Volkswagen a produit le Caddy dans une version pick-up entre 1979 et 1992. Si sa diffusion était honnête pendant sa fabrication, le Caddy pick-up a observé un regain d'intérêt conséquent depuis les années 2000, avec de nombreux projets personnalisés, à l'image de cet exemplaire « GTI ». Ne vous méprenez pas : Volkswagen n'a jamais sorti le Caddy GTI. Or, au vu de la banque de pièces quasi-illimitée du groupe VAG, l'idée aurait pu traverser l'esprit des concepteurs allemands. C'est le projet dans lequel ce propriétaire américain s'est lancé. Le résultat est de bonne facture : voici le Volkswagen Rabbit Pick-up GTI.  Lire aussi : Volkswagen Golf : 50 ans et encore toutes ses dents !

Un propriétaire américain a maquillé son Volkswagen Rabbit Pick-up en version sportive GTI. Pour que le résultat soit convaincant, il a pioché dans une quantité conséquente de pièces issues de plusieurs Volkswagen Golf GTI de millésimes différents. La nuance gris métallisé « Atomic Silver » est d'origine Lexus. La face avant possède un bouclier avant rapproché et dépourvu de ses clignotants. Il fait partie des éléments piochés sur la version sportive comme le ramasse-miettes à l'avant, les vitres avant ou encore les deux rétroviseurs extérieurs. Le véhicule repose sur des jantes ATS de 14 pouces. Il perd 40 mm de hauteur de caisse grâce à la présence de combinés filetés Bilstein. La poupe est immaculée, à l'image du bouclier arrière dont le chrome brille désormais de mille feux. Cerise sur le gâteau, un logo « GTI » fait son apparition sur la calandre. Lire aussi : A quoi ressemblerait la Volkswagen Caddy pick-up, si elle était sortie en version GTI ? A bord, le velours et le cuir rouge du tableau de bord rappellent le luxe de certaines productions américaines. La planche de bord et l'instrumentation complète ont été empruntés à une Rabbit GTI Mk1 locale. La climatisation et la direction assistée ont été intégrées grâce à un assemblage de pièces récupérées sur une Golf Cabriolet. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Le moteur est un 4 cylindres 1.8 de 112 ch emprunté à une Volkswagen Golf II GTI 8S. Il est associé à une inédite boite manuelle à 5 rapports.

Ça met toujours un petit coup au moral de se dire que les voitures des années 90 fêtent leurs 30 ans durant la décennie. Ça ne rajeunit pas, c'est sûr, mais ça permet tout de même de se replonger dans la genèse de certains projets qui ont marqué des générations entières, à leur époque. C'est notamment le cas de la Ferrari F355, une voiture de sport qui est devenue l'une des icônes des années 90.  Il y a des anniversaires qui marquent plus que d'autres. 30 ans, c'est un cap important ! Un cap qu'est en train de franchir la Ferrari F355, un véritable monument souvent sous-coté de l'histoire de la marque au cheval cabré. En effet, elle est arrivée sur le marché à une époque où Maranello enchaînait les productions exceptionnelles. À partir des années 80, Ferrari s'est mis à pondre des monuments roulants : 288 GTO, F40, Testarossa, F50… La fin du millénaire a vu naître des légendes, qui ont parfois éclipsé en partie certains autres modèles pourtant dignes d'intérêt. C'est notamment le cas de la F355 Berlinetta, lancée en 1994. À ce moment, la 348 est en fin de vie, la Testarossa est en place depuis 10 ans et rempile pour 2 ans, la F40 est encore dans toutes les têtes et la F50 est en gestation. Le terrain est donc miné pour la F355, même s'il faut bien préciser qu'elle ne joue pas dans la même catégorie que les supercars ultra performantes. Ce qui ne l'a pas empêché de s'écouler à plus de 11.200 exemplaires, contre toute attente, au cumul des versions Berlinetta et Targa.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Maggiore GranturismO : le restomod qui redonne ses lettres de noblesse à la Ferrari 288 GTO

