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Aujourd’hui — 14 mai 2024Turbo.fr - L'info en continu

PHOTOS - Bentley célèbre une dernière fois le V8 avec une série spéciale des Continental GT, GTC et Flying Spur

Bentley s'apprête à arrêter la production de ses Continental GT et GTC ainsi que de sa Flying Spur, du moins pour les versions équipées du V8. Les modèles ne disparaîtront pas, puisque des versions hybrides sont en préparation. En Europe, nous avons eu droit il y a quelques mois à quelques packs de personnalisation spécifiques, venant s'ajouter au catalogue d'options de ces 3 modèles pour marquer la fin du V8 4.0 biturbo. Cependant, la marque anglaise semble vouloir arrondir les angles sur le marché nord-américain, avec une série spéciale baptisée Edition 8. Celle-ci est disponible sur les Continental GT et GTC, ainsi que sur la Flying Spur. La dotation de cette série spéciale inclut certains des équipements les plus demandés par les clients. Les 3 voitures disposent de la planche de bord rotative à 3 facettes, de la sellerie Palm Fluting, ainsi que des jantes de 22 pouces. Bentley annonce que 60 teintes de carrosserie, toutes issues du catalogue Extended Paint de Mulliner, seront disponibles. Des badges frappés du nom de la série spéciale complètent la dotation.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} On ignore les tarifs de cette Edition 8. Ce qu'on sait, en revanche, c'est que seuls les clients habitant en Amérique du Nord y auront droit. Pour rappel, le V8 4.0 biturbo développe 550 chevaux et 770 Nm de couple. Précisons tout de même que ce bloc continuera d'exister sous le capot du Bentayga, déjà décliné en version hybride rechargeable avec un V6.

Cette Porsche 911 Type 993 nous fait sa crise de la trentaine !

Le préparateur allemand KCPerformance a récemment présenté une Porsche 911 un peu particulière. Les équipes ont travaillé sur un modèle de génération 993 et, à première vue, rien ne change. Il faut en réalité ouvrir la portière et s'installer à bord pour déceler la principale différence, qui se situe entre les deux sièges. Car cette 911 d'antan est désormais équipée d'une boîte automatique PDK. Pas sûr que les puristes de la première heure apprécient… Dans le monde de la restauration automobile, il existe des monuments qu'il vaut mieux ne pas toucher si l'on n'est pas sûr de son coup. Ferrari, ou encore Alfa Romeo et bien entendu, Porsche. La 911 est une icône, peu importe la génération. C'est pourquoi, parmi les nombreuses entreprises spécialisées dans la restauration de ce modèle, seule une poignée est reconnue et respectée mondialement, avec en tête de file le Californien Singer. Mais KCPerformance s'est récemment illustré en présentant une 911 Type 993 modifiée, sur laquelle… rien ne change. À première vue, en tout cas. Extérieurement, on voit mal qui pourrait bien dire que cette 993 n'est pas « full stock ». La carrosserie est inchangée et la voiture repose toujours sur ses jantes de série. Elle n'a même pas droit à des phares à LED ! Peut-être faut-il regarder à l'intérieur, alors ? Les sièges sont identiques à ceux d'une 993 sortie d'usine, tout comme la planche de bord. Puis le regard se pose sur le volant, avant de s'arrêter entre les sièges…{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Cette Porsche 911 restaurée est bien plus moderne que vous ne le pensez

PHOTOS - L'Alpine Alpenglow passe de la moquette des salons à l'asphalte de Spa-Francorchamps !

