Une fois n'est pas coutume, le restylage de la Porsche 911 est un véritable événement. Pas parce qu'elle évolue nettement en termes de design, mais bien pour ce qui se passe sous le capot, puisque la version GTS cède aux sirènes de l'hybridation. Un nouveau chapitre s'ouvre, mais ne ferme pas définitivement le précédent. Certaines versions embarquent encore des motorisations 100 % thermiques, pour le plus grand bonheur des Porschistes de la première heure ! Ce jour restera gravé éternellement dans la mémoire des aficionados de Porsche, comme étant la date à laquelle la mythique 911 est passée à l'hybridation. Mais la marque a préféré jouer la sécurité, à raison. Il était difficilement concevable de convertir l'intégralité de la gamme de la 911 à l'hybride, sous peine de voir des hordes de passionnés attaquer le siège social avec des fourches et des torches. C'est pourquoi la Porsche 911 Carrera continue d'exister sans passer par la case électrification. Lire aussi : Porsche 911 GTS restylée : elle passe à l'hybride ! Sacrilège ou révolution ?

Porsche vient de présenter une partie de la gamme restylée de son iconique 911. Pour l'heure, les versions Carrera et GTS ont droit à ce lifting de mi-carrière. Un coup de frais qui s'accompagne d'un coup de jus, dans le cas de la GTS, pour la première fois de l'histoire du modèle ! C'est un événement bien plus important que ce que Porsche voudrait bien nous faire croire. Et, même si le passage de la sportive du côté obscur a de quoi faire grincer les dents de quelques puristes, sachant de quoi Porsche est capable, cette 911 devrait être une véritable réussite. Esthétiquement, on peut noter l'apparition de volets mobiles sur le bouclier avant. Ces derniers s'ouvrent et se ferment automatiquement en fonction de la puissance demandée par le conducteur, afin de privilégier le refroidissement ou l'aéro. Sous le capot, c'est une nouvelle fois un Flat-6 qui est chargé de l'animation. Cette fois, sa cylindrée remonte à 3,6 litres, pour une puissance de 485 chevaux. Porsche annonce également la présence d'un moteur électrique dans la boîte automatique PDK, ainsi qu'un autre petit bloc situé dans le turbo, ce qui porte la puissance cumulée de la voiture à 541 chevaux pour 610 Nm de couple. Le 0 à 100 km/h tombe en seulement 3 secondes toutes rondes, tandis que la vitesse de pointe grimpe à 312 km/h. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} La Porsche 911 GTS est disponible aussi bien en version coupé qu'en cabriolet et en Targa. Les tarifs débutent à 174.900 pour la 911 Carrera GTS.

Ça y est, nous y sommes ! Porsche vient de présenter officiellement les différentes versions de sa mythique 911. Sans surprise, elles s'améliorent encore par rapport aux anciennes moutures. Cependant, ce restylage est également l'occasion pour Porsche d'introduire une nouveauté de taille. La 911 GTS se dote désormais d'une motorisation hybride, et ce, pour la première fois de l'histoire du modèle ! Nous venons tous d'entrer, sans le savoir pour certains, dans une nouvelle ère. Une ère durant laquelle la 911 n'est plus exclusivement thermique. Rassurez-vous, Porsche n'est pas allée jusqu'à électrifier toute la gamme de sa sportive. Pour l'heure, seule la version GTS est concernée par ce changement. Après tout, les Porschistes sont des personnes sensibles, mieux vaut donc y aller précautionneusement, une étape après l'autre. Avant de se pencher sur ce nouveau système hybride, attardons-nous sur le restylage global de la 911. La version GTS se dote d'un bouclier spécifique, redessiné pour intégrer des volets mobiles verticaux. Ceux-ci peuvent s'ouvrir ou se fermer de manière autonome afin de privilégier l'aérodynamisme ou le refroidissement, en fonction de la sollicitation de la pédale de droite. Pour le reste, le trait continue de s'affiner, comme à chaque nouvelle version. L'habitacle n'évolue que par petites touches et conserve le même mobilier.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Porsche Cayenne GTS : vous reprendrez bien un peu de sport ?

