Un propriétaire allemand a construit ce qui pourrait ressembler à une interprétation de la BMW 1M CS. Ce projet fou a nécessité 16 mois de travail en adaptant des pièces de plusieurs BMW M différentes dans un résultat de très grande qualité.  Construire la voiture ultime est un rêve qui peut vite paraître inaccessible pour beaucoup. La faute à un budget beaucoup trop élevé pour réaliser son plus beau fantasme automobile, mais aussi à toutes les petites mains à mobiliser pour que cela fonctionne.  Pourtant, certains passionnés automobiles ont le carnet de contacts (et le portefeuille) suffisamment rempli(s) pour s'offrir un tel luxe. C'est le cas de ce propriétaire allemand qui a créé une hypothétique « BMW 1M CS » à partir de plusieurs pièces issues du catalogue Motorsport. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : La BMW série 1 prend l'avantage sur l'Audi A3 et la Mercedes Classe A

Durant les années 80, le tennis fait partie des sports à la mode. Autobianchi exploite la brèche du tennis à son tour en 1987 et lance la Y10 « Fila », une série spéciale basée sur un équipementier, alors très en vogue.  Chaque année, Roland-Garros ouvre ses portes et embarque bon nombre de partenaires dans son univers, fait de petites balles jaunes et de terre battue, à Porte d'Auteuil. La mode y occupe une place prépondérante, à quelques semaines du début de l'été. Il fut une période où le tennis faisait partie des sports à la mode, comme un vecteur d'exposition à part entière. Cette semaine sera consacrée à la relation entre l'automobile et la Petite Balle Jaune. Le second volet de la semaine « Auto & Tennis » s'attarde sur l'Autobianchi/Lancia Y10 « Fila ». {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : AUTO & TENNIS - Peugeot 205 Lacoste : Quand le Croco mange du Lion

Un propriétaire britannique a réalisé un projet fou, basé sur un swap moteur démoniaque dans sa Ford Escort MkII. Celui-ci a notamment installé un moteur de Honda S2000 greffé d'un turbo, en lieu et place du moteur d'origine ! La Grande-Bretagne est un pays beaucoup plus souple en matière de législation automobile. En effet, il est possible de faire immatriculer n'importe quel objet roulant, tant qu'il comporte des feux avant et arrière, un pare-brise et un habitacle pouvant protéger efficacement ses occupants.  Cela laisse le champ libre aux mécaniciens les plus doués pour réaliser des projets mécaniques complètement fous, à l'image de cette diabolique Ford Escort MkII de 1976. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Ford Escort Mk1 Evolution par MST Cars : Le virus du bonheur

Lancia a dévoilé les premières images officielles de la version sportive de sa dernière citadine, l'Ypsilon HF. La petite italienne dispose d'une évolution plus affutée de son châssis et de ses trains roulants, ainsi que d'un moteur 100 % électrique de 240 ch. Stellantis poursuit le travail pour faire renaître Lancia. La marque premium italienne dépoussière ses grimoires historiques et fait revivre le label sportif HF, disparu depuis 2000, et la Delta HPE HF Evo 500. La première à porter ce blason historique n'est autre que la toute récente Ypsilon : voici la Lancia Ypsilon HF.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Lancia Ypsilon HF : le retour de deux lettres mythiques en 2025 !

Helm Motorcars a diffusé les premiers clichés de son tout dernier restomod, basé sur la Jaguar Type E Mk I. La « Rhode Island Commission » est destinée à rejoindre les Etats-Unis dans un configuration somptueuse réalisée selon les goûts de son futur propriétaire. En matière de réinterprétation sur Jaguar, tout le monde connaît Eagle. Leurs exceptionnels restomods de la Jaguar Type E, en coupé comme en cabriolet, font partie des joyaux de la Couronne, à tel point qu'ils sont présentés comme « le Singer de la Jaguar Type E ».  Dorénavant, ils ne sont pas tout seuls à contester ce titre : Helm Motorcars a réalisé une série de 20 Jaguar Type E Mk I, dont voici le sublime troisième exemplaire. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Cette Jaguar Type E a dépassé le million d'euros aux enchères

