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Hier — 10 juin 2024Turbo.fr - L'info en continu

Extrait émission Turbo : Nouveauté, Cupra Tavascan, la promesse d'une nouvelle ère

Regardez bien cette voiture : elle a un design spectaculaire, elle est racée, elle dégage un indéniable charisme. C'est une Cupra, le blason sportif de la marque espagnole Seat.    Cette voiture, c'est le Tavascan, le tout premier SUV Coupé 100% électrique de Cupra. C'est un modèle ultra important pour la marque. Parce qu'elle ambitionne de dépasser les 500 000 ventes par an d'ici 5 ans, ça fait quasiment un x2 par rapport à aujourd'hui. Et c'est le Tavascan qui doit impulser ce mouvement ascensionnel très fort. Ah il a la pression pépère hein ! Mais il a aussi de sacrés arguments. Habitabilité, comportement, autonomie, je vous dis tout sur celui qui pourrait bien devenir une des nouvelles stars européennes du segment. Le Tavascan est un SUV compact 100% électrique. C'est un concurrent direct du Tesla Model Y, la référence de la catégorie, du Skoda Enyaq Coupé ou encore du Volkswagen ID.5. D'ailleurs, il reprend la base technique de ces deux derniers, la fameuse plate-forme MEB. Mais la comparaison s'arrête là avec ces modèles. Franchement, vous avez vu cette gueule de malade ? Dans cette grande famille du groupe Volkswagen, le Tavascan, c'est un peu le p'tit cousin tatoué, qui fait d'la muscu, et qu'a pas peur d'la ramener. Lignes agressives, angles marqués, capot nervuré, il affiche la couleur : si vous voulez passer inaperçu, un p'tit conseil : oubliez-le ! C'est plus simple.    Le Tavascan, il est fier de ses origines. C'est pour ça que le logo Cupra est éclairé à l'avant, comme à l'arrière où on retrouve aussi un beau bandeau lumineux qui reprend le motif en triangle visible un peu partout sur la voiture. Les jantes sont grosses, de 19 à 21 pouces, avec un design lui aussi très agressif. Mais le Tavascan est également capable de subtilité avec une surface vitrée censée évoquer un casque de pilote, de profil là, grâce aux montants de pare-brise noirs qui se font très discrets. Certains y verront aussi un clin d'œil à la mythique Lancia Stratos de 1973. Une voiture très discrète aussi, si vous vous rappelez. Belle référence en tout cas.   Avec 4,64 m de long, le Tavascan est dans la moyenne du segment, mais avec 1,60 m de haut, il fait partie des plus bas, ce qui lui donne ce côté un peu bad boy, bien posé au sol. Comme c'est un SUV Coupé, sa partie arrière est très inclinée, pour donner une impression de dynamisme, ce qui en revanche pénalise un peu l'optimisation du volume de coffre. Avec 540 litres banquette en place, il manque un peu de profondeur.    Dans l'habitacle, ambiance ostentatoire et impression confirmée de la montée en gamme opérée par Cupra. Même si le niveau n'est pas encore comparable à celui d'une Audi, il faut reconnaître la belle qualité des matériaux et de leur assemblage, mais aussi et surtout la grande originalité du style intérieur. Admirez par exemple la planche de bord en forme de “vague”, la console centrale suspendue en forme de “T”, sans oublier les magnifiques sièges quasi-baquets, ou encore les garnitures de portes recouvertes de LED. L'ambiance se rapproche d'un univers à la fois spatial et sous-marin. Si vous aimez les films Abyss ou Alien, vous kifferez.    Rien d'original en revanche en ce qui concerne les écrans. Comme sur les Volkswagen ID5 et Skoda Enyaq Coupé, on retrouve la petite dalle face au conducteur pour les informations de conduite, et la grande tablette tactile de plus de 15 pouces au-dessus de la console centrale pour le reste. Il n'y a quasiment plus de boutons, sauf sur le volant, où ils sont à retour haptique, vous ressentez un petit bruit quand vous appuyez dessus, et juste au-dessous de la grosse tablette centrale, avec cette barrette sensitive pour régler la climatisation ou le volume de la radio. Ouais, ok. Alors c'est très chouette pour le design. Après, tout ça, c'est pas c'qu'il y a de plus pratique quand on roule. Mais bon, c'est la mode, tout le monde le fait, et ça évite d'avoir à fabriquer des boutons. Economie contre ergonomie, vous avez compris qui gagne aujourd'hui !   Le Tavascan est disponible en deux versions. La première, Endurance, est équipée d'un seul moteur électrique, sur l'essieu arrière. C'est donc une pure propulsion : 286 chevaux et 550 kilomètres d'autonomie. La seconde, notre version VZ, dispose, elle, d'un moteur électrique supplémentaire sur l'essieu avant, 109 chevaux, pour une puissance totale cumulée de 340 chevaux, en 4 roues motrices cette fois, et avec 520 kilomètres d'autonomie.    340 chevaux, c'est une puissance conséquente. Et forcément, même si la voiture est lourde, largement plus de 2 tonnes. Ça se ressent sur les performances. Vous voulez voir ? Préparez votre chrono ! Oh, on ressent bien la poussée... Attention. Top ! 0 à 100 km/h : 5,6 secondes. Ça va, le Tavascan est aussi démonstratif sur la route que son look le laisse imaginer. Surtout, il dispose de suspensions plus typées sport également qui permettent de limiter les mouvements de caisse et de gagner en précision de conduite. Bon, c'est pas non plus une sportive ultra light, on est bien d'accord, mais au volant, il s'passe un p'tit truc. Plus en tout cas qu'au volant de ses cousins...   Rassurez-vous, le Tavascan dispose également de 6 modes de conduites, du plus sport au moins énergivore, en passant par un mode personnalisé. Son rayonnement de plus de 500 kilomètres, valeurs WLTP fait partie des meilleurs de la catégorie, mais comme pour tout véhicule électrique, cette valeur peut rapidement chuter en fonction des conditions de conduite    Pour la recharge de sa batterie de 77 KWh, comptez 30 minutes sur une borne de 135 KW pour passer de 10 à 80% de charge, ou seulement 7 minutes pour vous offrir un minimum de 100 km. Honnêtement, si ces chiffres sont dans la moyenne du segment, ils déçoivent un peu pour un modèle qui arrive après les autres.    Reste son prix : à partir de 46 990 euros pour une version Endurance, non éligible au bonus, parce que fabriqué en Chine, à mettre en parallèle des 44 990 euros demandés pour une Tesla Model Y très compétitive. Et à partir de 64 930 euros pour notre version VZ, à mettre en parallèle cette fois des 65 400 euros demandés pour un Volkswagen ID.5 GTX. Ce Tavascan a donc out pour devenir un acteur majeur de ce segment ô combien stratégique aujourd'hui des SUV compact full électriques coupés.   

