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Aujourd’hui — 7 mai 2024Turbo.fr - L'info en continu

Alfa Romeo Junior : à 29.500 euros, que vaut l’entrée de gamme ?

Alors que les polémiques qui entouraient son lancement commencent à s'estomper, l'Alfa Romeo Junior prépare maintenant son arrivée sur le marché. La marque a d'ailleurs communiqué ses tarifs la semaine dernière, l'occasion de constater que l'entrée de gamme s'affiche à 29.500 euros, pour la version Ibrida. Une bonne surprise, puisque l'Italien est plus accessible que le Peugeot 2008, avec lequel il partage de nombreux éléments techniques. Mais cela suffira-t-il pour lui assurer le succès ? Ce modèle était très attendu, Alfa Romeo n'avait pas le droit à l'erreur avec ce Milano, désormais rebaptisé Junior. Décliné en motorisations 100 % électrique et hybride, ce SUV joue donc sur les deux tableaux, comme ses cousins du groupe Stellantis. Évidemment, les Alfistes purs grincent des dents, eux qui sont davantage intéressés par les berlines sportives et les coupés élégants. Reste que la marque a pour l'instant réussi son pari, en proposant son junior à moins de 30.000 euros, ce qui le rend plus accessible que le Peugeot 2008 doté de la même motorisation. Le Junior Elettrica, également moins cher que son cousin sochalien, débute à 38.500 euros. En version Ibrida, celle dont il est question aujourd'hui, il embarque un 3 cylindres 1.2 PureTech de 136 chevaux, associé à une boîte de vitesses automatique à 6 rapports dans laquelle est logé un petit bloc électrique. Une motorisation déjà bien connue, que l'on retrouve également sous le capot des Jeep Avenger ou encore des Citroën C3 Aircross. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Alfa Romeo Milano : véritable Alfa, ou énième clone made in Stellantis ?

RUMEURS – Une nouvelle Lancia Gamma pour 2026, Stellantis en pleine réflexion sur le thermique, le Cadillac Optiq arrive en Europe !

Comme toutes les semaines, l'actualité est parsemée de rumeurs. Cependant, certains bruits de couloirs sont assez insistants et même plutôt plausibles, au regard des stratégies des différentes marques. C'est notamment le cas d'une rumeur évoquant le retour d'une appellation bien connue chez Lancia, Gamma. D'autre part, il se murmure chez Stellantis que les modèles électriques pourraient continuer d'être déclinés en versions thermiques pendant plus longtemps que prévu. Enfin, actuellement en pleine transition, Cadillac pourrait décider de lancer son nouveau SUV Optic sur le marché européen, en parallèle du Lyriq. Lorsque l'on veut rester informé sur ce qui se passe dans le milieu automobile, il convient de bien trier les informations vérifiées et les rumeurs. Et si certains bruits de couloirs paraissent plausibles, il vaut toujours mieux les prendre avec des pincettes, du moins jusqu'à leur éventuelle confirmation. Trois rumeurs particulièrement intéressantes circulent depuis une semaine environ. À commencer par le retour de l'appellation Gamma, ou Thema, au sein de la gamme Lancia. Il se pourrait également que Stellantis continue de décliner ses voitures électriques en versions thermiques pendant encore quelques années, au-delà de la date initialement prévue. Enfin, alors que la marque est actuellement en plein renouveau, Cadillac pourrait s'appuyer sur son nouveau SUV, l'Optiq, pour partir à l'assaut du marché européen. On fait le point. Lire aussi : Lancia Ypsilon HF : le retour de deux lettres mythiques en 2025 ! Le futur vaisseau amiral de Lancia pourrait s'appeler Gamma ou Thema
À partir d’avant-hierTurbo.fr - L'info en continu

PHOTOS - 335.000 euros pour une Porsche 911 Dakar, la spéculation est déjà là !

