Opel voulait participer à l'essor GTI incarné par les Peugeot 205 et Volkswagen Golf éponymes. La marque allemande ne rate pas le train et propose une méchante version de sa petite Corsa en 1987. Voici l'histoire de l'Opel Corsa GSi. La vague GTI commençait à happer toute la scène automobile européenne dans les années 80. Jusqu'ici, la Volkswagen Golf GTI était bien seule, dans une catégorie qu'elle a littéralement crée en 1974. La citadine allemande n'a été rejointe qu'à partir de 1983, avec la Peugeot 205 GTI. Pour beaucoup de constructeurs, ce fut le point de départ d'une bataille sans précédent. Celui du train à ne surtout pas louper. Opel tend enfin la perche que la catégorie lui tend. Et il était temps : il n'y a plus qu'à travailler sur une version sportive de sa petite Corsa. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Opel Astra GSi 16v : Quand le Blitz s'énerve et veut foudroyer la catégorie

L'un des 37 exemplaires de la Kimera EVO37 Martini 7 a été mis en vente sur un site de vente de voitures de collection. Assurément l'un des restomods les plus désirables du marché.  Au commencement de l'histoire du restomod, il y avait les Américains. Ces derniers prenaient plaisir à moderniser leurs vieilles muscle cars avec des pièces modernes : châssis, moteur, traitement extérieur, habitacle, etc. Puis les Européens se sont emparés de cette mode.  Kimera fait partie des constructeurs les plus doués en la matière. En 2021, la société italienne a réalisé un incroyable restomod basé sur une des icones de l'époque glorieuse du Groupe B : la Lancia 037. Il était possible de la commander avec n'importe quelle nuance extérieure, ou d'opter pour la célèbre livrée « Martini 7 ». {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Kimera EVO38 : Le monstre à 4 roues motrices que Lancia aurait du avoir

La Kimera EVO37 fait partie des restomods les plus connus et les plus désirables au monde. Cette livrée "Martini 7" éditée à 37 exemplaires a permis de rendre la supercar italienne encore plus exclusive. En voici un exemplaire, qui risque d'être vendu à un prix très élevé. La face avant conserve les doubles optiques circulaires et la calandre des Lancia des années 80. La « Martini 7 » ajoute la livrée blanche éponyme et les doubles longues portées. Le capot avant est aéré par de nombreuses prises d'air. Le profil adopte des prises d'air NACA et un sticker latéral aux couleurs de la boisson alcoolisée. La mention « World Rally Champion » est apposée sur le bas des portes. Les jantes blanches adoptent un dessin différent de la EVO37 classique, faisant écho à la Delta Integrale. L'aileron fixe reçoit un adhésif "Martini Racing" sur ses deux faces. Les doubles sorties d'échappement sont peintes couleur carrosserie.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Kimera EVO37 Martini 7 : La Lancia 037 moderne la plus fidèle au Groupe B La sellerie Alcantara bleue recouvre l'intégralité du cockpit, des sièges baquets à planche de bord, en passant par les panneaux de portes ou encore la console centrale. Les harnais rouges à 5 points sont aux couleurs de Martini. Certaines pièces de l'intérieur sont en aluminium usiné, à l'image du levier de vitesse et de sa tringlerie apparente, ou encore des commandes sous la direction. Enfin l'instrumentation complète et les (nombreux) interrupteurs ont été conçus sur-mesure. Pour se l'offrir via un célèbre site de ventes aux enchères, il faudra s'alléger d'un chèque de plus de 1,4 million de £, soit environ 1,65 million d'euros.

Pininfarina et Warner Bros ont entamé un partenariat en vue de créer deux éditions spéciales pour ses deux hypercars électriques : les Battista et Barchetta B95. Celles-ci sont nommées respectivement Gotham et Dark Knight, en référence à Batman. Il fut un temps où Batman arpentait Gotham City au volant d'une Batmobile, un long véhicule surmotorisé et dénué de toute considération écologique. Mais depuis quelque temps, Bruce Wayne cherche à assagir son garage. Les Lamborghini Murciélago, Mercedes AMG Vision GT, et autres Thumbler ne sont plus dans l'air du temps.  Quoi de mieux qu'une Batmobile 100 % électrique pour se faire encore plus discret dans la pénombre ? C'est l'idée qu'a eu Pininfarina, en proposant deux séries limitées de ses Battista et Barchetta B95, "Gotham" et "Dark Knight", basées sur l'univers de Batman. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Cette édition spéciale de la Pininfarina Battista se dégourdit les roues sur le circuit de Monaco !