Durant les années 80, le tennis fait partie des sports à la mode. Peugeot cherche à séduire la clientèle avide de ce sport de raquettes et propose une version coquette de la 205 en 1984 : la Peugeot 205 Lacoste. Chaque année, Roland-Garros ouvre ses portes et embarque bon nombre de partenaires dans son univers, fait de petites balles jaunes et de terre battue, à Porte d'Auteuil. La mode y occupe une place prépondérante, à quelques semaines du début de l'été. Il fut une période où le tennis faisait partie des sports à la mode dans l'univers de l'automobile. Cette semaine est consacrée à la relation entre l'automobile et la Petite Balle Jaune. Le premier volet de la semaine « Auto & Tennis » est consacré à la Peugeot 205 Lacoste, destinée à séduire la clientèle des beaux quartiers parisiens. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Peugeot 205 Rallye, 5 choses que vous ne saviez peut-être pas sur cette star des années 90

Après 4 ans de présence sur le marché, Volkswagen donne un très léger coup de neuf à son SUV citadin, le T-Cross. Le design extérieur change très peu, à l'exception des antibrouillards avant ou de la forme des optiques à LED à l'arrière. La qualité perçue progresse à bord, avec du plastique moussé sur la planche de bord.   Côté mécanique, toujours pas d'offre hybride pour le petit crossover allemand. L'unique diesel 1.6 TDI 95 ch disparait du catalogue. Seuls deux blocs sont désormais proposés : le 3 cylindres 1.0 TSI de 115 ch ou le 4 cylindres 1.5 TSI de 150 ch. Proposée à partir de 25.790 €, le T-Cross restylé se place dans la fourchette de prix moyenne de ses concurrents. Notre essai en images, en attendant le verdict. {{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Zagato a communiqué sur la sortie imminente de sa dernière création, basée sur l'Alpine A110 : l'AGTZ Twin Tail. Cet engin construit à la main en très petite série débute à partir de 650.000 euros !  De la plume de son concepteur aux pelouses des rives du lac de Côme en seulement 12 mois, la genèse de l'AGTZ Twin Tail fut extrêmement courte, pour un véhicule rendant hommage à son aïeule, l'Alpine A220 de 1968.  Zagato a dévoilé le tarif stratosphérique de l'AGTZ Twin Tail, fixé à partir de 650 000 euros... options non comprises ! La production a déjà commencé et la plupart des exemplaires sont déjà vendus. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : AGTZ Twin Tail : Zagato ajoute une longue queue à l'A110

Une rare Porsche 911 GT3 Touring a été vendue environ 300.000 dollars par un garage américain. Au vu de sa configuration extérieure et intérieure d'excellente facture, la somme déboursée en vaut visiblement la peine. Cet exemplaire fait partie des 138 unités qui ont traversé l'Atlantique. Seulement 67 d'entre elles sont équipées de la boite manuelle à 6 rapports. Celle-ci se pare d'une exceptionnelle robe Viola Metallic foncée. Les jupes latérales reçoivent un sticker « Porsche » couleur bronze. Cette nuance recouvre aussi les jantes de 20 pouces à l'avant et 21 pouces à l'arrière.  Lire aussi : Est-ce la plus belle Porsche 911 GT3 Touring du marché ? A bord, l'habitacle est recouvert de cuir bicolore noir et gris clair. Quelques incrustations en fibre de carbone sont présentes sur la console centrale. Les sièges baquets sont cousus avec des surpiqures blanches. Le pommeau de levier de vitesses est noir brillant avec des inscriptions jaunes sur chaque rapport. Le compte-tours central est désormais sur fond blanc.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Son prochain acquéreur a du débourser une somme rondelette de 300.000 dollars, soit environ 277.000 euros.

Une Porsche 911 GT3 Touring a été mise en vente par un garage américain. Sa superbe configuration a laissé ses potentiels acheteurs sans voix. L'heureux propriétaire a été jusqu'à dépenser près de 300.000 dollars pour s'offrir ce magnifique exemplaire. Cette version spéciale reprend le meilleur de la Porsche 911 GT3 classique, avec une touche de grand tourisme, à l'image de la suppression de l'aileron fixe ou encore de l'apparition du cuir à bord. Déjà soumise à une spéculation exceptionnelle à sa sortie en 2021, cette configuration extérieure a fait tourner encore plus de têtes (et de portefeuilles) que prévu.  Lire aussi : Porsche 911 S/T, pour fêter dignement les 60 ans de la 911