Dévoilé en 2022 au Mondial de Paris, le concept Alpine Alpenglow se rapproche petit à petit de sa version de production. Certes, il reste encore de la marge, mais l'hypercar à hydrogène s'est déjà offert quelques tours de piste sur le circuit de Spa-Francorchamps, à l'occasion des 6 Heures de Spa. Certains chanceux ont pu assister aux premiers tours de roues de l'Alpine Alpenglow. Ce concept-car a peaufiné son style depuis presque 2 ans, avec un design optimisé, de nouvelles jantes et un nouveau cockpit permettant à deux personnes de monter à bord. Mais la principale nouveauté se cache dans les entrailles de la bête. Car si, en 2022, l'Alpenglow n'était "qu'une coquille vide" dont les données techniques n'étaient que théoriques, Alpine a bien avancé depuis. Désormais, l'hypercar est équipée d'un 4 cylindres 2.0 turbo de 340 chevaux, alimenté par de l'hydrogène. Une approche différente des autres constructeurs, qui permet de décarboner la gamme tout en conservant la sonorité de la voiture.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} À terme, Alpine prévoit de remplacer le petit 4 cylindres par un V6, encore en cours de développement. L'Alpenglow sera à nouveau exposée à l'occasion des 24 Heures du Mans, les 14 et 15 juin prochains, où elle effectuera également quelques tours de circuit. C'est là-bas qu'Alpine dévoilera en première mondiale sa future A290 !

Alpine Alpenglow Hy4 : le concept est toujours en vie et il roule !

Le 10 mai dernier, Alpine a profité des 6 Heures de Spa-Francorchamps pour présenter, ou plutôt représenter, son concept à hydrogène. Si l'Alpenglow Hy4 est assez proche visuellement de celle exposée au Mondial de l'Auto de Paris 2022, elle s'en distingue par une particularité de taille : elle roule, pour de vrai ! La marque en a d'ailleurs fait la démonstration en lui faisant boucler quelques tours de circuit en marge de la course ! Le souci avec les concept-cars, c'est que c'est souvent quitte ou double. Soit le constructeur décide de continuer de plancher dessus jusqu'à arriver à une version de production, plus ou moins proche de l'idée initiale, soit le projet reste à l'état de coquille vide destinée à être déplacée de salon en salon, sans que l'idée d'une version de série n'arrive jamais. Mais on se doutait bien qu'Alpine préparait quelque-chose de concret avec son concept Alpenglow, dévoilé au Mondial de Paris 2022. Car en plus de son design très travaillé, cette hypercar possédait déjà une ébauche de fiche technique. Pour rappel, l'idée de base était de concevoir une hypercar dotée d'un moteur thermique alimenté par de l'hydrogène. La feuille de route a été suivie scrupuleusement, jusqu'à arriver à ce prototype totalement fonctionnel, qui a été présenté à l'occasion des 6 Heures de Spa-Francorchamps, le week-end dernier. Il évolue légèrement sur le plan du design, notamment avec un habitacle biplace et de nouvelles jantes.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : CONFIG - L'Alpine A110 parfaite ressemblerait-elle à la Clio Williams ?
À partir d’avant-hierTurbo.fr - L'info en continu

Rolls-Royce Cullinan : le temple greco-anglais s’offre un restylage !

Après 6 ans de carrière, le Rolls-Royce Cullinan se refait une beauté avec un restylage esthétique. L'enjeu est de taille, puisque ce SUV représente la majeure partie des ventes de la marque depuis son arrivée sur le marché.  En 2018, lorsque Rolls-Royce a présenté son Cullinan, les avis étaient très partagés à son sujet. Certains doutaient sérieusement de son succès, tandis que d'autres y croyaient dur comme fer. On vous laisse deviner qui avait raison, étant donné que ce gros SUV représente à l'heure actuelle la majeure partie des ventes de la marque. Rien de bien nouveau cela dit, puisque tous les SUV lancés par les marques de luxe ont suivi le même chemin, du Bentayga de Bentley au Purosangue de Ferrari, en passant par l'Urus de Lamborghini. Mais peu importe son succès, l'étape du restylage reste délicate à aborder. Il est important de faire évoluer le produit, mais il ne faut surtout pas le dénaturer pour ne pas risquer de faire chuter les ventes. En d'autres termes, conserver ce qui plaisait aux clients et introduire des nouveautés. C'est ce que vient de faire Rolls-Royce, le Cullinan évolue sur le plan du design, en douceur.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Rolls-Royce Cullinan Linea D'Oro by Mansory : la définition de l'indécence ?

