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Hier — 10 juin 2024Automobile

Extrait émission Turbo : Nouveauté, Cupra Tavascan, la promesse d'une nouvelle ère

Regardez bien cette voiture : elle a un design spectaculaire, elle est racée, elle dégage un indéniable charisme. C'est une Cupra, le blason sportif de la marque espagnole Seat.    Cette voiture, c'est le Tavascan, le tout premier SUV Coupé 100% électrique de Cupra. C'est un modèle ultra important pour la marque. Parce qu'elle ambitionne de dépasser les 500 000 ventes par an d'ici 5 ans, ça fait quasiment un x2 par rapport à aujourd'hui. Et c'est le Tavascan qui doit impulser ce mouvement ascensionnel très fort. Ah il a la pression pépère hein ! Mais il a aussi de sacrés arguments. Habitabilité, comportement, autonomie, je vous dis tout sur celui qui pourrait bien devenir une des nouvelles stars européennes du segment. Le Tavascan est un SUV compact 100% électrique. C'est un concurrent direct du Tesla Model Y, la référence de la catégorie, du Skoda Enyaq Coupé ou encore du Volkswagen ID.5. D'ailleurs, il reprend la base technique de ces deux derniers, la fameuse plate-forme MEB. Mais la comparaison s'arrête là avec ces modèles. Franchement, vous avez vu cette gueule de malade ? Dans cette grande famille du groupe Volkswagen, le Tavascan, c'est un peu le p'tit cousin tatoué, qui fait d'la muscu, et qu'a pas peur d'la ramener. Lignes agressives, angles marqués, capot nervuré, il affiche la couleur : si vous voulez passer inaperçu, un p'tit conseil : oubliez-le ! C'est plus simple.    Le Tavascan, il est fier de ses origines. C'est pour ça que le logo Cupra est éclairé à l'avant, comme à l'arrière où on retrouve aussi un beau bandeau lumineux qui reprend le motif en triangle visible un peu partout sur la voiture. Les jantes sont grosses, de 19 à 21 pouces, avec un design lui aussi très agressif. Mais le Tavascan est également capable de subtilité avec une surface vitrée censée évoquer un casque de pilote, de profil là, grâce aux montants de pare-brise noirs qui se font très discrets. Certains y verront aussi un clin d'œil à la mythique Lancia Stratos de 1973. Une voiture très discrète aussi, si vous vous rappelez. Belle référence en tout cas.   Avec 4,64 m de long, le Tavascan est dans la moyenne du segment, mais avec 1,60 m de haut, il fait partie des plus bas, ce qui lui donne ce côté un peu bad boy, bien posé au sol. Comme c'est un SUV Coupé, sa partie arrière est très inclinée, pour donner une impression de dynamisme, ce qui en revanche pénalise un peu l'optimisation du volume de coffre. Avec 540 litres banquette en place, il manque un peu de profondeur.    Dans l'habitacle, ambiance ostentatoire et impression confirmée de la montée en gamme opérée par Cupra. Même si le niveau n'est pas encore comparable à celui d'une Audi, il faut reconnaître la belle qualité des matériaux et de leur assemblage, mais aussi et surtout la grande originalité du style intérieur. Admirez par exemple la planche de bord en forme de “vague”, la console centrale suspendue en forme de “T”, sans oublier les magnifiques sièges quasi-baquets, ou encore les garnitures de portes recouvertes de LED. L'ambiance se rapproche d'un univers à la fois spatial et sous-marin. Si vous aimez les films Abyss ou Alien, vous kifferez.    Rien d'original en revanche en ce qui concerne les écrans. Comme sur les Volkswagen ID5 et Skoda Enyaq Coupé, on retrouve la petite dalle face au conducteur pour les informations de conduite, et la grande tablette tactile de plus de 15 pouces au-dessus de la console centrale pour le reste. Il n'y a quasiment plus de boutons, sauf sur le volant, où ils sont à retour haptique, vous ressentez un petit bruit quand vous appuyez dessus, et juste au-dessous de la grosse tablette centrale, avec cette barrette sensitive pour régler la climatisation ou le volume de la radio. Ouais, ok. Alors c'est très chouette pour le design. Après, tout ça, c'est pas c'qu'il y a de plus pratique quand on roule. Mais bon, c'est la mode, tout le monde le fait, et ça évite d'avoir à fabriquer des boutons. Economie contre ergonomie, vous avez compris qui gagne aujourd'hui !   Le Tavascan est disponible en deux versions. La première, Endurance, est équipée d'un seul moteur électrique, sur l'essieu arrière. C'est donc une pure propulsion : 286 chevaux et 550 kilomètres d'autonomie. La seconde, notre version VZ, dispose, elle, d'un moteur électrique supplémentaire sur l'essieu avant, 109 chevaux, pour une puissance totale cumulée de 340 chevaux, en 4 roues motrices cette fois, et avec 520 kilomètres d'autonomie.    340 chevaux, c'est une puissance conséquente. Et forcément, même si la voiture est lourde, largement plus de 2 tonnes. Ça se ressent sur les performances. Vous voulez voir ? Préparez votre chrono ! Oh, on ressent bien la poussée... Attention. Top ! 0 à 100 km/h : 5,6 secondes. Ça va, le Tavascan est aussi démonstratif sur la route que son look le laisse imaginer. Surtout, il dispose de suspensions plus typées sport également qui permettent de limiter les mouvements de caisse et de gagner en précision de conduite. Bon, c'est pas non plus une sportive ultra light, on est bien d'accord, mais au volant, il s'passe un p'tit truc. Plus en tout cas qu'au volant de ses cousins...   Rassurez-vous, le Tavascan dispose également de 6 modes de conduites, du plus sport au moins énergivore, en passant par un mode personnalisé. Son rayonnement de plus de 500 kilomètres, valeurs WLTP fait partie des meilleurs de la catégorie, mais comme pour tout véhicule électrique, cette valeur peut rapidement chuter en fonction des conditions de conduite    Pour la recharge de sa batterie de 77 KWh, comptez 30 minutes sur une borne de 135 KW pour passer de 10 à 80% de charge, ou seulement 7 minutes pour vous offrir un minimum de 100 km. Honnêtement, si ces chiffres sont dans la moyenne du segment, ils déçoivent un peu pour un modèle qui arrive après les autres.    Reste son prix : à partir de 46 990 euros pour une version Endurance, non éligible au bonus, parce que fabriqué en Chine, à mettre en parallèle des 44 990 euros demandés pour une Tesla Model Y très compétitive. Et à partir de 64 930 euros pour notre version VZ, à mettre en parallèle cette fois des 65 400 euros demandés pour un Volkswagen ID.5 GTX. Ce Tavascan a donc out pour devenir un acteur majeur de ce segment ô combien stratégique aujourd'hui des SUV compact full électriques coupés.   