La dernière "grosse" nouveauté de la gamme de la Porsche 911, la Dakar, commence à arriver sur le marché de l'occasion. Sans surprise, cette série spéciale n'échappe pas à la dure loi de la spéculation et voit déjà des prix augmenter, à tel point que certains exemplaires dépassent déjà la valeur du neuf ! C'est le cas de celui-ci, qui s'est échangé la semaine dernière contre la bagatelle de 360.000 dollars. Quand Porsche a présenté la 911 Dakar, fin 2022, on a rapidement su que cette version haute sur roues allait devenir un collector. Visiblement, on ne s'est pas trompé puisqu'un an et demi après, les premiers exemplaires commencent à débarquer sur le marché secondaire. Inutile d'entretenir le suspense, la cote semble avoir déjà commencé son ascension. Pour exemple, cet exemplaire était mis en vente sur la plateforme d'enchères BringaTrailer et a été adjugé contre la coquette somme de 360.000 dollars, soit environ 335.000 euros. Sachant que la 911 Dakar est vendue neuve à partir de 226.000 euros, et même si celle-ci bénéficie certainement de plusieurs dizaines de milliers d'euros d'options, son propriétaire doit se féliciter de ce joli coup.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Il faut tout de même préciser que l'exemplaire en question est comme neuf, puisqu'il ne totalise que 17 miles, soit un peu plus de 27 kilomètres. Elle bénéficie d'une configuration plutôt originale, très différente de la classique livrée Roughroads de Porsche. Quoiqu'il en soit, la spéculation sur ce modèle semble bel et bien lancée, on devrait assister à une hausse constante des prix... jusqu'à ce que la bulle explose.

CONFIG - Prenez-vous pour Sébastien Loeb avec notre Ford Mustang Mach-E Rally !

Il y a quelques semaines, Ford présentait quelques nouveautés pour célébrer les 60 ans de sa muscle-car, la Mustang. Parmi les réjouissances, se trouvait une étrange version du Mustang Mach-E 100% électrique, conçue pour aller s'amuser hors de l'asphalte : le Mustang Mach-E Rally. Comme nous étions plutôt intrigués par cet engin, nous avons décidé d'aller fouiller dans le configurateur en ligne de Ford… Depuis sa présentation en 2020, on ne peut pas dire que le Ford Mustang Mach-E ait réellement convaincu les fans de la muscle-car iconique, malgré son nom plus qu'évocateur. Ce n'est pourtant pas faute d'avoir multiplié les mises à jour et les séries spéciales. Mais avec cette dernière version, produite en série limitée, les choses ont l'air différentes. Car au lieu de tout faire pour ressembler à une Mustang haute sur roues et de tenter d'aller chasser des chronos, ce Mach-E un peu particulier essaie justement de s'en différencier et d'aller faire voler la poussière loin de l'asphalte. Visuellement, le Mustang Mach-E n'est pas transfiguré, mais certains éléments permettent tout de même de le distinguer et de savoir qu'on n'a pas affaire à n'importe quel SUV à batteries. Ça, et le tarif bien sûr, puisque ce Mustang Mach-E Rally s'affiche à partir de 81.990 euros. Pour ce prix, en plus des éléments de design spécifiques, on a droit à 510 kilomètres d'autonomie et 487 chevaux électriques. Ford annonce un 0 à 100 km/h avalé en 4,3 secondes, une vraie voiture de rallye !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Ford Mustang California Special : une série spéciale pour les 60 ans de la muscle-car !

PHOTOS - Avant la 12 Cilindri, chez Ferrari, le V12 c'était tout ça !