Pininfarina et Warner Bros ont établi un partenariat dans le but de créer deux autos inspirées de l'univers de Batman. La maison de style italienne s'est basée sur ses deux hypercars électriques : les Battista et Barchetta B95. La collaboration a donné naissance à deux séries spéciales : "Gotham" et "Dark Knight". La Gotham se  reconnait grâce à sa peinture Argento Vittorio, associée à un toit noir brillant. L'extérieur adopte de nouveaux doubles ailerons sur la malle arrière et des jupes latérales en fibre de carbone. Le logo « F » de la marque est rétroéclairé sur le capot. Les jantes en alliage de 20 pouces à l'avant et de 21 pouces à l'arrière sont peintes en noir mat.  A bord, la Gotham se distingue par une sellerie cuir bicolore marron et noire. L'emblème « Wayne Enterprises » est embossé dans l'appuie-tête des sièges baquets.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Pininfarina transforme les Battista et Barchetta B95 en Batmobiles écologiques La Dark Knight se dote d'une peinture noire Nero Profondo à reflets bleus. Le toit noir brillant et les jantes grises à 10 doubles branches de 20 et 21 pouces diffèrent de la Gotham.  La sellerie cuir et Alcantara noire est seulement soulignée de surpiqures jaunes. Ces dernières sont aussi présentes sur le volant et la planche de bord.

La Peugeot 309 GTI a toujours eu vocation à intégrer le sport automobile grâce à son châssis très vivant et son moteur rageur. Mais ce n'était pas suffisant pour le propriétaire de cet exemplaire, qui a eu un budget illimité pour la transformer en monstre de rallye homologué pour la route. La carrosserie inédite est en composite sur-mesure. Elle comprend un toit en fibre de carbone et un arceau de sécurité complet soudé. Les ailes sont élargies et remplies par des jantes blanches de rallye de 16 pouces. A l'arrière, l'échappement migre au centre. A bord, le cockpit est entièrement vidé. La planche de bord est reconstruite dans un matériau léger et intègre plusieurs nouveaux manomètres. Les sièges avant sont remplacés par des sièges baquets. Des harnais à 6 points sont présents pour assurer leur maintien au siège sur chaque accélération de ce monstre. Le volant 4 branches de série est remplacé par un cerceau OMP tulipé. Le frein à main hydraulique est de mise pour parfaitement négocier les épingles. Seule l'instrumentation est d'origine.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Peugeot 309 Maxi : un délire d'ingénieur homologué pour la route ! Sous le capot, la 309 GTI est devenue un véritable monstre. Le moteur d'origine a laissé sa place à un bloc de 306 S16 muni de pistons et de bielles forgées. Celui-ci est associé à une boîte à crabots et 6 rapports. Le moteur a reçu l'apport d'un compresseur Rotrex. Au total, la sportive sochalienne crache désormais 370 ch pour seulement 910 kg.  Elle est actuellement mise en vente sur un site d'enchères anglais, avec une estimation comprise entre 40 et 50.000 £, soit une fourchette allant de 45 à 55.000 €.