PHOTOS - Le Rolls-Royce Cullinan se refait une beauté, sans faire de régime !

Rolls-Royce vient de dévoiler la version restylée de son Cullinan. Le SUV ultra luxueux se refait donc une beauté, grâce à un restylage plus profond qu'il n'y parait. Cela dit, les nouveautés semblent être essentiellement esthétiques. Le Cullinan représente la majorité des ventes de Rolls-Royce depuis sa sortie, en 2018. Il est donc primordial de le maintenir au goût du jour, sans trop en faire au risque de le dénaturer. La marque anglaise semble l'avoir bien compris, puisque ce restylage permet à ce SUV ultra luxueux de s'améliorer sur de nombreux points, tout en restant identifiable au premier coup d'oeil. Visuellement, les lignes évoluent en douceur. Le Cullinan conserve son long capot et sa face avant très abrupte, avec sa calandre chromée façon temple grec. Cependant, la proue s'affine légèrement, grâce notamment à une nouvelle signature lumineuse plus effilée et un bouclier redessiné sur les parties basses. Les changements sont plus discrets à l'arrière, on remarque surtout les nouveaux échappements carrés.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} L'habitacle offre toujours une débauche de luxe et d'opulence, tout en gardant ce côté baroque, qui le différencie du Bentley Bentayga. L'écran central est intégré discrètement en haut de la planche de bord, tandis que le poste de conduite intègre désormais une instrumentation numérique. Sous l'horloge centrale, trône également la statuette Spirit Of Ecstasy, emblème de Rolls-Royce ! La marque ne donne pas de détails concernant le moteur. On sait simplement qu'il s'agit toujours du V12 6.75, peut-être un peu plus puissant que la version précédente. Les prix n'ont pas été communiqués.

La BMW M4 CSL est trop terrifiante pour vous ? Voici la version CS, à peine plus sage !

BMW vient de présenter une nouvelle version de sa M4, qui vient se placer à mi-chemin entre le modèle de série et la déclinaison CSL. Pas exactement à mi-chemin en réalité, disons plutôt un cran en dessous de la CSL. Cette nouvelle M4 CS en reprend d'ailleurs le moteur de 550 chevaux, en y ajoutant une transmission intégrale permettant de garder les choses sous contrôle. Elle sera disponible à la fin du mois de mai, contre la coquette somme de 162.000 euros. Visiblement, chez BMW, on a envie de dire adieu au moteur à combustion en finissant en beauté. Et si on a encore un peu de temps avant le bouquet final, celui-ci s'annonce époustouflant au vu de ce que montre la marque bavaroise depuis quelques années. M3 Touring, M3 CS, M4 CSL, 3.0 CSL… Les ingénieurs de la division Motorsport semblent avoir accès à un budget illimité pour donner vie à des projets tous plus enthousiasmants les uns que les autres, dont certains étaient attendus depuis plusieurs décennies, comme la BMW M3 Touring. Même si la M4 compte déjà 3 déclinaisons, la 3.0 CSL n'étant grosso modo qu'une version recarrossée du coupé vendue à un tarif indécent, le constructeur lui offre encore une nouvelle variante : la M4 CS. À première vue, cette M4 CS semble venir se placer quelque part entre une M4 classique et une CSL. Le kit carrosserie très démonstratif comprend divers éléments en fibre de carbone, comme le becquet, le diffuseur, les coques de rétroviseurs ou encore diverses prises d'air. Les lignes ne sont pas transfigurées, simplement musclées. La M4 CS arbore toujours l'énorme calandre, légèrement redessinée. Celle-ci intègre le badge CS noir et rouge, que l'on retrouve également sur la malle. La signature lumineuse avant reprend celle inaugurée lors du restylage de la version de grande série, mais s'illumine désormais de jaune, faisant écho aux modèles mythiques engagés en compétition par BMW.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : BMW M4 et M4 Cabriolet restylées : plus de chevaux, plus d'euros

PHOTOS - BMW dégaine la M4 CS, à peine moins brutale que la très méchante CSL !