Rares sont les constructeurs à rester aussi fidèles à leur ADN que Ferrari. La marque italienne n'a que très rarement changé ses plans et, dans 90 % des cas, ça a toujours été pour le mieux. Aujourd'hui, Maranello vient de dévoiler la nouvelle 12 Cilindri. L'occasion parfaite pour revenir sur une lignée vieille de plus de 60 ans : celle des grandes GT à moteur V12 ! Lorsque l'on évoque l'illustre lignée des GT à moteur V12, chez Ferrari, la plupart des personnes citent immédiatement la 812 Superfast et la F12 Berlinetta. Mais on peut remonter le temps sur plusieurs décennies, la marque italienne a quasiment toujours proposé ce genre de modèles, tout en haut de sa gamme, bien au-dessus des coupés à moteur V8. Certaines sont devenues de véritables légendes roulantes, comme la Testarossa, emblème de toute une époque, ou encore la 365 Daytona qui a d'ailleurs inspiré le designer de la nouvelle 12 Cilindri. Vous avez besoin d'un petit rafraîchissement de mémoire ? Voici quelques unes des plus importantes GT V12 de Ferrari !{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Alfa Romeo Junior : le petit italien est moins cher que prévu !

Alfa Romeo vient de communiquer les tarifs pour son nouveau Junior. Lors de sa présentation, il avait été confirmé que la version de lancement serait affichée à 31.500 euros en motorisation hybride, contre 40.500 euros pour l'électrique. Les prix pour la gamme classique débutent plus bas que ce que l'on aurait pu croire, à partir de 29.500 euros ! Outre sa présentation chaotique émaillée par une polémique dont Alfa Romeo se serait bien passé, qui a d'ailleurs valu à ce SUV un changement de nom, on aurait surtout pu croire que le Junior s'afficherait à des prix relativement élevés. On sait que la marque italienne se positionne parmi les constructeurs premiums, au sein du groupe Stellantis. Pourtant, le Junior parvient à contenir ses tarifs et à rester sous la barre des 30.000 euros, pour ce qui est de la version d'entrée de gamme en tout cas. L'Alfa Romeo Junior est décliné en deux versions, à savoir Ibrida et Elettrica. La première s'affiche à partir de 29.500 euros, tandis que la seconde voit son prix passer à 38.500 euros. Attention toutefois, ces prix ne concernent que la finition d'accès « Junior ». En plus de la série spéciale de lancement, quatre niveaux de finition sont proposés, ainsi qu'une version sportive réservée au Junior 100 % électrique.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Alfa Romeo Milano : véritable Alfa, ou énième clone made in Stellantis ?

EN BREF - Skoda dévoile le concept Enyaq RS Race, BMW change son système d’appellation, le Tesla Cybertruck entame sa tournée européenne

Ces derniers jours, plusieurs annonces et nouveautés ont retenu notre attention. À commencer par un étonnant concept-car Skoda, l'Enyaq RS Race, dont les premiers croquis ont été dévoilés. D'autre part, BMW a annoncé un changement de taille dans son système d'appellation. Les modèles à essence n'arboreront bientôt plus la lettre i, désormais réservée aux voitures électriques. Enfin, Tesla a donné le coup d'envoi de la tournée Cyber Odyssey, au cours de laquelle le Cybertruck parcourra les routes européennes. L'actualité ne se résume pas qu'aux sorties de nouveaux modèles. Heureusement d'ailleurs, sinon certaines périodes seraient bien calmes ! Cette semaine, plusieurs annonces ont été faites par des constructeurs, dont certaines très intéressantes. D'une part, Skoda vient de dévoiler les premières esquisses d'un tout nouveau concept, dérivé de l'Enyaq, baptisé RS Race. Du côté de chez BMW, l'heure est au changement d'appellation pour certains modèles de la gamme, plus particulièrement ceux équipés de moteurs à essence. Enfin, bien qu'il ne soit pas homologué pour nos routes européennes, le Tesla Cybertruck pose ses roues sur le Vieux Continent jusqu'au 7 juillet, dans le cadre de sa Cyber Odyssey. On fait le point. Lire aussi : Skoda fait son entrée dans le programme « Vision Gran Turismo » Le Skoda Enyaq se dévergonde

PHOTOS - Ferrari 12 Cilindri : pouvait-il y avoir meilleure déclaration d'amour au V12 ?

