Alors que la dernière génération de la Honda Civic, et donc de la Type-R, est sortie il y a déjà un moment, Mugen s'est décidé à lui concocter un kit carrosserie sur mesure. Le préparateur japonais lui offre donc un supplément de style, avec notamment un aileron arrière plus imposant qui rappelle celui de l'ancienne version. Les pièces spécifiques sont maintenant disponibles à l'achat. L'avant-dernière génération de la Honda Civic Type-R était sans doute l'une des voitures les plus folles de la production automobile, du moins en termes de design. Pour faire simple, on aurait dit qu'elle sortait tout droit d'un manga ! Un style assez particulier, qui avait au moins le mérite d'afficher clairement le tempérament de cette compacte sportive survitaminée. Mais la dernière génération, commercialisée depuis plus d'un an déjà, s'est assagie. Ce qui n'est pas du goût de certains puristes. Heureusement pour ces derniers, un préparateur nippon a eu la riche idée de mettre au point un kit carrosserie complet dédié à la Civic Type-R. Mugen avait dévoilé certaines pièces de cet ensemble, à l'occasion du Salon de Tokyo, en début d'année. Cette fois, les commandes viennent d'ouvrir, il est désormais possible de passer à l'achat !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : CONFIG – Honda Civic Type R, la sportive sortie tout droit d'un manga !

Vous recherchez un petit coupé sportif au caractère bien trempé, de préférence performant et doté d'une boîte manuelle ? Dans ce cas, il n'existe pas 36 options possibles, le choix est tout trouvé : la BMW M2 G87. Ne bougez pas, on s'occupe de la configurer pour vous ! Même s'il est moins fourni qu'auparavant, le segment des compactes sportives est toujours debout ! D'autant que les amateurs ont toujours le choix parmi plusieurs approches, avec des transmissions intégrales comme l'Audi RS3 ou la Volkswagen Golf R, ou des tractions avant comme la Honda Civic Type R ou la Ford Focus ST, certes moins puissante. Vous pensez avoir fait le tour ? Détrompez-vous, il reste un dernier modèle, à l'approche bien différente des autres : la BMW M2. En quoi est-elle différente ? Grâce à sa ligne, pour commencer. Ici, pas de compacte à hayon, mais un coupé sport aux lignes tendues et musclées à souhait. Quoi d'autre ? Son moteur, celui qui compte le plus de cylindres dans la catégorie, 6 pour être précis. Ajoutez à cela que BMW propose, sans supplément, d'opter pour une boîte de vitesses manuelle pour envoyer autant de canassons que possible sur le train arrière, et vous comprenez pourquoi c'est, à nos yeux, le meilleur choix possible. Aussi le plus déraisonnable, certes… Son prix ? 81.100 euros, hors options et, surtout, hors malus. Mais comme on dit, au diable l'avarice !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : ESSAI – BMW M2 : la boîte manuelle qui change tout ?

Ces derniers jours, les constructeurs se sont activés pour peaufiner les derniers préparatifs, avant l'arrivée de nouveaux modèles. Porsche finalise le développement de sa première 911 hybride, qui doit être présentée à la fin du mois. De son côté, Mini dévoilera sa nouvelle bombinette estampillée JCW début juin. Enfin, il semble que Volkswagen prépare une version spéciale de sa Golf GTI, qui pourrait bien célébrer les 50 ans du modèle. Lorsqu'un modèle emblématique s'apprête à être renouvelé, la sphère automobile retient son souffle jusqu'à sa présentation. Mais quand il ne s'agit pas d'un, mais de trois modèles, alors l'excitation est palpable. Et lorsqu'en plus, l'une des voitures en question est sur le point d'opérer une petite révolution sous son capot, comme c'est le cas de la Porsche 911 qui passe à l'hybridation, alors on peut se dire que l'on va assister à un petit événement. Il en va de même pour Mini, qui présentera début juin sa nouvelle Mini John Cooper Works, sorte de Mini GTI. Et justement, en parlant de GTI, Volkswagen planche encore sur une version spéciale de sa Golf GTI, que l'on a pu apercevoir, boucler des tours sur le Nurburgring. On fait le point. La Porsche 911 met les doigts dans la prise