Giannini Automobili vient de présenter sa nouvelle réalisation, basée sur l'Abarth 595. Le préparateur a doté la petite bombe italienne d'un kit carrosserie bien plus extravagant, tandis que le moteur 1.4 développe désormais 250 chevaux ! Giannini annonce un tarif fixé à 133.000 euros, hors options. En soi, Abarth est déjà un préparateur, attitré à Fiat plus précisément. Mais que se passerait-il si une 595 passait à son tour entre les mains d'un tuneur ? Pour le savoir, il suffit de demander à Giannini Automobili, un autre préparateur italien qui vient de présenter sa Spettacolo. Il s'agit donc d'une version préparée d'une version préparée d'une Fiat 500. Christopher Nolan apprécierait… La Spettacolo est donc basée sur l'Abarth 595. Elle adopte un kit carrosserie plus démonstratif, avec des boucliers avant et arrière retravaillés, des bas de caisse saillants, un capot ajouré qui couvre partiellement les phares et un diffuseur imposant. La poupe affiche également des extracteurs d'air de part et d'autre de la lunette. La double sortie d'échappement a été remontée et trône désormais juste sous la plaque d'immatriculation. Il est possible de personnaliser la carrosserie, avec différentes teintes et des bandes décoratives. L'ensemble repose sur des jantes habillées de couvre-roues de 18 pouces en fibre de carbone.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Abarth Classiche 1300 OT : mi-Abarth, mi-Alfa Romeo, 100% Italienne !

Lancia vient d'officialiser les tarifs de sa nouvelle Ypsilon, pour les versions électriques et hybrides. La gamme est donc de plus en plus étoffée, avec au sommet la version sportive HF, dévoilée hier. Il faudra compter au minimum 24.500 euros pour l'Ypsilon mild-hybrid de 100 chevaux. La stratégie semble être fixée au sein du groupe Stellantis. L'électrique, c'est oui, mais pas sans solutions alternatives. C'est pourquoi la plupart des modèles qui sont présentés depuis quelques mois sont déclinés aussi bien avec des batteries qu'avec des moteurs à combustion, la plupart du temps électrifiés. Bien évidemment, aucun constructeur ne bénéficie de moteurs spécifiques, tous les modèles partagent les mêmes plateformes et les motorisations. Chez Lancia, la gamme n'est pour l'instant composée que d'un seul et unique modèle : l'Ypsilon. Comme ses cousines techniques, celle-ci se décline en version électrique, mais aussi en MHEV mild-hybrid. La première embarque un bloc de 156 chevaux, associé à une batterie de 51 kWh pour une autonomie en cycle combiné WLTP de 403 kilomètres. La deuxième se dote d'un 3 cylindres 1.2 PureTech couplé à une hybridation 48 V, développant une puissance de 100 chevaux. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Lancia Ypsilon HF : Le furieux Eléphant italien fait son retour … en tout électrique !

Hier, Lancia dévoilait une inédite version de sa nouvelle Ypsilon, la Rally 4 HF. Cette dernière est destinée à courir dans l'une des anti-chambres du WRC, en Rallye 4. Mais les passionnés le savent : cette Ypsilon n'est pas la première voiture de rallye de la marque italienne. Elle est en réalité la descendante d'une longue lignée de monstres, qui ont pour certains régné sur la discipline il y a plusieurs décennies. Lancia est en quelques sortes l'équivalent en Rallye de Ferrari en Formule 1. C'est tout simplement l'une des marques les plus titrées de l'histoire, avec pas moins de 11 titres à son actif, dont certains acquis face à une concurrence ultra redoutable, notamment face à Audi ! Malheureusement, le constructeur s'est retiré au début des années 1990 et n'a jamais tenté de retour. Du moins, jusqu'à aujourd'hui... À l'occasion du retour de Lancia dans la boue avec sa nouvelle Ypsilon Rally 4 HF, replongeons-nous dans l'histoire glorieuse de la marque, de la Fulvia HF à la Delta HF Integrale, en passant par la mythique 037 !{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Il y a 25 ans, Audi présentait son tout premier modèle RS développé exclusivement en interne. Un quart de siècle plus tard, la marque anneaux lui rend hommage, avec une série spéciale et limitée de sa RS4 Avant actuelle. Seuls 250 exemplaires de cette RS4 Avant Edition 25 Years seront produits, donc uniquement 10 réservés pour la France. Cette série spéciale de la RS4 adopte un look spécifique, avec notamment cette teinte Jaune Imola qui renvoie directement à l'Audi RS4 B5 de 1999. Les barres de toit ont été retirées, tandis que la voiture se dote d'un pack Carbone développé spécifiquement pour cette version. Elle repose sur des jantes en alliage noir mat de 20 pouces. À l'intérieur, les baquets en carbone sont habillés d'une sellerie en cuir et alcantara avec des surpiqures jaunes en nid d'abeilles. Sous le capot, cette RS4 embarque une nouvelle fois son sempiternel V6 3.0 biturbo, dont la puissance atteint désormais 470 chevaux. Le 0 à 100 km/h descend de 4 dixièmes et ne demande maintenant plus que 3,7 secondes, tandis que la vitesse de pointe est rehaussée à 300 km/h. Les freins en carbone céramique et l'échappement Sport RS Plus sont de série.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Les commandes ouvrent au mois de juin, les tarifs étant fixés à 158.000 euros, avant options et, surtout, avant le malus écologique... 