Ferrari vient de présenter sa nouvelle grande GT, qui a la lourde responsabilité de succéder à la 812 Superfast. Baptisée 12 Cilindri, on n'a aucun mal à affirmer qu'elle s'en sortira avec brio, avec son V12 de 830 chevaux et son design truffé d'hommages au passé de la marque italienne. La Ferrari 12 Cilindri est une déclaration d'amour, en tous points. Visuellement déjà, avec de nombreux éléments renvoyant à d'anciens modèles iconiques de la marque. Les passionnés auront remarqué le large bandeau transversal, à l'avant, qui évoque la mythique Ferrari 365 Daytona. Mais l'ensemble n'est pas uniquement "réchauffé", les lignes évoluent nettement par rapport à la 812 Superfast qu'elle remplace, alors que cette dernière n'était qu'une évolution de la F12 Berlinetta. Un long capot avant, bardé d'extracteurs d'air subtilement intégrés... On sait tous ce qui se cache en dessous : un V12 bien sûr ! Avec 6,5 litres de cylindrée et toujours sans turbo ni hybridation, ce dernier crache 830 chevaux et 678 Nm de couple, avec une zone rouge perchée à 9.500 tr/min. Ferrari annonce des performances de premier plan, avec un 0 à 100 km/h avalé en 2,9 secondes et une vitesse de pointe culminant à 350 km/h.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Deux versions sont pour l'instant au programme, un coupé et un Spider. Le premier s'affiche à 395.000 euros, hors malus bien sûr... Si vous trouvez la fiche technique un peu trop timide, vous n'avez qu'à patienter quelques mois de plus. Ferrari devrait, logiquement, offrir à cette 12 Cilindri une version radicale, comme c'était le cas pour les 599 GTB, F12 Berlinetta et 812 Superfast avant elle.

Ferrari 12 Cilindri : la 365 Daytona de 2024 !

Ferrari vient de lever le voile sur son dernier chef-d'œuvre, la 12 Cilindri. Un nom italien qui se passe de traduction, mais qui sonne surtout comme un dernier hommage, avant une disparition programmée… Mais haut les cœurs, cette cathédrale mécanique est toujours bien vivante, avec 830 chevaux et une zone rouge perchée à 9.500 tr/min ! La 12 Cilindri est disponible en version Coupé et en Spider. Les tarifs débutent à un peu moins de 400.000 euros. Cela fait maintenant plus de 10 ans que l'on entend les spécialistes rabâcher la même rengaine, à chaque sortie d'une nouvelle GT Ferrari : « Ce sera à coup sûr le dernier V12 atmosphérique de l'histoire de la marque ». On y avait eu droit pour la F12 Berlinetta et pour la 812 Superfast. Deux options sont alors envisageables. Soit ces gens n'ont de spécialistes que leurs noms, soit le constructeur italien est têtu. Quoiqu'il en soit, Ferrari vient de lever le voile sur la remplaçante de la 812, qui embarque à nouveau un V12. Quelle surprise ! Son nom ? La 12 Cilindri. Faîtes un effort, prononcez à l'Italienne : Dodici Cilindri, et pas Douze Cilindri. Un nom qui, au-delà de sa simplicité déconcertante, a une saveur amère de dernier hommage. Après tout, après plus de 10 ans à entendre les fameux spécialistes annoncer la fin du V12 chez Ferrari, il fallait bien que ça arrive un jour… Mais nous ne tomberons pas là-dedans et ne dirons donc pas qu'il s'agit certainement de la dernière GT V12 de Maranello.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Maggiore GranturismO : le restomod qui redonne ses lettres de noblesse à la Ferrari 288 GTO

Salon de l’Auto de Pékin : un salon comme à la belle époque !

