La Ford Mustang GTD 2025 va faire ses débuts ce week-end lors de l'épreuve mythique des 24 Heures du Mans. Avant sa présentation, Ford dévoile l'édition Carbon Series qui arbore une magnifique peinture Chroma Flame et de nombreux détails spécifiques. Vous avez sûrement vu passer les images de la Ford Mustang GTD en plein tests de développement sur le Nürburgring. L'objectif étant, pour le constructeur américain, de boucler un tour en moins de 7 minutes. Eh bien on en sait désormais plus, car Ford vient de lever le voile sur la prochaine version de son best-seller. Tout d'abord, il faut noter que cette Mustang GTD pourra être équipée d'un pack Performance (de série sur la Carbon Series). "Pour qu'une voiture soit rapide au Nürburgring, elle doit exceller dans tous les domaines : virages, adhérence, freinage, accélération" déclare Greg Goodall, ingénieur en chef de la Ford Mustang GTD. Avec des jantes en magnésium de 20 pouces, des éléments aérodynamiques actifs et une nouvelle face avant, ce pack améliore considérablement l'agilité et l'équilibre de la voiture. Les éléments aérodynamiques actifs permettent de réduire la traînée en ligne droite sans sacrifier l'appui en virage (aileron arrière avec système DRS). Le pack permet également de profiter d'une importante réduction du poids, grâce aux fameuses jantes en magnésium, mais aussi à la suppression de certains matériaux insonorisants (pack Lightweight inclus dans le pack Performance). {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Ford Mustang GTD : un futur collector que tout le monde veut déjà Un intérieur sobre mais qui embarque de nombreuses technologies

La Ford Mustang GTD s'apprête à faire sensation ce week-end aux 24 Heures du Mans. Arborant une peinture Chroma Flame exclusive, cette édition Carbon Series promet de marquer les esprits avec ses nombreux détails spécifiques et son allure qui intimide. Ford dévoile sa nouvelle Mustang GTD, et on peut dire qu'elle en jette ! Cette version pourra être équipée d'un pack Performance incluant des jantes en magnésium, des éléments aérodynamiques actifs et une nouvelle face avant, pour une agilité et un équilibre améliorés. Côté poids, une réduction significative a été réalisée en supprimant certains matériaux insonorisants. À l'intérieur, on retrouve des sièges Recaro de série et un volant multifonction. Les commandes intégrées permettent d'ajuster la fermeté de la suspension, de choisir le mode d'échappement et d'accéder aux données de conduite en temps réel. Le système d'info-divertissement affiche des messages d'accueil et de départ spécifiques sur l'écran tactile et le combiné d'instrumentation numérique configurable. Ce dernier s'adapte aux six modes de conduite, avec un nouvel affichage Performance qui met l'indicateur de vitesse et le tachymètre en avant. La peinture exclusive Chroma Flame, un bordeaux profond, est rehaussée par des éléments en fibre de carbone non peints sur le capot et le toit.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

La saga cinématographique Largo Winch, débutée en 2008, s'apprête à faire son grand retour au cinéma cet été, avec un troisième opus. Et si le personnage central, incarné par Tomer Sisley, n'est pas particulièrement féru d'automobiles, cela ne l'empêche pas de jouer au casse-cou en Alpine A110 en pleine montagne, sous la neige ! À priori, la saga Largo Winch n'a pas grand-chose à voir avec le monde de l'automobile. On y suit les aventures de l'héritier du Groupe W, avec les avantages et les inconvénients qui vont avec ce statut. Tentatives d'enlèvement ou d'assassinat, escroqueries… La vie de multimilliardaire ne semble pas si facile qu'on voudrait bien le croire. Et justement, nous allons bientôt avoir droit à un nouvel aperçu, puisqu'un nouvel épisode de la saga, que l'on croyait définitivement arrêtée depuis 2011, s'apprête à sortir dans les salles obscures cet été. Le synopsis est pour l'instant assez vague (tant mieux pour la découverte au cinéma), on sait simplement que le fils de Largo Winch se fait kidnapper et qu'on devrait assister à une chasse à l'homme aux 4 coins du globe. Pour le retrouver, notre bon vieux Largo devrait utiliser tous les moyens possibles et imaginables, notamment… des voitures ! Et plus particulièrement une Alpine A110.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Une Alpine A110 à votre image, ça vous dit ?