Extrait émission Turbo : Essai, Lancia Ypsilon, une renaissance à l'italienne

C'est l'histoire d'une renaissance à l'Italienne ! Celle d'une marque mythique, Lancia ! Une belle endormie depuis 2011 qui revient enfin en Europe. L'Ypsilon, c'est toute une histoire. Lancée en 1985, cette petite citadine chic n'a cessé de séduire les automobilistes. Sa dernière génération était d'ailleurs la troisième voiture la plus vendue en Italie l'année dernière. Un beau succès pour un modèle qui n'était plus exporté nulle part ailleurs.  Pour son retour en Europe, l'Ypsilon change tout ! Et ça se voit notamment à l'avant, avec cette grande surface noire sur laquelle on retrouve le calice en Y cher à la marque. Sans oublier les grandes écritures Lancia en inox et les écussons sur les custodes noires.  Dans l'habitacle, Lancia a également tenté d'apporter sa touche italienne. Bon, c'est vrai, de nombreux éléments sont vus et revus. Les écrans sont ceux du groupe Stellantis, l'habitabilité arrière est aussi réduite que sur une 208 et le coffre identique. Mais heureusement, il y a quand même du nouveau !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Et qui dit citadine, dit petit moteur. 156 chevaux pour l'électrique et 100 pour la version 3-cylindres hybride avec boîte automatique à double embrayage, la Ypsilon qui sera sans aucun doute la plus vue dans les centres-villes.  A l'aise en ville, ça c'est plutôt logique ! Mais sur la route, les metteurs au point de chez Lancia ont voulu lui donner son propre tempérament routier. Ils ont donc élargi ses voies, recalibré la direction et revu sa suspension.  La référence des citadines premium, c'est ce qu'annonce Lancia à propos de son Ypsilon ! Un poil optimiste dirons-nous ! De manière plus réaliste, la petite italienne réussit à se démarquer de sa cousine Peugeot 208 grâce à un style plus original et un rapport prix/équipements plus compétitif. Un bon moyen pour la marque italienne d'assurer son retour en France, avant la renaissance d'autres noms historiques comme Gamma ou Delta.   {{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Extrait émission Turbo : Magazine, Le Mans, les français à l'assaut des 24H