Extrait émission Turbo : Essai, Lancia Ypsilon, une renaissance à l'italienne

C'est l'histoire d'une renaissance à l'Italienne ! Celle d'une marque mythique, Lancia ! Une belle endormie depuis 2011 qui revient enfin en Europe. L'Ypsilon, c'est toute une histoire. Lancée en 1985, cette petite citadine chic n'a cessé de séduire les automobilistes. Sa dernière génération était d'ailleurs la troisième voiture la plus vendue en Italie l'année dernière. Un beau succès pour un modèle qui n'était plus exporté nulle part ailleurs.  Pour son retour en Europe, l'Ypsilon change tout ! Et ça se voit notamment à l'avant, avec cette grande surface noire sur laquelle on retrouve le calice en Y cher à la marque. Sans oublier les grandes écritures Lancia en inox et les écussons sur les custodes noires.  Dans l'habitacle, Lancia a également tenté d'apporter sa touche italienne. Bon, c'est vrai, de nombreux éléments sont vus et revus. Les écrans sont ceux du groupe Stellantis, l'habitabilité arrière est aussi réduite que sur une 208 et le coffre identique. Mais heureusement, il y a quand même du nouveau !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Et qui dit citadine, dit petit moteur. 156 chevaux pour l'électrique et 100 pour la version 3-cylindres hybride avec boîte automatique à double embrayage, la Ypsilon qui sera sans aucun doute la plus vue dans les centres-villes.  A l'aise en ville, ça c'est plutôt logique ! Mais sur la route, les metteurs au point de chez Lancia ont voulu lui donner son propre tempérament routier. Ils ont donc élargi ses voies, recalibré la direction et revu sa suspension.  La référence des citadines premium, c'est ce qu'annonce Lancia à propos de son Ypsilon ! Un poil optimiste dirons-nous ! De manière plus réaliste, la petite italienne réussit à se démarquer de sa cousine Peugeot 208 grâce à un style plus original et un rapport prix/équipements plus compétitif. Un bon moyen pour la marque italienne d'assurer son retour en France, avant la renaissance d'autres noms historiques comme Gamma ou Delta.   {{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Extrait émission Turbo : Magazine, Le Mans, les français à l'assaut des 24H

La présence remarquée et remarquable des constructeurs français impressionne pour cette nouvelle édition des 24 heures du Mans, à une petite semaine seulement de la plus incroyable course d'endurance au monde. Historiquement la Sarthe n'a jamais accueilli autant de constructeurs mondiaux que cette année... Une dizaine en hypercar, la catégorie Reine, soit 23 voitures qui auront à cœur d'en découdre...    Alpine fait son grand retour avec une jeune A424, Peugeot, redouble avec une toute nouvelle 9x8... Et un constructeur étranger, italien, a sollicité, pour sa toute première participation en Hypercar, les faveurs d'un spécialiste français, aguerri à la compétition : Ligier qui a mis au point, pour le compte de Lamborghini en partie sa toute nouvelle SC63. Il y aura cependant plus de perdants, que de vainqueurs... Alors comment se sont préparés cette année l'armada Française ? L'image d'une victoire au Mans sera sans doute le principal enjeu... Un enjeu forcément aussi marketing.    Après deux années d'absence au plus haut niveau, Alpine revient avec un beau projet, 45 ans après sa dernière victoire dans la Sarthe. Faire connaître ses produits dans le monde, et le vecteur, c'est le sport auto. Et si le constructeur ne dépense pas comme en F1 plus d'un demi milliard d'euros par saison, le constructeur de Dieppe a mis le paquet dans ce nouveau programme d'endurance.    Le constructeur est venu à Jerez, en Espagne, sur une phase d'essais, il y a quelques mois, avec plus de 60 personnes, dont 20 ingénieurs, rien que cela, pour gérer et emmagasiner des milliers de données... Mise au point du châssis, du système hybride, fiabiliser les pièces, l'electronique et le moteur venu d'une Formule 2, un inédit V6 mono turbo hybride, comme en F1, modifié aux exigences de l'endurance.   Et Parmi les pilotes, Alpine s'est offert les services de Mick Schumacher, venu de la F1, mais également en majorité de jeunes pilotes français, comme Charles Miliesi, à peine 22 ans, ou Paul Loup Chatin, mais très loin d'être inexpérimentés. Objectif avoué... Le Mans.  « Chez Lamborghini, on reste réaliste, on a les pieds sur terre, nous devons beaucoup apprendre mais nous ne refusons aucun Challenge, et nous voulons prouver que nous sommes, malgré tout, compétitifs ». De son côté, le constructeur de Santa a Gata, spécialiste du GT et du Super Trofeo, se lance pour la première fois cette année dans l'aventure Hypercar associé au constructeur français Ligier....  Marque cinquantenaire, installée dans la Nièvre, près de Magny cours, Ligier a été créée à l'origine par une figure du sport automobile Guy Ligier et qui a fait en son temps rouler des Formule 1 et des Prototypes en endurance. Aujourd'hui, Ligier est un grand pourvoyeur de voitures de courses à tous les niveaux. Leur collaboration étonnante s'est quan même faite naturellement. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} « Moi en tant que fan de sport automobile, je connais déjà Ligier depuis plusieurs années et c'est la combinaison parfaite entre nos deux compagnies, dont la philosophie est la même, parce que Lamborghini est encore une petite structure.  Depuis le départ, avec Ligier ça colle super bien, c'est un excellent partenaire, expérimenté, et ensemble,  nous seront que plus fort...    Le moteur c'est Lamborghini évidemment, un V8 3,8 litres hybride... qui pourrait bien servir de base à la série pour la futur Huracan. Et pour être totalement performant, l'équipe italo française a choisi comme beaucoup, des pilotes venus de divers championnats, jusqu'à Romain Grojean qui grâce à son expérience en Formule 1 et en Indy apporte beaucoup... Le pilote français, encore un, sera présent aux 24 heures du Mans pour supporter cette jeune équipe.    Reste Peugeot. Le Lion est présent pour la deuxième fois au Mans cette année avec sa somptueuse 9X8. L'Année précédente, le construteur français avec son hypercar V6 hybride quatre roues motrices, avait fait un choix drastique : d'élaborer une voiture sans aileron dont le soubassement faisait beaucoup sur le plan aérodynamique. Peugeot avait été pénalisé, par une réglementation qui leur imposait des pneumatiques identiques au chaque coin de la voiture. Cette année, le règlement leur a permis de transformer cette 9x8 pour être plus performante.   On a le sentiment chez Peugeot que le constructeur mise beaucoup sur Le Mans, une course qui ne ressemble à aucune autre... L'image, le marketing de vente pour la grande série, par l'intermédiaire du sport auto, reste l'objectif numéro 1 pour tous les constructeurs, Peugeot aussi, bien évidemment... Rendez donc pour les 101 ans des 24h du Mans, une course fantasmatique que chacun rêve de gagner... L'un des Français sera t il sur la plus haute marche du podium ?
À partir d’avant-hierTurbo.fr - L'info en continu