Présenté le mois dernier, le Renault Symbioz est maintenant disponible. Les carnets de commandes viennent d'ouvrir, avec une gamme articulée autour de 3 niveaux de finition et une seule motorisation. Le Symbioz s'affiche à partir de 34.900 euros. L'offre s'enrichira de versions encore plus accessibles dans les mois à venir. Renault poursuit son offensive sur le segment des SUV avec un nouveau modèle, le Symbioz, présenté le mois dernier. Ce dernier vient se positionner entre le Captur et l'Austral, quasiment au même niveau que le Scénic E-Tech. Cependant, il se distingue de ce dernier grâce à sa motorisation hybride, le Scénic n'étant proposé qu'en version 100% électrique. Comme annoncé lors de sa présentation, le Symbioz est décliné sur 3 niveaux de finition : Techno, Esprit Alpine et Iconic. L'entrée de gamme offre déjà une dotation assez conséquente, avec entre autres le combiné d'instrumentation numérique de 10,3 pouces, l'écran central de 10,4 pouces, le chargeur de smartphone à induction, la climatisation automatique, ainsi que de nombreuses aides à la conduite comme le régulateur de vitesse adaptatif, le maintien dans la voie ou encore l'aide au stationnement avec caméra de recul. Tous les systèmes d'assistances sont désactivables en une fois via un bouton physique, très bon point pour le Symbioz !{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Nouveau Renault Symbioz : le Scénic que les gens attendaient ?

Au début des années 1990, un préparateur nommé Lotec a osé toucher à la Ferrari Testarossa. Une fois sortie de ses ateliers, la supercar italienne se voyait affublée d'un kit carrosserie qui la faisait étrangement ressembler à une F40, tandis que son 12 cylindres à plat recevait un turbo, dopant la puissance à 1.000 chevaux. La décennie des années 90 est définitivement une époque à part, dans l'histoire de l'automobile. Les préparateurs n'avaient pas la même conception de ce qui était dangereux, stupide, voire tout simplement faisable. Lorsqu'un client poussait la porte de leur atelier avec une demande spécifique, il n'y avait pas 36 réponses possibles. Dans 100% des cas (jusqu'à preuve du contraire), le préparateur s'exécutait joyeusement. C'est ce qui s'est passé chez Lotec, un préparateur qui est à l'origine de certaines voitures complètement folles sorties dans les années 90 et 2000, notamment des Mercedes. Cette TT1000 est certainement l'une de ses réalisations les plus mémorables. Déjà parce que c'est l'un des seuls préparateurs à s'être risqué à travailler sur une Ferrari Testarossa, mais aussi parce que le résultat est incroyable, au moins au niveau de l'aspect mécanique. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Le meilleur restomod de Ferrari Testarossa est signé Officine Fioravanti !

À moins d'une semaine du Grand-Prix de Monaco, McLaren dévoile une livrée spécifique pour rendre hommage à l'un des plus grands pilotes à être passés par l'écurie anglaise : Ayrton Senna. Les monoplaces de l'équipe McLaren courront donc sous les couleurs du Brésilien dans la Principauté, tandis qu'un exemplaire unique de la supercar Senna a également été repeinte pour l'occasion. Le week-end dernier, les hommages à Ayrton Senna se sont enchaînés, sous l'émotion des pilotes et du public. Dans quelques jours, la Formule 1 posera ses valises à Monaco, un circuit que le Brésilien affectionnait particulièrement. À cette occasion, McLaren a tenu à lui rendre un nouvel hommage. Les deux monoplaces de Lando Norris et Oscar Piastri arboreront donc une livrée spéciale, aux couleurs d'Ayrton Senna. D'autre part, un exemplaire de pré-production de la McLaren Senna a reçu une livrée à peu de choses près similaires, avec encore plus de références au quadruple champion du monde. La supercar sera exposée à Monaco durant tout le week-end.{{_DYNINFEED_BLOCK_}}

À l'approche du Grand-Prix de Monaco, McLaren vient de dévoiler une livrée qui habillera ses deux monoplaces pour rendre hommage à Ayrton Senna. En parallèle, la marque anglaise exposera un exemplaire unique de la supercar éponyme, habillée d'une livrée spéciale, durant tout le week-end. Le week-end dernier, durant le Grand-Prix d'Emilie-Romagne à Imola, le monde de la Formule 1 commémorait la disparition d'Ayrton Senna. De nombreux hommages ont eu lieu durant 3 jours, aussi bien sur la piste qu'en dehors, sous l'émotion du public et des pilotes. Ce week-end, la F1 pose ses valises dans la Principauté à l'occasion du Grand-Prix le plus glamour de la saison. Mais McLaren n'en a pas terminé avec les hommages. À cette occasion, les deux monoplaces de l'écurie britannique seront habillées d'une livrée spécifique bleue, verte et jaune. Des couleurs qui évoquent évidemment celles du casque du quadruple champion du monde et du drapeau brésilien. Cette livrée portera peut-être chance à Lando Norris pour une deuxième victoire, ou bien à Oscar Piastri pour sa première. Pour rappel, Senna avait remporté le Grand-Prix de Monaco 5 fois de suite avec McLaren, entre 1989 et 1993.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : McLaren Artura Spider : le premier sèche-cheveux hybride de Woking !