Rythmez vos trajets en voiture grâce à l'autoradio XINROAM, compatible avec Carplay et Android. Disponible à moins de 65 euros chez Amazon, il rend vos déplacements plus fun et moins ennuyants. Contrôlez chaque réglage depuis son grand écran tactile de 7 pouces. Boostez les capacités de votre voiture et, surtout, passez des trajets rythmés et sans ennui. L'autoradio XINROAM est l'accessoire idéal pour écouter votre musique à fond quand vous rentrez du travail, vous informer avec la radio de votre choix, ou encore partager l'écran de votre smartphone sans vous mettre en danger. Cet autoradio compatible Carplay et Android prend en charge les assistants connectés comme le Google Assistant et Siri afin que vous puissiez gérer le volume sonore ou changer de contenu audio sans avoir à toucher l'écran tactile de 7 pouces. Facile à utiliser, il se connecte à vos appareils via le Bluetooth. Il est également compatible avec tous les véhicules de façon à ce que vous puissiez le déplacer d'une voiture à une autre selon vos besoins. Commandez l'autoradio XINROAM à 64 euros chez Amazon et faites une bonne affaire avant le début des vacances d'été ! Des trajets plus fun avec cet autoradio compatible Carplay et Android Avec un peu de musique, les longs trajets en voiture paraissent plus courts. Pendant que vos copilotes font la sieste, restez concentrée sur la route et tenez-vous en éveil avec l'autoradio XINROAM, disponible dès maintenant chez Amazon. Sa fonction sans fil le rend encore plus simple d'utilisation. Il vous permet de conduire en toute sécurité et d'accéder en direct, grâce à l'effet miroir, à vos messages, à vos notifications ou à la navigation internet. La fonction Mirror-Link vous permet de partager l'écran de votre téléphone sur celui de l'autoradio de manière synchrone. Vous pouvez notamment l'utiliser pour partager votre application mobile favorite pour le GPS.  {{_DYNINFEED_BLOCK_}}

Le préparateur de renom Kalmar Automotive vient de lever le voile sur sa nouvelle réalisation, comme toujours basée sur la Porsche 911. Baptisé 7-97 Classic C1 pour, ce restomod entend bien rappeler à Singer Vehicle Design qu'il n'a pas le monopole de la restauration de 911 ! Dans le milieu de la restauration automobile, la Porsche 911 est certainement le modèle le plus convoité. Chaque entreprise, et elles sont de plus en plus nombreuses, propose sa propre approche, certaines jouant la carte de l'exubérance, quand d'autres préfèrent la simplicité et l'authenticité. Aux côtés de l'incontournable californien Singer Vehicle Design, on trouve également Kalmar Automotive. Ce préparateur s'est déjà fait la main sur la 911, avec des réalisations qui valent le coup d'œil. Cette semaine, une nouvelle création a été présentée : la C1. Celle-ci s'inscrit dans la lignée des 7-97 Classic. Ici, il n'est pas question d'aileron disproportionné, de boucliers proéminents ou de bas de caisse saillants. La C1 est une déclaration d'amour à la 911 Type 964, sur laquelle elle se base. La simplicité a été poussée au maximum. Mais Kalmar ne s'est pas contenté de simplement peaufiner une voiture existante. La carrosserie est reproduite en fibre de carbone. Les boucliers sont cerclés d'un discret liseré noir, une couleur reprise pour les jantes Fuchs en alliage léger. Les phares avant et arrière sont remplacés par des blocs à LED. À l'arrière, la grille d'aération du moteur est positionnée entre la lunette et le monogramme Kalmar. Le préparateur indique qu'il est possible d'opter pour un becquet façon queue de canard. Une double sortie d'échappement trône au centre. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi :  Singer 911 DLS Cherry Red Metallic : la plus belle œuvre d'art germano-américaine !

Lors du récent GT-R Festival, rendez-vous incontournable des passionnés de JDM, une Nissan Skyline R34 GT-R préparée a établi un nouveau record. Avec ses 1800 chevaux, elle a parcouru les 400 mètres départ arrêté en seulement 7 secondes, faisant d'elle la Skyline GT-R à boîte manuelle la plus rapide du monde ! L'Australie est le paradis des amateurs de Nissan Skyline GT-R, notamment parce qu'il est beaucoup plus facile de les importer du Japon, grâce à sa proximité avec le pays du soleil levant. C'est pourquoi, comme chaque année, le Sydney Dragway a accueilli fin mai le GT-R Festival, où les meilleurs exemplaires du pays ont démontré leur avalanche de puissance. Mais bien que les Nissan Skyline GT-R modifiées soient monnaie courante en Australie, l'une d'entre elles s'est clairement détachée du lot. Lire aussi : VIDÉO - HKS Zero-R : La Nissan Skyline GT-R la plus rare de l'histoire