La présence remarquée et remarquable des constructeurs français impressionne pour cette nouvelle édition des 24 heures du Mans, à une petite semaine seulement de la plus incroyable course d'endurance au monde. Historiquement la Sarthe n'a jamais accueilli autant de constructeurs mondiaux que cette année... Une dizaine en hypercar, la catégorie Reine, soit 23 voitures qui auront à cœur d'en découdre...    Alpine fait son grand retour avec une jeune A424, Peugeot, redouble avec une toute nouvelle 9x8... Et un constructeur étranger, italien, a sollicité, pour sa toute première participation en Hypercar, les faveurs d'un spécialiste français, aguerri à la compétition : Ligier qui a mis au point, pour le compte de Lamborghini en partie sa toute nouvelle SC63. Il y aura cependant plus de perdants, que de vainqueurs... Alors comment se sont préparés cette année l'armada Française ? L'image d'une victoire au Mans sera sans doute le principal enjeu... Un enjeu forcément aussi marketing.    Après deux années d'absence au plus haut niveau, Alpine revient avec un beau projet, 45 ans après sa dernière victoire dans la Sarthe. Faire connaître ses produits dans le monde, et le vecteur, c'est le sport auto. Et si le constructeur ne dépense pas comme en F1 plus d'un demi milliard d'euros par saison, le constructeur de Dieppe a mis le paquet dans ce nouveau programme d'endurance.    Le constructeur est venu à Jerez, en Espagne, sur une phase d'essais, il y a quelques mois, avec plus de 60 personnes, dont 20 ingénieurs, rien que cela, pour gérer et emmagasiner des milliers de données... Mise au point du châssis, du système hybride, fiabiliser les pièces, l'electronique et le moteur venu d'une Formule 2, un inédit V6 mono turbo hybride, comme en F1, modifié aux exigences de l'endurance.   Et Parmi les pilotes, Alpine s'est offert les services de Mick Schumacher, venu de la F1, mais également en majorité de jeunes pilotes français, comme Charles Miliesi, à peine 22 ans, ou Paul Loup Chatin, mais très loin d'être inexpérimentés. Objectif avoué... Le Mans.  « Chez Lamborghini, on reste réaliste, on a les pieds sur terre, nous devons beaucoup apprendre mais nous ne refusons aucun Challenge, et nous voulons prouver que nous sommes, malgré tout, compétitifs ». De son côté, le constructeur de Santa a Gata, spécialiste du GT et du Super Trofeo, se lance pour la première fois cette année dans l'aventure Hypercar associé au constructeur français Ligier....  Marque cinquantenaire, installée dans la Nièvre, près de Magny cours, Ligier a été créée à l'origine par une figure du sport automobile Guy Ligier et qui a fait en son temps rouler des Formule 1 et des Prototypes en endurance. Aujourd'hui, Ligier est un grand pourvoyeur de voitures de courses à tous les niveaux. Leur collaboration étonnante s'est quan même faite naturellement. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} « Moi en tant que fan de sport automobile, je connais déjà Ligier depuis plusieurs années et c'est la combinaison parfaite entre nos deux compagnies, dont la philosophie est la même, parce que Lamborghini est encore une petite structure.  Depuis le départ, avec Ligier ça colle super bien, c'est un excellent partenaire, expérimenté, et ensemble,  nous seront que plus fort...    Le moteur c'est Lamborghini évidemment, un V8 3,8 litres hybride... qui pourrait bien servir de base à la série pour la futur Huracan. Et pour être totalement performant, l'équipe italo française a choisi comme beaucoup, des pilotes venus de divers championnats, jusqu'à Romain Grojean qui grâce à son expérience en Formule 1 et en Indy apporte beaucoup... Le pilote français, encore un, sera présent aux 24 heures du Mans pour supporter cette jeune équipe.    Reste Peugeot. Le Lion est présent pour la deuxième fois au Mans cette année avec sa somptueuse 9X8. L'Année précédente, le construteur français avec son hypercar V6 hybride quatre roues motrices, avait fait un choix drastique : d'élaborer une voiture sans aileron dont le soubassement faisait beaucoup sur le plan aérodynamique. Peugeot avait été pénalisé, par une réglementation qui leur imposait des pneumatiques identiques au chaque coin de la voiture. Cette année, le règlement leur a permis de transformer cette 9x8 pour être plus performante.   On a le sentiment chez Peugeot que le constructeur mise beaucoup sur Le Mans, une course qui ne ressemble à aucune autre... L'image, le marketing de vente pour la grande série, par l'intermédiaire du sport auto, reste l'objectif numéro 1 pour tous les constructeurs, Peugeot aussi, bien évidemment... Rendez donc pour les 101 ans des 24h du Mans, une course fantasmatique que chacun rêve de gagner... L'un des Français sera t il sur la plus haute marche du podium ?

