Fiat a cherché à développer la gamme de sa minuscule Cinquecento dans les années 90. De la série spéciale accessible à la version haut-de-gamme inattendue, la marque transalpine a tout fait pour faire durer aussi longtemps que possible son minuscule pot de yaourt sur le marché. Illustration, avec une rarissime « Suite », une version haut-de-gamme. Il fut un temps où pour se démarquer de la scène automobile, les séries spéciales étaient monnaie courante. Qu'elles soient orientées vers le luxe, le sport, la jeunesse ou le plaisir de conduire, les éditions limitées servaient surtout à écouler les stocks d'une manière originale.  A l'époque, la Fiat Cinquecento ne brillait pas par sa présentation spartiate. Essentiellement vendue en version S d'entrée de gamme, elle n'était pas forcément mise en valeur, en dépit d'un coup de crayon original. De nombreuses séries spéciales ont été lancées pour capitaliser sur son image de pot de yaourt sur roulettes. Voici l'une d'entre elles, considérée comme la mieux équipée de toute sa gamme : la Fiat Cinquecento « Suite ». {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Fiat 500 « Tributo Trepiuno » : l'hommage aux origines de la 500 moderne

Durant les années 2000, Mercedes a produit un OVNI dans sa gamme, avec l'appui d'AMG, son nouveau préparateur sportif, le C 30 AMG CDI. Il se présente encore aujourd'hui comme la seule Mercedes Diesel officiellement badgée AMG.  Les années 2000 sont un tournant pour AMG. Officiellement absorbé par Mercedes depuis 1999, le sorcier d'Affalterbach voit ses ventes exploser. Mieux, sa gamme sportive doit être élargie dans les prochaines années en produisant un moteur V8 qui intègrera l'éventail de modèles munis de l'Etoile.  Pendant ce temps, le Diesel surdomine le marché. Aucun constructeur ne pouvait se faire une place au soleil sans proposer un moteur nourri à ce carburant. Fort de sa réputation d'extrême fiabilité depuis près de 30 ans sur le Diesel, le constructeur de Stuttgart décide de travailler main dans la main sur un engin improbable : la Mercedes C 30 AMG CDI.  {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Mercedes AMG C63 : Vraiment mieux avant ?

Lassé de son impossible exploitation sur la route, le propriétaire de cette McLaren Elva blanche a décidé de la mettre en vente. Fait rare : son kilométrage est exactement le même qu'à sa sortie d'usine, soit seulement 11 km ! Le blanc brillant de cet exemplaire recouvre la majeure partie de la carrosserie, les jantes, les prises d'air et les rétroviseurs. Un liseré rouge souligne certaines lignes fortes, comme les jupes latérales, les prises d'air sur le bouclier arrière ou encore l'arête supérieure de l'aileron. A en croire sa plaque commémorative, cette Elva porte le n°83.  Lire aussi : Cette McLaren Elva est si difficile à exploiter qu'elle est restée neuve ! Le cockpit est totalement ouvert : aucun saute-vent n'est présent. Les sièges baquets sont recouverts de cuir rouge, avec un passepoil blanc. Quelques touches de fibre de carbone se manifestent sur la jante du volant, la planche de bord, ou encore panneaux de portes. Enfin, l'aluminium brossé complète la présentation intérieure de cet exemplaire au niveau des aérateurs.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} D'après un site de ventes de véhicules de collection, les enchères débuteront à partir du 9 mai prochain.  A en juger son état de conservation et son très faible kilométrage, il y a de grandes chances que cette McLaren Elva s'échange contre une somme conséquente, supérieure à son prix d'achat en 2020. 

Le propriétaire d'une rare McLaren Elva a décidé de mettre en vente son exemplaire sur un site de ventes aux enchères. Preuve de la difficulté de son exploitation, celle-ci n'affiche que 7 miles seulement, soit 11 km depuis sa sortie d'usine en 2019.  Posséder un véhicule d'exception est un objectif que beaucoup de passionnés d'automobile cherchent à atteindre, tout au long de leur vie. Peu importe le modèle, il se doit d'être en parfait état de fonctionnement pour procurer de vives émotions durant sa conduite. Mais il arrive que certains propriétaires fortunés ne puissent correctement utiliser leur exemplaire pour plusieurs raisons. Puissance, manque d'équipements, météo, ou les trois à la fois, cette rare McLaren Elva est restée quasiment neuve depuis sa sortie d'usine. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : McLaren Artura Spider : le premier sèche-cheveux hybride de Woking !

