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Aujourd’hui — 8 mai 2024Automobile

Bentley Batur : vous n'avez pas pu vous offrir le coupé ? Voici maintenant le cabriolet !

Bentley vient de dévoiler la dernière réalisation de son département de personnalisation, Mulliner. La nouvelle Batur Convertible reprend les dessous du coupé éponyme, tout en abandonnant son toit pour pouvoir cruiser cheveux au vent. Avec ce cabriolet ultra exclusif, les quelques propriétaires chanceux pourront afficher leur supériorité par rapport aux possesseurs de banales Continental GTC ! Quand on a beaucoup d'argent, vraiment beaucoup, et qu'on souhaite s'offrir une belle voiture, on se tourne vers Rolls-Royce ou Bentley. Mais quand on a tellement d'argent et que l'on ne sait plus quoi en faire, alors on va frapper à la porte des départements de personnalisation de ces deux marques, Mulliner dans le cas de Bentley. Cette division d'ultra luxe est en effet à l'origine de certains des modèles les plus exclusifs du marché, comme la Bacalar ou la plus récente Batur.  Plus luxueux, plus rares du fait de leur production très limitée et donc fatalement plus chers, ces modèles ne s'adressent pas aux clients fortunés, mais bien à l'élite de la clientèle. Soucieux de continuer de proposer des produits d'exception, Mulliner vient de lever le voile sur sa dernière réalisation, la Batur Convertible.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Bentley Bentayga Apex Edition : Pourquoi le SUV de luxe anglais enfile son jogging ?

PHOTOS - Bentley présente la dernière née de sa division Mulliner, la Batur Convertible !

Bentley vient de lever le voile sur la toute dernière réalisation de son département de personnalisation, Mulliner. La branche d'ultra luxe a ôté le toit du coupé Batur, donnant ainsi naissance à la Batur Convertible, sans doute l'un des cabriolets les plus exclusifs du marché. Exclusif, de par la quantité d'exemplaires prévus, d'une part. 16, pour être précis. Pas un de plus, pas un de moins. Il faudra donc se lever tôt pour espérer mettre la main sur l'un d'eux, si tant est qu'ils ne soient pas déjà tous vendus.  C'est l'exemplaire N°0 que Bentley a décidé de dévoiler. Celui-ci arbore une teinte Vermillon satinée. Les lignes sont globalement les mêmes que celles du coupé, présenté en 2022, à ceci près que cette version Convertible abandonne le toit au profit d'une capote souple. La marque anglaise précise que les clients ont le choix parmi une infinité de possibilités de personnalisation, dans la plus pure tradition du label Mulliner.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Évidemment, l'habitacle fait la part belle aux matériaux les plus nobles. L'intégralité de l'intérieur est tendu de cuir de différentes teintes avec des surpiqures, tandis que la planche de bord est ornée d'inserts décoratifs contrastants.  Sous le capot, on retrouve le W12 de la version Coupé, dont la puissance reste à 750 chevaux pour un couple impressionnant de 1.000 Nm. Le bloc est épaulé par 2 turbo et est associé à une boîte automatique à 8 rapports ainsi qu'à un échappement sport, pour profiter des vocalises cheveux au vent. Bien évidemment, Bentley a soigneusement tenu les prix secrets.

Cette Bugatti Chiron est sur son 31, avec un costume en fibre de carbone bleue !