PHOTOS - ABT RS7-S : à quoi a-t-on droit pour 50.000 euros ?

Par : Juan Salazar
9 juin 2024 à 12:00
ABT Sportsline vient de lever le voile sur son dernier modèle spécial, l'ABT RS7-S, une véritable bête de course de 720 chevaux. Avec cette préparation facturée près 50.000 euros, ABT pousse encore plus loin les limites de la performance et du design. On peut dire que l'ABT RS7-S se distingue immédiatement par son aérodynamisme affûté. On observe une carrosserie ornée de fibre de carbone brillante, avec une lèvre avant marquée du logo RS7-S, des lames avant, des jupes latérales et un spoiler arrière qui accentuent son allure sportive. Le système d'échappement spécifique et les jantes sportives ABT de 22 pouces, complètent ce look agressif. Mais ne vous fiez pas à sa gueule d'ange ! Car sous le capot, la puissance de son moteur a été réhaussée à 720 chevaux, et un couple impressionnant de 950 Nm.  Grâce au pack ABT Power S performance, la RS7 Sportback devient un véritable monstre pour circuit. Elle reçoit des suspensions à ressorts hélicoïdaux et les stabilisateurs sportifs sur les essieux avant et arrière. A l'intérieur, on notera les finitions exclusives comme le pommeau de levier de vitesses en carbone brillant, le logo RS7-S sur les sièges et les tapis de sol, ainsi que le logo ABT sur le bouton de démarrage et l'éclairage d'entrée. Disponible à partir de 48 900 € (hors installation et homologation), cette préparation coûte presque aussi cher qu'une Audi S3 neuve… A vous de choisir.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Chez ABT, l'Audi RS7 grimpe à 720 ch pour le prix d'une S3 !

Par : Juan Salazar
9 juin 2024 à 12:00
ABT Sportsline, préparateur qu'on ne présente plus, dévoile son tout nouveau modèle : le RS7-S, une fusion parfaite entre puissance brute et élégance raffinée. Cette nouvelle version rejoint la gamme S de la marque, déjà enrichie par un break (RS6-S) ou un SUV (RSQ8-S).  Disponible en versions RS7 Sportback et RS 7 Sportback Performance, ce modèle ne se contente pas de performances remarquables. Car oui, cette voiture a subi une augmentation de puissance de 120 chevaux grâce au kit ABT Power S, faisant passer sa puissance totale à 720 chevaux et 950 Nm de couple. Mais son apparence aussi a été revue. On notera le package aérodynamique en fibre de carbone apparente brillante, comprenant une lèvre avant siglée RS7-S, des lames avant, des jupes latérales et un spoiler arrière. Pour garantir une dynamique de conduite optimale, la RS7-S a été équipée de ressorts de suspensions réglables et de stabilisateurs sportifs placés sur les essieux avant et arrière. Elle reçoit également un système d'échappement ABT, et des roues de sport ABT High Performance de 22 pouces, allégées par rapport au modèle de base. À l'intérieur, l'attention portée aux détails se manifeste par des finitions exclusives telles que le pommeau de vitesse en carbone brillant, le logo RS7-S sur les sièges et les tapis de sol. Le tout, complété par un éclairage d'entrée et un bouton de démarrage-stop arborant le logo ABT.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : ABT : quand l'Audi SQ8 devient plus puissant que le RS Q8