PHOTOS - Notre essai de l'Audi A3 restylée (2024) en images

Quatre ans après son lancement, la quatrième génération d'Audi A3 profite du traditionnel restylage de mi-carrière. De quoi donner un second souffle à la compacte allemande qui n'a pas connu le même succès que par le passé. En partie à cause d'un niveau de finition moins premium que ses concurrentes directes. Objectif 2024 : redevenir la référence de la catégorie. Alors, est-ce qu'Audi s'est offert les moyens de ses ambitions ? Réponse au volant de la version Sportback, proposée au lancement en deux motorisations : essence 1.5 TFSi et Diesel 2.0 TDi, tous deux forts de 150 ch.  A lire : Essai - Audi A3 restylée (2024) : de référence à outsider

ESSAI - Audi A3 restylée (2024) : de référence à outsider

Audi profite du traditionnel restylage de mi-carrière pour tenter de relancer les ventes de sa compacte. Au programme, les versions Sportback et berline ont droit à de menues évolutions et une offre de motorisations réduite au lancement. On assiste également à l'arrivée d'une nouvelle version surélevée façon SUV et baptisée Allstreet. On en attendait davantage ! Même si la clientèle y trouvera clairement son compte. La quatrième génération d'Audi A3 n'a pas connu le succès de ses aïeules. Si le calendrier de lancement ne lui a pas été favorable (Covid, crise des semi-conducteurs, etc), il faut bien admettre que la compacte d'Ingolstadt s'est reposée sur ses lauriers. La référence de la catégorie est aujourd'hui devenue bien plus classique en proposant une finition décevante pour le segment, et peu d'innovations face à des concurrentes plus ambitieuses comme la BMW Série 1 notamment. Malheureusement, quatre ans après le lancement de la quatrième génération, le restylage ne change pas vraiment la donne. 

VIDEO – Volkswagen Golf GTI Clubsport : découverte du modèle 2024

Quelques mois après le restylage de la Golf 8, Volkswagen nous a présenté en avant-première l'une des versions sportives les plus exclusives du catalogue, à savoir la Golf GTI Clubsport. Celle-ci vient d'être dévoilée en première mondiale au Nürburgring pour célébrer les 50 ans du modèle, aux côtés de la version de compétition nommée GTI Clubsport 24H et forte de 348 ch. Pour le modèle de série, la puissance passe désormais à 300ch. Soit un peu plus que la Golf GTI « classique » qui passe à 265 ch cette année. Et un cran en dessous de la nouvelle Golf R forte de 333 ch. La fiche technique est donc intéressante. Avec 300 ch et 400 Nm de couple maxi, le quatre cylindres 2.0 litres turbo fait de cette GTI Clubsport le modèle traction le plus puissant du catalogue et lui permet de délivrer des performances canon : 5,6 s au 0 à 100 km/h. Soit 3 dixièmes plus rapide que la GTI qui stagne à 5,9 secondes.  On observe aussi quelques nouveautés stylistiques et technologiques. A commencer par un tout nouveau bouclier, plus ouvert afin d'améliorer le refroidissement mécanique. Le look se modernise, au même titre que les optiques affinées qui accueillent pour la première fois des feux Matrix LED adaptatifs. La barrette centrale est quant à elle habillée d'un logo lumineux. La montée en gamme est clairement visible. D'autant que notre modèle exposé profite de jantes optionnelles de 19 pouces permettant de réduire les masses non suspendues à hauteur de 8 kg par roue (-20 %). Et d'un impressionnant système d'échappement signé Akrapovic.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} L'habitacle profite lui aussi de son lot de nouveautés en adoptant un bloc d'instrumentation de 10,2 pouces personnalisable et épaulé par un système multimédia de 12,9 pouces. Celui-ci équipe les derniers modèles de la firme allemande, à commencer par sa grande sœur la Passat notamment. La GTI Clubsport se démarque de la GTI en accueillant par la même occasion de très beaux sièges bien enveloppants. Sublimes. En attendant les essais, la fiche technique nous fait déjà de saliver. La GTI Clubsport se démarque en effet par un différentiel électronique positionné sur le train avant. Celui-ci freine la roue intérieure au virage afin d'optimiser la motricité et assurer des passages en courbe le plus efficacement possible. La boite DSG à 7 rapports est évidemment toujours de la partie. La vitesse de pointe enfin, limitée à 250 km/h, peut être débridée à 267 km/h en option. Ce qui en fait l'une des Golf les plus rapides du monde, 3 km/h derrière la Golf R et l'Arteon R. Il faut savoir aussi que cette GTI survitaminée dispose de l'amortissement piloté DCC. Ce n'est pas une nouveauté. En revanche, celui-ci accueille un nouveau mode de conduite dénommé Spécial, caractérisé par une suspension sensiblement assoupli par rapport au mode Race, afin de convenir au mieux au tracé du Nürburgring particulièrement bosselé et contraignant. Le régime de fonctionnement moteur est quant à lui légèrement augmenté afin d'améliorer les temps de réponse. On a hâte de l'essayer !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} La commercialisation a débuté. Les tarifs devraient débuter autour de 53.000 euros environ selon nos estimations. Hors malus évidemment. On parle ici d'une taxe de 40.000 euros. Dommage, elle nous plaisait bien…   {{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Extrait émission Turbo : Essai Skoda Superb Combi, laissez-vous tenter par le break

