes lignes de cette collaboration. Les premières voitures devraient arriver en septembre, dans un nouveau réseau composé de 200 concessions. Celles-ci seront implantées en France, mais aussi en Allemagne, en Belgique, en Italie, au Portugal, en Espagne, en Grèce, en Roumanie et aux Pays-Bas. Leapmotor prévoit même d'augmenter le maillage de son réseau en portant le nombre de concessions à 500 d'ici à 2026 ! Au total, 6 modèles doivent voir le jour à l'horizon 2027.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Citroën ë-C3 : quel est son prix ?

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