A l'occasion du Motor Valley Fest qui s'est tenu à Modène (Italie), Pagani a exposé sur son stand une intrigante Utopia bicolore. Cet exemplaire paré de jaune et de fibre de carbone est équipé d'une boite manuelle automatisée Xtrac, habituellement proposée en option.  Les concours d'élégance et rassemblements automobiles thématiques s'enchainent, en ce mois de mai à la météo si changeante. Certaines autos d'exception en profitent pour pointer le bout de leur nez en fibre de verre ou de carbone, après un hiver bien mouvementé sur le Globe. Modène fut le théâtre du Motor Valley Fest il y a quelques semaines. Les constructeurs invités ont joué le jeu, entre conférences et exposition de modèles uniques. A l'instar d'autres constructeurs de supercars présents pour l'occasion, Pagani fut invité à exposer ses plus beaux modèles. Dernière-née de sa gamme, l'Utopia honorait naturellement sa présence sur le stand de la marque italienne. Celle-ci cache en réalité une innovation technique qui la distingue de toutes les autres Utopia livrées jusqu'ici. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : VIDEO - La Pagani Utopia fait chanter son V12 de 864 chevaux

A l'occasion du Salon de Francfort, Citroën a sorti un étonnant concept-car, le Tubik. Ce revival moderne du célèbre Type H de 1948 a enchanté les visiteurs du rendez-vous automobile allemand, mais pas seulement. 1948. Citroën sort le Type H pour aider à faire repartir l'économie après la Seconde Guerre mondiale. L'utilitaire de la marque au Chevrons séduit par sa praticité, sa simplicité d'entretien et d'utilisation et sa robustesse. Pour le grand public, le Type H est devenu indissociable de la série télévisée « Louis la Brocante », avec Victor Lanoux en personnage principal. Produit jusqu'en 1981, le Type H est devenu une véritable institution à la campagne, bien avant le C15.  Le Salon de Francfort 2011 approche. Il fallait présenter un showcar digne de ce nom pour appuyer le lancement en grande pompe de sa gamme complète premium DS. Citroën sait à quel point jouer sur les souvenirs fait recette. C'est ainsi qu'est née l'idée de réaliser une réinterprétation moderne du Type H : voici le Citroën Tubik. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : CONCEPT OUBLIÉ – GT by Citroën : du virtuel au réel, il n'y a qu'un pas

Diego Vergnano, un designer italien doué dans le domaine de la modélisation 3D, a dévoilé les premières images de sa dernière réinterprétation virtuelle, la Porsche 959. La "maxi-Porsche" apparait encore plus impressionnante que l'originale, sortie près de 40 ans plus tôt. Le concepteur italien a repris la majeure partie des gimmicks extérieurs de la Porsche 959 de 1986. Le dessin général est plus musclé et étiré que la version originale.  La face avant intègre un bouclier aux fines ouvertures et des optiques reprenant la signature lumineuse des dernières productions de Stuttgart. De profil, cette 959 réactualisée possède des porte-à-faux avant et arrière encore plus massifs que la version originale. Les prises d'air latérales sont simplifiées. Les jantes pleines de 21 pouces font directement référence au concept « Gruppe B » de 1983.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Un designer italien rend hommage à la maxi-Porsche des années 80 : la Porsche 959 A l'arrière, le diffuseur est si énorme qu'il occupe quasiment l'intégralité de la poupe. Le becquet est intégré à l'épaulement de l'aile arrière. Entre les deux, la fine bande de feux à LED sonne comme un clin d'œil direct à la dernière Porsche 911 type 992. 

Diego Vergnano, un designer automobile italien spécialisé dans la modélisation 3D, a dévoilé sa dernière réalisation sur ses réseaux sociaux : la Porsche 959. Celle-ci conserve l'essentiel de son esthétique originale de 1986, avec un coup de crayon beaucoup plus actuel.  Ce nom ne dit probablement rien, face à la nuée de designers présents sur les réseaux sociaux. Et pourtant, Diego Vergnano s'est signalé il y a quelques mois avec une intéressante proposition hommage de la Citroën SM. Le vaisseau amiral français avait été réinterprété dans un style épuré et élégant, avec des proportions contemporaines. Ici, c'est un autre monument automobile, datant des années 80, qui passe sous la coupe 3D de ce concepteur transalpin : la Porsche 959. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Citroën SM, un bel hommage signé d'un designer italien