Depuis le 25 avril et jusqu'à la fin de la semaine, se tient le Salon de l'Auto de Pékin. De nombreuses nouveautés y ont d'ailleurs été présentées car, à l'inverse des salons européens, toutes les marques ou presque ont fait le déplacement pour participer à l'événement. Alors, à l'approche de la fermeture, que faut-il retenir de ce Salon de Pékin 2024 ? Il y a encore quelques années, les salons automobiles européens étaient des rendez-vous incontournables réunissant chaque année des dizaines de milliers de passionnés. Mais la politique européenne concernant cet engin satanique qu'est la voiture a eu raison de ces salons, qui ne sont désormais plus que l'ombre d'eux-mêmes. Il n'y a qu'à regarder ce qu'est devenu le Salon de Genève, autrefois considéré comme le plus important des événements de ce genre, qu'aucune marque n'aurait voulu manquer.  On a donc commencé à se faire une raison en Europe, se résignant à n'avoir droit qu'à des événements fades, sans moquette, sans constructeurs et sans passion. Notons tout de même que les organisateurs du Mondial de l'Auto de Paris promettent une édition 2024 plus réjouissante, avec davantage de marques et plus d'exposants. Mais revenons-en à nos moutons, Pékin donc. En Asie, les salons automobiles semblent encore avoir la cote, puisque le Salon de Pékin s'apprête à fermer ses portes après 10 jours d'ouverture au public et surtout plus de 800.000 visiteurs recensés ! De nombreuses nouveautés y ont été présentées, on vous résume tout ce qu'il faut en retenir.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Nouveau Renault Symbioz : le Scénic E-Tech que les gens attendaient ? Une véritable armada de marques chinoises

Renault Arkana : ses ventes explosent en avril !

Ces derniers mois, le Renault Arkana se faisait relativement discret sur le segment des SUV. Au premier trimestre, il se vendait mieux que le Volkswagen Tiguan, mais moins que le Nissan Qashqai ou le Kia Sportage. Mais il semble que le mois d'avril ait été favorable à l'Arkana, qui vient de coiffer bon nombre de ses concurrents au poteau. Le mois dernier, Renault a réussi à écouler son SUV coupé à plus de 2.000 exemplaires ! Mieux vaut tard que jamais, comme dit le vieux proverbe. Depuis le début de l'année, les ventes de l'Arkana étaient si discrètes que l'on aurait pu se demander s'il était encore commercialisé. Mais au terme d'un mois d'avril plutôt bon pour la Renault, l'Arkana revient jouer aux avant-postes, en passant devant certains de ses concurrents comme le Nissan Qashqai, le Hyundai Tucson ou encore le Kia Sportage. Il talonne le Citroën C5 Aircross. Depuis le 1er janvier 2024, Renault a livré 5.436 exemplaires de l'Arkana, dont 2.062 rien qu'au mois d'avril. Un sursaut des ventes qu'il est bien difficile d'expliquer, étant donné qu'aucune nouveauté ou presque n'a été apportée au modèle depuis un moment. Cependant, les hausses de tarifs chez la concurrence lui ont certainement été favorables, lui permettant de ressortir de l'anonymat.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Renault Arkana : il est encore en vie, à partir de 31.300 euros

L’État a récolté plus de 2 milliards d’euros grâce aux amendes routières en 2023 !

La Cour des comptes vient de communiquer son rapport concernant les amendes routières distribuées en 2023. On y apprend notamment que l'année dernière a été très prolifique, avec plus de 2 milliards d'euros de recettes au total. Cela équivaut à une hausse de 7 % par rapport à 2022. C'est un triste record que vient d'annoncer la Cour des comptes dans son dernier rapport. On y apprend que les amendes routières ont généré plus de 2 milliards d'euros de recettes sur la seule année 2023, soit 7 % de plus qu'en 2022. Une hausse qui s'explique notamment par la remise en état du parc de radars automatiques, dont la plupart avait été dégradés durant la crise des gilets jaunes. À l'heure actuelle, on estime que 91 % du parc est opérationnel, contre seulement 68 % en 2019. Il faut dire que le nombre de radars automatiques n'a jamais été aussi élevé dans l'Hexagone. Au total, on compte 1.333 radars tourelles, 724 radars fixes, 527 radars de feux rouges, 501 radars mobiles et 500 radars discriminants. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Sécurité routière : un mauvais mois de mars sur les routes de France

Aston Martin dévoile un nouveau V12, apparemment pour une nouvelle Vanquish !