Depuis quelques années, une petite entreprise fait son trou dans le monde de la préparation automobile. Son nom ? Ravage et, cocorico, il s'agit d'un préparateur français ! Cette jeune officine est installée dans le sud-est de la France et concentre son travail sur un seul et unique modèle, pour l'instant du moins : l'Alpine A110.  Paradoxalement, on assiste depuis quelques années à la naissance de plusieurs entreprises françaises spécialisées dans le domaine de l'automobile, au moment où l'étau autour de la voiture se resserre justement de plus en plus. Un phénomène étonnant, dont les passionnés ne se plaindront certainement pas ! L'une de ces nouvelles entreprises françaises s'appelle Ravage Automobile et elle voue un véritable culte à un modèle bien précis : l'Alpine A110. Ravage est un préparateur tout jeune, né quasiment en même temps que l'Alpine A110 de 2017. L'histoire est partie d'une discussion entre un designer automobile et un ingénieur, travaillant pour des constructeurs différents, mais tous deux biberonnés au sans-plomb depuis leur plus jeune âge. Les deux hommes ont rapidement vu en la nouvelle berlinette dieppoise une base de travail idéale.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : CONFIG – Alpine A110 R : on a le droit de la configurer en vert ?

Renault vient d'annoncer l'ouverture imminente des carnets de commandes de sa nouvelle star, la R5 E-Tech. À son lancement, la petite citadine 100 % électrique sera proposée avec deux niveaux de finition, avec un seul type de batterie. Une version à l'autonomie plus réduite arrivera plus tard, en 2025. Les tarifs débutent à 33.490 euros, soit 29.490 euros une fois le bonus déduit. Enfin, nous y sommes ! Depuis les premières annonces de Renault, début 2021, on n'a jamais été aussi proche de voir la R5 E-Tech débarquer sur nos routes. Il va cependant falloir patienter encore un peu, mais les commandes sont sur le point d'ouvrir. Bien évidemment, les personnes possédant le coupe-file R5 R Pass sont prioritaires. Ces derniers peuvent donc configurer leur modèle jusqu'au 30 mai inclus et seront les premiers à recevoir leur exemplaire. Les autres clients pourront passer commande à partir du 31 mai. Au lancement, une seule des deux versions prévues sera disponible. Il s'agit de la R5 E-Tech équipée de la batterie de 52 kWh (autonomie confort), qui offre un rayon d'action de 410 kilomètres en cycle WLTP. L'année prochaine, une version « autonomie urbaine » rejoindra le catalogue, avec une plus petite batterie de 40 kWh. L'autonomie n'est pas encore définitive, il faudra attendre les résultats de l'homologation.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Renault 5 E-Tech : motorisations, batteries, finitions… Tous les détails de la citadine électrique

Velocity Restorations, une entreprise spécialisée dans la restauration et l'amélioration de véhicules anciens basée en Floride, vient de présenter sa dernière réalisation, basée sur la Ford Mustang Convertible de 1968. Ce nouveau restomod vient étoffer la gamme Signature Series et s'affiche à partir de 329.900 dollars. Heureusement, pour ce prix, la puissance fait un énorme bond en avant ! Quand on parle de restomods, on a plutôt tendance à penser à des Porsche 911, ou bien à des légendes italiennes comme des Alfa Romeo ou des Ferrari. Mais le restomod dont il est question aujourd'hui est Américain ! Si les restaurateurs s'occupent moins du cas de la Ford Mustang, l'un d'entre eux en a fait sa spécialité. Ou plutôt, l'une de ses spécialités, puisque Velocity Restorations travaille sur plusieurs modèles emblématiques du pays de l'Oncle Sam, au point d'en faire sa marque de fabrique. Différentes versions de la Mustang ont déjà été restaurées par Velocity, mais celle qui nous intéresse ici est inédite dans son catalogue. Pour la première fois, le préparateur a planché sur une Mustang Convertible de 1968. Le programme inclut une restauration complète, un changement de moteur, des optimisations mécaniques ainsi qu'une capote souple électrique.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Ford Mustang STL-1 : plus Américain, tu meurs !