Un propriétaire britannique s'est fait un plaisir sans commune mesure : il a transformé la Peugeot 309 GTI de sa jeunesse en un véritable monstre de rallye homologué pour la route.  Que se passerait-il si votre patron vous laissait un budget illimité pour transformer votre première voiture ? Un ingénieur britannique a eu droit à un joli coup de pouce financier pour l'aider à personnaliser sa Peugeot 309 GTI de 1989. La Sochalienne est apparue comme totalement transformée, après de lourdes modifications fournies grâce à un budget illimité ! Lire aussi : La Peugeot 309 la plus rare de l'histoire approche les 50.000€ aux enchères

Le Grand Prix d'Imola 1994 a été marqué d'une pierre blanche par les décès de deux pilotes. Il y a 30 ans jour pour jour, Roland Ratzenberger, le premier d'entre eux, perdait la vie durant les qualifications du Grand Prix de San Marin.  Pour beaucoup, Roland Ratzenberger est un nom qui n'évoque pas grand-chose dans le sport automobile. Le pilote autrichien a poursuivi jusqu'au bout de sa vie son plus bel objectif : piloter une Formule 1. Il débute sa carrière en Formule Ford en 1983. Il enchaine ensuite la Formule 3 britannique, le championnat du monde de voitures de tourisme, l'endurance au Japon, jusqu'à une participation aux 24 Heures du Mans en 1993, qu'il termine en cinquième position.  Une carrière honorable qui lui ouvre les portes de la discipline reine en 1994, dans l'écurie Simtek Ford, aux côtés de David Brabham, le fils de Jack. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : FORMULE 1 - SAISON 2024 : découvrez le calendrier des 24 grands prix !

TWR a publié les premiers clichés de son futur véhicule : un restomod de la Jaguar XJS appelé « Supercat ». Son kit carrosserie extra-large en fibre de carbone la destinerait presque à la course. Inhabituel, pour ce long coupé luxueux des années 70. TWR, trois lettres chargées d'histoire, pour l'automobile britannique. Cette division sportive possède un partenariat rapproché avec Jaguar depuis la fin des années 70. Grâce à la Tom Walkinshaw Racing, Jaguar a participé et remporté les 24 Heures du Mans en 1988 et 1990, avec la XJR-14. Les plus avisés se souviennent aussi de sa participation dans la mise au point de la Renault Clio V6 de 1999.  Mais ici, il est question d'une renaissance complète. TWR étant en sommeil depuis 2003, il fallait viser grand pour marquer son retour sur le devant de la scène. Quoi de mieux qu'un restomod sur un ancien modèle iconique pour relancer la machine ? Voici la TWR Supercat. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : La légendaire Mercedes 190E 2.5-16 Evo II bientôt de retour en restomod

Bentley a présenté une série spéciale « Apex Edition » de son Bentayga. Qualifiée de « Bentley la plus dynamique de tous les temps » par le constructeur lui-même, cette version sportive sera éditée à 20 exemplaires. Chez Bentley, le monde connaissait le SUV de grand luxe, avec le Bentayga. Le programme Mulliner permet d'aller encore plus loin dans la personnalisation, à mesure que votre portefeuille vous l'autorise. Jusqu'ici, tout va bien, chez l'un des constructeurs de luxe les plus connus au monde. Mais ici, c'est une face inhabituelle que le constructeur britannique  dévoile au grand jour. Voici désormais le SUV de sport à l'anglaise : le Bentley Bentayga « Apex Edition ». {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Bentley a dévoilé le premier exemplaire bicolore de son Bentayga … et ce n'est vraiment pas beau !

Ferrari a poursuivi la tradition des berlinettes à moteur V12 à l'avant, avec la 599 GTB Fiorano, en 2006. La marque italienne a remplacé les 550M et 575M en poussant le 12 cylindres en V de leur remplaçante à une puissance quasiment équivalente à la mythique Enzo. Ferrari vivait une période faste, durant les années 2000. La F430 était un carton commercial. La 612 Scaglietti poursuivait une carrière honorable, au sommet de la gamme. Seule ombre au tableau, le duo 550M et 575M Maranello commençait à accuser le poids des années. Leur origine remonte à 1999. Tout de même !  Il fallait trouver un moyen de conserver une berlinette à moteur V12 dans la gamme, tout en intégrant les nouveaux codes stylistiques, observés dans la F430. C'est ainsi qu'est née en 2006 la Ferrari 599 GTB Fiorano. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Ferrari F355 : l'icône des années 90 fête ses 30 ans !