C'est une année pleine de nouveauté pour Aston Martin. Après avoir dévoilé ses nouvelles Vantage et DB12, la marque anglaise annonce maintenant l'arrivée d'un tout nouveau bloc V12 de 835 chevaux ! Une nouveauté pour le moins inattendue, à une époque où les constructeurs ont plutôt tendance à électrifier leurs gammes. Cerise sur le gâteau, ce moteur pourrait bien ne pas arriver sans une deuxième surprise… C'est ce qu'on appelle être à contre-courant. Alors que toutes les marques, même les plus résistantes comme Lamborghini ou Ferrari, se résignent à tourner la page du thermique pour se diriger vers l'électrique, d'autres font de la résistance. C'est le cas d'Aston Martin qui fait d'ailleurs bien mieux que résister ! Car en plus de continuer de vendre des modèles équipés de moteurs à combustion, le constructeur anglais a fait encore plus fort en rallumant la machine de la R&D, qui vient d'accoucher d'un tout nouveau V12. Voir émerger un nouveau moteur thermique n'est plus chose si courante, par les temps qui courent. Encore moins un V12. On a cherché, il semble qu'Aston Martin soit la seule marque à encore dépenser de l'argent dans le développement de technologies de « l'ancien monde ». Car on parle ici d'un V12 dénué de toute forme d'électrification, qui n'accepte que le sans-plomb !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Aston Martin Vantage : un design époustouflant et un cœur de 665 chevaux !

VIDEO - Renault Symbioz : tout savoir sur le nouveau SUV du losange !

Renault dévoile enfin son nouveau Symbioz. Ce nouveau modèle vient donc étoffer la gamme de SUV de la marque au losange, avec pour objectif de poursuivre l'offensive sur le segment C. Design musclé et bonne habitabilité, voilà ce qui pourrait résumer ce nouveau Renault Symbioz. Ce SUV de 4,41 m repose sur la même plateforme que le Captur, et ça se voit. La face avant est quasiment identique, tandis que l'habitacle reprend la même planche de bord. Bonne surprise côté habitabilité en revanche, notamment grâce à la banquette arrière qui peut coulisser sur 16 cm ! Le volume de coffre oscille donc entre 492 et 1.582 litres. Lire aussi : Nouveau Renault Symbioz : le Scénic E-Tech que les gens attendaient ? Au lancement, ce nouveau Symbioz ne sera décliné qu'en version E-Tech Full hybride de 145 chevaux. De quoi offrir une sérieuse alternative au Renault Sénic E-Tech 100 % électrique, Du moins pour les clients qui ne sont pas emballés par l'électrique. Les tarifs ne sont pas encore connus, mais on sait que ce nouveau SUV se positionnera entre un Captur et un Austral. {{_DYNINFEED_BLOCK_}}

PHOTOS - Nouveau Renault Symbioz : l'alter ego hybride du Scénic E-Tech ?