Skoda poursuit avec vigueur l'évolution de sa gamme, notamment dans le domaine de la polyvalence. C'est avec un break, une espèce presque en voie de disparition, que la Skoda Superb Combi dévoile aujourd'hui sa 4ème génération de l'ère moderne : Plus techno, plus haut de gamme et encore plus logeable.   C'est donc forcément dans la superbe région de l'Auvergne, plus précisément dans le Cantal, que nous en avons pris le volant. Une région encore peu connue que nous avons pris plaisir à découvrir en prenant un peu de hauteur avec des guides pour le moins étonnants ! Il est maintenant temps de laisser nos oies se reposer pour retrouver un autre grand voyageur : notre Superb Combi, également taillée pour les longues distances. Et comme il n'est évidemment pas question de sillonner la région sans passer par le célèbre village médiéval, nous prenons la direction de Salers. L'occasion de faire une pause et s'attarder sur le nouveau design de l'élégant break. En dehors de quelques détails, pas de grosses révolutions stylistiques. De nouveaux optiques Matrix Led, une calandre affinée, de nouvelles jantes et l'apparition du lettrage Skoda sur le hayon. Un peu plus longue, un peu plus haute et toujours plus logeable. En passant à 690 l, elle gagne 60 l sur la génération précédente et banquette rabattue, elle atteint 1920 l… une référence sur le segment ! Parmi ces accessoires pratiques : des rangements malins, un parapluie de secours, des supports pour smartphone et des reposes têtes pour les plus fatigués.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Et oui, les 360 Nm de couple du diesel ne sont pas superflus ! Il s'avère même plus coupleux que la version essence de 150 ch qui profite, elle, d'une micro-hybridation. Pas de jaloux, une version hybride rechargeable de 204 ch est également disponible au catalogue avec une belle autonomie en tout électrique annoncée à plus de 130 km ! Pas mal !  Sans surprise, la Superb Combi diesel accuse un malus de 330 € minimum, ajouté aux 57.830 € de notre version « Laurin & Klement », ça fait beaucoup. Mais l'équipement de série est généreux fait du break un parfait compagnon de voyage pour cette escapade bucolique dans le Cantal !   

Extrait émission Turbo : Essai Ford Mustang Dark Horse, elle lâche les chevaux

Les années passent, la Mustang restent. Le temps ne semble pas vraiment avoir d'emprise sur la Poney car américaine. Elle est restée fidèle à sa réputation légendaire, celle perpétuée par une tradition désormais vieille de 60 années : une popularité sans faille.    Son accessibilité éprouvée par une concurrence acharnée, est sa force, faisant d'elle, la sportive la plus vendue au monde. Mais elle n'a pas oublié non plus d'évoluer : Sa rigueur d'usage et ses performances se sont, au fil des générations, largement améliorées. Une âme, enfin, sans pareille, dopée par un cœur mécanique, son V8 5,0 litres atmosphérique.    Pourtant, les normes imposées à l'automobile d'aujourd'hui pourraient avoir raison d'elle, surtout sur notre marché hexagonale... Malheur à cette politique excessive, qui semble vouloir tirer un trait sur la passion et le plaisir automobile accessible.    Le sud de la France, la région Niçoise, a perdu son soleil, et nous a amené la pluie pour l'essai de cette série spéciale nommée Dark Horse. Tant pis ! Cela ne nous empêchera pas de dompter ce pur Sang bien énervé, qui fait de cette 7ème génération, une jolie mouture. La croiserons nous pour autant souvent sur nos routes ?      La nouvelle Mustang débute à un peu moins de 60 000 euros, et cette série spéciale à 71 300 euros auxquelles il faudra rajouter les taxes.... 60 000 euros au moins ! Pourquoi ne pas les payer au kilomètre parcouru chaque année ? Je pose la question. On roulera certainement moins avec une Mustang qu'avec une auto beaucoup moins puissante, polyvalente, plus petite mais qui polluera davantage par un nombre de kilomètres parcourus plus importants ! Allez c'est dit ! En tout cas la Dark Horse excite la rétine par cette plastique alléchante et dynamique.    Châssis spécial, aileron arrière imposant, calandre spécifique, élément en carbone, échappement actif à quadruple sortie noire, le cheval sombre impose sa bravoure son tempérament et son style à la nouvelle venue... On ne se contente plus d'une Mustang qui file droit, elle tourne, elle est généreuse dans l'effort, malgré 1837 kg et ses 4,81m, supporte, grâce à un différentiel sport, sa motricité en toute circonstance, et freine facilement grâce à des Brembo étrier six pistons... que du bon. Et pour cela, il faudra donc débourser au bout plus de 130000 euros... pour s'offrir un galop en Dark Horse. Franchirez vous le Pas ?  