Volkswagen a produit le Caddy dans une version pick-up entre 1979 et 1992. Si sa diffusion était honnête pendant sa fabrication, le Caddy pick-up a observé un regain d'intérêt conséquent depuis les années 2000, avec de nombreux projets personnalisés, à l'image de cet exemplaire « GTI ». Ne vous méprenez pas : Volkswagen n'a jamais sorti le Caddy GTI. Or, au vu de la banque de pièces quasi-illimitée du groupe VAG, l'idée aurait pu traverser l'esprit des concepteurs allemands. C'est le projet dans lequel ce propriétaire américain s'est lancé. Le résultat est de bonne facture : voici le Volkswagen Rabbit Pick-up GTI.  Lire aussi : Volkswagen Golf : 50 ans et encore toutes ses dents !

Un propriétaire américain a maquillé son Volkswagen Rabbit Pick-up en version sportive GTI. Pour que le résultat soit convaincant, il a pioché dans une quantité conséquente de pièces issues de plusieurs Volkswagen Golf GTI de millésimes différents. La nuance gris métallisé « Atomic Silver » est d'origine Lexus. La face avant possède un bouclier avant rapproché et dépourvu de ses clignotants. Il fait partie des éléments piochés sur la version sportive comme le ramasse-miettes à l'avant, les vitres avant ou encore les deux rétroviseurs extérieurs. Le véhicule repose sur des jantes ATS de 14 pouces. Il perd 40 mm de hauteur de caisse grâce à la présence de combinés filetés Bilstein. La poupe est immaculée, à l'image du bouclier arrière dont le chrome brille désormais de mille feux. Cerise sur le gâteau, un logo « GTI » fait son apparition sur la calandre. Lire aussi : A quoi ressemblerait la Volkswagen Caddy pick-up, si elle était sortie en version GTI ? A bord, le velours et le cuir rouge du tableau de bord rappellent le luxe de certaines productions américaines. La planche de bord et l'instrumentation complète ont été empruntés à une Rabbit GTI Mk1 locale. La climatisation et la direction assistée ont été intégrées grâce à un assemblage de pièces récupérées sur une Golf Cabriolet. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Le moteur est un 4 cylindres 1.8 de 112 ch emprunté à une Volkswagen Golf II GTI 8S. Il est associé à une inédite boite manuelle à 5 rapports.

Lotus a dévoilé les clichés de l'Evjia X, la version la plus extrême de l'hypercar 100 % électrique de la firme britannique. Conçu pour la chasse au chrono sur le circuit le plus dur au monde, l'Evija X a signé un chrono stratosphérique, la mettant sur le podium des voitures les plus rapides sur l'Nürburgring. Qui se souvient de la Lotus Evija ? Cette hypercar 100 % électrique se devait d'être une grande croqueuse de Rimac C-Two à sa sortie en 2019, avec pas moins de 1.500 kW et 1.700 Nm de couple maxi, aux quatre roues. Lotus a vu en cette hypercar à la puissance démesurée une bonne base de travail afin de réaliser le tour chrono le plus rapide de tous les temps sur le tracé le plus difficile de la planète : le Nürburgring. Ce sont dans ces conditions que nait la Lotus Evija X. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Jenson Button reçoit sa Lotus Evija peinte aux couleurs de son ancienne Formule 1