Le mois dernier, l'un des très heureux propriétaires de Bugatti Chiron a mis en vente son hypercar sur une plateforme d'enchères. Cet exemplaire a la particularité d'être habillé d'une carrosserie intégralement composée de fibre de carbone, laissée apparente et peinte en bleu. Une configuration très élégante, qui s'est échangée contre la modique somme de 3,075 millions de dollars. Ces derniers mois, on a assisté à une stabilisation des cotes sur le marché des voitures d'exception. Attention, n'allez pas croire qu'elles sont devenues accessibles, loin de là, cependant leur valeur stagne, à plusieurs dizaines de milliers d'euros près. L'époque où leur cote explosait est donc derrière nous, mais pourrait toutefois revenir prochainement. Quoiqu'il en soit, une des 500 Bugatti Chiron produites a récemment été vendue aux enchères, contre 3,075 millions de dollars, soit un peu plus de 2,85 millions d'euros. L'exemplaire en question est assez exceptionnel, même pour une Chiron déjà loin d'être banale. Il arbore une carrosserie composée de panneaux en fibre de carbone, laissée apparente et habillée d'une teinte bleu nuit, très élégante. L'hypercar alsacienne repose sur un ensemble de jantes forgées noires, de 20 pouces à l'avant et 21 à l'arrière. Certains éléments sont laissés en noir, comme le diffuseur ou encore les coques de rétroviseurs.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi :  Remplaçante de la Bugatti Chiron : le W16 laissera sa place à un V16 hybride !

PHOTOS - Cette Bugatti Chiron est intégralement habillée de fibre de carbone bleue !

L'un des 500 exemplaires de la Bugatti Chiron a été vendu aux enchères le mois dernier, contre la coquette somme de 3,075 millions de dollars, soit environ 2,85 millions d'euros. Et même si cet exemplaire est assez exceptionnel, avec sa carrosserie en carbone apparent, finie en bleu, la cote de la Chiron semble stagner depuis quelques mois maintenant. Entendons-nous, lorsque l'on dit que sa cote ne monte plus, cela ne signifie pas que la Bugatti Chiron est abordable. Loin de là, même, puisqu'elle reste inaccessible pour le commun des mortels. Cet exemplaire en est une nouvelle fois la preuve, car il s'est échangé contre la bagatelle de 2,85 millions d'euros environ, en Californie. Cette Bugatti Chiron bénéficie d'une configuration très élégante, avec une carrosserie composée de panneaux en fibre de carbone, laissée apparente et habillée d'une teinte bleue. L'ensemble repose sur des jantes noires, de 20 pouces à l'avant et 21 à l'arrière. L'habitacle contraste avec l'extérieur, avec sa sellerie en cuir rouge qui s'étend de la base de la console centrale jusqu'au pavillon. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} L'exemplaire vendu n'affiche que 1.900 miles au compteur, soit un peu plus de 3.057 kilomètres, parcourus depuis 2018. Autant dire que cette Chiron n'a pas roulé tous les jours depuis sa livraison. Pour rappel, elle est équipée d'un W16 8.0 quadriturbo développant 1.500 chevaux, qui lui permet d'atomiser le 0 à 100 km/h en 2,4 secondes et d'atteindre une vitesse maximale limitée électroniquement à 420 km/h. 

Machine Revival : le Singer français qui crée des chefs-d’œuvre depuis plus de 10 ans !

Le monde de la restauration et de la préparation automobile n'est pas réservé qu'aux Anglais et aux Américains. Si ce sont bel et bien les plus connus, d'autres officines méritent pourtant d'être mises sous le feu des projecteurs, dont Machine Revival. Cette société française, fondée en 2013 par un petit groupe de passionnés d'automobiles, a déjà accouché de plus d'une vingtaine de créations exceptionnelles. Lorsque l'on évoque l'art méticuleux de la restauration de voitures anciennes, les mêmes noms reviennent souvent en boucle. Notamment Singer, une entreprise californienne spécialisée dans la remise au goût du jour de l'iconique Porsche 911, qui s'est taillée une réputation mondiale et qui est aujourd'hui considérée comme la meilleure dans son domaine. Bien sûr, on ne peut pas minimiser son talent, cependant il serait bien dommage de se focaliser uniquement sur Singer. D'autres officines, plus petites et plus jeunes, méritent que l'on jette un œil sur leur travail. C'est le cas de Machine Revival qui, cocorico, est une petite société française ! Machine Revival, c'est une joyeuse petite bande de passionnés, qui s'est lancée en 2013. Installée dans le Pays Basque, et du haut de ses 11 ans d'existence, l'équipe a déjà pondu 29 créations, la plupart basées sur des Porsche. 911, 912, 2.7, Targa, Machine Revival n'est pas fermé d'esprit ! De nombreuses versions passent par l'atelier basque et en ressortent en étant uniques de par leur livrée, leur habitacle, leur carrosserie retravaillée, mais également des éléments mécaniques revus ! {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Maggiore GranturismO : le restomod qui redonne ses lettres de noblesse à la Ferrari 288 GTO