Cette année, la Ferrari F355 Berlinetta souffle ses 30 bougies ! Une voiture emblématique des années 90, qui avait eu droit à une version plus radicale : la F355 Challenge. L'un des 108 exemplaires est d'ailleurs actuellement en vente. La Challenge était la version radicale de la Ferrari F355 Berlinetta, celle qui était destinée à enchaîner les tours sur circuit et à faire tomber les chronos. Visuellement, elle se démarque avec ses boucliers spécifiques et son aileron arrière fixe. L'exemplaire qui est en vente est chaussé de jantes noires de 18 pouces.  L'habitacle est complètement dépouillé, aux antipodes de celui d'une F355 Berlinetta. Sièges baquets Cobra, contreportes allégées, console central brute... Tout est fait pour alléger la voiture et plonger le pilote dans l'ambiance de la course automobile.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Cet exemplaire n'est pas dans un état exceptionnel. On voit clairement qu'il a été utilisé par ses précédents propriétaires. Certaines égratignures témoignent du passé de la voiture, que ce soit à l'extérieur ou à l'intérieur. Sous le capot, en position centrale arrière, la F355 Challenge embarque un V8 3.5 qui produit 380 chevaux, comme la version Berlinetta. Elle avait en revanche droit à des améliorations côté châssis, ainsi qu'à un échappement spécifique, entre autres. Seuls 108 exemplaires ont été produits, il est donc étonnant de voir les enchères stagner aux alentours des 120.000 euros.

Dévoilée pour la première fois au Salon de Genève, en février dernier, la Renault 5 E-Tech se paie déjà le luxe de s'offrir une série spéciale. Celle-ci sera exposée du 20 mai au 9 juin à Roland-Garros et en reprendra d'ailleurs le nom, pour sceller le partenariat entre la marque au losange et le célèbre tournoi de tennis parisien. Depuis 2022, Renault est le partenaire principal du tournoi Roland-Garros. L'occasion de régulièrement mettre en avant de nouveaux modèles et s'afficher sur l'événement. Mais cette année, la feuille de route est toute trouvée, quelques semaines après la première présentation mondiale de la R5 E-Tech, attendue depuis 3 ans. La petite citadine électrique a déjà droit à une série spéciale, baptisée Roland-Garros, pour réaffirmer son engagement auprès du tournoi. L'année dernière, Renault avait déjà annoncé être en train de travailler sur cette série spéciale de la R5 E-Tech. Visuellement, elle adopte un look plus sportif que les versions présentées à Genève en février. Le nuancier ne comporte que 4 teintes, toutes exclusives à cette série Roland-Garros : le Blanc Nacré, le Bleu Nocturne, le Noir Étoilé et le Gris Schiste Mat. Peu importe la couleur choisie, la voiture se pare d'un insert décoratif en chrome satiné sur le pourtour du toit. L'ensemble repose sur des jantes spécifiques de 18 pouces.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Renault 5 E-Tech : motorisations, batteries, finitions… Tous les détails de la citadine électrique

À peine quelques semaines après avoir été présentée officiellement, la Renault 5 E-Tech s'offre déjà une série spéciale, baptisée Roland-Garros. Celle-ci sera révélée pendant le célèbre tournoi de tennis, entre le 20 mai et le 9 juin. Le tennis et Renault, c'est une affaire qui roule. Depuis 2022, la marque au losange est en effet partenaire principale du tournoi Roland-Garros. Alors, à l'occasion de l'édition 2024, Renault présentera la toute première série spéciale de sa R5 E-Tech. Baptisée R5 E-tech Roland-Garros, celle-ci a droit à un nuancier de teintes exclusives : le Bleu Nocturne, le Noir Étoilé, le Blanc Nacré et le Gris Schiste Mat. Elle se pare également d'un insert en chrome brossé sur le contour du toit, ainsi que de jantes de 18 pouces spécifiques. On retrouve également des évocations au tennis disséminés sur la carrosserie.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} L'habitacle se pare d'une sellerie gris clair en tissu recyclé, rehaussée par du bleu sur les maintiens latéraux des sièges. Les dossiers reçoivent des broderies à l'effigie du tournoi parisien. On retrouve l'inscription "Roland-Garros Paris" à côté de l'écran central, tandis que certaines zones reprennent la couleur de la terre battue. Certaines garnitures font aussi penser au revêtement des manches de raquettes de tennis.

Lotus a dévoilé les clichés de l'Evjia X, la version la plus extrême de l'hypercar 100 % électrique de la firme britannique. Conçu pour la chasse au chrono sur le circuit le plus dur au monde, l'Evija X a signé un chrono stratosphérique, la mettant sur le podium des voitures les plus rapides sur l'Nürburgring. Qui se souvient de la Lotus Evija ? Cette hypercar 100 % électrique se devait d'être une grande croqueuse de Rimac C-Two à sa sortie en 2019, avec pas moins de 1.500 kW et 1.700 Nm de couple maxi, aux quatre roues. Lotus a vu en cette hypercar à la puissance démesurée une bonne base de travail afin de réaliser le tour chrono le plus rapide de tous les temps sur le tracé le plus difficile de la planète : le Nürburgring. Ce sont dans ces conditions que nait la Lotus Evija X. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Jenson Button reçoit sa Lotus Evija peinte aux couleurs de son ancienne Formule 1