Czinger, un petit constructeur américain, a publié les premiers clichés du second véhicule de sa récente histoire : la 21 C « El Mirage ». D'après Lukas Czinger, son concepteur, cette hypercar trouve son inspiration dans l'aviation militaire.  Czinger possède un destin peu commun. Fondée en 2019 par Kevin Czinger, la société américaine souhaite vendre un véhicule qui concurrencerait les hypercars les plus rapides du monde, tout en étant fabriqué en 3D. Le genre d'histoire folle, vue et revue dans l'histoire automobile, mais qui débouche parfois sur des réalisations finales originales.  La Czinger 21C est la première voiture au monde à être conçu par l'Homme et l'IA et imprimé en 3D. Une véritable prouesse technologique pour un si petit constructeur. Son tout premier exemplaire devait sortir en 2020, mais la pandémie en a décidé autrement. Le projet 21C est remis au fond du garage pour quelque temps, jusqu'à sa reprise en 2022. Deux ans plus tard, le Czinger 21C fait son grand retour sous une nouvelle livrée : la « El Mirage ». {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Czinger 21C, découverte en vidéo de cette hypercar de 1250 chevaux

Skoda a dévoilé un concept-car « Vision Gran Turismo » destiné à être jouable dans le jeu « Gran Turismo 7 ». La marque tchèque se retrouve dans la licence de Polyphony Digital pour la première fois de son histoire. Habituellement, Skoda passe du réel au virtuel sur des jeux de rallye, avec la série des WRC depuis 2003. Ici, la marque tchèque prend un autre tournant et cherche à se faire connaître sur l'un des titres automobiles les plus connus du marché : Gran Turismo 7. Pour cela, Skoda a mis les petits plats dans les grands, en proposant le premier véhicule de son histoire pour la licence de Polyphony Digital : voici le Skoda Vision Gran Turismo.  Lire aussi : ESSAI – Skoda Kodiaq (2024) : le meilleur SUV familial ?

Un carrossier argentin a eu une idée originale pour personnaliser sa Renault Twingo. Il a décidé de la transformer en pick-up ! Mieux, le résultat final est de très bonne facture. Swaps moteur, tuning extérieur et intérieur … Il a déjà été prouvé que tout est transformable et adaptable dans le monde de l'automobile. A condition d'avoir les bons outils et les compétences qui vont avec. Et quand les moyens financiers manquant à l'appel, il suffit de faire avec ce qui dort dans le garage. C'est l'histoire d'un argentin carrossier et passionné d'automobile. Non content d'avoir les moyens pour acheter un véritable pick-up, il décide de passer sa petite Renault Twingo à la disqueuse !  {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : La nouvelle Renault Twingo électrique va vous rappeler de bons souvenirs

Une curieuse Porsche 911 vert olive a été restaurée et mise en vente sur un site aux enchères américain. En effet, sous cette robe datant des années 60, elle cache des atours bien plus modernes que sa ligne. Le phénomène du restomod est désormais installé dans le paysage automobile mondial. Partir d'un ancien modèle et le mettre techniquement à jour est une pratique devenue acceptable, même chez les puristes. Or, une autre tendance venue d'Amérique commence tout doucement à se faire une place au soleil : le backdating. Cette technique de restauration est généralement réalisée sur certaines anciennes à la banque de pièces illimitées, à l'image de cette intrigante Porsche 911.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Backdating : L'Antagoniste du Restomod, qu'est ce que c'est ?

Pure Breed Factory, une société canadienne spécialisée dans le backdating Porsche, a produit un superbe exemplaire vert olive. Celui-ci a été vendu aux enchères contre un chèque "raisonnable" de 148.000 dollars, soit environ 138.500 euros. La base technique de cette Porsche 911 backdatée date de 1985. Les boucliers avant et arrière reprennent le style de la 911 Carrera 2.7 RS. Ses ailes en acier sont considérablement élargies. La face avant reçoit de nouvelles optiques lenticulaires. De profil, le coupé allemand reçoit la pose de stickers « Porsche » rouges. La caisse repose sur des jantes Fuchs à déport de 17 pouces. Le nom de la marque allemande est aussi présent en grandes lettres sur le capot. La grille personnalisée cache un écusson lumineux « 3.6 » en son centre. Enfin, les optiques arrière reprennent le dessin de la 911R de 1967. Lire aussi : Cette Porsche 911 restaurée est bien plus moderne que vous ne le pensez Les sièges de série ont été remplacés par des baquets Recaro en cuir noir. L'assise et le dossier reçoivent des pièces de tissu à motif pied-de-poule. Ce dernier se retrouve aussi sur les panneaux de porte et le tableau de bord. Des ceintures de sécurité et des poignées de portes rouges donnent un peu de gaieté à cet intérieur noir et blanc. Le volant MOMO Prototipo gaîné de cuir est du plus bel effet. A noter, la présence d'un très beau pommeau de levier de vitesses en bois et d'un pédalier en aluminium. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Sous le capot, un Flat 6 3.6 associé à une boîte manuelle G50 à 5 rapports se chargent de déplacer le véhicule. Fait rare pour une Porsche restaurée, le totaliseur affiche 56.000 miles, soit environ 90.000 km. Il a rejoint son nouveau propriétaire contre un chèque de « seulement » 148.000 dollars (138.500 €). 