Un designer 3D américain a imaginé une potentielle version Shooting Brake de l'actuelle Civic Type R FL5. Le résultat est à la fois surprenant et équilibré. Honda a lancé la Civic Type R sur le marché depuis 1998, au nom de code « EK4 ». Son arrivée en Europe en 2001 a coïncidé avec un nouveau design mi-compacte, mi-monospace, avec la « EP3 ». Mais quid d'une autre version encore plus originale, avec une Shooting Brake ? C'est précisément sur cette idée que Rain Prisk, un designer 3D américain, a décidé de se lancer.  Lire aussi : ESSAI - Honda Civic Type R (2023) : la meilleure traction au monde

Citroën a lancé la C3 il y a près de 25 ans, en 2001. Véritable citadine à succès, la C3 s'est démarquée par sa silhouette rondouillarde et rassurante, aux côtés de la C2 au style plus dynamique. Elle est aussi devenue un démonstrateur interne de la marque aux Chevrons.  En 2001, Citroën a mis le paquet pour remplacer la vénérable Saxo en entrée de gamme avec deux modèles originaux pour la catégorie : le duo C2/C3. La première nommée était exclusivement vendue en 3 portes, avec un style plus dynamique pour attirer les jeunes. La seconde adopte un style beaucoup plus rond et apaisant. Près de 25 ans plus tard, les deux véhicules ont permis à Citroën de proposer plusieurs curiosités diverses et variées à leur clientèle tout au long de leur carrière, dont voici un petit florilège.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Nouvelle Citroën C3 : elle arrive au catalogue à partir de 14.990 euros 1 - La Citroen C3 a inauguré des assistances à la conduite

Mechatronik, un garage allemand spécialisé dans les Mercedes d'hier et d'aujourd'hui, a mis la main sur une rare Mercedes Mercedes SL 73 AMG. Elle était abandonnée par son propriétaire depuis près de 20 ans.  Cet exemplaire fait partie des 85 unités fabriquées entre 1999 et 2001. Sa robe Amberrot est unique au monde.Après avoir été révisé deux fois en 2003 et 2005, il a été mis en sommeil sur une place de parking pendant 17 ans. Cette configuration est si spéciale que le garage de Pleidelsheim, non loin de Stuttgart, a décidé de racheter le véhicule à son propriétaire ! Lavage complet, révision moteur, et tests sur route : le cabriolet de luxe est de nouveau opérationnel ! Lire aussi : Cette Mercedes SL 73 AMG renaît de ses cendres après 20 ans à l'abandon A bord, le propriétaire initial a opté pour une sellerie cuir bicolore Designo noire et rouge. La console centrale est réalisée en fibre de carbone teintée en rouge. Sous le capot V12 7.3 développe 525 ch et 750 Nm de couple maxi sur les roues arrière. AMG a opté pour une transmission automatique à 5 rapports. L'exercice du 0 à 100 km/h est balayé en 4,8 s, et la vitesse maxi est bridée à 250 ou 300 km/h, à l'appréciation du client.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Une rare Mercedes SL 73 AMG a retrouvé son lustre d'antan après avoir été abandonnée pendant près de 20 ans. La configuration de cet exemplaire fait partie des plus belles parmi les 85 unités fabriquées.  Les sorties de grange refont surface, après un hiver difficile et un printemps qui l'est tout autant. Les chasseurs de pépites abandonnées reprennent du service face aux autos les plus rares laissées à l'abandon par leur propriétaire. Les hommes de Mechatronik, un garage allemand, ont mis la main sur un modèle exceptionnel : une rare Mercedes SL 73 AMG.  Lire aussi : VIDEO - Mercedes SL 63 AMG : premier contact avec ce roadster de presque 600 chevaux