Week-end de l’Ascension : ça va bouchonner sur les routes de l’Hexagone !

Comme tous les ans, les jours fériés et les ponts du mois de mai sont l'occasion pour beaucoup de Français de partir en week-end. Les routes de l'Hexagone vont donc être très empruntées, dès aujourd'hui et jusqu'à dimanche. Si, comme beaucoup, vous vous apprêtez à partir, attendez-vous à de gros ralentissements. Bison Futé classe la journée du 7 mai en rouge, dans le sens des départs. Cette année, le calendrier permet de pouvoir profiter de longs week-ends en mai, notamment cette semaine. En effet, le 8 mai est suivi du 9 mai (jusque-là ça se tient) qui correspond à l'Ascension. De nombreux Français ont pu poser un jour de congé le vendredi 10, et ainsi s'offrir une petite semaine de vacances. Qui dit vacances, dit circulation difficile. C'est évidemment ce que prévoit Bison Futé pour ce long week-end. La situation s'annonce déjà compliquée aujourd'hui, puisque ce mardi est classé rouge dans le sens des départs. Le mercredi 8 mai est quant à lui classé en orange, selon les prévisions.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Sécurité routière : un mauvais mois de mars sur les routes de France

Chez Nissan, la lignée cultissime des Z fête ses 55 ans !

Il se murmure qu'une série spéciale de la Nissan Z pourrait arriver en fin d'année, pour célébrer les 55 ans de cette famille de modèles iconique. Bien évidemment, nous ne devrions pas y avoir droit en France, la Z n'y étant pas commercialisée. Mais cela n'empêche pas de repartir plus d'un demi-siècle en arrière, pour retracer l'histoire de ces modèles qui ont forgé l'ADN sportif de la marque japonaise. Il y a des noms et des numéros qui semblent éternels, dans le milieu automobile. C'est par exemple le cas du plus connu d'entre tous, 911, l'appellation de la plus célèbre des Porsche, mais aussi peut-être de toutes les voitures de sport. Mais en allant à l'est, bien plus à l'est, on trouve une autre lignée de sportives, vulgairement appelées les Z. Si on connaît surtout la Nissan 370Z et, plus récemment, la Nissan Z tout court, cette famille de voitures a été inaugurée en 1969, avec la Datsun 240Z.  Datsun ? Eh oui, il fut un temps où Nissan détenait cette marque, entre 1933 et 1983. Chacun des deux constructeurs produisait donc des modèles dans leur coin. Toujours est-il que Datsun a accouché, en 1969, de la 240Z. Ce petit coupé sport était équipé d'un 6 cylindres en ligne 2.4 de 150 chevaux, de quoi tenir tête à certains modèles bien plus chers à l'époque, notamment des Porsche ! Plus de 115.000 exemplaires ont été vendus, ce qui a convaincu Datsun de travailler sur la descendante de la 240Z, la bien nommée 260Z.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Nissan Z : un look à tomber par terre signé Liberty Walk

Renault et les berlines : le divorce est-il vraiment définitif ?