La gamme de Ferrari a rarement, pour ne pas dire jamais, été aussi étoffée. On y trouve actuellement une berlinette à moteur V6 hybride, une grande GT à moteur V12, un super SUV que la marque se refuse à qualifier de SUV et une supercar à la limite de l'hypercar, dotée d'un V8 électrifié. Du beau monde donc, mais quel modèle est le plus performant ? Certes, l'intégralité de la gamme actuelle de Ferrari n'est pas représentée. Il manque effectivement la Roma mais, après tout, elle n'est pas de la même trempe que les 4 modèles représentés ici. Car si celle-ci adopte une approche privilégiant le confort et le luxe, les autres sont avant tout conçus pour la performance. Et s'ils offrent, en plus, un peu de raffinement, alors c'est du bonus ! La ligne de départ de cette dragrace rassemble donc un Purosangue, une 812 GTS, une 296 GTB ainsi qu'une SF90 Stradale. Les 2 premiers embarquent un V12 6.5 atmosphérique, de 725 chevaux pour le SUV et 800 chevaux pour la grande GT. Vient ensuite la 296 GTB, qui est dotée d'un V6 2.9 biturbo hybride de 830 chevaux et 900 Nm de couple, le tout envoyé aux seules roues arrière. Enfin, la SF90 Stradale est équipée d'un V8 4.0 biturbo hybride de 1.000 chevaux. Ce qui fait donc un total de 3.355 chevaux réunis sur la même ligne de départ ! {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Ferrari 12 Cilindri : la 365 Daytona de 2024 !

Lorsque l'on regarde les chiffres de ventes de l'Audi Q3 Sportback, on se rend compte qu'il est bien loin de ses principaux concurrents. Comment expliquer ce manque de succès ? Déjà à cause de son tarif, fixé à 43.215 euros pour la finition d'entrée de gamme. Peut-être aussi en partie à cause d'une dotation en équipements pas franchement convaincante… Chez Audi, le Q3 est le deuxième SUV le plus vendu en France, juste derrière le plus petit Q2. Mais c'est également le troisième modèle le plus diffusé chez nous, toutes catégories confondues, derrière l'A3. Un véhicule important donc, qui affiche pourtant des niveaux de ventes assez faibles, bien moins élevés que chez la concurrence. Un phénomène qui n'est hélas pas propre au Q3, mais qui a tendance à se généraliser sur de nombreux modèles du catalogue Audi. On l'avait déjà constaté pour l'A4, dont les ventes stagnent, à des années-lumière de sa rivale la BMW Série 3. Pour commencer, il se peut que le Q3 paie une formule quelque peu datée. En effet, ce SUV n'a pas été renouvelé depuis 2018 pour la version standard, 2019 pour le coupé Sportback. Fort heureusement, le design reste assez actuel, que ce soit à l'extérieur ou à l'intérieur, à l'inverse du Q2 dont l'habitacle dénote franchement.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Audi A3 Allstreet : sans options, ça donne quoi ?

Au début du mois de mai, un exemplaire de la Mercedes SLS AMG Black Series a été vendu aux enchères. Il a trouvé preneur contre la bagatelle de 975.000 dollars, soit un peu moins de 900.000 euros. La cote de cette supercar ne semble pas s'arrêter de grimper. Pour beaucoup, la Mercedes SLS AMG est une icône absolue. Il faut dire que sa remplaçante, même s'il s'agit d'une très bonne voiture, était malheureusement bien fade en comparaison. D'autant plus lorsque l'on parle de la version la plus énervée de la SLS, la Black Series, comme ici. Cette déclinaison était la plus puissante de la gamme, avec son V8 6.2 atmosphérique de 630 chevaux. En plus de sa puissance accrue, cette SLS AMG Black Series était surtout plus légère que la version de base, avec un gain d'environ 70 kg.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} L'exemplaire vendu est doté de la peinture Noir Obsidienne et dispose de tous les éléments en fibre de carbone à l'extérieur : aileron, diffuseur, lame avant, ailettes latérales... L'habitacle présente une sellerie en cuir et en alcantara avec des surpiqures. Encore plus exceptionnel, le compteur n'affiche que 149 miles, soit environ 240 kilomètres. La voiture est donc à peine rodée, ce qui pourrait expliquer en partie le prix de vente de presque 900.000 euros !