PHOTOS - Les voitures de série les plus rapides de chaque décennie

Par : Juan Salazar
9 juin 2024 à 09:00
Depuis ses débuts, l'industrie automobile a toujours cherché à repousser les limites des avancées technologiques, afin de créer les voitures les plus performantes. Si au début il s'agissait de fiabilité, d'autonomie ou de confort, un domaine particulier a tout de suite fasciné les passionnés comme les non-initiés : les records de vitesse.  Dans les années 1920, la Bugatti Type 35B, avec une vitesse maximale de 210 km/h, dominait les compétitions de Grand Prix et incarnait l'esprit pionnier de l'ère automobile naissante. La décennie suivante, la Duesenberg Model SJ a porté la vitesse à 225 km/h, démontrant l'ambition et l'innovation des constructeurs américains dans une période marquée par la Grande Dépression. Les années d'après-guerre ont vu l'émergence de modèles emblématiques comme la Jaguar XK120, qui a atteint 200 km/h dans les années 1940, et la Mercedes-Benz 300SL, qui a poussé la vitesse à 260 km/h dans les années 1950 grâce à son ingénierie avancée et son design aérodynamique.  La Lamborghini Miura P400, première supercar de l'histoire, a marqué les années 1960 avec ses 280 km/h, tandis que la Ferrari 365 GTB/4 Daytona a continué cette tendance dans les années 1970 avec la même vitesse de pointe, reflétant l'évolution constante de la performance automobile. L'ère moderne a été marquée par des sauts spectaculaires en termes de vitesse. La Ferrari F40 des années 1980 a brisé la barrière des 320 km/h, et la McLaren F1 des années 1990 a repoussé les limites à 386 km/h. Le 21e siècle a commencé avec la Bugatti Veyron franchissant la barre des 400 km/h, suivi par la Bugatti Chiron qui a atteint 490 km/h dans les années 2010. Actuellement, la SSC Tuatara domine avec une vitesse vertigineuse de 532 km/h. Qui sait ce qui nous attend à l'avenir…  {{_DYNINFEED_BLOCK_}}

F1 2024 : tout juste sorti, le jeu pour PS4, PS5 et Xbox est déjà disponible en promotion chez Amazon

Tous les fans de Formule 1 veulent ce jeu vidéo qui vient juste de sortir sur PS4, PS5 et Xbox. Amazon vous offre 19 % de réduction sur le jeu F1 2024 à saisir dès maintenant pour échapper à la rupture de stock ! Soyez prêt à prendre le volant et exploser les records ! Amazon vous offre 19 % de réduction sur le jeu F1 2024 encore plus immersif, réaliste et qui vous fait goûter aux sensations fortes des courses de voiture. Les plus grands circuits vous attendent pour remporter les victoires et repousser toutes les limites avec votre écurie de renom. Commandez le jeu F1 2024 qui vient de sortir et obtenez-le à 64,99 euros au lieu de 79,99 euros chez Amazon. Il est compatible avec toutes les consoles : PS4, PS5 et les consoles Xbox X/S. Un code à télécharger est même disponible si vous avez une PS5 édition Digitale ou Numérique. Ce jeu de course propose de nouveaux modes comme le Carrière Pilote qui vous permet, pour la première fois, d'incarner l'un des pilotes actuels de la F1. Devenez le pilote de course numéro 1 avec le jeu F1 2024 Vivez les sensations d'un pilote lorsqu'il se trouve sur le circuit. Le tout nouveau système de distinction du jeu F1 2024 vous permet de suivre votre progression et vos succès tout au long de la saison, avec des réunions secrètes chez d'autres écuries, et des cinématiques ainsi que des répliques prononcées par les vrais pilotes lors des retransmissions de F1. EA Sports a tout fait pour rendre votre expérience gaming immersive et réaliste. La plus grande mise à jour concerne le physique et le comportement routier des personnages pour que l'expérience de pilotage soit fidèle à la réalité et authentique. Découvrez-en plus sur le nouveau jeu F1 2024 chez Amazon !  {{_DYNINFEED_BLOCK_}}

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