Il y a 25 ans, Audi commercialisait son premier modèle badgé RS, entièrement développé en interne : la RS4 B5. Cette année, pour fêter cet anniversaire, la marque aux anneaux offre une série spéciale à l'actuelle RS4, baptisée sobrement Edition 25 Years. Pour l'occasion, le break sportif gagne 20 chevaux ainsi que des spécificités esthétiques. Cette série limitée s'affiche à partir de 158.000 euros. Si aujourd'hui on a du mal à imaginer Audi sans ses fameux modèles siglés RS, cette dénomination est en réalité relativement jeune. Elle fête précisément ses 25 ans cette année. Certes, la RS2 est arrivée avant, mais celle-ci avait été développée avec l'aide de Porsche. La RS4, de génération B5, en revanche, a bel et bien été la première à avoir été conçue et fabriquée à 100 % en interne, en 1999. Cette année, Audi lui rend hommage en lançant une série spéciale et (très) limitée de l'actuelle RS4 Avant. Trois teintes sont proposées sur cette Audi RS4 Avant Edition 25 Years : le Gris Nardo, le Noir Mythic et le Jaune Imola. Quelques spécificités sont à noter au niveau de la carrosserie. Les barres de toit ont été retirées pour renforcer l'aspect sportif de la voiture, tandis que l'esthétique des phares et des feux a été revue. Le nom de la série spéciale est gravé sur les vitres de custodes. Cette RS4 se dote également d'un pack Carbone sur mesure, qui comprend la lame avant, les bas de caisse, le diffuseur ainsi que les coques de rétroviseurs. Les jantes en alliage noir mat de 20 pouces sont de série.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : L'Audi RS6 va s'en aller, mais ne pleurez pas : elle a droit à une ultime version GT !

Hier, Lancia a présenté une nouvelle version de son Ypsilon, qui devrait ravir les fans historiques de la marque : la Rally 4 HF. Comme son l'indique, cette dernière courra dans la catégorie Rallye 4 et sera confiée à des jeunes pilotes. Elle embarque un moteur 1.2 de 212 chevaux. Les fans le savent mieux que quiconque, l'histoire de Lancia est indissociable du championnat du monde des Rallyes. La marque italienne s'est constituée l'un des plus beaux palmarès de la discipline, en tenant tête à l'ogre Audi notamment. Mais les passionnés n'ont pas eu grand-chose à se mettre sous la dent depuis une vingtaine d'années, Lancia n'étant plus engagée en WRC et ne comptant plus que quelques modèles, pas franchement passionnants d'un point de vue mécanique. Alors, quand la marque a annoncé sa renaissance à l'international, avec l'Ypsilon, la flamme s'est ravivée. Bien entendu, Lancia ne pouvait pas commencer par dévoiler une version sportive de sa compacte. Mais plusieurs mois après la présentation du modèle de série, l'heure est venue pour les déclinaisons sportives de pointer le bout de leur capot. D'une part l'Ypsilon HF, sportive de route, de l'autre l'Ypsilon Rally 4 HF, réservée à la division Rallye 4.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Lancia Ypsilon HF : Le furieux Eléphant italien fait son retour … en tout électrique !

Lancia vient de présenter deux nouvelles versions de son Ypsilon : la sportive HF et la variante destinée à s'engager en rallye, la Rally 4 HF. Pour beaucoup de passionnés, la renaissance de Lancia ne pouvait être réussie que si la marque italienne renouait avec son histoire en rallye. Alors que la nouvelle Ypsilon a été présentée en début d'année, voici maintenant son alter-ego de compétition : l'Ypsilon Rally 4 HF. Lancia ne pouvait pas revenir en rallye sans sa mythique livrée aux couleurs de Martini. Évidemment, pas question d'apposer le nom d'une marque d'alcool sur une voiture en 2024, cependant c'est bien la seule différence avec la livrée d'époque ! On retrouve les liserés bleus et rouges sur les flancs et sur le toit, ainsi que le nouveau logo de l'écurie Lancia Corse HF sur le capot.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Sous le capot, justement, se cache un 3 cylindres 1.2 PureTech. Rien de bien enthousiasmant jusque là, sauf que la puissance s'élève à 212 chevaux, transmis aux quatre roues via une boîte manuelle à 5 rapports ! La cavalerie est relativement modeste, mais n'oublions pas que cette Ypsilon n'est pas destinée à courir en WRC, mais bien en Rallye 4, une catégorie réservée aux jeunes pilotes.