Il n'est pas rare de voir des accidents impliquant des chauffards au volant de voitures bien trop nerveuses pour eux. Malheureusement, le modèle qui est impliqué cette fois fait encore plus parler, étant donné qu'il s'agit d'une Ferrari F40. Un exemplaire de cette supercar mythique a malencontreusement fini encastré dans le mur d'un tunnel, en Allemagne, alors qu'un jeune homme de 24 ans était à son volant. Ce dernier était chargé d'emmener la voiture pour qu'elle soit exposée sur un salon. Apparemment, les visiteurs l'attendent toujours… La plupart du temps, lorsque l'on parle d'accidents de voitures, il est question de Ford Mustang, de BMW M3 ou encore de Mercedes-AMG C63. Les personnes qui se retrouvent sur le siège du conducteur de ces bolides ont souvent tendance à surévaluer leurs capacités de pilotes et, à l'inverse, de sous-estimer les performances dont ces voitures sont capables. Un cocktail parfait pour terminer sa course dans un mur ou dans un fossé, le plus souvent de manière ridicule. Malheureusement, cette fois, il s'agit d'une voiture bien plus exceptionnelle et bien plus rare qu'une banale Ford Mustang. Remettons les choses dans leur contexte. Il y a quelques jours se tenait le salon Motorworld, en Allemagne. À cette occasion, un concessionnaire spécialisé dans les modèles exclusifs a décidé d'aller exposer une supercar sur l'événement. Alors, quoi de mieux qu'une Ferrari F40 ? Réponse : une F40 qui arrive au salon sans encombre...{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Le meilleur restomod de Ferrari Testarossa est signé Officine Fioravanti !

Czinger, un petit constructeur américain, a publié les premiers clichés du second véhicule de sa récente histoire : la 21 C « El Mirage ». D'après Lukas Czinger, son concepteur, cette hypercar trouve son inspiration dans l'aviation militaire.  Czinger possède un destin peu commun. Fondée en 2019 par Kevin Czinger, la société américaine souhaite vendre un véhicule qui concurrencerait les hypercars les plus rapides du monde, tout en étant fabriqué en 3D. Le genre d'histoire folle, vue et revue dans l'histoire automobile, mais qui débouche parfois sur des réalisations finales originales.  La Czinger 21C est la première voiture au monde à être conçu par l'Homme et l'IA et imprimé en 3D. Une véritable prouesse technologique pour un si petit constructeur. Son tout premier exemplaire devait sortir en 2020, mais la pandémie en a décidé autrement. Le projet 21C est remis au fond du garage pour quelque temps, jusqu'à sa reprise en 2022. Deux ans plus tard, le Czinger 21C fait son grand retour sous une nouvelle livrée : la « El Mirage ». {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Czinger 21C, découverte en vidéo de cette hypercar de 1250 chevaux

Skoda profite de cette série de photos pour dévoiler un étonnant concept, une voiture de sport 100 % électrique jouable dans Gran Turismo sur Playstation. A l'image de nombreux constructeurs comme Mazda, Peugeot ou encore Volkswagen, Skoda propose désormais son concept Vision GT, un hommage à la Skoda 1100 OHC Spider de 1957. Jouable dans le célèbre jeu vidéo Gran Turismo sur les consoles PlayStation, ce dernier, à l'allure des plus originales, n'est autre qu'une voiture de sport 100 % électrique. Lire aussi : Skoda fait son entrée dans le programme « Vision Gran Turismo » Equipée de quatre moteurs électriques, un par roue, associés à une batterie d'une capacité de 87 kWh, elle dispose d'une puissance de 800 kW (soit 1071 chevaux) pour 1020 Nm de couple.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Ce premier concept Vision GT de Skoda est disponible avec la mise à jour 1.46 d'avril de Gran Turismo 7 (disponible dès le 25 avril 2024).

Skoda a dévoilé un concept-car « Vision Gran Turismo » destiné à être jouable dans le jeu « Gran Turismo 7 ». La marque tchèque se retrouve dans la licence de Polyphony Digital pour la première fois de son histoire. Habituellement, Skoda passe du réel au virtuel sur des jeux de rallye, avec la série des WRC depuis 2003. Ici, la marque tchèque prend un autre tournant et cherche à se faire connaître sur l'un des titres automobiles les plus connus du marché : Gran Turismo 7. Pour cela, Skoda a mis les petits plats dans les grands, en proposant le premier véhicule de son histoire pour la licence de Polyphony Digital : voici le Skoda Vision Gran Turismo.  Lire aussi : ESSAI – Skoda Kodiaq (2024) : le meilleur SUV familial ?