Quelques mois après avoir ouvert les carnets de commandes de la nouvelle génération de sa Cooper en 3 portes, Mini lance officiellement la version 5 portes, disponible sur les Cooper C et S. Les tarifs débutent à 30.500 euros. On prend les mêmes et on recommence. Cette nouvelle Mini Cooper 5 portes ne diffère presque pas de la version 3 portes. Elle s'allonge toutefois de 172 mm, tandis que l'empattement progresse de 72 mm. L'habitabilité à bord s'en ressent donc forcément, notamment aux places arrière. L'accès y est en plus facilité. L'habitacle reprend le même mobilier que dans la Mini Cooper 3 portes, avec le fameux écran central circulaire. Côté pratique, cette nouvelle Mini Cooper 5 portes offre un volume de chargement de 275 litres, qui peut être porté à 925 litres une fois la banquette arrière rabattue.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Deux versions sont d'ores et déjà disponibles : la C et la S. La première embarque un 3 cylindres essence de 156 chevaux, tandis que la deuxième est dotée d'un 4 cylindres essence de 204 chevaux. La Mini Cooper C débute à 30.500 euros, contre 34.500 euros pour la Cooper S. L'une et l'autre sont déclinées en finitions Essential, Classic, Favoured et JCW.

Après avoir renouvelé sa Cooper en version 3 portes, Mini ouvre désormais les commandes de la déclinaison 5 portes. La Cooper devient donc encore plus habitable grâce à ses dimensions plus généreuses. Elle est déjà disponible, en versions C et S, à partir de 30.500 euros. Aujourd'hui, la gamme Mini s'enrichit avec une nouvelle version de la Cooper, elle-même lancée sur le marché il y a quelques mois à peine. Alors qu'elle n'était jusqu'alors disponible qu'en version 3 portes, elle se décline maintenant en 5 portes. Visuellement, aucun doute possible, c'est bien une Mini. Les codes stylistiques introduits sur la nouvelle génération sont toujours bien visibles, avec les phares ronds et les feux arrière triangulaires, évoquant toujours le drapeau anglais avec leurs LED. Cependant, cette version 5 portes s'allonge de 172 mm et progresse de 72 mm au niveau de l'empattement. Des ajouts qui peuvent sembler anecdotiques, mais qui permettent tout de même d'améliorer l'habitabilité, notamment aux places arrière. L'accès y est d'ailleurs plus facile. Côté coffre, la nouvelle Mini Cooper 5 portes revendique un volume de chargement de 275 litres, et jusqu'à 925 litres une fois la banquette rabattue.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Mini dégaine l'Aceman, son nouveau SUV urbain !

Un exemplaire bien particulier de la Ferrari Dino 246 GTS s'est échangé la semaine dernière contre la bagatelle de 568.000 dollars, soit environ 528.000 euros. Outre le pédigrée exceptionnel de cette voiture, son prix de vente peut aussi s'expliquer par le fait que celle-ci ait appartenu à la chanteuse américaine Cher. Dans les années 60, Enzo Ferrari crée une marque annexe baptisée Dino, en hommage à son fils disparu en 1956. Cette filiale produit ses propres voitures sous son propre logo. Après une collaboration avec Fiat, donnant naissance à la Fiat Dino, c'est la 206 GT qui devient le premier modèle à être conçu à 100 % par Dino. Puis est arrivée la 246, déclinée en versions GT et GTS. Pour la petite histoire, rappelons que les Dino étaient les seules Ferrari à embarquer des 6 cylindres, jusqu'à l'arrivée de la 296 GTB en 2021. Un exemplaire de Dino 246 GTS a justement été vendu aux enchères la semaine dernière, sur la plateforme Bring a Trailer. Celui-ci s'est échangé contre une somme astronomique, proche des 570.000 dollars. Plusieurs raisons à cela. À commencer par le fait que la Dino 246 GTS est un modèle relativement rare, produit à environ 3.000 exemplaires seulement. Mais également parce que celle-ci a appartenu à la chanteuse américaine Cher. Ça fait quand même cher (désolé, l'appel du jeu de mots…).{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Ferrari 456 GT Venice Estate : déménagement à l'Italienne