Extrait émission Turbo : Conso, l'état des routes en France, c'est de pire en pire

Savez-vous qu'en France environ 10% de nos routes départementales et 20% des routes communales sont considérées en mauvais état ? Ici à Jeumont, village de 10 000 habitants, le bitume est très dégradé, les nids de poule apparaissent de plus en plus fréquemment, comme dans de nombreuses autres villes en France. Pour voir l'ampleur des problèmes ici, nous suivons Daniel. Il habite depuis plus de 20 ans dans cette commune et c'est pour lui chaque jour un parcours du combattant pour éviter les nids de poule. Ce conducteur a déjà été contraint de faire remplacer des biellettes de suspension sur son véhicule qui ne passait plus au contrôle technique. Même la chaussée dans sa rue est déformée, contrairement à une partie du centre-ville. Ici, des routes refaites à neuf depuis peu, sur décision du maire. Des millions d'euros investis mais un sentiment que vous partagez tous : nos routes sont de plus en plus délabrées. Pourtant, en 2012, la France était encore en tête du classement mondial en termes de qualité des infrastructures routières. Mais, elle a chuté à la 18e place en 2019. Depuis, les crevasses et les trous s'accumulent, la chaussée se détériore grandement, ce qui constitue un grand risque pour tous les usagers de la route.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} De nombreuses réparations sont menées ensuite par les communes, les départements, mais cela reste insuffisant pour améliorer considérablement l'état des routes. Un audit publié il y a six ans pointe du doigt un « sous-investissement » de l'État entre 2007 et 2017. Dans le même temps, les coûts des travaux ont grimpé, notamment le prix du bitume, produit à partir du pétrole. Et les motards restent eux les usagers les plus exposés. En avril, comme chaque année, ils ont mené dans le pays une opération de signalement des nids de poule. Un mois plus tard, Michel et Thierry retournent sur quelques routes qui posent problème. La dégradation des réseaux routiers s'explique aussi par d'autres raisons : le désengagement de l'Etat et la perte de savoir-faire. En 2010, les directions départementales de l'équipement ont été supprimées. Conséquence, l'entretien n'a plus été la préoccupation première des collectivités, qui doivent supporter en plus une circulation de plus en plus dense.  La stratégie française serait donc à revoir mais en attendant, vous en faites les frais. D'ailleurs, si votre véhicule est endommagé à cause de la chaussée, n'hésitez pas à adresser au gestionnaire de voirie concerné un dossier complet, photos à l'appui. Un accord à l'amiable ou une indemnisation pourrait être envisagée. Un tribunal peut même statuer sur le conflit mais pour avoir gain de cause faut-il encore bien identifier les responsabilités de chaque collectivité.  {{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Extrait émission Turbo : Essai Toyota Yaris Cross, la voiture Made in France préférée des français

Peugeot 308, Renault Scénic, Opel Mokka ou encore Ineos Grenadier, tous ces modèles ont un point commun, ils sont fabriqués en France. Et ce ne sont pas les seuls ! Rien que l'année dernière, il s'en est vendu près de 200 000 Yaris Cross en France. Un véritable carton commercial pour ce petit SUV urbain produit près de Valenciennes. Après 3 ans de carrière, l'heure du restylage a sonné, toujours Made in France, centré sur sa motorisation et sa meilleure insonorisation. L'autre nouveauté intéressante sur ce restylage, son nouveau moteur. D'une puissance de 130 chevaux et surtout 185 Nm de couple, 45 de plus qu'auparavant, le système hybride promet de meilleures performances que la version 116 chevaux, toujours au catalogue.  Toujours au chapitre de la conduite, de nouvelles technologies font leur apparition. Notamment pour améliorer la sécurité en ville. Parmi elles, la déjà vue alerte de détection des cyclistes à l'ouverture des portières et surtout l'inédite aide à la conduite proactive. En d'autres mots, la voiture décélère et ajuste la direction toute seule lorsqu'elle s'approche d'un véhicule plus lent ou d'un virage. Pratique mais parfois déroutant !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Légèrement plus performante, un peu mieux isolée et technologiquement presque à la page, la Toyota Yaris Cross gomme en partie les petits défauts qui lui étaient reprochés. Le tout en contenant son inflation avec des tarifs allant de 30 à 36 000 euros, sans malus. De quoi lui permettre, sans trop nous avancer, de rester la voiture made in France préférée des Français !  

Extrait émission Turbo : XIAOMI / HUAWEI, les géants de l'électronique chinois attaquent le marché auto