Ces derniers temps, nombreux sont les constructeurs qui font le choix d'arrêter la production de leurs berlines. C'est notamment le cas de Renault qui, après avoir commercialisé des modèles phares comme la Laguna, a tout simplement décidé de stopper la production de berlines, au profit des SUV. Mais à l'heure où tout est chamboulé par le passage à l'électrique, la marque ne pourrait-elle pas renouer avec le passé et offrir une suite aux R25, Safrane et autres Talisman ? Ça n'aura échappé à personne, les berlines ne courent plus les rues. Les constructeurs qui en proposent toujours dans leur gamme sont de plus en plus rares, ce genre de voitures ayant été remplacé par… le SUV bien sûr ! Cette mode ne date en réalité par d'hier, elle dure déjà depuis près de 10 ans. Aujourd'hui, à quelques exceptions près, seules les marques premiums allemandes continuent de proposer des berlines.  Et justement, en parlant d'exception, on en compte une en France : la Peugeot 508 ! La marque au lion s'entête à produire une berline et, surtout, à la maintenir à son catalogue. Malheureusement, si réussie soit-elle, son avenir s'assombrit jour après jour. Les ventes ne cessent de diminuer, malgré un récent restylage qui n'aura pas changé grand-chose. Mais Peugeot (comme Citroën) a peut-être trouvé une solution pour faire perdurer ce type de carrosserie, en partie du moins.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Peugeot 508 : environ 45.000 euros pour l'entrée de gamme, est-ce suffisant pour inquiéter les Allemands ?
Hier — 7 mai 2024Automobile

Alfa Romeo Junior : à 29.500 euros, que vaut l’entrée de gamme ?

Alors que les polémiques qui entouraient son lancement commencent à s'estomper, l'Alfa Romeo Junior prépare maintenant son arrivée sur le marché. La marque a d'ailleurs communiqué ses tarifs la semaine dernière, l'occasion de constater que l'entrée de gamme s'affiche à 29.500 euros, pour la version Ibrida. Une bonne surprise, puisque l'Italien est plus accessible que le Peugeot 2008, avec lequel il partage de nombreux éléments techniques. Mais cela suffira-t-il pour lui assurer le succès ? Ce modèle était très attendu, Alfa Romeo n'avait pas le droit à l'erreur avec ce Milano, désormais rebaptisé Junior. Décliné en motorisations 100 % électrique et hybride, ce SUV joue donc sur les deux tableaux, comme ses cousins du groupe Stellantis. Évidemment, les Alfistes purs grincent des dents, eux qui sont davantage intéressés par les berlines sportives et les coupés élégants. Reste que la marque a pour l'instant réussi son pari, en proposant son junior à moins de 30.000 euros, ce qui le rend plus accessible que le Peugeot 2008 doté de la même motorisation. Le Junior Elettrica, également moins cher que son cousin sochalien, débute à 38.500 euros. En version Ibrida, celle dont il est question aujourd'hui, il embarque un 3 cylindres 1.2 PureTech de 136 chevaux, associé à une boîte de vitesses automatique à 6 rapports dans laquelle est logé un petit bloc électrique. Une motorisation déjà bien connue, que l'on retrouve également sous le capot des Jeep Avenger ou encore des Citroën C3 Aircross. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Alfa Romeo Milano : véritable Alfa, ou énième clone made in Stellantis ?

RUMEURS – Une nouvelle Lancia Gamma pour 2026, Stellantis en pleine réflexion sur le thermique, le Cadillac Optiq arrive en Europe !

Comme toutes les semaines, l'actualité est parsemée de rumeurs. Cependant, certains bruits de couloirs sont assez insistants et même plutôt plausibles, au regard des stratégies des différentes marques. C'est notamment le cas d'une rumeur évoquant le retour d'une appellation bien connue chez Lancia, Gamma. D'autre part, il se murmure chez Stellantis que les modèles électriques pourraient continuer d'être déclinés en versions thermiques pendant plus longtemps que prévu. Enfin, actuellement en pleine transition, Cadillac pourrait décider de lancer son nouveau SUV Optic sur le marché européen, en parallèle du Lyriq. Lorsque l'on veut rester informé sur ce qui se passe dans le milieu automobile, il convient de bien trier les informations vérifiées et les rumeurs. Et si certains bruits de couloirs paraissent plausibles, il vaut toujours mieux les prendre avec des pincettes, du moins jusqu'à leur éventuelle confirmation. Trois rumeurs particulièrement intéressantes circulent depuis une semaine environ. À commencer par le retour de l'appellation Gamma, ou Thema, au sein de la gamme Lancia. Il se pourrait également que Stellantis continue de décliner ses voitures électriques en versions thermiques pendant encore quelques années, au-delà de la date initialement prévue. Enfin, alors que la marque est actuellement en plein renouveau, Cadillac pourrait s'appuyer sur son nouveau SUV, l'Optiq, pour partir à l'assaut du marché européen. On fait le point. Lire aussi : Lancia Ypsilon HF : le retour de deux lettres mythiques en 2025 ! Le futur vaisseau amiral de Lancia pourrait s'appeler Gamma ou Thema
À partir d’avant-hierAutomobile