Alors qu'il avait été annoncé en début d'année, le Renault Symbioz se dévoile officiellement aujourd'hui ! La marque au losange poursuit donc son offensive sur le segment des SUV compacts, avec ce modèle situé à mi-chemin entre un Captur et un Austral. La famille de SUV commence à être bien étoffée chez Renault. Compacts, familiaux, coupés, aussi bien thermiques qu'hybrides et électriques, il y en a pour tous les goûts. Cette lignée accueille d'ailleurs un nouveau membre, positionné à peu près au milieu de tout ça : le Symbioz. Avec ses 4,41 m de long, il vient se placer entre les Renault Captur et Austral. Mais on pourrait surtout le considérer comme une alternative hybride au Renault Scénic E-Tech, qui ne mesure que 6 petits centimètres de plus. Le Symbioz et le Captur partageant la même plateforme, on retrouve logiquement des similitudes entre les deux modèles. La face avant est quasiment identique, tout comme la planche de bord. Cependant, le Symbioz se distingue avec une poupe plus massive et par un habitacle plus spacieux, avec entre autre une banquette arrière coulissante.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Au lancement, une seule motorisation sera proposée. Le Renault Symbioz sera donc disponible en version E-Tech Full hybride de 145 chevaux, tandis que la gamme s'articulera autour de 4 finitions (Evolution, Techno, Iconic et Esprit Alpine). La marque n'a pas encore annoncé les tarifs.

Nouveau Renault Symbioz : le Scénic E-Tech que les gens attendaient ?

Renault vient de présenter officiellement son nouveau Symbioz. Ce SUV, qui vient se positionner entre un Captur et un Austral, pourrait également séduire ceux qui hésitent à s'orienter vers un Scénic E-Tech du fait de sa motorisation électrique. Car en plus d'offrir une bonne habitabilité, ce nouveau Symbioz est hybride. Voici tout ce qu'il faut retenir de ce nouveau SUV familial. Jusqu'à présent, les familles en quête d'habitabilité devaient s'orienter vers l'Austral, chez Renault. Ou le Scénic E-Tech, si l'électrique n'était pas un problème pour elles. Le Captur, plus petit, n'offre pas autant d'espace à bord. Mais la marque au losange va maintenant proposer une nouvelle alternative, positionnée sur le segment C. Renault poursuit donc son offensive sur ce marché ultra concurrentiel, avec ce nouveau Symbioz. Première prise de contact avec ce nouveau SUV, l'occasion de découvrir son design et de se faire une idée de ses proportions. Avec 4,41 m de long, ce Symbioz rend 6 cm au Scénic E-Tech. Il en reprend d'ailleurs les courbes, par endroits. Vu de l'avant, en revanche, on décèle clairement une affiliation avec le Captur restylé. Pas franchement un hasard, Renault ayant confié que les deux modèles partageaient la même plateforme. La face avant est donc quasiment identique, avec une calandre ornée de motifs en relief, un capot nervuré, un regard agressif et des feux de jour en demi-losanges.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : ESSAI - Renault Scénic E-Tech : des choix astucieux !

CONFIG – Volkswagen Polo GTI, la rescapée du segment des petites sportives amusantes !

La Volkswagen Polo a rarement eu le champ aussi dégagé ! La petite sportive allemande, autrefois entourée de nombreuses concurrentes, est aujourd'hui l'une des dernières de son segment. Alors, avant que Volkswagen ne décide d'arrêter sa production, allons faire un tour sur le configurateur en ligne. Pour être honnête, la Volkswagen Polo GTI n'a jamais été la meilleure de sa catégorie. Il y a encore quelques années, une Ford Fiesta ST se montrait plus joueuse, tandis qu'une Hyundai i20N était plus efficace. Mais maintenant que la plupart de ses concurrentes ont disparu, du moins en France (avons-nous réellement besoin d'expliquer pourquoi ?), la Polo n'a aucun mal à être la nouvelle référence de sa catégorie, étant la dernière représentante de l'espèce des petites GTI amusantes à conduire.  Sous son capot, on retrouve un bloc 2.0 TSI de 207 chevaux, associé à une boîte DSG à 7 rapports. L'architecture est typique des petites sportives, la puissance n'est transmise au sol que par les roues avant. Ce qui ne l'empêche pas d'abattre le 0 à 100 km/h en 6,5 secondes et d'atteindre une vitesse de pointe de 242 km/h. Des chiffres relativement modestes, qui rappellent toutefois que l'on n'a pas besoin de 600 chevaux pour s'amuser. D'autant que la Polo GTI est facturée « seulement » 34.870 euros, un prix qui paraissait élevé autrefois, mais que l'on relativise bien volontiers aujourd'hui, quand on le compare à celui de certains autres modèles.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Volkswagen Polo : une meilleure finition d'entrée de gamme que les Peugeot 208 ou Renault Clio ?