Irmscher a présenté il y a quelques jours sa propre version de l'Opel Vivaro. Une fois sorti de ses ateliers, l'utilitaire affiche un look bien plus sportif et voit sa puissance atteindre les 200 chevaux ! Le kit complet est déjà disponible, contre 8.750 euros. Le milieu de la préparation automobile n'est pas réservé qu'aux supercars les plus chères du marché. Si l'on est habitué à parler des Lamborghini Aventador transformées par Mansory, ou des Mercedes Classe G revisités par Brabus, il existe toutefois des préparateurs qui travaillent sur des modèles bien plus accessibles. C'est notamment le cas d'Irmscher, une entreprise allemande qui s'occupe de certaines marques du groupe Stellantis, mais aussi Toyota ou encore Volkswagen. Le Manhart des généralistes, en somme. Début mai, Irmscher a présenté une nouvelle réalisation pour le moins originale. En effet, le préparateur a conçu un kit carrosserie destiné à l'Opel Vivaro, un utilitaire, clone du Peugeot Expert entre autres. Se pourrait-il que le Ford Transit Custom ait enfin trouvé à qui parler ?{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Opel Astra IRC par Irmscher : Esprit OPC, es-tu là ?

L'année dernière, l'ancien chef du design de Koenigsegg fondait sa propre marque, baptisée Hardline27. Il y a quelques jours, on a eu droit aux premières images de son futur modèle, une hypercar au design impressionnant, répondant au nom de code Nilu27. La semaine dernière, nous vous parlions d'Adamastor, un jeune constructeur automobile portugais qui vient d'accoucher de sa première supercar. Mais ce dernier n'est pas le seul à débarquer sur le marché, puisqu'une nouvelle marque s'apprête justement à arriver sur le devant de la scène, plus au nord cette fois. Son nom ? Hardline27. Une appellation étrange, qui évoque davantage un logiciel informatique qu'un fabricant de voitures. Mais avant de juger, attendez de voir ce que prépare la firme. Avant d'en venir à la voiture en elle-même, un peu de contexte ne ferait pas de mal. Si Hardline27 est effectivement inconnue au bataillon, pour le moment, la marque n'a en revanche pas été fondée par n'importe qui. La firme a en réalité été créée par Sasha Selipanov. Là encore, ce nom ne doit pas vous dire grand-chose. Néanmoins, on connaît tous ces œuvres, puisque ce monsieur était chef du design chez Koenigsegg. C'est à lui que l'on doit la Gemera, notamment. L'année dernière, il a décidé de se mettre à son compte, en fondant Hardline27.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Adamastor Furia : la supercar portugaise qui se la joue en mode Aston Martin Valkyrie

Cette année, les passionnés d'Alfa Romeo célèbrent l'anniversaire de l'un des modèles les plus emblématiques de la marque italienne : l'Alfetta. Et plus particulièrement les versions GT et GTV, qui embarquaient des motorisations plus puissantes. Lancées en 1974, ces voitures sportives ont su se faire une place de choix dans le cœur des puristes. Chez Alfa Romeo, certains modèles bénéficient d'une cote de popularité toute particulière. À l'inverse, d'autres existent dans l'indifférence la plus totale. Par exemple, on doute sérieusement que le 10 avril devienne à l'avenir la journée de célébration de l'anniversaire du Junior, ce petit SUV qui a tant fait couler d'encre. Mais on le sait, Alfa Romeo est une marque fondée sur la passion et l'émotion. Giulia, Giulietta, 4C, 8C, les modèles iconiques ne manquent pas. En 2024, les puristes fêtent justement les 50 ans d'une voiture devenue mythique : l'Alfetta GT.  L'histoire de ce modèle remonte à 1972, lorsque la marque italienne présente l'Alfetta, une berline tricorps. Mais Alfa Romeo planche sur une version plus sportive, qui ne verra le jour que 2 ans plus tard, en 1974. L'Alfetta GT profite d'un design revu, passant d'une berline plutôt conventionnelle à un coupé aux lignes anguleuses avec une poupe taillée à la serpe, façon fastback. Ce style, elle le doit d'ailleurs à Giugiaro ! La face avant se pare d'une grille noire qui coure sur toute la largeur et qui intègre 2 doubles optiques ainsi que la fameuse calandre triangulaire. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Quadrifoglio Super Sport : la nouvelle série spéciale pour les Alfa Romeo Giulia et Stelvio