PHOTOS - 335.000 euros pour une Porsche 911 Dakar, la spéculation est déjà là !

La dernière "grosse" nouveauté de la gamme de la Porsche 911, la Dakar, commence à arriver sur le marché de l'occasion. Sans surprise, cette série spéciale n'échappe pas à la dure loi de la spéculation et voit déjà des prix augmenter, à tel point que certains exemplaires dépassent déjà la valeur du neuf ! C'est le cas de celui-ci, qui s'est échangé la semaine dernière contre la bagatelle de 360.000 dollars. Quand Porsche a présenté la 911 Dakar, fin 2022, on a rapidement su que cette version haute sur roues allait devenir un collector. Visiblement, on ne s'est pas trompé puisqu'un an et demi après, les premiers exemplaires commencent à débarquer sur le marché secondaire. Inutile d'entretenir le suspense, la cote semble avoir déjà commencé son ascension. Pour exemple, cet exemplaire était mis en vente sur la plateforme d'enchères BringaTrailer et a été adjugé contre la coquette somme de 360.000 dollars, soit environ 335.000 euros. Sachant que la 911 Dakar est vendue neuve à partir de 226.000 euros, et même si celle-ci bénéficie certainement de plusieurs dizaines de milliers d'euros d'options, son propriétaire doit se féliciter de ce joli coup.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Il faut tout de même préciser que l'exemplaire en question est comme neuf, puisqu'il ne totalise que 17 miles, soit un peu plus de 27 kilomètres. Elle bénéficie d'une configuration plutôt originale, très différente de la classique livrée Roughroads de Porsche. Quoiqu'il en soit, la spéculation sur ce modèle semble bel et bien lancée, on devrait assister à une hausse constante des prix... jusqu'à ce que la bulle explose.

CONFIG - Prenez-vous pour Sébastien Loeb avec notre Ford Mustang Mach-E Rally !

Il y a quelques semaines, Ford présentait quelques nouveautés pour célébrer les 60 ans de sa muscle-car, la Mustang. Parmi les réjouissances, se trouvait une étrange version du Mustang Mach-E 100% électrique, conçue pour aller s'amuser hors de l'asphalte : le Mustang Mach-E Rally. Comme nous étions plutôt intrigués par cet engin, nous avons décidé d'aller fouiller dans le configurateur en ligne de Ford… Depuis sa présentation en 2020, on ne peut pas dire que le Ford Mustang Mach-E ait réellement convaincu les fans de la muscle-car iconique, malgré son nom plus qu'évocateur. Ce n'est pourtant pas faute d'avoir multiplié les mises à jour et les séries spéciales. Mais avec cette dernière version, produite en série limitée, les choses ont l'air différentes. Car au lieu de tout faire pour ressembler à une Mustang haute sur roues et de tenter d'aller chasser des chronos, ce Mach-E un peu particulier essaie justement de s'en différencier et d'aller faire voler la poussière loin de l'asphalte. Visuellement, le Mustang Mach-E n'est pas transfiguré, mais certains éléments permettent tout de même de le distinguer et de savoir qu'on n'a pas affaire à n'importe quel SUV à batteries. Ça, et le tarif bien sûr, puisque ce Mustang Mach-E Rally s'affiche à partir de 81.990 euros. Pour ce prix, en plus des éléments de design spécifiques, on a droit à 510 kilomètres d'autonomie et 487 chevaux électriques. Ford annonce un 0 à 100 km/h avalé en 4,3 secondes, une vraie voiture de rallye !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Ford Mustang California Special : une série spéciale pour les 60 ans de la muscle-car !