Le salon de Pékin vient à peine d'ouvrir ses portes qu'une longue file d'attente entoure déjà l'un des stands. Près d'1h heure d'attente pour enfin accéder au graal… Cette voiture ! Et le plus incroyable c'est qu'elle n'a même pas été conçue par un constructeur automobile… Mais par une marque d'électronique dont vous avez déjà forcément entendu parler… Xiaomi ! C'est l'un des plus grands fabricants chinois de produits tech et pour la première fois il se lance dans la voiture ! Face à lui : Volkswagen, BYD, Polestar… Mais surtout son adversaire de toujours… L'autre géants chinois du téléphone mobile : Huawei ! Oui, Autochina 2024 marquera un tournant, une véritable révolution : alors qu'Apple vient de jeter l'éponge pour développer sa propre voiture, Huawei et Xiaomi mettent, eux, toutes leur force dans la bataille ! Voici comment les rois chinois du téléphone portable sont en train de prendre le marché de l'automobile par surprise ! 10 000 précommandes en moins de 48h lors de sa révélation, 75 000 aujourd'hui et déjà 6000 clients livrés en quelques semaine ! Tiktok, Youtube, depuis Tesla on n'avait pas connu une telle hype sur les réseaux sociaux ! Et sur ce salon son nom était sur toutes les lèvres ! Mais pourquoi un tel engouement pour cette voiture ? Qu'a-t-elle de spéciale ?{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Mais surtout son pédigré : on attendait Apple, c'est Xiaomi qui réussit à concevoir sans aucune expérience automobile une voiture 100% électrique ! Avec en revanche son savoir-faire dans le mobile, l'électronique, et les interfaces utilisateur et sans les œillères des constructeurs traditionnels ! Beaucoup l'on tout de suite vu comme la Tesla chinoise et vous allez le constater, l'influence est indéniable ! Mais pragmatisme asiatique, contrairement à Tesla, Xiaomi n'a pas totalement abandonné les boutons… Ainsi on peut clipser autour de l'écran des accessoires officiels de Xiaomi… Mais pourquoi rajouter ces accessoires qui, soyons honnête font un peu ringard sur un écran, lui, dans l'air du temps… Autres caractéristiques de la SU7 qui ont scotchés tout le monde : ce sont ses performances…. LE résultat est fou : 2s78 de 0 à 100 km/h, 265 km/h de vitesse max, et tout cela avec près de 800 km d'autonomie, attention à la norme chinoise, c'est absolument dingue pour cette catégorie, surtout quand on connait son prix en Chine… A partir de 24 000 € pour la version de base 38 000 € pour la Max c'est 18 000 € de moins qu'une Tesla Model 3 performance pourtant déjà bon marché, et 45 000 € de moins qu'une BMW M3 son équivalent en thermique !!! La seule ombre au tableau pour nous Français, pour l'instant aucune commercialisation en Europe n'est annoncée…{{_DYNINFEED_BLOCK_}} En face, Huawei contre-attaque, mais ne cherchez pas le logo Huawei sur une carrosserie, ils abordent l'automobile en sous-marin… Comme le ferait un Valeo ou un Faurecia chez nous, Huawei fourni une véritable plateforme qui vont des batteries avec toute l'électronique qui va avec jusqu'au cœur de la voiture : son ordinateur ! D'ailleurs elle ressemble furieusement à la Xiaomi cette Luxeed Huawei ! Mais aussi les capteurs, les caméras dont son bardé ces voitures ultramodernes ! Entre les marques issues de la Silicon Valley comme Tesla ou Lucid et ces géants de la tech chinois, c'est un véritable tournant que prend l'automobile, et ce n'est peut-être que le début !  

Extrait émission Turbo : Essai Aston Martin Vantage (2024), encore plus belle et toujours plus sportive

Eh oui, Aston Martin a poussé le curseur de la sportivité, loin, très loin. Avec un but, assumer encore plus le côté boule de nerfs de la Vantage. Pas d'électrification, le V8 4 litres biturbo d'origne AMG a tout simplement été complètement retravaillé : des turbos aux cames en passant par la compression et le refroidissement. Résultat, la puissance passe de 510 à 665 chevaux et le couple de 685 à 800 Nm. Franchement costaud !   Du sport oui, c'est le mot ! Ecoutez plutôt les performances : 0 à 100 km/h en seulement 3 secondes 5 et une vitesse maximale de 325 km/h, soit 11 de plus que précédemment. Rouler vite en ligne droite, c'est bien, mais plutôt facile, la preuve avec les voitures électriques… Être redoutablement efficace en virages, ça c'est une autre histoire. Et pour cela, le châssis de la Vantage a été lui-aussi profondément revu. Plus rigide, il bénéficie de nouvelles suspensions, de freins plus gros, d'une direction recalibrée et d'un contrôle de traction travaillant avec le différentiel arrière.  Plus sportive, plus musclée à conduire. Mais à regarder ! Avec un coup de crayon bien moins clivant que l'ancienne qui avait déchaîné les débats. L'objectif, la rapprocher davantage du style maison. Vue de l'arrière et de profil, la Vantage change beaucoup moins. Même si il faut bien avouer que certains détails comme les jantes dorées et les étriers de freins peints dans la même couleur que la monoplace de Fernando Alonso et Lance Stroll, font leur petit effet. Pour le clou du spectacle, rendez-vous à l'intérieur !  {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Les longs week-end en Vantage, c'est évidemment toujours possible. Car La Baby Aston reste une GT dans l'âme avec de nombreuses options d'aides à la conduite. Et surtout un coffre  permettant d'accueillir deux valises cabine.  

PHOTOS - Notre essai de la BMW M2 boîte méca en images

Après notre premier essai de la BMW M2 en version boîte automatique, nous avons pris le volant de la version équipée de la boîte manuelle. Une exclusivité dans la catalogue BMW chez les modèles M à hautes performances. Ainsi dotée, la petite sportive de 460 ch possède de quoi se démarquer face à ses grandes soeurs les M3 et M4 avec lesquelles elle partage sa plateforme, mais aussi sa mécanique et une grande partie de son habitacle. Alors, est-ce que cette M2 boîte méca offre des sensations inédites à ce jour ? Réponse dans notre essai. A lire : ESSAI – BMW M2 : la boîte manuelle qui change tout ?

ESSAI – BMW M2 : la boîte manuelle qui change tout ?