Mercedes a dévoilé la version 100 % électrique de son iconique tout-terrain, le Classe G 580 EQ. Malgré 4 moteurs électriques et un poids conséquent, Mercedes a tout fait pour que son 4x4 soit le plus armé possible face aux terrains les plus accidentés. Emmener le tout-terrain vers le tout électrique, tel est le crédo du nouveau Mercedes Classe G 100 % électrique. Une combinaison impossible pour beaucoup, tant il paraît incompatible de s'aventurer hors des sentiers battus avec une technologie aussi fragile que l'électrique. Mercedes veut prouver que c'est possible. Pour cela, la marque à l'Etoile a mis le paquet avec le tout nouveau Mercedes G 580 EQ. Lire aussi : Mercedes Classe G : un restylage plus profond qu'il n'y paraît !

La mythique Honda NSX d'Ayrton Senna a été mise en vente sur un site de vente aux enchères très connu. Si vous voulez vous offrir la Honda de route la plus célèbre de tous les temps, il faudra s'acquitter d'un très gros chèque.  Ayrton Senna fait partie des pilotes les plus regrettés de l'ère moderne de la Formule 1. Chacun possède des souvenirs du pilote brésilien, de ses passes d'armes avec Alain Prost sous McLaren à ses tours chrono touchés par la grâce. Senna était encore moins manchot avec un véhicule de route. La preuve, avec cette Honda NSX de 1990 qu'il a possédé.  Lire aussi : Honda envisage de faire revenir la NSX en version électrique !

Un client habitué des Donkervoort a demandé au constructeur néerlandais de transformer son exemplaire en un Art Car, à la manière des « BMW Art Car » des années 90. Son F22 relate les moments forts de sa vie sur sa carrosserie. De temps en temps, certains constructeurs accordent des exclusivités rares à ses clients pour leur fidélité. Excursions à travers le globe, sessions circuit, invitation exceptionnelle pour la révélation du nouveau modèle… les occasions ne manquent pas pour féliciter les habitués les plus actifs au service de leur marque préférée. Mais quand celui-ci réalise une série spéciale unique au monde, sur l'initiative de son client, le cap supérieur d'attachement est passé.  C'est le rare privilège que s'est offert un ambassadeur de Donkervoort. Il s'est acheté une F22 à la livrée « Art Car » unique au monde, dont voici le résultat final : la Donkervoort F22 Art Edition.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Donkervoort F22 : 500 chevaux pour 750 kg

MG Motor a laissé ses designers s'amuser sur un projet futuriste : l'EXE181. Inspiré d'un ancien prototype de course des années 60, l'EXE181 sera exposé au prochain salon automobile de Pékin. Le MG EXE181 cache un hommage à son passé. En 1959, l'EX181 réussissait l'exploit d'atteindre les 400 km/h grâce à un fuselage monocoque ultra-profilé.  L'EXE181 ajoute une lettre et une foule de technologies embarquées pour reproduire cet exploit, sous les traits d'un prototype aux lignes futuristes. L'engin s'approche d'un Cx de 0,181, ce qui en ferait l'automobile la plus profilée au monde. L'aileron arrière est fonctionnel et sert d'aérofrein. Les deux parachutes se déploient automatiquement sur les phases de décélération.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : MG EXE181 : Hommage futuriste à ses records de vitesse Le cockpit ne présente qu'une seule place pour son pilote, mise en évidence sous une bulle en forme de goutte d'eau. Les informations principales sont livrées par l'écran central, disposé sur le moyeu central du volant. 