PHOTOS - Avant la 12 Cilindri, chez Ferrari, le V12 c'était tout ça !

Rares sont les constructeurs à rester aussi fidèles à leur ADN que Ferrari. La marque italienne n'a que très rarement changé ses plans et, dans 90 % des cas, ça a toujours été pour le mieux. Aujourd'hui, Maranello vient de dévoiler la nouvelle 12 Cilindri. L'occasion parfaite pour revenir sur une lignée vieille de plus de 60 ans : celle des grandes GT à moteur V12 ! Lorsque l'on évoque l'illustre lignée des GT à moteur V12, chez Ferrari, la plupart des personnes citent immédiatement la 812 Superfast et la F12 Berlinetta. Mais on peut remonter le temps sur plusieurs décennies, la marque italienne a quasiment toujours proposé ce genre de modèles, tout en haut de sa gamme, bien au-dessus des coupés à moteur V8. Certaines sont devenues de véritables légendes roulantes, comme la Testarossa, emblème de toute une époque, ou encore la 365 Daytona qui a d'ailleurs inspiré le designer de la nouvelle 12 Cilindri. Vous avez besoin d'un petit rafraîchissement de mémoire ? Voici quelques unes des plus importantes GT V12 de Ferrari !{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Alfa Romeo Junior : le petit italien est moins cher que prévu !

Alfa Romeo vient de communiquer les tarifs pour son nouveau Junior. Lors de sa présentation, il avait été confirmé que la version de lancement serait affichée à 31.500 euros en motorisation hybride, contre 40.500 euros pour l'électrique. Les prix pour la gamme classique débutent plus bas que ce que l'on aurait pu croire, à partir de 29.500 euros ! Outre sa présentation chaotique émaillée par une polémique dont Alfa Romeo se serait bien passé, qui a d'ailleurs valu à ce SUV un changement de nom, on aurait surtout pu croire que le Junior s'afficherait à des prix relativement élevés. On sait que la marque italienne se positionne parmi les constructeurs premiums, au sein du groupe Stellantis. Pourtant, le Junior parvient à contenir ses tarifs et à rester sous la barre des 30.000 euros, pour ce qui est de la version d'entrée de gamme en tout cas. L'Alfa Romeo Junior est décliné en deux versions, à savoir Ibrida et Elettrica. La première s'affiche à partir de 29.500 euros, tandis que la seconde voit son prix passer à 38.500 euros. Attention toutefois, ces prix ne concernent que la finition d'accès « Junior ». En plus de la série spéciale de lancement, quatre niveaux de finition sont proposés, ainsi qu'une version sportive réservée au Junior 100 % électrique.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Alfa Romeo Milano : véritable Alfa, ou énième clone made in Stellantis ?

EN BREF - Skoda dévoile le concept Enyaq RS Race, BMW change son système d’appellation, le Tesla Cybertruck entame sa tournée européenne