Les boîtes de vitesses automatiques sont devenues si performantes qu'elles sont aujourd'hui largement préférées par la majorité des utilisateurs. Pourtant certaines sportives s'apprécient davantage avec une bonne vieille boîte mécanique. C'est le cas de la BMW M2 et on vous explique pourquoi. Lors de notre dernier essai de la M2, nous vous faisions part d'une inquiétude : BMW ne serait-il pas allé trop loin avec cette nouvelle génération développée sur la base d'une Série 4 ? En effet, cette M2 est plus longue, plus large et beaucoup plus lourde que sa devancière. Un réel gage d'efficacité, confirmé au volant. Mais un peu à l'excès selon nous, au regard de l'ADN du modèle conçu pour faire perdurer l'esprit Motorsport. Et la boite automatique ZF à 8 rapports n'arrange pas les choses, en accentuant encore le caractère linéaire du six cylindres en ligne 3.0 litres bi-turbo. A lire : ESSAI - BMW M2 : sont-ils allés trop loin ? En gros, dans ces conditions on a un peu le sentiment d'être au volant d'un modèle du segment supérieur. Et pour une « M », ce n'est pas un compliment. Mais heureusement, la nouvelle M2 profite d'une valeur ajoutée exclusive face à ses rivales. Celle-ci est également proposée avec une boîte mécanique en option gratuite. Ce qui en fait la toute dernière de sa catégorie à combiner un six cylindres 100% thermique, une architecture propulsion, et un levier de vitesses digne de ce nom. C'est aussi à ce jour la seule M du catalogue français à être proposée en boîte mécanique. Nous sommes donc partis à la rencontre de cette espèce en voie d'extinction, lors d'une Spéciale du Tour Auto 2024.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Extrait émission Turbo : Essai Porsche Macan, il fait sa révolution électrique

Vous le voyez partout, des quartiers chics des grandes villes aux cités balnéaires les plus huppées en passant par les stations de ski les plus prestigieuses. Impossible de ne pas le reconnaître, et pour cause, le Macan est la Porsche la plus vendue depuis sa sortie en 2014. 850 000 exemplaires qui ont permis au constructeur allemand de franchir un cap dans la rentabilité ! 2024 marque une nouvelle ère pour la poule aux œufs d'or de Stuttgart, avec une véritable révolution au programme !    Signe de l'importance de son modèle, Porsche a choisi la Côte d'Azur pour nous le faire découvrir. Sans doute l'un des endroits où l'ancien Macan se vendait le mieux. Beaucoup plus agressif, le Macan sans cylindres est également plus imposant. Plus long, un peu plus large et surtout beaucoup plus aérodynamique. Pour l'autonomie, on verra ça plus tard ! Les autres grands changements sont évidemment à l'intérieur, avec notamment cet habitacle proche du Taycan.  Pas de compte-tours central, pas de casquette d'instrumentation de bord très Porsche mais des écrans partout, dont un pour le passager. Et surtout une position de conduite très sportive, pas franchement habituelle pour un SUV électrique. Familial et désormais électrique donc ! D'ailleurs pour sa transformation, le Macan a pu bénéficier de la toute nouvelle plateforme partagée avec Audi. Avec quelques avantages, un centre de gravité bien plus bas, une architecture 800 Volts permettant une recharge hyper rapide et surtout, une belle autonomie grâce à sa grosse batterie de 95 kWh. 3 secondes 3 seulement pour atteindre les 100 km/h, 260 km/h de vitesse maximale ! Les performances du Macan Turbo sont impressionnantes. Mais surtout, les Porschiste seront rassurés de savoir qu'il est tout aussi affûté en virage. Bien aidée, il faut dire, par une panoplie de technologies très large : suspension pneumatique, amortissement piloté, transmission intégrale avec roues arrière directrices, vectorisation du couple ou encore blocage de différentiel. Difficile de faire plus complet !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Car oui, le nouveau Macan électrique est cher. A partir de 86 000 € pour sa version de base et jusqu'à 119 000 € pour le Turbo. Sans malus heureusement, mais sans options bien sûr, qui font très vite grimper la facture comme toujours chez Porsche. Au final, ce que le Macan perd en caractère sonore et en noblesse mécanique, il le gagne en performances et technologies. Une transformation dans l'ère du temps qui risque encore et toujours de susciter de nombreux débats !  

Extrait émission Turbo : Essai Audi A3, la compacte premium joue les crossover

Nouveauté avec Audi rime en ce moment avec rareté... On n'était pas vraiment habitué, mais en même temps c'est le jeu du calendrier. Le deuxième semestre 2024 pour le constructeur d'Ingolstadt sera très prolifique avec l'arrivée attendue notamment du futur Q6. En attendant, on s'intéresse à la compacte premium A3 qui n'avait pas été sous les feux des projecteurs depuis 2020, date de la dernière génération. Concurrente, de la Mercedes Classe A et de la BMW série 1, l'A3 avait besoin de redorer son blason. C'est chose faite... Le mauvais temps, a quelque peu perturbé notre essai ici dans la région Bavaroise, mais on a de la ressource à Turbo pour vous dévoiler tous les secrets de ce nouveau modèle.    Ses proportions, comme ses mensurations restent inchangées. Esthétiquement elle fait quelques efforts avec une identité rajeunie. Un nouveau visage quelque peu lifté. Sa calandre Single frame plate hexagonale et sans contour s'élargie avec pour le coup une originalité, son logo, les anneaux effleurent désormais le capot. Diffuseur et boucliers avant arrière pincés et des optiques matrices Led inédites dont on peut désormais faire évoluer avec quatre signatures possibles différente pour le dessin des feux de jours. Sympa. Dynamisme et modernité au programme pour cette nouvelle A3.    Pour le coup, l'habitacle évolue franchement, dont on peut affirmer @auj que la qualité perçue redevient référence : de beaux matériaux, un bon assemblage, le premium est de ce monde là. Une nouvelle planche de bord au standard de la gamme, de nouveaux aérateurs, écran numérique tactile d'un peu plus de 10 pouces, avec radio Dab+, 4 ports USBC, une instrumentation au centre d'un volant qui, lui, aurait pu se moderniser... C'est le même. Le levier de vitesse disparaît pour une commande à bascule et la garniture des sièges, 100% polyester, est entièrement recyclée :     Bref un catalogue d'options choisies, à la carte dans un temps limité ou permanent... moins cher à la location que si vous aviez pris un pack d'options dans lequel il n'y a pas forcément tout ce que vous souhaitez. A réfléchir...    Freinage hyper mordant, Boite DSG sans a-coup, l'A3 se dotera d'une palette de motorisations élargissant la gamme et le choix : un 116 ch essence d'appel, un hybride rechargeable en fin d'année, et 333 chevaux dans la sulfureuse S3. Pour la Allstreet, il faut compter 1000 euros environ de plus qu'une A3 Sportback, qui débute dans la gamme à partir de 36 780 euros.   