Il y a quelques jours, Volkswagen a confirmé l'arrivée imminente d'une nouvelle Golf GTI Clubsport, pour célébrer les 50 ans de sa compacte sportive. Cette dernière doit être dévoilée à l'occasion des 24 Heures du Nurburgring, début juin. Cependant, Volkswagen entretient le suspense en la dévoilant, sous un épais camouflage toutefois. Depuis le début de l'année, la Golf est au cœur de toutes les réjouissances chez Volkswagen. Les versions les plus sages ont été restylées, de même que les plus turbulentes GTI et GTE, dont les commandes ont été ouvertes en fin de semaine dernière. Et si la très méchante Golf R se fait encore désirer, la marque prépare une déclinaison qui devrait aider à faire patienter : la GTI Clubsport. Cette appellation, on a déjà pu la voir associée au monogramme Golf, en 2019, à l'occasion des 45 ans du modèle. Cette fois, Volkswagen veut célébrer les 50 ans de son icône sportive et dépoussière logiquement ce badge. Cela dit, il ne faut pas s'attendre à une banale Golf GTI avec des jantes et une sellerie spéciales. Non, cette fois, la marque a vu les choses en grand et a déjà confirmé qu'il s'agissait de la version à transmission avant la plus puissante de l'histoire de la Golf.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Volkswagen Golf GTI : elle revient, à partir de 48.180 euros !

Sans faire de bruit, Toyota parvient à écouler presque autant de Corolla que l'une de ses rivales, la Volkswagen Golf. Entre janvier et avril, ce sont 5.141 exemplaires de la nippone qui ont été vendus en France, contre 5.411 pour l'Allemande. La recette fonctionne donc bien pour Toyota. Mais la finition d'appel Dynamic a-t-elle réellement de quoi séduire ? La Toyota Corolla reste dans l'ombre des références européennes, sur le marché des compactes. Cependant, cela ne signifie pas qu'elle est à la traîne ! Certes, elle est loin derrière la Peugeot 308, mais sur les 4 premiers mois de l'année, elle s'est presque aussi bien vendue que la Volkswagen Golf. Alors, quels arguments a-t-elle à mettre sur la table pour séduire autant, plus particulièrement dans sa version d'entrée de gamme ? Le catalogue de la Corolla s'articule autour de 5 niveaux de finition. Intéressons-nous à la version Dynamic, qui fait office de finition d'appel. Cette dernière n'est disponible qu'avec une seule motorisation hybride, à savoir le 4 cylindres 1.8 électrifié de 140 chevaux, envoyés aux roues avant via une boîte automatique. Une puissance suffisante pour offrir un bon agrément de conduite, la voiture ne pesant que 1,4 tonne environ.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Toyota Aygo X : à 19.000 euros, la mini citadine a la folie des grandeurs ?

Le week-end dernier se déroulait l'un des événements les plus attendus par les passionnés d'automobile : le Concours d'Élégance de la Villa d'Este. L'occasion pour les marques de présenter quelques nouveautés, à l'image de BMW qui a dévoilé son Concept Skytop. Le Concours d'Élégance de la Villa d'Este est sans aucun doute l'un des événements les plus prestigieux dans la sphère automobile. On le sait, ces salons à ciel ouvert ont le vent en poupe et attirent chaque année de plus en plus de visiteurs, mais également de marques. Une fois de plus, les voitures les plus exclusives de la planète ont pu prendre la pose sur les rives du Lac de Come, en Italie. Et si les modèles anciens sont bien entendu les stars du Concours d'Élégance de la Villa d'Este, un véhicule moderne a su monopoliser l'attention du public. Car BMW a présenté ce week-end un nouveau concept, baptisé Skytop. Et celui-ci laisse présager de très bonnes choses pour l'avenir de la marque, qui semble avoir décidé de revenir aux sources avec un design élégant, sans pour autant délaisser la sportivité qui lui est si chère. À première vue, ce Concept Skytop reprend les traits d'une Série 8. Mais à première vue seulement…{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : La BMW M4 CSL est trop terrifiante pour vous ? Voici la version CS, à peine plus sage !