Acheter une Renault Megane R.S. d’occasion, c’est encore jouable ?

30 avril 2024 à 16:00
Alors que Renault Sport a définitivement cédé sa place à Alpine, les amateurs de petites voitures sportives regrettent évidemment certains modèles frappés du losange. Parmi eux, comment ne pas citer la Megane R.S. ? Elle a longtemps été l'une des références du segment des compactes sportives, tenant la dragée haute à certains mythes roulants. Seulement pour beaucoup, sa disparition est synonyme d'explosion des tarifs. Mais qu'en est-il véritablement ? Cela fait déjà un moment que Renault a décidé de laisser le champ libre à Alpine, en enterrant son célèbre label Renault Sport. Outre la disparition de cette griffe adorée par les fans, on déplore surtout l'arrêt de la production de la Megane R.S., variante sportive de la compacte propre sur elle, qui revendiquait tout de même 300 chevaux dans sa dernière itération. Seulement voilà, comme dans de nombreux cas similaires, les tarifs d'un modèle qui s'arrête ont une fâcheuse tendance à s'envoler. Mais est-ce le cas de la Renault Megane R.S. ? Eh bien pas forcément ! Évidemment, si votre budget est serré, oubliez tout de suite les séries spéciales comme la Trophy ou l'encore plus méchante Trophy-R. Ces versions s'affichent autour des 60.000 euros, voire plus de 70.000 pour les modèles peu kilométrés. Pas inatteignables, mais tout de même bien plus chères que les exemplaires « normaux ». Aujourd'hui, il faut compter entre 35.000 et 50.000 euros pour des Megane R.S. standards, en ratissant large. Pour ce prix, vous pouvez mettre la main sur un exemplaire totalisant moins de 50.000 kilomètres.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : La Renault Mégane R.S. Ultime démarre à partir de 53 450 €

Nouveau Cupra Formentor : il perd un cylindre et quelques chevaux !

30 avril 2024 à 13:00
Cupra vient de présenter les versions restylées de ses Leon et Formentor. La même recette semble avoir été appliquée aux deux modèles, avec notamment un gros travail sur l'identité visuelle. Les motorisations sont communes, mais on regrette quand même la disparition du 5 cylindres de 390 chevaux, qui coiffait la gamme du Formentor. Désormais, il va falloir se contenter d'un 4 cylindres de 333 chevaux. Ce qui n'est pas ridicule, avouons-le. L'heure est au renouvellement chez Cupra. La griffe sportive de Seat vient en effet de présenter non pas une, mais bien deux nouveautés. Il s'agit en réalité davantage de restylages, mais les évolutions sont si profondes qu'on pourrait croire à de nouvelles générations. Cupra inaugure donc de nouveaux codes stylistiques, par le biais de ses Leon et Formentor restylés. À l'extérieur, les changements sont bien visibles. La face avant troque sa calandre classique contre des ouvertures plus discrètes, avec des arêtes qui renforcent l'agressivité de la voiture et qui contribuent à élargir l'ensemble, visuellement du moins. Le logo est désormais placé au bout du capot, tandis que les phares adoptent une signature lumineuse inédite. Comme sur la Leon, la face arrière évolue plus en douceur, avec l'intégration du logo, désormais lumineux, au centre du bandeau de LED. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Nouvelle Cupra Leon : elle ne veut plus passer pour une banale Seat !
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