Jusqu'à maintenant, les clients souhaitant s'offrir un coupé sportif avait le choix, chez BMW. La M4 se déclinait déjà en coupé, en cabriolet ainsi qu'en version CSL, bien énervée. La marque bavaroise vient de lever le voile sur une nouvelle variante de sa M4, portant le badge bien connu CS. Dans la hiérarchie de la gamme de la BMW M4, cette nouvelle version CS vient se positionner entre le modèle standard et la CSL. Elle en reprend d'ailleurs le moteur, à savoir le 6 cylindres en ligne 3.0 biturbo de 550 chevaux et 650 Nm de couple. Cependant, à la différence de la M4 CSL, cette nouvelle CS envoie dispose d'une transmission intégrale répartissant la puissance sur les 4 roues, en privilégiant tout de même l'essieu arrière, BMW oblige. Que les fans de glisse se rassurent, il est possible de tout déconnecter et de passer en mode 100% propulsion ! Côté performances, BMW annonce un 0 à 100 km/h effacé en 3,4 secondes, soit 1 dixième d'amélioration par rapport à la M4 standard. La vitesse de pointe s'établit quant à elle à 302 km/h de série grâce au Pack Expérience M qui, pour une fois, n'est pas optionnel.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Au-delà de son badge CS apposé à l'avant et à l'arrière, cette M4 CS se distingue des autres versions grâce à sa calandre ornée d'un liseré rouge, mais aussi grâce à son kit carrosserie incluant des éléments en fibre de carbone, comme les coques de rétroviseurs, le toit ou encore le becquet. La marque précise qu'en plus de deux teintes reprises au nuancier BMW, deux nouveaux coloris seront spécifiques à ce modèle, dont ce Frozen Isle of Man Green Metallic.  Venons-en maintenant aux choses qui fâchent, à savoir les tarifs. Il faudra compter 162.000 euros chez nous, sans le malus écologique de 60.000 euros. Alors, si vous avez 222.000 euros sous la main et que vous en voulez une, ne traînez pas, puisque BMW n'alloue que 74 exemplaires pour la France. Il n'y en aura donc pas pour tout le monde... Les carnets de commandes doivent ouvrir à la fin du mois de mai.

CONFIG – Notre Alfa Romeo Stelvio Quadrifoglio est parfait pour un road-trip en famille !

L'ADN d'Alfa Romeo en a pris un petit coup, depuis la présentation du nouveau Junior. Ce petit SUV, au style plutôt sportif avouons-le, cache en réalité une motorisation hybride ou électrique, au choix. Rien de bien exaltant. Heureusement pour les puristes, il reste dans la gamme quelques modèles plus proches de la philosophie de la marque italienne, dont le Stelvio Quadrifoglio, avec son V6 de plus de 500 chevaux. On en a d'ailleurs configuré un exemplaire, parfait pour partir en road-trip en famille cet été ! L'avenir de l'Alfa Romeo Stelvio n'est pas assuré, encore moins dans sa version sportive Quadrifoglio. Par les temps qui courent, les constructeurs ont la fâcheuse manie de remplacer les modèles passionnants par des engins équipés de batteries de 200 kg et de moteurs d'aspirateurs. Heureusement, ils n'oublient pas la sportivité en leur ajoutant des badges RS, ou Veloce… Mais trêve d'ironie, revenons-en à notre mouton : le Stelvio Quadrifoglio. Avec son V6 2.9 biturbo de 520 chevaux, l'ADN Alfa Romeo est bel et bien là, malgré son statut de SUV. Il reprend les lignes de la Giulia, tout en offrant davantage de place dans l'habitacle pour partir en vacances en famille. Cela dit, tout cela se mérite, puisque le Stelvio Quadrifoglio s'affiche à partir de 104.000 euros.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Alfa Romeo Stelvio et Giulia : les versions électriques débarquent en 2025 et 2026

Bentley Batur : vous n'avez pas pu vous offrir le coupé ? Voici maintenant le cabriolet !