Le week-end dernier se tenait l'un des événements les plus courus de toute la sphère automobile : le Concours d'Élégance de la Villa d'Este. BMW en a profité pour dévoiler un concept-car en rupture totale avec le style de ses derniers modèles de production, pour le plus grand bonheur des passionnés de la marque ! Skytop, c'est le nom de ce concept aux lignes tendues et ultra fluides. À mi-chemin entre un cabriolet et un targa, du fait de l'arceau de sécurité installé derrière les sièges, il affiche un long capot, qui surplombe une face avant "à l'ancienne". Comprenez que la calandre à double haricot retrouve une taille plus ou moins normale, bien loin de l'actuelle Série 4. Les optiques sont très étirées à l'avant et à l'arrière, tandis que l'ensemble repose sur des jantes reprenant un design façon turbine. Les yeux les plus avertis auront repéré la double sortie d'échappement. Car ce Concept Skytop n'est pas électrique, loin de là ! Bien qu'aucune fiche technique n'ait été communiquée, on sait qu'il embarque le V8 maison. Aucune entrée en production n'a été annoncée. On sait toutefois que ce concept renvoie aux mythiques BMW 503 et Z8.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Hier, Volkswagen ouvrait les commandes de sa Golf GTI restylée. Un véritable petit événement pour les aficionados de la plus célèbre des compactes sportives, que nous avons décidé de célébrer en configurant notre propre exemplaire ! On vous laisse le découvrir. Vendredi a été une journée productive pour Volkswagen. En effet, la marque a ouvert les carnets de commandes non pas d'une, mais bien de trois nouvelles versions de sa Golf, récemment restylée. Deux hybrides rechargeables, dont la GTE, ont été ajoutées au catalogue. Mais remplacer un I par un E ne trompera personne. Voilà qui tombe bien, puisque Volkswagen a également lancé officiellement la Golf GTI restylée. Pour marquer le coup, on n'a pas pu s'empêcher d'en configurer une. Cette nouvelle mouture reprend le 4 cylindres 2.0 TSI, dont la puissance a toutefois été augmentée à 265 chevaux, pour 370 Nm de couple. Les performances progressent donc logiquement, puisque le 0 à 100 km/h tombe en 5,9 secondes, tandis que la vitesse maximale est toujours bridée électroniquement à 250 km/h. Son prix ? 48.180 euros. Mais ça, c'était avant qu'on ajoute quelques options…{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Volkswagen Golf GTI : elle revient, à partir de 48.180 euros !

Après les versions eHybrid et GTE, Volkswagen ouvre maintenant les commandes de sa Golf GTI restylée. La compacte sportive revient donc à la charge, avec un style toujours discret mais pas fade pour autant et, surtout, une puissance rehaussée à 265 chevaux. Elle s'affiche à partir de 48.180 euros. Aujourd'hui, trois versions de la Volkswagen Golf ont été ajoutées au catalogue. D'une part, les hybrides rechargeables (eHybrid et GTE) ainsi que l'iconique GTI. Cette dernière était sans doute la plus attendue par les afficionados du modèle. Le catalogue de la compacte est donc à nouveau complet, ou presque puisque nous attendons toujours la plus énergique de la gamme, la Golf R. Celle-ci ne devrait plus tarder à arriver et devrait reprendre en partie la fiche technique de l'Audi S3 fraîchement restylée. Comme souvent chez Volkswagen, très peu de surprises visuellement. La Golf GTI liftée reprend dans les grandes lignes le look des versions plus sages, tout en ajoutant quelques gimmicks sportifs. Les jantes en alliage de 17 pouces sont de série. Cependant, il faudra mettre la main à la poche pour avoir droit à la teinte Rouge Roi, facturée 900 euros en option. Pour le reste, on retrouve les mêmes évolutions que les autres versions de la gamme, au niveau de la signature lumineuse et du bouclier.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Volkswagen Golf : les versions eHybrid et GTE rejoignent le catalogue