Ces derniers jours, plusieurs annonces et nouveautés ont retenu notre attention. À commencer par un étonnant concept-car Skoda, l'Enyaq RS Race, dont les premiers croquis ont été dévoilés. D'autre part, BMW a annoncé un changement de taille dans son système d'appellation. Les modèles à essence n'arboreront bientôt plus la lettre i, désormais réservée aux voitures électriques. Enfin, Tesla a donné le coup d'envoi de la tournée Cyber Odyssey, au cours de laquelle le Cybertruck parcourra les routes européennes. L'actualité ne se résume pas qu'aux sorties de nouveaux modèles. Heureusement d'ailleurs, sinon certaines périodes seraient bien calmes ! Cette semaine, plusieurs annonces ont été faites par des constructeurs, dont certaines très intéressantes. D'une part, Skoda vient de dévoiler les premières esquisses d'un tout nouveau concept, dérivé de l'Enyaq, baptisé RS Race. Du côté de chez BMW, l'heure est au changement d'appellation pour certains modèles de la gamme, plus particulièrement ceux équipés de moteurs à essence. Enfin, bien qu'il ne soit pas homologué pour nos routes européennes, le Tesla Cybertruck pose ses roues sur le Vieux Continent jusqu'au 7 juillet, dans le cadre de sa Cyber Odyssey. On fait le point. Lire aussi : Skoda fait son entrée dans le programme « Vision Gran Turismo » Le Skoda Enyaq se dévergonde

PHOTOS - Ferrari 12 Cilindri : pouvait-il y avoir meilleure déclaration d'amour au V12 ?

Ferrari vient de présenter sa nouvelle grande GT, qui a la lourde responsabilité de succéder à la 812 Superfast. Baptisée 12 Cilindri, on n'a aucun mal à affirmer qu'elle s'en sortira avec brio, avec son V12 de 830 chevaux et son design truffé d'hommages au passé de la marque italienne. La Ferrari 12 Cilindri est une déclaration d'amour, en tous points. Visuellement déjà, avec de nombreux éléments renvoyant à d'anciens modèles iconiques de la marque. Les passionnés auront remarqué le large bandeau transversal, à l'avant, qui évoque la mythique Ferrari 365 Daytona. Mais l'ensemble n'est pas uniquement "réchauffé", les lignes évoluent nettement par rapport à la 812 Superfast qu'elle remplace, alors que cette dernière n'était qu'une évolution de la F12 Berlinetta. Un long capot avant, bardé d'extracteurs d'air subtilement intégrés... On sait tous ce qui se cache en dessous : un V12 bien sûr ! Avec 6,5 litres de cylindrée et toujours sans turbo ni hybridation, ce dernier crache 830 chevaux et 678 Nm de couple, avec une zone rouge perchée à 9.500 tr/min. Ferrari annonce des performances de premier plan, avec un 0 à 100 km/h avalé en 2,9 secondes et une vitesse de pointe culminant à 350 km/h.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Deux versions sont pour l'instant au programme, un coupé et un Spider. Le premier s'affiche à 395.000 euros, hors malus bien sûr... Si vous trouvez la fiche technique un peu trop timide, vous n'avez qu'à patienter quelques mois de plus. Ferrari devrait, logiquement, offrir à cette 12 Cilindri une version radicale, comme c'était le cas pour les 599 GTB, F12 Berlinetta et 812 Superfast avant elle.

Ferrari 12 Cilindri : la 365 Daytona de 2024 !

Ferrari vient de lever le voile sur son dernier chef-d'œuvre, la 12 Cilindri. Un nom italien qui se passe de traduction, mais qui sonne surtout comme un dernier hommage, avant une disparition programmée… Mais haut les cœurs, cette cathédrale mécanique est toujours bien vivante, avec 830 chevaux et une zone rouge perchée à 9.500 tr/min ! La 12 Cilindri est disponible en version Coupé et en Spider. Les tarifs débutent à un peu moins de 400.000 euros. Cela fait maintenant plus de 10 ans que l'on entend les spécialistes rabâcher la même rengaine, à chaque sortie d'une nouvelle GT Ferrari : « Ce sera à coup sûr le dernier V12 atmosphérique de l'histoire de la marque ». On y avait eu droit pour la F12 Berlinetta et pour la 812 Superfast. Deux options sont alors envisageables. Soit ces gens n'ont de spécialistes que leurs noms, soit le constructeur italien est têtu. Quoiqu'il en soit, Ferrari vient de lever le voile sur la remplaçante de la 812, qui embarque à nouveau un V12. Quelle surprise ! Son nom ? La 12 Cilindri. Faîtes un effort, prononcez à l'Italienne : Dodici Cilindri, et pas Douze Cilindri. Un nom qui, au-delà de sa simplicité déconcertante, a une saveur amère de dernier hommage. Après tout, après plus de 10 ans à entendre les fameux spécialistes annoncer la fin du V12 chez Ferrari, il fallait bien que ça arrive un jour… Mais nous ne tomberons pas là-dedans et ne dirons donc pas qu'il s'agit certainement de la dernière GT V12 de Maranello.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Maggiore GranturismO : le restomod qui redonne ses lettres de noblesse à la Ferrari 288 GTO