Bentley vient de dévoiler la dernière réalisation de son département de personnalisation, Mulliner. La nouvelle Batur Convertible reprend les dessous du coupé éponyme, tout en abandonnant son toit pour pouvoir cruiser cheveux au vent. Avec ce cabriolet ultra exclusif, les quelques propriétaires chanceux pourront afficher leur supériorité par rapport aux possesseurs de banales Continental GTC ! Quand on a beaucoup d'argent, vraiment beaucoup, et qu'on souhaite s'offrir une belle voiture, on se tourne vers Rolls-Royce ou Bentley. Mais quand on a tellement d'argent et que l'on ne sait plus quoi en faire, alors on va frapper à la porte des départements de personnalisation de ces deux marques, Mulliner dans le cas de Bentley. Cette division d'ultra luxe est en effet à l'origine de certains des modèles les plus exclusifs du marché, comme la Bacalar ou la plus récente Batur.  Plus luxueux, plus rares du fait de leur production très limitée et donc fatalement plus chers, ces modèles ne s'adressent pas aux clients fortunés, mais bien à l'élite de la clientèle. Soucieux de continuer de proposer des produits d'exception, Mulliner vient de lever le voile sur sa dernière réalisation, la Batur Convertible.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Bentley Bentayga Apex Edition : Pourquoi le SUV de luxe anglais enfile son jogging ?

PHOTOS - Bentley présente la dernière née de sa division Mulliner, la Batur Convertible !

Bentley vient de lever le voile sur la toute dernière réalisation de son département de personnalisation, Mulliner. La branche d'ultra luxe a ôté le toit du coupé Batur, donnant ainsi naissance à la Batur Convertible, sans doute l'un des cabriolets les plus exclusifs du marché. Exclusif, de par la quantité d'exemplaires prévus, d'une part. 16, pour être précis. Pas un de plus, pas un de moins. Il faudra donc se lever tôt pour espérer mettre la main sur l'un d'eux, si tant est qu'ils ne soient pas déjà tous vendus.  C'est l'exemplaire N°0 que Bentley a décidé de dévoiler. Celui-ci arbore une teinte Vermillon satinée. Les lignes sont globalement les mêmes que celles du coupé, présenté en 2022, à ceci près que cette version Convertible abandonne le toit au profit d'une capote souple. La marque anglaise précise que les clients ont le choix parmi une infinité de possibilités de personnalisation, dans la plus pure tradition du label Mulliner.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Évidemment, l'habitacle fait la part belle aux matériaux les plus nobles. L'intégralité de l'intérieur est tendu de cuir de différentes teintes avec des surpiqures, tandis que la planche de bord est ornée d'inserts décoratifs contrastants.  Sous le capot, on retrouve le W12 de la version Coupé, dont la puissance reste à 750 chevaux pour un couple impressionnant de 1.000 Nm. Le bloc est épaulé par 2 turbo et est associé à une boîte automatique à 8 rapports ainsi qu'à un échappement sport, pour profiter des vocalises cheveux au vent. Bien évidemment, Bentley a soigneusement tenu les prix secrets.

Cette Bugatti Chiron est sur son 31, avec un costume en fibre de carbone bleue !

Le mois dernier, l'un des très heureux propriétaires de Bugatti Chiron a mis en vente son hypercar sur une plateforme d'enchères. Cet exemplaire a la particularité d'être habillé d'une carrosserie intégralement composée de fibre de carbone, laissée apparente et peinte en bleu. Une configuration très élégante, qui s'est échangée contre la modique somme de 3,075 millions de dollars. Ces derniers mois, on a assisté à une stabilisation des cotes sur le marché des voitures d'exception. Attention, n'allez pas croire qu'elles sont devenues accessibles, loin de là, cependant leur valeur stagne, à plusieurs dizaines de milliers d'euros près. L'époque où leur cote explosait est donc derrière nous, mais pourrait toutefois revenir prochainement. Quoiqu'il en soit, une des 500 Bugatti Chiron produites a récemment été vendue aux enchères, contre 3,075 millions de dollars, soit un peu plus de 2,85 millions d'euros. L'exemplaire en question est assez exceptionnel, même pour une Chiron déjà loin d'être banale. Il arbore une carrosserie composée de panneaux en fibre de carbone, laissée apparente et habillée d'une teinte bleu nuit, très élégante. L'hypercar alsacienne repose sur un ensemble de jantes forgées noires, de 20 pouces à l'avant et 21 à l'arrière. Certains éléments sont laissés en noir, comme le diffuseur ou encore les coques de rétroviseurs.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi :  Remplaçante de la Bugatti Chiron : le W16 laissera sa place à un V16 hybride !