Porsche présentait en début d'année son nouveau Macan 100% électrique. Celui-ci doit, à terme, remplacer la version thermique. Mais malgré tous les efforts de la marque allemande pour convaincre les passionnés qu'il s'agit bel et bien d'un SUV sportif, la nouvelle mouture est terriblement fade par rapport à l'ancienne. Par chance, on va pouvoir vous le prouver, puisque le configurateur du Macan thermique est encore ouvert. Voyez plutôt. En février dernier, Porsche dévoilait son nouveau Macan. Cela dit, une fois n'est pas coutume, cette nouvelle génération était davantage redoutée qu'attendue. Car si on ne doute pas de la qualité de ce SUV, rien ne remplacera le caractère de l'ancienne génération, équipée de son V6. Porsche aura beau ajouter 10 moteurs d'aspirateurs pour faire grimper la puissance, il manquera toujours cette odeur d'essence, cette sonorité vibrante. D'autant que, d'un point de vue purement subjectif, l'ancien Macan était bien plus agréable à regarder. Comme on est un brin nostalgique et que, par chance, le configurateur du Macan de l'ancien monde est encore accessible, on a décidé d'aller s'amuser. On a bien évidemment choisi la version GTS, équipée de son V6 2.9 biturbo de 440 chevaux et 550 Nm de couple. Elle embarque une boîte automatique PDK à 7 rapports, et revendique des performances de haut vol. Le 0 à 100 km/h s'efface en 4,3 secondes, tandis que la vitesse maximale culmine à 272 km/h. De quoi s'amuser sur la route des vacances, en famille, grâce à la bonne habitabilité et au coffre de 488 litres. Cette version GTS s'affiche à partir de 98.626 euros.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Le Porsche Macan passe au tout électrique, que retenir ?

En début d'année, Skoda ouvrait les commandes pour sa nouvelle Superb. La primeur est revenue tout d'abord aux versions essence et Diesel, mais la gamme s'élargit désormais à la Superb iV, hybride rechargeable donc. Celle-ci est officiellement disponible, à partir de 52.160 euros. La grande routière de Skoda, la Superb, ajoute aujourd'hui une nouvelle corde à son arc. La marque vient en effet d'ouvrir les carnets de commandes pour la version hybride rechargeable. Toutefois, cette motorisation n'est pour l'heure disponible que sur la Superb Combi. La berline devrait vraisemblablement y avoir droit, seulement Skoda n'a pas encore donné de détails à ce sujet. Sous le capot, on retrouve un bloc 1.5 TSI électrifié, dont la puissance totale culmine à 204 chevaux. Celui-ci est associé à une boîte automatique à double embrayage DSG à 6 rapports. Skoda annonce une autonomie de 159 kilomètres en 100 % électrique en ville, grâce à une batterie d'une capacité brute de 25,7 kWh. Cette dernière peut d'ailleurs être branchée sur courant continu, pour recharger de 10 à 80 % en moins de 30 minutes. En courant alternatif, la batterie tolère les charges jusqu'à 11 kW. {{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Prix, finitions, équipements : tout savoir sur la nouvelle Skoda Superb Combi

Alors que Skoda présentait il y a quelques mois son nouveau Kodiaq, l'heure est maintenant venue d'ouvrir les commandes de la version hybride rechargeable. Le Kodiaq iV est donc disponible à l'achat, avec environ 150 kilomètres d'autonomie en 100 % électrique. Les tarifs débutent à 50.650 euros. Alors que les versions essence et Diesel sont déjà en vente depuis plusieurs mois, Skoda élargit aujourd'hui l'offre de son Kodiaq. Le grand SUV de la marque tchèque se décline désormais en hybride rechargeable. Attention toutefois, cette motorisation n'est disponible que sur la finition Selection et uniquement en 5 places. Le volume de coffre est compris entre 745 et 1.945 litres, une fois la banquette arrière rabattue. On ignore si le constructeur décidera de l'étendre à la version 7 places ultérieurement. La principale spécificité de ce nouveau Kodiaq iV se situe donc sous son capot, puisqu'il embarque un bloc 1.5 TSI hybride rechargeable de 204 chevaux, associé à une boîte à double embrayage DSG à 6 rapports. Le moteur est associé à une batterie d'une capacité brute de 25,7 kWh, qui permet au Kodiaq de prétendre à une autonomie de 149 kilomètres en 100 % électrique (en ville). Skoda annonce la possibilité de recharger de 10 à 80 % en moins de 30 minutes en courant continu.{{_DYNINFEED_BLOCK_}} Lire aussi : Skoda Kodiaq restylé (2024), les tarifs : un peu moins cher que le Renault Espace