Sur le site SBX de la youtubeuse Supercar Blondie, un exemplaire très spécial de Prototype d'une Ferrari LaFerrari va être mis aux enchères. S'il est moins cher que le modèle de série, il est surtout beaucoup moins rapide.  Il s'agit d'un des trois prototypes ayant servi au développement de la Ferrari LaFerrari qui a vu le jour en 2013. Son nom de code est F150 Protipo Preserie PS1 et étant donné qu'il s'agit d'un prototype de troisième phase, il se rapproche énormément du modèle final. Malheureusement celui-ci n'est pas homologué pour la route, ce qui est souvent le cas avec ce genre de voitures, pour s'amuser il faudra donc l'emmener sur circuit. Malgré tout, les enchères sont montées jusqu'à plus de 900.000 euros. Cet exemplaire affiche 16.000 km au compteur, mais il a été bridé à 50 km/h, pas de quoi tester la réelle puissance de cette hypercar. La Ferrari LaFerrari a été produite en très petite quantité, seulement 500 exemplaires et vendue à des clients méticuleusement sélectionnés. En même temps, il faut mériter le fait de mettre les mains sur cette voiture équipée d'un V12 hybride 6,3 litres qui développe 950 chevaux et plus de 900 Nm de couple.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} (Crédit photos : SBX Cars)

On a l'habitude de configurer des voitures qu'on ne peut pas se payer. Alors, une fois n'est pas coutume, on s'est dit qu'on pourrait réitérer l'expérience avec un modèle sportif plus abordable, que l'on pourrait même acheter sans hypothéquer sa maison. À 40.200 euros avant options, la Ford Focus ST coche toutes les bonnes cases… Il y a quelques années, quand Ford a décidé de ne pas donner de suite à sa Focus RS, les passionnés ont eu le cœur brisé. Il faut dire que cette compacte ultra énervée a marqué son époque, au travers de 3 générations iconiques. Fort heureusement, on peut toujours se consoler avec la déclinaison ST, moins puissante certes, mais qui a au moins le mérite d'être relativement accessible, avec un prix de base fixé à 40.200 euros. La bonne nouvelle, c'est qu'on n'a pas réussi à faire exploser la note, même en ajoutant quelques options. La Ford Focus ST embarque un bloc EcoBoost 2.3 de 280 chevaux, associé à une boîte de vitesses manuelle à 6 rapports qui envoie la puissance aux roues avant. La marque annonce un 0 à 100 km/h abattu en 5,7 secondes, tandis que la vitesse maximale est bridée électroniquement à 250 km/h. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Ford Focus : la compacte à l'ancienne, à partir de 30.550 euros

Peugeot est le dernier constructeur français à faire honneur au segment des berlines. Avec sa 508, la marque au lion s'aligne en face des BMW Série 3 et autres Mercedes Classe C. Mais même avec un tarif de base fixé à plus de 45.000 euros, peut-elle vraiment espérer les inquiéter ? L'année dernière, Peugeot a offert une deuxième génération à sa berline, la 508. Cette dernière est d'ailleurs la dernière représentante de cette espèce parmi les constructeurs français, Citroën et Renault ayant définitivement jeté l'éponge. C'est donc à la lionne que revient la lourde tâche de rappeler aux Allemandes qu'elles ne sont pas seules sur le marché. Avec son design flatteur et sa qualité d'assemblage, on pourrait se dire que la mission est déjà à moitié accomplie.  Il faut dire que ses lignes élancées et sa poupe façon fastback permettent à la Peugeot 508 de se démarquer de ses concurrentes. En réalité, elle est même davantage en concurrence avec une Série 4 Gran Coupé qu'avec une Série 3. D'autant que son restylage a permis de la remettre à niveau, tant esthétiquement grâce à sa nouvelle signature lumineuse, que technologiquement.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Peugeot 2008 : à partir de 26.500 euros, peut-il s'en sortir face au Renault Captur ?