PHOTOS - Cette Bugatti Chiron est intégralement habillée de fibre de carbone bleue !

L'un des 500 exemplaires de la Bugatti Chiron a été vendu aux enchères le mois dernier, contre la coquette somme de 3,075 millions de dollars, soit environ 2,85 millions d'euros. Et même si cet exemplaire est assez exceptionnel, avec sa carrosserie en carbone apparent, finie en bleu, la cote de la Chiron semble stagner depuis quelques mois maintenant. Entendons-nous, lorsque l'on dit que sa cote ne monte plus, cela ne signifie pas que la Bugatti Chiron est abordable. Loin de là, même, puisqu'elle reste inaccessible pour le commun des mortels. Cet exemplaire en est une nouvelle fois la preuve, car il s'est échangé contre la bagatelle de 2,85 millions d'euros environ, en Californie. Cette Bugatti Chiron bénéficie d'une configuration très élégante, avec une carrosserie composée de panneaux en fibre de carbone, laissée apparente et habillée d'une teinte bleue. L'ensemble repose sur des jantes noires, de 20 pouces à l'avant et 21 à l'arrière. L'habitacle contraste avec l'extérieur, avec sa sellerie en cuir rouge qui s'étend de la base de la console centrale jusqu'au pavillon. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} L'exemplaire vendu n'affiche que 1.900 miles au compteur, soit un peu plus de 3.057 kilomètres, parcourus depuis 2018. Autant dire que cette Chiron n'a pas roulé tous les jours depuis sa livraison. Pour rappel, elle est équipée d'un W16 8.0 quadriturbo développant 1.500 chevaux, qui lui permet d'atomiser le 0 à 100 km/h en 2,4 secondes et d'atteindre une vitesse maximale limitée électroniquement à 420 km/h. 

Machine Revival : le Singer français qui crée des chefs-d’œuvre depuis plus de 10 ans !

Le monde de la restauration et de la préparation automobile n'est pas réservé qu'aux Anglais et aux Américains. Si ce sont bel et bien les plus connus, d'autres officines méritent pourtant d'être mises sous le feu des projecteurs, dont Machine Revival. Cette société française, fondée en 2013 par un petit groupe de passionnés d'automobiles, a déjà accouché de plus d'une vingtaine de créations exceptionnelles. Lorsque l'on évoque l'art méticuleux de la restauration de voitures anciennes, les mêmes noms reviennent souvent en boucle. Notamment Singer, une entreprise californienne spécialisée dans la remise au goût du jour de l'iconique Porsche 911, qui s'est taillée une réputation mondiale et qui est aujourd'hui considérée comme la meilleure dans son domaine. Bien sûr, on ne peut pas minimiser son talent, cependant il serait bien dommage de se focaliser uniquement sur Singer. D'autres officines, plus petites et plus jeunes, méritent que l'on jette un œil sur leur travail. C'est le cas de Machine Revival qui, cocorico, est une petite société française ! Machine Revival, c'est une joyeuse petite bande de passionnés, qui s'est lancée en 2013. Installée dans le Pays Basque, et du haut de ses 11 ans d'existence, l'équipe a déjà pondu 29 créations, la plupart basées sur des Porsche. 911, 912, 2.7, Targa, Machine Revival n'est pas fermé d'esprit ! De nombreuses versions passent par l'atelier basque et en ressortent en étant uniques de par leur livrée, leur habitacle, leur carrosserie retravaillée, mais également des éléments mécaniques revus ! {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Maggiore GranturismO : le restomod qui redonne ses lettres de noblesse à la Ferrari 288 GTO

Week-end de l’Ascension : ça va bouchonner sur les routes de l’Hexagone !