En début d'année, Volkswagen présentait la version restylée de la huitième génération de sa Golf. Cette nouvelle mouture a d'abord été lancée en version essence, Diesel et mild-hybrid. Aujourd'hui, Volkswagen ouvre les carnets de commandes de la déclinaison hybride rechargeable eHybrid et de la plus puissante GTE. Les tarifs débutent respectivement à 46.930 et 53.130 euros. Après les versions « classiques », Volkswagen étoffe la gamme de son iconique Golf avec des déclinaisons hybrides rechargeables. Ainsi, ce sont les eHybrid et GTE qui rejoignent le catalogue, élargissant encore un peu plus la palette de motorisations du modèle. La version eHybrid n'est disponible que sur la finition Style ainsi que sur la série spéciale Edition 50.  La Volkswagen Golf eHybrid embarque un bloc 1.5 TSI électrifié fournissant un total de 204 chevaux, associé à une boîte automatique DSG à 6 rapports. La voiture est équipée d'une batterie de 19,7 kWh, qui offre une autonomie allant jusqu'à 142 kilomètres en mode 100% électrique, selon la marque. Cette version est dotée de série du Digital Cockpit Pro, de l'écran central de 12,9 pouces, de la climatisation automatique ainsi que des phares à LED. Grosse nouveauté, les deux versions acceptent maintenant les recharges jusqu'à 11 kW en courant alternatif, voire 50 kW en courant continu sur des bornes rapides.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Volkswagen Golf : 50 ans et encore toutes ses dents !

Le BMW iX1 est l'un des SUV 100% électriques les plus vendus en France, depuis le début de l'année. La marque bavaroise le décline sur plusieurs niveaux de finition, mais c'est à la version d'entrée de gamme que l'on va s'intéresser ici. Affichée à 46.900 euros sans options, celle-ci offre un niveau d'équipement honnête. En revanche, mieux vaut débourser un peu plus pour avoir droit à des jantes plus jolies… BMW a toujours été une marque associée à la sportivité et au plaisir de conduire. Avec ces nombreux titres de « motoriste de l'année », on aurait pu penser qu'elle aurait eu bien du mal à séduire avec des modèles électriques. Pourtant, le iX1 se vend plutôt bien. C'est d'ailleurs le modèle 100% électrique le plus vendu par BMW depuis le début de l'année ! Il faut dire que BMW joue la carte de la sécurité, au détriment de l'originalité. Ici, pas de look futuriste saugrenu, pas d'appellation étrange. Le iX1 n'est en réalité qu'un X1 à batteries et en reprend d'ailleurs le design, aussi bien dehors que dedans. De quoi rassurer la clientèle et assurer une sorte de continuité au modèle. Mais que vaut la version d'entrée de gamme de ce iX1 ?{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : ESSAI – 1.000 bornes en BMW iX1 (2024) : que vaut le eDrive20, premier prix du X1 électrique ?

Tout le monde a déjà vu au moins une fois le film Titanic, retraçant la traversée du paquebot éponyme. Jusque-là, le rapport avec l'automobile est flou, mais une voiture apparaît à plusieurs reprises, notamment peu de temps avant le naufrage. Cette voiture, c'est une Renault CB Coupé de Ville. Et contrairement à ce que certains pensent, il ne s'agit pas d'une fantaisie de James Cameron, un exemplaire se trouvait bien à bord du Titanic. Et s'y trouve toujours, d'ailleurs… 1997. Des millions de personnes découvrent, ou redécouvrent, l'histoire tragique du Titanic, grâce au long-métrage à succès de James Cameron. Certains ont apprécié la romance entre Jack et Rose, d'autres la mise en scène du naufrage, ou encore les décors fidèles à ce qu'était le paquebot en 1912. Cela dit, beaucoup sont passés à côté d'un détail, qui a souvent été considéré comme une fantaisie du réalisateur pour servir le scénario. Pourtant, c'est un fait, il y avait bel et bien une voiture dans les cales du Titanic lors de sa seule traversée : une Renault CB Coupé de Ville, de 1910. Cette voiture, tout le monde s'en souvient pour l'avoir vue dans une scène en particulier. On ne s'étendra pas sur le déroulé de la scène en question, cependant on peut dire que l'action se déroule autour et dans la voiture, pendant une dizaine de minutes environ. Mais elle apparaît à d'autres moments du film. Deux, pour être précis. À commencer par le premier plan dans lequel apparaît le paquebot, à quai à Southampton, alors que l'auto est chargée à l'aide d'une grue. On la voit une dernière fois, au moment où le bateau heurte l'iceberg, alors que la cale commence à se remplir d'eau.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Ces 5 courses poursuites sont-elles les meilleures de l'histoire du cinéma ?