Un carrossier argentin a eu une idée originale pour personnaliser sa Renault Twingo. Il a décidé de la transformer en pick-up ! Mieux, le résultat final est de très bonne facture. Swaps moteur, tuning extérieur et intérieur … Il a déjà été prouvé que tout est transformable et adaptable dans le monde de l'automobile. A condition d'avoir les bons outils et les compétences qui vont avec. Et quand les moyens financiers manquant à l'appel, il suffit de faire avec ce qui dort dans le garage. C'est l'histoire d'un argentin carrossier et passionné d'automobile. Non content d'avoir les moyens pour acheter un véritable pick-up, il décide de passer sa petite Renault Twingo à la disqueuse !  {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : La nouvelle Renault Twingo électrique va vous rappeler de bons souvenirs

Récemment, une Porsche 919 Hybrid d'endurance a fait sensation avec un look tout à fait inhabituel. Ce sont les ingénieurs Porsche qui ont greffé des chenilles à cette voiture afin de pouvoir l'emmener sur les routes enneigées.  Vous vous souvenez peut-être du Tesla Cybertruck qui avait enflammé la toile après avoir été transformé en chasse-neige (à lire : ce Cybertruck ne craint plus la neige avec ses chenilles). Eh bien ce coup-ci, ce n'est pas un Pick-up électrique, mais une véritable voiture de course qui a subi cette transformation. Et les personnes présentes à l'évènement Car Design à Munich ont été pour le moins surprises en voyant cette voiture débarquer. Après une carrière de deux ans en Championnat du monde d'endurance, la Porsche 919 Hybrid a été déclinée en une version encore plus radicale, la Porsche 919 Hybrid Evo. Mais on ne s'attendait pas à ce qu'elle soit transformée à nouveau, et encore moins sous cette forme.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Porsche Cayenne GTS : vous reprendrez bien un peu de sport ?

Fiche Technique - Toutes les informations, caractéristiques techniques, finitions, motorisations et prix de la Suzuki Swift (2024) 1.2 Hybrid (3 cylindres essence + micro-hybridation, 82 ch, finition Pack, à partir de 19.890 €)   Suzuki Swift : sur le même thème ESSAI – Suzuki Swift (2024) : pourquoi faire compliqué ? PHOTOS - Suzuki Swift (2024) à l'essai : au volant du poids-plume japonais, nos images Pour aller plus loin : Suzuki Swift : 5 anecdotes que vous ne connaissez pas sur le best-seller du constructeur japonais Suzuki Swift (2024) : Toujours aussi accessible, à moins de 19.000 €

Une curieuse Porsche 911 vert olive a été restaurée et mise en vente sur un site aux enchères américain. En effet, sous cette robe datant des années 60, elle cache des atours bien plus modernes que sa ligne. Le phénomène du restomod est désormais installé dans le paysage automobile mondial. Partir d'un ancien modèle et le mettre techniquement à jour est une pratique devenue acceptable, même chez les puristes. Or, une autre tendance venue d'Amérique commence tout doucement à se faire une place au soleil : le backdating. Cette technique de restauration est généralement réalisée sur certaines anciennes à la banque de pièces illimitées, à l'image de cette intrigante Porsche 911.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Backdating : L'Antagoniste du Restomod, qu'est ce que c'est ?

Pure Breed Factory, une société canadienne spécialisée dans le backdating Porsche, a produit un superbe exemplaire vert olive. Celui-ci a été vendu aux enchères contre un chèque "raisonnable" de 148.000 dollars, soit environ 138.500 euros. La base technique de cette Porsche 911 backdatée date de 1985. Les boucliers avant et arrière reprennent le style de la 911 Carrera 2.7 RS. Ses ailes en acier sont considérablement élargies. La face avant reçoit de nouvelles optiques lenticulaires. De profil, le coupé allemand reçoit la pose de stickers « Porsche » rouges. La caisse repose sur des jantes Fuchs à déport de 17 pouces. Le nom de la marque allemande est aussi présent en grandes lettres sur le capot. La grille personnalisée cache un écusson lumineux « 3.6 » en son centre. Enfin, les optiques arrière reprennent le dessin de la 911R de 1967. Lire aussi : Cette Porsche 911 restaurée est bien plus moderne que vous ne le pensez Les sièges de série ont été remplacés par des baquets Recaro en cuir noir. L'assise et le dossier reçoivent des pièces de tissu à motif pied-de-poule. Ce dernier se retrouve aussi sur les panneaux de porte et le tableau de bord. Des ceintures de sécurité et des poignées de portes rouges donnent un peu de gaieté à cet intérieur noir et blanc. Le volant MOMO Prototipo gaîné de cuir est du plus bel effet. A noter, la présence d'un très beau pommeau de levier de vitesses en bois et d'un pédalier en aluminium. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Sous le capot, un Flat 6 3.6 associé à une boîte manuelle G50 à 5 rapports se chargent de déplacer le véhicule. Fait rare pour une Porsche restaurée, le totaliseur affiche 56.000 miles, soit environ 90.000 km. Il a rejoint son nouveau propriétaire contre un chèque de « seulement » 148.000 dollars (138.500 €).