Comme tous les ans, les jours fériés et les ponts du mois de mai sont l'occasion pour beaucoup de Français de partir en week-end. Les routes de l'Hexagone vont donc être très empruntées, dès aujourd'hui et jusqu'à dimanche. Si, comme beaucoup, vous vous apprêtez à partir, attendez-vous à de gros ralentissements. Bison Futé classe la journée du 7 mai en rouge, dans le sens des départs. Cette année, le calendrier permet de pouvoir profiter de longs week-ends en mai, notamment cette semaine. En effet, le 8 mai est suivi du 9 mai (jusque-là ça se tient) qui correspond à l'Ascension. De nombreux Français ont pu poser un jour de congé le vendredi 10, et ainsi s'offrir une petite semaine de vacances. Qui dit vacances, dit circulation difficile. C'est évidemment ce que prévoit Bison Futé pour ce long week-end. La situation s'annonce déjà compliquée aujourd'hui, puisque ce mardi est classé rouge dans le sens des départs. Le mercredi 8 mai est quant à lui classé en orange, selon les prévisions.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Sécurité routière : un mauvais mois de mars sur les routes de France

Chez Nissan, la lignée cultissime des Z fête ses 55 ans !

Il se murmure qu'une série spéciale de la Nissan Z pourrait arriver en fin d'année, pour célébrer les 55 ans de cette famille de modèles iconique. Bien évidemment, nous ne devrions pas y avoir droit en France, la Z n'y étant pas commercialisée. Mais cela n'empêche pas de repartir plus d'un demi-siècle en arrière, pour retracer l'histoire de ces modèles qui ont forgé l'ADN sportif de la marque japonaise. Il y a des noms et des numéros qui semblent éternels, dans le milieu automobile. C'est par exemple le cas du plus connu d'entre tous, 911, l'appellation de la plus célèbre des Porsche, mais aussi peut-être de toutes les voitures de sport. Mais en allant à l'est, bien plus à l'est, on trouve une autre lignée de sportives, vulgairement appelées les Z. Si on connaît surtout la Nissan 370Z et, plus récemment, la Nissan Z tout court, cette famille de voitures a été inaugurée en 1969, avec la Datsun 240Z.  Datsun ? Eh oui, il fut un temps où Nissan détenait cette marque, entre 1933 et 1983. Chacun des deux constructeurs produisait donc des modèles dans leur coin. Toujours est-il que Datsun a accouché, en 1969, de la 240Z. Ce petit coupé sport était équipé d'un 6 cylindres en ligne 2.4 de 150 chevaux, de quoi tenir tête à certains modèles bien plus chers à l'époque, notamment des Porsche ! Plus de 115.000 exemplaires ont été vendus, ce qui a convaincu Datsun de travailler sur la descendante de la 240Z, la bien nommée 260Z.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Nissan Z : un look à tomber par terre signé Liberty Walk

Renault et les berlines : le divorce est-il vraiment définitif ?

Ces derniers temps, nombreux sont les constructeurs qui font le choix d'arrêter la production de leurs berlines. C'est notamment le cas de Renault qui, après avoir commercialisé des modèles phares comme la Laguna, a tout simplement décidé de stopper la production de berlines, au profit des SUV. Mais à l'heure où tout est chamboulé par le passage à l'électrique, la marque ne pourrait-elle pas renouer avec le passé et offrir une suite aux R25, Safrane et autres Talisman ? Ça n'aura échappé à personne, les berlines ne courent plus les rues. Les constructeurs qui en proposent toujours dans leur gamme sont de plus en plus rares, ce genre de voitures ayant été remplacé par… le SUV bien sûr ! Cette mode ne date en réalité par d'hier, elle dure déjà depuis près de 10 ans. Aujourd'hui, à quelques exceptions près, seules les marques premiums allemandes continuent de proposer des berlines.  Et justement, en parlant d'exception, on en compte une en France : la Peugeot 508 ! La marque au lion s'entête à produire une berline et, surtout, à la maintenir à son catalogue. Malheureusement, si réussie soit-elle, son avenir s'assombrit jour après jour. Les ventes ne cessent de diminuer, malgré un récent restylage qui n'aura pas changé grand-chose. Mais Peugeot (comme Citroën) a peut-être trouvé une solution pour faire perdurer ce type de carrosserie, en partie du moins.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Peugeot 508 : environ 45.000 euros pour l'entrée de gamme, est-ce suffisant pour inquiéter les Allemands ?