MG Motor a révélé les images d'un showcar au design futuriste, l'EXE181. Celui-ci rend hommage à l'EX181 de 1959, chassant les records de vitesse sur le lac salé de Bonneville. Avant de passer sous pavillon chinois, MG était réputé pour être une marque performante et désirable, tout en étant typiquement baroque au possible. Les MG A et MG B ont d'ailleurs toujours la côte auprès des collectionneurs.  Aujourd'hui, la donne a changé. MG Motor se spécialise désormais sur la production de modèles 100 % électriques produits en Chine. La marque sino-britannique n'oublie pas pour autant ses racines outre-Manche. Son bureau de style « SAIC Advanced Designed », basé à Londres, est là pour le rappeler. Illustration, avec leur dernier projet : l'EXE181.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : CONCEPT-CAR - MG EX4 : La descendante zéro émission de la Metro 6R4

Evasive Motorsport, un garage américain, a révélé un projet d'excellente qualité, basé sur la Honda S2000 : une interprétation de la Honda S2000 Type R, remise au goût du jour. Au programme : une apparence parfaitement conforme à une Type R sortie d'usine et un nouveau moteur plus moderne, emprunté à la Civic Type R FK8.   La Honda S2000R se fait déjà remarquer par sa teinte blanche Championship White, chère à la gamme Type R de Honda. Son bouclier avant emprunte celui de la version « Honda 20th Anniversary ». Celui-ci est souligné d'une lame en fibre de carbone. De profil, il est impossible de rater les jantes EVS Tuning de 18 pouces, les doubles bossages en fibre de carbone, ou encore l'imposant aileron arrière. A bord, la moquette rouge fait son apparition, comme pour toute Honda Type R qui se respecte. L'Alcantara recouvre le tableau de bord et les panneaux de portes. Les sièges d'origine ont été remplacés par des sièges baquets Recaro Podium en fibre de carbone et recouverts d'Alcantara rouge. Un volant Momo plus sportif remplace le volant d'origine. L'instrumentation d'origine a été remplacée par un écran reprenant l'affichage de la Honda Civic Type R FK8.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : A quoi ressemblerait la Honda S2000 Type R, si Honda l'avait produite ? Sous le capot, le bloc F20C d'origine a été remplacé par le moteur K20C1 de la Honda Civic Type R FK8. Dans ses spécifications américaines, le 4 cylindres 2.0 turbo développe 306 ch et est associé à une boîte manuelle à 6 rapports. Côté trains roulants, la S2000R reçoit des combinés filetés KW Clubsport, une barre stabilisatrice Eibach, et des disques de freins Brembo pincés par des étriers à 6 pistons à l'avant, et 4 pistons à l'arrière.

Evasive Motorsport, un préparateur américain, a réalisé un superbe projet mettant en avant une hypothétique version Type R de la S2000. Nommé sobrement « S2000R », ce projet prend son inspiration dans l'histoire du célèbre label au R rouge de Honda pour donner un résultat de très haute qualité. Pendant des années au sein de la communauté Honda, la S2000, motorisée par le célèbre K20 et son régime moteur fixé autour des 9.000 trs/min, a traîné avec elle le fantasme d'une hypothétique version Type R. Tout était réuni : un excellent châssis, une mécanique VTEC atmosphérique hurlante au possible, une commande boîte parfaite, de bons trains roulants et une banque de pièces illimitée grâce à ses préparateurs locaux. Malheureusement, Honda n'a jamais sauté le pas, malgré une carrière riche de 10 ans sur le marché, entre 1999 et 2009.  Evasive Motorsport a choisi de laver cet affront. Les mécaniciens de la société américaine ont pris le parti de proposer leur propre déclinaison Type R de la S2000 : voici la Honda S2000R. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Honda Civic Type R S : moins de kilos, plus d'euros !