La semaine dernière, une Ferrari Dino 246 GTS a été vendue aux enchères sur la plateforme Bring a Trailer. Il ne s'agit pas de n'importe quel exemplaire, puisque celui-ci a appartenu à la chanteuse américaine Cher. Ce qui explique certainement pourquoi il s'est échangé contre la modique somme de 568.000 dollars... Il y a des voitures que l'on ne croise pas tous les 4 matins sur les plateformes d'enchères. La Ferrari Dino, par exemple. Alors tomber sur un exemplaire ayant appartenu à la chanteuse américaine Cher, c'est un véritable petit événement ! C'est le cas de cette Dino 246 GTS de 1972, finie en Rosso Chiaro avec un habitacle en cuir noir. La voiture est en bon état, même si elle présente quelques rares imperfections au niveau de la carrosserie. Elle embarque un V6 2.4 de 195 chevaux, envoyés aux roues arrière grâce à une boîte manuelle à 5 vitesses. Pour rappel, la 246 avait été lancée en 1968 sous la marque Dino, filiale de Ferrari fondée en hommage au fils d'Enzo Ferrari disparu quelques années plus tôt. Les Dino étaient, jusqu'à l'arrivée de la récente 296 GTB, les seules voitures équipées de 6 cylindres de toute l'histoire de la marque italienne.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Cette 246 GTS a été adjugée à 568.000 dollars, soit environ 528.000 euros. On peut imaginer qu'elle ne se serait pas vendue si cher, si elle n'avait pas appartenu à Cher. Désolé, on était obligé... D'autant que la voiture totalise tout de même plus de 104.000 kilomètres.

Eh oui, il est possible de croiser une Ferrari F40 Competizione sur les routes, et elle ne passe pas inaperçue. Avec 1000 chevaux sous le capot, une carrosserie Gris Nardo et un intérieur bleu, Enzo Ferrari doit se retourner dans sa tombe. Née deux ans après la présentation du modèle original en 1987, la version Competizione de la Ferrari F40 a été créée à la demande d'un concessionnaire français souhaitant participer aux 24 Heures du Mans. Les deux premiers exemplaires, baptisés F40 LM, étaient équipés d'un moteur plus puissant, de suspensions modifiées et d'une aérodynamique retravaillée.  Rapidement, d'autres clients ont demandé cette version et une dizaine d'exemplaires ont été fabriqués. Rebaptisée "Competizione" pour élargir son champ d'action au-delà du Mans, cette variante représentait le summum de la performance. Son V8 biturbo développant 700 chevaux lui permettait d'atteindre une vitesse maximale de 367 km/h. Seuls 19 exemplaires seront construits, et seulement trois châssis ont connu une riche carrière en sport automobile.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Quel est donc cet étrange concept mi-Ferrari F40 mi-Bugatti Veyron ? Un passé dans la compétition

Votre voiture devient impeccable grâce à ce nettoyeur de taches Bissell SpotClean. Facile à utiliser, et surtout en promotion chez Amazon, il vient à bout de toutes les saletés qui salissent votre véhicule, que ce soit sur les sièges, dans le coffre ou sur les tapis de sol. Découvrez la promotion Amazon sur le nettoyeur de taches Bissell. En promotion chez Amazon, il lutte efficacement contre les traces et les poussières et permet de nettoyer la voiture en profondeur. Vous pouvez également l'utiliser en intérieur, sur tous les tissus d'ameublement comme les tapis, les moquettes, le canapé… Amazon vous propose ce nettoyeur de taches Bissell SpotClean à 155,99 euros au lieu de 174,99 euros. Il est capable de pulvériser de l'eau chaude enrichie avec un détachant pour encore plus d'efficacité, récurer les tapis pour retrouver leur éclat naturel comme s'ils étaient neufs, et aspirer les poussières. Cet appareil est idéal pour les taches anciennes et tenaces qui ont du mal à partir avec une éponge. Son système à double réservoir permet de garder une eau propre et chaude pour le nettoyage. Le second bac récupère l'eau sale et les déchets afin de faciliter la vidange et l'entretien du nettoyeur. Retrouvez une voiture propre grâce au nettoyeur de taches Bissell Plus besoin de vous rendre dans une station de lavage ou de passer des heures à rester penché sur votre voiture avec un seau d'eau savonneuse et une éponge. Le nettoyeur de taches Bissell s'occupe de nettoyer l'intérieur de votre véhicule. Son long tuyau de 1,5 mètre est facile à manier pour pouvoir atteindre des zones difficiles d'accès et éliminer la saleté en quelques secondes. Vous profitez également d'un puissant moteur de 330 watts et d'une technologie Heatwave qui maintient la température de l'eau de nettoyage chaude afin de simplifier le détachage. Commandez le nettoyeur Bissel SpotClean chez Amazon pour bénéficier d'un prix réduit !  {{_DYNINFEED_BLOCK_}}