Extrait émission Turbo : Pékin Auto Show, le plein de nouveautés

Fini le temps ou Volkswagen produisait ici des Jetta préhistoriques, la Magotan est quasiment à nos standards européens, avec un design très élégant et des équipements ultra-modernes ! Ce n'est encore qu'un concept, qu'une ébauche d'un futur SUV Volkswagen pour la Chine, mais vous pouvez y déceler tous les axes qui vont guider le design des Volkswagen dans les années à venir. Cela annonce un changement radical de style, mais aussi de technologie, la voiture va désormais communiquer avec vous, même à l'arrêt… Et si Volkswagen investit autant sur la technologie c'est qu'ils sont en passe de perdre leur place de n°1 en Chine, les Constructeurs chinois sont à l'attaque et ce salon en est l'illustration… Et justement voici la nouvelle SEAL, c'est la nouveauté de BYD sur le salon, même si, étrangement, son design parait moins moderne que l'ancienne…  Car vous ne vous en souvenez peut-être pas mais avant d'être chinois MG était un constructeur anglais et ce EXE 181 rend hommage à l'un de leur prototype qui en 1959 avait été la première voiture à atteindre 400 km/h, et il faut reconnaitre que son interprétation moderne et 100% électrique a une sacrée gueule ! Et il se pourrait bien que nous ayons droit nous aussi à ce facelift dans le futur… BYD, MG, Lynk&Co, ces 3 marques chinoises présente en France nous sont désormais familières mais le marché de l'auto chinois a explosé ces dernières années notamment grâce à l'électrique avec l'éclosion de dizaines de marques pour beaucoup encore inconnue au bataillon 3 ans auparavant et ce salon en est le reflet ! Alors voici une compilation d'une partie d'entre eux, accrochez-vous ça va vous donner le tournis !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Et la liste est encore longue, alors se pose évidemment la question de la viabilité de toutes ces nouvelles marques, les chinois ont beau être plus d'un milliard, le marché peut-il digérer autant de nouveaux constructeurs Florence est l'un des meilleurs journaliste économique et une experte du marché automobile, et comme nous elle pense qu'il y aura fatalement une sélection naturelle… Alors dans ce feu d'artifice de marques et de modèle voici mes 3 surprises du salon : Le 1-1 c'est un magnifique SUV de luxe, qui, certes à un petit air de Porsche Cayenne coupé, mais en beaucoup plus original, avec des astuces inimaginables comme cet écran sur le capot… Son habitacle n'est pas en reste avec des écrans partout… Palme de l'originalité le dessin de sa malle arrière un pur chef d'œuvre de design… Autre énorme coup de cœur chez YangWang, avec la U9, une Hypercar 100% électrique aux performances délirantes… Mais ce n'est pas tout : elle est capable de faire demi-tour sur elle-même et grâce à ses ses suspensions high tech, c'est du jamais vu, elle peut danser et même sauter… Tout cela pour 215 000 €, le quart du prix des hypercar occidentales…{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Mais comment ne pas finir par la sensation du salon, celle qui a fait tourner toutes les têtes, peut-être l'auto la plus branchée du moment dans tous les sens du terme puisque 100% électrique : c'est bien sûr la Xiaomi SU7, première voiture conçu par le géant des téléphone mobile chinois et déjà un carton… Nous y reviendront plus en détail la semaine prochaine, tans ce salon de Pékin aura été riche, surprenant et passionnant…   

VIDEO - A bord de la BMW M2 boîte manuelle : nos sensations de conduite

Après notre précédent essai de la BMW M2 équipée de la boîte automatique, nous avons cette fois eu l'occasion de prendre en main la petite sportive bavaroise en version boîte manuelle. Une configuration un peu moins performante puisqu'en l'occurrence la M2 perd deux petits dixièmes au 0 à 100km/h avec un chrono de 4,3 secondes. En revanche, la boîte mécanique profite clairement aux sensations de conduite avec des passages de rapports plus marqués et en imposant un vrai engagement de la part du conducteur. Toujours dotée du six cylindres en ligne 3.0 litres bi-turbo de 460 ch et 550 Nm, la M2 se révèle alors un engin ultra-exclusif dans la catégorie. D'ailleurs, c'est la dernière M a profiter d'une telle configuration. Un futur collector ! Lire aussi : ESSAI - BMW M2 : sont-ils allés trop loin ?

PHOTOS - Notre essai du Porsche Macan Electric (2024) en images

Le flambeau s'apprête à être passé ! Dès cet été le nouveau Porsche Macan Electric remplacera le Macan thermique dans la plupart des concessions européennes. Plus impressionnante que jamais, avec son look de SUV coupé et ses performances canons, cette nouvelle génération aura la lourde tâche de convertir à l'électrique une partie de la clientèle Porsche. Est-elle en mesure d'y parvenir ? Offre t-elle la sportivité attendue au volant d'une Porsche digne de ce nom ? Réponses dans notre essai, à bord du Macan 4 d'entrée de gamme (408 ch) et de la version Turbo forte de 639 ch.
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