Salon de l’Auto de Pékin : un salon comme à la belle époque !

Depuis le 25 avril et jusqu'à la fin de la semaine, se tient le Salon de l'Auto de Pékin. De nombreuses nouveautés y ont d'ailleurs été présentées car, à l'inverse des salons européens, toutes les marques ou presque ont fait le déplacement pour participer à l'événement. Alors, à l'approche de la fermeture, que faut-il retenir de ce Salon de Pékin 2024 ? Il y a encore quelques années, les salons automobiles européens étaient des rendez-vous incontournables réunissant chaque année des dizaines de milliers de passionnés. Mais la politique européenne concernant cet engin satanique qu'est la voiture a eu raison de ces salons, qui ne sont désormais plus que l'ombre d'eux-mêmes. Il n'y a qu'à regarder ce qu'est devenu le Salon de Genève, autrefois considéré comme le plus important des événements de ce genre, qu'aucune marque n'aurait voulu manquer.  On a donc commencé à se faire une raison en Europe, se résignant à n'avoir droit qu'à des événements fades, sans moquette, sans constructeurs et sans passion. Notons tout de même que les organisateurs du Mondial de l'Auto de Paris promettent une édition 2024 plus réjouissante, avec davantage de marques et plus d'exposants. Mais revenons-en à nos moutons, Pékin donc. En Asie, les salons automobiles semblent encore avoir la cote, puisque le Salon de Pékin s'apprête à fermer ses portes après 10 jours d'ouverture au public et surtout plus de 800.000 visiteurs recensés ! De nombreuses nouveautés y ont été présentées, on vous résume tout ce qu'il faut en retenir.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Nouveau Renault Symbioz : le Scénic E-Tech que les gens attendaient ? Une véritable armada de marques chinoises

Renault Arkana : ses ventes explosent en avril !

Ces derniers mois, le Renault Arkana se faisait relativement discret sur le segment des SUV. Au premier trimestre, il se vendait mieux que le Volkswagen Tiguan, mais moins que le Nissan Qashqai ou le Kia Sportage. Mais il semble que le mois d'avril ait été favorable à l'Arkana, qui vient de coiffer bon nombre de ses concurrents au poteau. Le mois dernier, Renault a réussi à écouler son SUV coupé à plus de 2.000 exemplaires ! Mieux vaut tard que jamais, comme dit le vieux proverbe. Depuis le début de l'année, les ventes de l'Arkana étaient si discrètes que l'on aurait pu se demander s'il était encore commercialisé. Mais au terme d'un mois d'avril plutôt bon pour la Renault, l'Arkana revient jouer aux avant-postes, en passant devant certains de ses concurrents comme le Nissan Qashqai, le Hyundai Tucson ou encore le Kia Sportage. Il talonne le Citroën C5 Aircross. Depuis le 1er janvier 2024, Renault a livré 5.436 exemplaires de l'Arkana, dont 2.062 rien qu'au mois d'avril. Un sursaut des ventes qu'il est bien difficile d'expliquer, étant donné qu'aucune nouveauté ou presque n'a été apportée au modèle depuis un moment. Cependant, les hausses de tarifs chez la concurrence lui ont certainement été favorables, lui permettant de ressortir de l'anonymat.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Renault Arkana : il est encore en vie, à partir de 31.300 euros
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