Fiat a cherché à développer la gamme de sa minuscule Cinquecento dans les années 90. De la série spéciale accessible à la version haut-de-gamme inattendue, la marque transalpine a tout fait pour faire durer aussi longtemps que possible son minuscule pot de yaourt sur le marché. Illustration, avec une rarissime « Suite », une version haut-de-gamme. Il fut un temps où pour se démarquer de la scène automobile, les séries spéciales étaient monnaie courante. Qu'elles soient orientées vers le luxe, le sport, la jeunesse ou le plaisir de conduire, les éditions limitées servaient surtout à écouler les stocks d'une manière originale.  A l'époque, la Fiat Cinquecento ne brillait pas par sa présentation spartiate. Essentiellement vendue en version S d'entrée de gamme, elle n'était pas forcément mise en valeur, en dépit d'un coup de crayon original. De nombreuses séries spéciales ont été lancées pour capitaliser sur son image de pot de yaourt sur roulettes. Voici l'une d'entre elles, considérée comme la mieux équipée de toute sa gamme : la Fiat Cinquecento « Suite ». {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Fiat 500 « Tributo Trepiuno » : l'hommage aux origines de la 500 moderne

Durant les années 2000, Mercedes a produit un OVNI dans sa gamme, avec l'appui d'AMG, son nouveau préparateur sportif, le C 30 AMG CDI. Il se présente encore aujourd'hui comme la seule Mercedes Diesel officiellement badgée AMG.  Les années 2000 sont un tournant pour AMG. Officiellement absorbé par Mercedes depuis 1999, le sorcier d'Affalterbach voit ses ventes exploser. Mieux, sa gamme sportive doit être élargie dans les prochaines années en produisant un moteur V8 qui intègrera l'éventail de modèles munis de l'Etoile.  Pendant ce temps, le Diesel surdomine le marché. Aucun constructeur ne pouvait se faire une place au soleil sans proposer un moteur nourri à ce carburant. Fort de sa réputation d'extrême fiabilité depuis près de 30 ans sur le Diesel, le constructeur de Stuttgart décide de travailler main dans la main sur un engin improbable : la Mercedes C 30 AMG CDI.  {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Mercedes AMG C63 : Vraiment mieux avant ?

Lassé de son impossible exploitation sur la route, le propriétaire de cette McLaren Elva blanche a décidé de la mettre en vente. Fait rare : son kilométrage est exactement le même qu'à sa sortie d'usine, soit seulement 11 km ! Le blanc brillant de cet exemplaire recouvre la majeure partie de la carrosserie, les jantes, les prises d'air et les rétroviseurs. Un liseré rouge souligne certaines lignes fortes, comme les jupes latérales, les prises d'air sur le bouclier arrière ou encore l'arête supérieure de l'aileron. A en croire sa plaque commémorative, cette Elva porte le n°83.  Lire aussi : Cette McLaren Elva est si difficile à exploiter qu'elle est restée neuve ! Le cockpit est totalement ouvert : aucun saute-vent n'est présent. Les sièges baquets sont recouverts de cuir rouge, avec un passepoil blanc. Quelques touches de fibre de carbone se manifestent sur la jante du volant, la planche de bord, ou encore panneaux de portes. Enfin, l'aluminium brossé complète la présentation intérieure de cet exemplaire au niveau des aérateurs.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} D'après un site de ventes de véhicules de collection, les enchères débuteront à partir du 9 mai prochain.  A en juger son état de conservation et son très faible kilométrage, il y a de grandes chances que cette McLaren Elva s'échange contre une somme conséquente, supérieure à son prix d'achat en 2020. 

Le propriétaire d'une rare McLaren Elva a décidé de mettre en vente son exemplaire sur un site de ventes aux enchères. Preuve de la difficulté de son exploitation, celle-ci n'affiche que 7 miles seulement, soit 11 km depuis sa sortie d'usine en 2019.  Posséder un véhicule d'exception est un objectif que beaucoup de passionnés d'automobile cherchent à atteindre, tout au long de leur vie. Peu importe le modèle, il se doit d'être en parfait état de fonctionnement pour procurer de vives émotions durant sa conduite. Mais il arrive que certains propriétaires fortunés ne puissent correctement utiliser leur exemplaire pour plusieurs raisons. Puissance, manque d'équipements, météo, ou les trois à la fois, cette rare McLaren Elva est restée quasiment neuve depuis sa sortie d'usine. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : McLaren Artura Spider : le premier sèche-cheveux hybride de Woking !