En 2006, BMW présentait un étonnant et magnifique concept-car, sobrement baptisé Mille Miglia Coupé. Ce dernier fait écho à la BMW qui était parvenue à s'imposer sur la célèbre course italienne en 1940. C'est sans doute l'un des concepts les plus vintages jamais réalisés dans toute la production automobile… et peut-être l'un des plus réussis ! Pour comprendre l'histoire de ce concept, il faut remonter en 1940. À cette époque, BMW aligne une 328 sur la ligne de départ des mythiques Mille Miglia. L'exemplaire en question était carrossé par la Carrozzeria Touring, l'un des ateliers de design les plus célèbres de l'époque. Cette voiture est entrée dans la légende non seulement en s'imposant, mais en le faisant en plus avec un quart d'heure d'avance sur ses concurrentes, en enregistrant une vitesse moyenne record de 166,7 km/h ! En 2006, BMW a décidé de lui rendre hommage avec un concept-car, sobrement baptisé Mille Miglia Coupé. C'est Chris Bangle, alors directeur du design de la marque allemande, qui est chargé de concevoir la voiture. Les lignes de l'originale sont reprises en grande partie. On y retrouve la calandre à double haricot, très fine, le long capot, le pare-brise à montant central, les ouïes latérales ainsi que les ailes arrière masquant les roues. Mais le concept intègre également des éléments plus modernes. Les phares, qui ne consistaient à l'époque qu'en de simples optiques rondes, prennent désormais la forme de fins liserés à LED, en plus des ronds placés de part et d'autre de la calandre. À l'arrière, un bandeau de LED relie le toit au bouclier, comme une arête dorsale. La poupe est quant à elle très effilée. La voiture repose sur des jantes pleines en aluminium de 20 pouces. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : BMW M3 : est-ce la meilleure sportive de tous les temps ?

Afin de se conformer aux normes en vigueur, les ingénieurs travaillent d'arrache-pied en laboratoire dans des conditions parfois surprenantes. Pour arriver à leurs fins, certains tentent alors des bricolages loufoques comme sur cette Porsche 928. Un petit tour du propriétaire s'impose… Quand l'on parle de normes dans l'automobile, on pense tout de suite aux réglementations environnementales ou sécuritaires qui ont, il est vrai, largement contribué à l'amélioration de nos chères voitures. Pourtant, les ingénieurs doivent relever d'autres défis tout aussi stimulants comme celui des émissions sonores, de plus en plus strictes. Chez Porsche, on n'y est pas allé par quatre chemins puisque c'est une 928 transformée qui s'est collée à l'exercice pendant près de 30 ans. Même ceux considérant l'automobile comme simple moyen de déplacement trouveront quelque chose qui cloche… Ils auront tout à fait raison puisque cette 928 argentée embarque sur sa lunette arrière un silencieux surdimensionné, d'imposantes écopes accompagnées d'un cylindre abritant l'admission sur son capot. Quant au radiateur, il s'est tout simplement installé aux premières loges, devant le pare-chocs.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Porsche 911 restylée : elle se modernise mais n'en oublie pas son premier amour !

La grille tarifaire du Cupra Tavascan étant dévoilée, il nous tardait d'aller sur le configurateur découvrir le modèle de base, affiché à 46 990 €. Pour cette somme déjà coquette, le client en a-t-il toujours pour son argent ? Après la Born, la jeune marque Cupra enchaîne avec son deuxième modèle électrique qui devait être un SUV, forcément. Basé sur les Volkswagen ID.5 et Skoda Enyaq Coupé, le Tavascan présente un style bien distinctif et extrêmement expressif. Sa version de pointe VZ ajoute à cela une puissance respectable de 340 ch. Hélas, dans ces conditions, le tarif pointe au minimum à 64 930 €. Gardons donc les pieds sur terre avec la version de base V, affichée à 46 990 €. Le charme opère-t-il toujours à ce prix déjà peu amical ? Première bonne chose, de l'extérieur, le Tavascan V diffère bien peu du modèle VZ. A vrai dire, le seul changement notable concerne les jantes, qui s'arrêtent à 19 pouces sur le V alors qu'elles montent à 21 pouces sur le VZ. Les plus attentifs auront aussi remarqué certains détails comme le logo VZ absent sur le hayon du V ainsi que le monogramme « Cupra », noir sur le VZ et cuivré sur le V. Anecdotique, mais toujours bon à savoir…{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Cupra Tavascan : quel prix pour ce SUV Coupé 100 % électrique ?