Alfa Romeo Junior : à 29.500 euros, que vaut l’entrée de gamme ?

Alors que les polémiques qui entouraient son lancement commencent à s'estomper, l'Alfa Romeo Junior prépare maintenant son arrivée sur le marché. La marque a d'ailleurs communiqué ses tarifs la semaine dernière, l'occasion de constater que l'entrée de gamme s'affiche à 29.500 euros, pour la version Ibrida. Une bonne surprise, puisque l'Italien est plus accessible que le Peugeot 2008, avec lequel il partage de nombreux éléments techniques. Mais cela suffira-t-il pour lui assurer le succès ? Ce modèle était très attendu, Alfa Romeo n'avait pas le droit à l'erreur avec ce Milano, désormais rebaptisé Junior. Décliné en motorisations 100 % électrique et hybride, ce SUV joue donc sur les deux tableaux, comme ses cousins du groupe Stellantis. Évidemment, les Alfistes purs grincent des dents, eux qui sont davantage intéressés par les berlines sportives et les coupés élégants. Reste que la marque a pour l'instant réussi son pari, en proposant son junior à moins de 30.000 euros, ce qui le rend plus accessible que le Peugeot 2008 doté de la même motorisation. Le Junior Elettrica, également moins cher que son cousin sochalien, débute à 38.500 euros. En version Ibrida, celle dont il est question aujourd'hui, il embarque un 3 cylindres 1.2 PureTech de 136 chevaux, associé à une boîte de vitesses automatique à 6 rapports dans laquelle est logé un petit bloc électrique. Une motorisation déjà bien connue, que l'on retrouve également sous le capot des Jeep Avenger ou encore des Citroën C3 Aircross. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Alfa Romeo Milano : véritable Alfa, ou énième clone made in Stellantis ?

RUMEURS – Une nouvelle Lancia Gamma pour 2026, Stellantis en pleine réflexion sur le thermique, le Cadillac Optiq arrive en Europe !

Comme toutes les semaines, l'actualité est parsemée de rumeurs. Cependant, certains bruits de couloirs sont assez insistants et même plutôt plausibles, au regard des stratégies des différentes marques. C'est notamment le cas d'une rumeur évoquant le retour d'une appellation bien connue chez Lancia, Gamma. D'autre part, il se murmure chez Stellantis que les modèles électriques pourraient continuer d'être déclinés en versions thermiques pendant plus longtemps que prévu. Enfin, actuellement en pleine transition, Cadillac pourrait décider de lancer son nouveau SUV Optic sur le marché européen, en parallèle du Lyriq. Lorsque l'on veut rester informé sur ce qui se passe dans le milieu automobile, il convient de bien trier les informations vérifiées et les rumeurs. Et si certains bruits de couloirs paraissent plausibles, il vaut toujours mieux les prendre avec des pincettes, du moins jusqu'à leur éventuelle confirmation. Trois rumeurs particulièrement intéressantes circulent depuis une semaine environ. À commencer par le retour de l'appellation Gamma, ou Thema, au sein de la gamme Lancia. Il se pourrait également que Stellantis continue de décliner ses voitures électriques en versions thermiques pendant encore quelques années, au-delà de la date initialement prévue. Enfin, alors que la marque est actuellement en plein renouveau, Cadillac pourrait s'appuyer sur son nouveau SUV, l'Optiq, pour partir à l'assaut du marché européen. On fait le point. Lire aussi : Lancia Ypsilon HF : le retour de deux lettres mythiques en 2025 ! Le futur vaisseau amiral de Lancia pourrait s'appeler Gamma ou Thema
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