Sur le marché européen, Suzuki a fait partie des nombreux constructeurs à avoir succombé à la mode GTI des années 80. Illustration avec la méconnue Swift GTi 16v, pourtant dotée d'un moteur aux nombreuses qualités. Suzuki possède une histoire méconnue du grand public. La marque japonaise base une grande partie de son succès contemporain sur la Swift, une petite citadine internationale. Celle-ci est plutôt bien conçue, particulièrement robuste et vendue à bas prix dans plusieurs pays à travers le Globe, notamment les pays émergents.  Curieusement, la marque nippone souhaite viriliser sa citadine pour profiter de la tendance GTI des années 80. Suzuki n'y échappe pas, malgré une image inexistante dans le segment : voici la Suzuki Swift GTI 16v. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Opel Corsa GSi : Le cube le plus furieux d'Allemagne

Durant les années 80, Opel a fait appel à Irmscher, son préparateur le plus proche, pour offrir une version décapotable de sa petite Corsa. Le résultat a donné une Opel Corsa allongée et dotée d'une capote souple : l'Irmscher Corsa Spider.  Les années 80 symbolisent une période dorée de l'automobile. Prix bas des carburants, modèles iconiques sur tous les niveaux, jeunesse décomplexée, revenus confortables pour tous … il fallait contenter cette population avide de bonheur par tous les moyens sur la route.  Opel venait de lancer sa petite Corsa en 1983, pour s'attaquer au segment des citadines. Sa silhouette cubique séduit et touche sa cible grâce à un prix contenu. Désireux de ne pas s'arrêter en si bon chemin, la marque au Blitz multiplie les variantes de sa Corsa. Voici certainement la plus rare de toutes : l'Irmscher Corsa Spider. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Opel Corsa GSi : Le cube le plus furieux d'Allemagne

Drop Top Customs, un garage américain basé en Floride, a customisé une rare Dodge Challenger Demon 170 en découvrable. Désormais dotée d'une capote souple et électrique, ce dragster roulant approuvé par Dodge a été vendu aux enchères contre 242.000 dollars.  Basée en Floride, l'entreprise s'est procurée un des 3.300 exemplaires vendus de la Dodge Challenger Demon 170. Le toit a été découpé et remplacé par une capote souple. Cette dernière est électrique et se range dans un compartiment conçu spécifiquement. Drop Top customs a réussi l'exploit de ne pas toucher au coffre, toit en place ou rabattu. Côté trains roulants, le châssis a reçu des renforts en aluminium pour supporter la perte de rigidité du toit.  Lire aussi : Dodge Challenger Demon Cabriolet : le découvrable le plus rapide du monde au 400m Le futur propriétaire de cette rare conversion s'est allégé de 242.000 dollars, soit environ 223.000 €, pour s'offrir cette fusée roulante découvrable. Un prix justifié par une transformation officiellement validée par Dodge et par l'état quasi-neuf de ce modèle qui n'a que 30 miles au compteur, soit seulement 50 km. {{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Un garage américain renommé a transformé une rare Dodge Challenger Demon 170 en un cabriolet de course. Celui-ci s'est vendu près de 250.000 dollars aux enchères.  Aux Etats-Unis, posséder un dragster dans son garage, c'est bien. Quand ce même dragster est homologué pour la route, c'est mieux. De quoi donner de l'inspiration à des préparateurs complètement barrés qui imaginent des projets tous plus fous les uns que les autres.  Drop Top Customs fait partie de ces garages connus aux Etats-Unis pour ses transformations uniques sur tous types de modèles. Sa dernière création est aussi improbable que désirable au pays du 400 départ arrêté : voici la Dodge Challenger Demon 170 Cabriolet. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Dernier appel : Dodge va enterrer les actuelles Charger et Challenger

A l'occasion du Grand prix de Monaco prévu en fin de semaine, Mercedes a présenté en première mondiale le concept PureSpeed, une barquette de course qui se veut très proche d'une Formule 1. Cette supercar biplace est la première d'une série de véhicules exclusifs nommés « Mythos ». Que faire de son expertise automobile, quand il s'agit de se faire remarquer lors d'un grand évènement automobile ? Mercedes a trouvé la réponse, avec un nouveau modèle inédit, baptisé PureSpeed. Ce monstre a été dévoilé sur un ponton flottant dans le port de la principauté. La marque allemande profite de sa présence sur le Grand Prix de Monaco pour présenter ce nouveau modèle, en présence de Lewis Hamilton, George Russell et Toto Wolff. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Mercedes-AMG CLE 53 4Matic+ Cabriolet : le parfait compromis ?