Le préparateur américain Singer Vehicle Design, spécialiste reconnu de la restauration de Porsche 911, est célèbre pour sa sublime DLS. Mais il est également à l'origine d'autres modèles, moins connus, mais tout aussi exceptionnels. L'ACS en fait partie, avec son design inspiré de la Porsche 959 et ses incroyables capacités en tout-terrain. Depuis des années, Singer Vehicle Design s'est forgé une solide réputation dans le milieu de la restauration de Porsche 911. Sa renommée, le préparateur Californien la doit à la qualité de ses réalisations, mais aussi aux optimisations apportées au modèle allemand iconique. Sa création la plus connue, la DLS, est devenue l'un des Graals absolus pour de nombreux passionnés et affole régulièrement les enchères lors des ventes les plus prestigieuses, dépassant régulièrement le cap du million d'euros. Toutefois, peu de gens le savent, mais la DLS n'est pas le seul modèle à être sorti des ateliers de Singer. En 2021, le préparateur californien dévoile une toute nouvelle création, basée sur la 911 Type 964 comme le veut son mantra. Baptisée ACS (vous n'allez pas tarder à comprendre la signification de ces 3 lettres), celle-ci n'a été produite qu'à 2 exemplaires, spécialement pour un commanditaire. Ils ont été restaurés et personnalisés à la demande d'un client richissime. Ce dernier voulait s'offrir une voiture (ou 2, il n'était visiblement pas à 1 million près…) qui évoque la Porsche 959 qui a remporté le Paris-Dakar en 1986. Sans surprise, Singer s'est exécuté avec brio…{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Singer 911 DLS Cherry Red Metallic : la plus belle œuvre d'art germano-américaine !

Hyundai a dévoilé des images de sa prochaine citadine compacte 100% électrique, l'Inster. Il faudra attendre l'International Mobility Show de Busan, à la fin du mois, pour la voir sous toutes ses coutures. Les premières annonces sont en tout cas plutôt prometteuses. La future citadine électrique de Hyundai débarque ! Avec une autonomie de 355 km et un prix qui dépasserait à peine les 20.000 euros, l'Inster se positionne comme une alternative sérieuse à des modèles comme les Dacia Spring ou Citroën ë-C3, notamment. Les images ne dévoilent que légèrement la silhouette de la voiture, il faudra donc attendre sa présentation officielle pour en savoir plus. Lire aussi : Hyundai Santa Fe : plus grand, plus cher, à partir de 59.500 euros !

Mini s'était fait la main sur la précédente génération de Cooper, qui était en réalité une adaptation du modèle thermique existant. Le constructeur britannique lance aujourd'hui sa « vraie » première voiture électrique. Bonne nouvelle, non seulement l'ADN est conservé, mais on assiste également à un véritable retour aux sources avec un design épuré et un habitacle aussi élégant que charismatique.  La nouvelle génération de Mini, la cinquième d'une lignée sexagénaire, pose les fondements d'une nouvelle stratégie de marque. A savoir, établir une gamme 100% électrique d'ici 2030, étendre sa présence en Asie et étoffer sa gamme. La nouvelle venue coche pratiquement toutes les bonnes cases puisqu'elle est produite en Chine, sur une plateforme partagée avec le groupe Great Wall Motors. Cela signifie aussi qu'en France, avec l'entrée en vigueur du score environnemental, elle ne peut bénéficier du bonus écologique. Notez que la Mini thermique (C), elle, est fabriquée en Angleterre, à Oxford.

La Mini s'est toujours imposée comme la citadine la plus audacieuse du marché, avec ses ambiances chics et son tempérament pour le moins dynamique. Mais qu'en est-il de la nouvelle génération 100% électrique, conçue en Chine sur une plateforme partagée avec le groupe Great Wall Motors ? La Mini conserve-t-elle ses qualités avec un poids à vide 1.605 kg ? Offre-t-elle toujours un accueil digne de son rang et le même plaisir au volant ? Réponses au volant de la version la plus turbulente baptisée Cooper SE et forte de 218 ch. A lire : ESSAI - Mini Cooper SE : retour aux sources